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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, mars 07, 2009

LES JUIFS CRAIGNENT LA VÉRITÉ

La vérité sur le communisme est ce qui fait le plus peur aux Juifs. Ils ont compris cette faiblesse de leur plan. Aussi, dans tous les pays fermés par le rideau de fer, se sont-ils empressée, depuis 1918, d'infliger la peine de mort pour ce qu'ils appellent le "crime d'antisémitisme", c'est-à-dire la mention du mot Juif concernant la conspiration communiste. C'est le "crime" pour lequel il n'y a pas de pardon, ni d'atténuation de sentence. Dans l'autre moitié du monde, dans les soi-disant démocraties, s'il n'y a pas encore de peine de mort pour ce crime de dire la vérité, le terrorisme dont on le punit n'en est pas moins inflexible. Celui qui dit la vérité, qui prononce le mot interdit, qui a l'audace d'épeler les quatre lettres prohibées: J U 1 F, on le frappe d'ostracisme, on le broie financièrement, on l'écrase économiquement, on le couvre de boue, on en fait un objet d'opprobre et de mépris, et, si les circonstances s'y prêtent, on le plonge dans la captivité sans procès ni sentence, parce que le crime de dire la vérité n'est pas encore incorporé dans nos lois. Et veuillez croire que je ne fais pas d'allusion particulière à mon cas personnel ou celui de mes amis, car ce fut le cas de dizaines de mille patriotes de tous pays, pour des raisons et dans des circonstances identiques.

Il ne faut pas que l'humanité sache ce qui se passe, il ne faut pas que les peuples réalisent qu'ils sont dans la fournaise d'une révolution en pleine effervescence, il ne faut pas que les confisqués, les liquidés de demain sachent ce qui les attend, car, dès le moment ou le complot serait clairement connu, dans sa pleine réalité, le complot serait automatiquement éventé. Et, pour empêcher la vérité d'éclater au grand jour, cette vérité qui libère et qui sauve dans n'importe quel domaine ou on l'applique, les Juifs usent de toutes les pressions qu'ils peuvent exercer, par la finance, par l'économique, par la politique, par la presse, par la radio, par le cinéma; et quand il est un domaine qu'ils ne contrôlent pas directement, ils l'amollissent, le chloroforment par leurs sophisme libéraux, leur engluement dans le tolérantisme.

C'est ainsi qu'ils ont procédé, avec un immense succès. dans tous les pays qui ont sombré dans le communisme. Tous ces pays martyrs, toutes ces populations torturées ne doivent leur triste sort qu'à une chose: la trahison des anciens chefs nationaux qui avaient la garde du troupeau et qui ont pactisé avec les loups par omission quand ce n'était pas par commission.

Nous aurons le même sort chez nous, dans notre Amérique déjà considérablement sapée, minée, par la même conspiration, si les chefs responsables tiennent la même conduite, s'ils sont aussi lâches, s'ils cèdent au même terrorisme, s'ils trahissent pareillement la vérité en refusant de la servir, dans la crainte de faire le seul genre de lutte qui peut nous sauver de l'abîme.

Quand le monde est en feu, quand les valeurs les plus précieuses de l'humanité sont dans l'enjeu, quand la venue même du Christ en ce monde est menacée de devenir inutile dans ses effets pratiques pour des générations à venir, quand tout le bien accumulé par le travail et l'initiative depuis que le monde est monde, quand tout ce que nous reconnaissons comme culture et civilisation est menacé d'anéantissement, le temps n'est plus d'ânonner des mots creux, de fendre les cheveux en quatre, de recourir aux demi-mesures et aux demi-vérités. Il faut être entiers dans la vérité, entiers dans le courage, entiers dans la détermination, entiers dans la lutte. C'est le prix, c'est la condition du salut. Il faut faire fi du respect humain, de la crainte de perdre des sous ou de recevoir des coups.

MALHEUR AUX LÂCHES!

Malheur à ceux qui sont chargés d'autorité et de mission, malheur aux chefs responsables, civils ou religieux, politiques ou sociaux, si, dans les jours de tourmente que nous passons, ils se laissent un seul instant aller à la peur, au doute, à la lâcheté. Devant Dieu, devant leur pays, devant l'Histoire, ils seront responsables de tous les maux qui s'annoncent et qu'ils peuvent encore éviter; ils seront responsables même des affreuses tueries de Juifs que des foules en colère, qu'aucune autorité ne pourra contrôler, perpétreront spontanément, dans tous les pays du monde, au même moment, s'il faut attendre que la vérité sur la conspiration éclate d'elle-même.

Il semble, malheureusement, que la conspiration doive se rendre jusqu'à son terme, que nous devions passer par la dernière phase de la Révolution Mondiale qui échouera, certes, mais qui ne nous laissera comme héritage que des ruines, des cendres, des cimetières et un monde bouleversé à reconstruire.
Car, après la deuxième guerre mondiale ou deuxième phase de la révolution, qui consistait à détruire les systèmes nationalistes, nous voici dans la troisième et dernière phase: celle qui doit établir l'internationalisme intégral, la république universelle dont parlait tout à l'heure le Juif Baruch Lévy, dont ont si souvent parlé les chefs libéraux, socialistes, communistes depuis 1789, que les convents franc-maçonniques ont si opiniâtrement réclamée, que le Sionisme International promet aux Juifs, avec Jérusalem comme capitale; que Lake Success et le Kremlin, tous deux sous contrôle Juif, travaillent à échafauder, en préparant savamment l'opinion des pays qu'ils régissent. Les Juifs désireraient que Moscou et New York s'entre-détruisent, que les deux camps se fassent une guerre d'annihilation et d'épuisement pour qu'il n'y ait pas un seul vainqueur, mais seulement deux moitiés du monde en débris, afin d'instaurer leur règne définitif sur le genre humain avec une Palestine intacte comme centre d'autorité. Le Talmud ne contient-il pas ce texte, vieux de sept cents ans: "Israël parviendra à la domination du monde après une guerre universelle dans laquelle tous les peuples auront été décimés".

LE SUPER-GOUVERNEMENT MONDIAL

Nos chefs civils, à Ottawa, nous ont parlé plusieurs fois de la nécessité d'un super-gouvernement mondial, depuis qu'ils ont été embobinés à San Francisco, en 1945, par le texte Juif, rédigé par le Juif Harry White qui forme la charte des Nations-Unies. Et tout leur travail, depuis cette date, a surtout consisté à nous inféoder toujours plus intimement sous l'autorité de l'O.N.U. Ces chefs, pour la plupart francs-maçons, ne font que suivre la ligne de conduite dictée par les loges, elles-mêmes sous la coupe des Juifs.
Cette folie de république universelle, qui semble toute nouvelle à certaines gens, a déjà été dénoncée depuis longtemps par l'Église. À la suite de Mgr Ernest Jouin, de Paris; Mgr Benigni, de Rome; Mgr Treczak, de Varsovie; Mgr Delassus, de Lille, les plus éminents experts contemporains sur la question Juive, c'est le cardinal français Andrieux qui, dès 1924, écrivait:

"Les gouvernements dominés par les loges maçonniques poursuivent un but... Après que peuples et nations auront été déchristianisés, il sera facile, en l'absence de tout lien religieux et social, de les réduire en poussière afin de les réunir de nouveau; puis, quand ils auront été libérés de l'ignorante idée préconçue d'une terre natale, les incorporer dans une "république universelle" dont la capitale sera Jérusalem et dont le Grand Architecte, Satan, tiendra les rênes du pouvoir, sous le manteau de pourpre de quoique fils d'Israël".
De son côté, parlant d'autorité dans son Motu Proprio, "Bonum Sane", le Pape Benoit XV écrivait:

"L'avènement d'une République Universelle, désirée par tous les pires éléments de désordre, attendue par eux avec confiance, est une idée déjà mûre pour sa réalisation. De cette république, fondée sur les principes de l'absolue égalité des hommes et la communauté des biens, seraient bannies les distinctions nationales, l'autorité du père sur ses enfants n'y serait pas reconnue, ni celle de Dieu sur la société humaine. Si ces idées sont mises en pratique, il s'ensuivra inévitablement un règne de terreur inouï. Déjà, même de nos jours, une vaste portion de l'Europe passe par cette triste expérience et nous voyons que l'on cherche à étendre cet état de chose à d'autres régions".
Si l'on comprend que la franc-maçonnerie et les politiciens qu'elle contrôle, les Sionistes internationaux, les libéraux convaincus, les socialistes, les marxistes de toute trempe, les Témoins de Jéhovah, le Congrès Juif Mondial, les francs-maçons B'nai-B'rith, la faction rouge protestante dirigée par le bishop Oxnam et opérant sous le nom de National Council of Churches, si l'on comprend que cette coalition gauchiste, enjuivée jusqu'aux moelles, pousse furibondement vers la République Universelle condamnée par l'Église, on comprend moins que des chefs catholiques, par ignorance ou inconscience, s'en fassent aussi les prosélytes.

J'avais dernièrement l'occasion de lire un livre publié, avec l'imprimatur de l'Ordinaire, par un spécialiste en questions pédagogiques. Parmi les choses qu'il recommandait d'enseigner à nos enfants, il citait nommément la citoyenneté mondiale. Citoyen implique gouvernement, état, allégeance, et citoyenneté mondiale implique gouvernement mondial. Ce livre est destiné à nos instituteurs et institutrices, et le poison qu'il porte se recouvre d'une autorité qui le condamne! Cela démontre avec quelle habilité diabolique l'erreur réussit à s'infiltrer dans tous les milieux et comment le libéralisme, l'erreur des erreurs, dont le communisme n'est que l'aboutissement, a réussi à endormir la vigilance sur laquelle nous sommes en droit de compter. J'ajouterai, en passant, que le même livre comporte un petit chapitre intitulé "La socialisation de l'enfant", encadré dans des guillemets comme si l'on voulait attirer une attention particulière sur ce terme. J'ai souvent lu, dans les livres marxistes, des projets de socialisation des banques, socialisation des terres en kolkhozes, socialisation des industries, socialisation de la ferme, socialisation de ceci et cela. Pourquoi, dans un livre catholique et sur un sujet aussi extrêmement important que celui de l'éducation, inclure des termes du lexique marxiste quand la terminologie chrétienne peut nous fournir toute la nomenclature de titres et de définitions désirés? L'infiltration viendrait-elle des mêmes sources? Je ne saurais le dire, mais le mal est là quand même, et les slogans marxistes font leur chemin chez nous.


UN CRI D'ALARME

Il fut un temps - c'était il y a trente ans - où des personnalités responsables de toutes les grandes capitales lancèrent le cri d'alarme. C'était Henry Ford, qui après avoir dépensé plusieurs centaines de mille dollars pour se documenter sur les faits, publiait dans son "Dearborn Independent" un énorme dossier détaillé sur la conspiration Juive. Wall Street lui fit en réponse une guerre si dure et l'accula de si près à la faillite que Ford dut baisser pavillon, répudier ses écrits et cesser sa publication. C'était à Paris, François Coty, le grand parfumeur qui, dans ses journaux "Le Figaro" et "L'Ami du Peuple" conduisait une campagne identique. L'Alliance Israélite lui livra bataille, fit séduire sa femme par le Juif roumain Cotnareano, provoqua son divorce, la ruine de sa fortune et la perte de ses journaux; ce Cotnareano est devenu, depuis, l'ange tutélaire et le financier de Jacques Maritain, chargé d'infiltrer libéralisme et tolérantisme dans la théologie catholique et qui, à force de propagande, a réussi dans de nombreux milieux à être substitué à l'autorité des Pères et Grands Docteurs de l'Église.

C'était, à Londres, la campagne patriotique du "Morning Post", soutenue par ce qui restait de noblesse chrétienne anglaise; les Juifs anglais réussirent, par des agents, à faire acheter le journal dont ils fermèrent les portes en détruisant les filières et archives du grand quotidien disparu. À Vienne, Rome, Berlin, Bruxelles, Bucarest, Budapest, Varsovie et Sofia, des campagnes semblables furent ou achetées à prix d'argent ou écrasées par la ruine ou arrêtées par des manoeuvres criminelles. Dans le temps, Winston Churchill n'était pas encore un pantin de Bernard-Manassé Baruch, ce réel Vicaire de Satan sur la terre, chef de Wall Street, de la Franc-Maçonnerie et du Sionisme près la Maison Blanche, Churchill n'était pas encore un agent actif du Sionisme international, il n'était pas encore sensible aux douceurs de la gloire et la fortune, il n'était pas encore prêt à sacrifier sciemment l'empire britannique pour l'aberration judéo-maçonnique d'un super-gouvernement universel. Il était encore assez courageux et surtout assez libre pour écrire les lignes suivantes: (je cite le Churchill de 1920 écrivant dans le "Sunday Herald")

"Et voyez comment en notre temps, cette race curieuse a créé un autre système de moralité et de philosophie, rempli d'autant de haine que le Christianisme est rempli d'amour, un système qui, à moins qu'on y remédie, renversera tout ce qui a été édifié par le Christianisme. On est impressionné par l'idée que l'Évangile du Christ et la doctrine de l'Antéchrist aient eu pour destin de surgir du sein du même peuple et que cette race mystérieuse ait été choisie comme champ de la Révélation divine et de la puissance diabolique. Presque tous les Juifs, sinon tous, ont renié la foi de leurs pères et rejeté toute espérance d'une vie après la mort. Ce mouvement n'est pas nouveau chez les Juifs. Depuis le temps de Weisshaupt jusqu'à Karl Marx, puis jusqu'à Trotsky, Bela Kun, etc., cette conspiration d'envergure mondiale a visé à la destruction de la civilisation et à la reconstruction de la société. Comme l'a tout récemment si bien prouvé l'auteur Nesta-H. Webster, cette conspiration a joué un rôle remarquable dans la tragédie de la Révolution Française. Elle a suscité tous les mouvements révolutionnaires du 19e siècle, puis elle a soulevé la révolte parmi les déchets de toutes les grandes villes d'Europe et d'Amérique, cette bande d'individus tristement remarquables qui ont saisi le peuple russe par les cheveux et sont devenus, en réalité, les maîtres absolus de cet énorme empire. Il n'est pas
question de discuter ici l'influence des Juifs internationaux - pour la plupart Juifs athées -dans la création du bolchevisme et l'état de choses qui a permis la révolution russe. Il ne fait aucun doute que cette influence a été considérable. Probablement, même, elle surpasse toutes les autres, à cause du fait que la plupart des dirigeants sont juifs. Je dirai même plus: ce sont des chefs juifs qui fournissent l'inspiration principale et la force dirigeante du communisme."


Depuis que M. Churchill a écrit ces lignes, il a fait du chemin. La juiverie lui a fait gagner bien des millions, il a demandé au monde en 1941 de faire confiance à la parole du demi-juif et époux d'une juive Josef Staline; il a préparé directement la destruction de l'empire qui lui avait été confié, destruction que Karl Marx, en 1868, jugeait indispensable pour l'instauration du communisme mondial; il combat en ce moment pour l'établissement des États-Unis d'Europe, que Trotsky a annoncés comme indispensables pour l'instauration des États-Unis du Monde.

La juiverie est disséminée stratégiquement dans tous les pays du monde, entourant le globe terrestre comme une toile d'araignée. Tous les fils de ce réseau sont en communication constante les uns avec les autres. Les juiveries sont gardées dans un état de docilité et d'obéissance aveugle, par un système d'autorité puissant et unique. Les chefs contrôlent une infinité d'organisations qui se rejoignent toutes et qui influent non seulement sur les Juifs mais sur la pensée et la vie physique de tous les autres peuples. Les membres de cette tribu, qui forme un tout compact dans sa dispersion, sont dans l'attente immédiate du messianisme terrestre et matériel qu'on leur a fait espérer. Ce n'est pas un pays en particulier qu'ils regardent: c'est sur le globe terrestre que leurs yeux sont fixés, c'est toute l'humanité qu'ils encerclent dans leur filet. Ils ont un coup d'oeil mondial, une conception universelle de leur mission et du système auquel ils travaillent inlassablement, chacun dans son domaine, dans sa sphère d'action. Ils ont un plan, un plan qui est le même partout et toujours, dans le temps et l'espace. C'est leur force. Les Gentils sont divisés entre eux, de peuple à peuple, au sein de chaque nation, dans chaque province, dans chaque ville; ils n'ont que la vision de leurs petits problèmes locaux. Comme les intérêts britanniques, les intérêts américains, chinois, français, allemands, italiens, hollandais, canadiens sont petits, restreints, devant l'immensité des intérêts et du plan juifs! Qu'un pays croule dans l'abîme que lui a ouvert la conspiration, le Juif comprend aussitôt qu'une étape nouvelle a été franchie, qu'il s'est rapproché du but, tandis que nos foules ne réalisent pas qu'un rempart qui les protégeait a disparu! Les grandes barrières qui fermaient la route à la marche d'Israël vers la domination ont toutes été dynamitées et les chrétiens, les Gentils, abêtis autant qu'aveuglés par la propagande, ont tour à tour applaudi à l'effondrement du géant russe, de l'empire austro-hongrois, de l'empire allemand, de l'empire italien, de l'empire japonais, de l'empire anglais, de l'empire français. C'étaient pour la grande majorité des empires chrétiens, derniers appuis de la civilisation. Pratiquement, il ne reste que les États-Unis et, encore, ce pays est-il rongé par l'intérieur, constamment affaibli dans sa substance économique et sa consistance sociale. De chef mondial réel, dont le regard embrasse la planète entière et toute l'humanité, il ne reste plus, face à la conspiration, que le Pontife Romain; il multiplie ces appels toujours plus pressants, mais un monde matérialisé l'écoute sans l'entendre!

Je vous ai dit où résidait l'espoir, j'aurai l'occasion de vous en parler plus particulièrement dans une prochaine occasion.

Pour l'instant, je vous demande de rester ce que vous êtes, vous qui êtes devenus par la souffrance la plus belle élite de notre pays, parce que cette souffrance, ces tribulations, vous les avez volontairement acceptées, sachant qu'elles devaient arriver, et vous les avez subies pour la Cause qui vous est chère.

Vous le savez, comme bien d'autres nous aurions pu prospérer, être riches, adulés, si nous avions seulement voulu prostituer dans notre coeur et notre bouche la Vérité à laquelle nous nous étions livrés.

Je suis profondément conscient de ce que je vous ai causé; perte d'emplois, pertes de commerce, diffamations, injures, calomnies, mépris de votre entourage, tribulations et ennuis de toutes sortes, pour certains d'entre vous séparation de vos familles, ruine totale, emprisonnement sans procès. Mon coeur en a saigné et j'ai souffert vos souffrances, mais aussi j'en ai été heureux, parce qu'il y avait dans notre pays des hommes consentant à accepter et endurer toutes ces choses pour servir la Vérité. Oh! je sais, il n'y a rien d'agréable à se faire insulter, ostraciser, se faire qualifier d'esprit étroit, d'obsédé, de fou, de haineux, de traître, subir les pires injustices; mais plus la Cause est grande, plus le prix à payer est élevé, plus le test à subir est sévère. Le test, vous l'avez subi; le prix, vous l'avez payé. Et c'est ce qui, lorsque tout semblera perdu, sauvera le pays.

Ce que nous avons fait tous ensemble, nous l'avons fait sans espoir de récompense, en ne cherchant que le triomphe de la Vérité, parce que c'est la Vérité qui brise les chaînes et qui libère, qui établit la justice personnelle et sociale, qui donne la stabilité à l'ordre, qui forge la prospérité réelle et confère la paix.

Dans l'attente du combat final, nous nous tiendrons à la hauteur du Juif dans la vision du monde et des problèmes qui l'agitent. Nous le dépasserons en élévation dans notre conscience d'une spiritualité en laquelle il ne croit plus, ayant toujours devant les yeux et nos responsabilités pour ce monde et nos responsabilités pour l'autre.

Ne nous préoccupant jamais de l'opinion ou du jugement des hommes, craignant seulement le jugement de notre Créateur et Maître, nous ferons inflexiblement notre devoir, sachant qu'un jour nous comparaîtrons devant le vrai Juge. Si nous n'en avons pas d'autre, nous aurons au moins le mérite, dans la plus terrible tempête qui se soit abattue sur les hommes, d'avoir consenti à tout souffrir dans nos âmes, dans nos coeurs et dans nos corps, plutôt que de céder aux offres, à la crainte, aux rigueurs, aux pertes et aux coups; et cela non seulement pour rester fidèles à nos convictions mais aussi pour rester "les gardiens de nos frères".


A. A.


Janvier 1950


Service Canadien de Librairie

Casier postal 212, Station E,

Montréal 14, Canada


Ce qui se passe sur la scène politique du monde est intéressant. - Ce qui se passe dans la coulisse et que l'on cache est plus intéressant encore.

Pour savoir ce qui se passe, d'ou viennent les idées et les manoeuvres qui vous poussent vers un abîme que vous ne voyez pas, lisez

"L'Unité Nationale"

"La Liberté par la Vérité"

vendredi, mars 06, 2009

JULIO MEINVIELLE

LES JUIFS
el judio

DANS LE MYSTERE
en el misterio

DE L'HISTOIRE
de la historia


d'après la troisième édition espagnole

DOCUMENTS-PATERNITÉ
Nos 107-]08 janv.-février 1965


Tiré sur les presses de

l'Imprimerie Saint-Michel

à

Saint-Céneré (mayenne)

le 6 janvier 1965

en la fête de l'Épiphanie



Le problème des Juifs a donné lieu à de larges discussions au Concile et dans la presse.

L'objet des "Documents-Paternité" est de procurer à ses lecteurs tout ce qui peut être utile à leur documentation sur les sujets d'actualité.

Sur un problème aussi important et grave nous ne pouvons faire mieux que de mettre sous leurs yeux le remarquable livre de Julio Meinvielle qui, maintenant avec sa troisième édition est bien connu dans les pays de langue espagnole.

Nous en donnons ici la traduction qui nous a été remise par les "Édiciones Theoria" de Buenos-Aires.

Cet ouvrage retrace depuis l'origine les grandeurs et les misères du peuple juif en s'appuyant sur les affirmations de la Bible (ancien et nouveau testament) et sur les écrits des Papes.

Avec tout le peuple chrétien prions pour qu'arrive ce temps annoncé par Saint Paul:


"Si leur chute a été une richesse pour le monde que ne sera pas leur retour en masse?... Si leur rejet a été pour le monde réconciliation que ne sera leur réintégration sinon une résurrection d'entre les morts." Rom. ch. XII 12 à 15
Juifs et Gentils, "il n'y a pas sous le ciel d'autre nom donné aux hommes, par lequel il nous faille être sauvés" (Saint Pierre dans les Actes des Apôtres, IV, 12).

C'est seulement dans la foi et dans l'amour du Christ que notre réconciliation peut réussir.

Dans la mesure où nous nous écartons du Christ, nous augmentons le poids de nos fautes, et nous augmentons aussi notre mutuelle inimitié.

Le Christ est la Grandeur et l'Union des Juifs et des Gentils, parce que l'Emmanuel nous a été donné comme "Paix aux hommes de bonne volonté".

AVANT-PROPOS

Le 8 Novembre 1963, il a été distribué parmi les Pères du IIe Concile du Vatican un brouillon de document sur "l'attitude des catholiques à l'égard des non-chrétiens, particulièrement des juifs".

Dans ce projet de schéma, l'on rend hommage aux juifs, non pas en tant que race ou nation, mais en tant que Peuple Choisi de l'Ancien Testament. On y fait remarquer que la part que les dirigeants juifs du temps du Christ ont eue dans la perpétration de la crucifixion n'exempte pas de culpabilité toute l'humanité, et qu'il n'est pas juste d'appeler ce peuple: "déicide", ou de le considérer comme "maudit" par Dieu.

Le document montre ainsi les entrailles de miséricorde de l'Église pour les juifs. En réalité, il n'y a aucune nouveauté: l'Église a toujours montré des entrailles de miséricorde, et les Souverains Pontifes ont toujours démontré cette bonté en paroles et en actes.

Mais le problème ne se pose pas du point de vue de l'Église. Il se pose du point de vue des juifs eux-mêmes, qui, en rejetant le Christ et son Message se sont constitués en adversaires des peuples en empêchant leur évangélisation. C'est là précisément le reproche que faisait Saint Paul aux juifs de son temps, quand il écrivait (I, Tes II,14): "... des juifs, de ceux-là qui ont mis à mort le Seigneur Jésus et les Prophètes, et qui nous persécutent; ils ne plaisent pas à Dieu et ils sont contre tous les hommes, car ils empêchent que l'on prêche aux gentils et qu'on leur apporte le salut".

Les juifs se sont constitués en ennemis du nom du Christ et des Chrétiens qui manifestent ce Nom. C'est un fait: l'Histoire le démontre. Les Chrétiens ont l'obligation, malgré tout, d'aimer les juifs, et d'essayer de les sauver. Tel est le sens du document du 1̊er Concile du Vatican en faveur des Juifs.

Face à l'attitude de l'Église envers les juifs et des juifs envers l'Église, ce livre veut découvrir le sens de l'une et l'autre attitude.



Jules Meinvielle

à Buenos Aires, en la fête de Saint Thomas d'Aquin,

7 Mars 1964
PROLOGUE À LA TROISIÈME ÉDITION


La première édition de cet essai a déjà plus de vingt ans. Mais sa position n'a pas changé d'un pouce. Et elle ne pourra changer. En examinant la raison du problème juif - qui est un problème aussi fondamental que l'histoire elle-même - nous avons essayé surtout d'en déterminer la racine. Et elle n'est ni dans l'économie, ni dans la politique, ni dans la sociologie, ni dans l'anthropologie, mais uniquement dans la théologie. Le peuple juif est un peuple sacré, choisi par Dieu d'entre les peuples pour accomplir la mission salvatrice de l'humanité, qui est de nous apporter dans sa chair le Rédempteur. Et ce peuple est devenu en partie infidèle à sa vocation, et c'est pour cela qu'il accomplit dans l'humanité la mission sacrée et diabolique de corrompre et de dominer tous les peuples.

Ce livre veut être une méditation - une simple méditation - sur ce point précis, pour le détacher dans toute sa force et le faire pénétrer dans l'esprit distrait de l'homme moderne.

L'étude de ce point nous a conduit à introduire dans cette troisième édition un quatrième chapitre qui s'intitule: "Le juif dans le Mystère de l'histoire" et dans lequel on considère le rôle exceptionnel qu'il revient au juif de tenir dans l'histoire et l'eschatologie. Cette considération est aussi de type théologique, basée sur l'exégèse des chapitres neuvième, dixième et onzième de l'Épître de Saint Paul aux Romains.

En ajoutant ce nouveau chapitre, nous avions bien pris soin de ne rien enlever à ce qui précède. Cependant le point de vue général sous lequel le problème paraissait envisagé à travers tout le livre était comme transféré à un autre niveau, qui le rendait moins polémique. En même temps, nous préférons changer le titre sous lequel parurent les deux premières éditions, et donner à cette troisième édition le nom du nouveau chapitre. C'est ainsi en effet que notre livre: "Le Juif" s'appellera désormais: "Le juif dans le mystère de l'histoire".

Comme jusqu'ici les dissensions entre juifs et chrétiens ont persisté, sur la perversité du Talmud, vrai et unique livre sacré des juifs, nous avons utilisé pour cette édition le livre fameux du I. B. Pranaitis: "Cristo e i cristiani nel Talmud", où son auteur reproduit photographiquement le texte hébreu des endroits où le Talmud parle du Christ et des chrétiens. À titre d'échantillon, et pour que le lecteur ait une idée exacte de la valeur du livre de Pranaitis nous reproduisons dans cette édition une copie photographique de quelques pages du dit livre.

Les variantes que nous avons introduites en divers passages de la présente édition n'en affectent pas le moins du monde le contenu, mais au contraire essaient de le renforcer.


L'Auteur


BUENOS AIRES,

En la fête des Saints Apôtres Pierre et Paul
1959


PROLOGUE A LA PREMIÈRE ÉDITION


Il n'est pas possible de dissimuler que le thème du présent livre est extrêmement difficile et extrêmement passionnant.

Difficile, parce que le peuple juif remplit toute l'histoire de Dieu et des hommes. Quelle période de l'histoire peut-on écrire sans mentionner ce peuple? Sans mentionner ce peuple en le glorifiant ou en le condamnant, mais on est forcé d'en faire mention. "Il y a deux mystères de l'histoire, a dit un écrivain juif (Ed. Fleg, Jésus raconté par le juif errant, p 177): Jésus est un mystère comme Israël est un mystère! Et quand vous mettez ensemble ces deux mystères, voulez-vous que je vous dise ce qui sè passe? Il y a un troisième mystère plus mystérieux à lui seul que les deux autres!"

Passionnant parce que, qui peut s'occuper du juif sans un sentiment d'admiration ou de mépris, ou des deux à la fois? Peuple qui un jour nous apporta le Christ, peuple qui le répudia, peuple qui s'infiltra au sein des autres peuples, non pour vivre ensemble avec eux mais pour dévorer insensiblement leur substance; peuple toujours dominé, mais peuple toujours rempli d'un désir insolent de domination.

Plus passionnant encore maintenant parce que la domination de ce peuple, ici et partout, devient chaque jour plus effective. Parce que les juifs dominent nos gouvernements comme les créanciers leurs débiteurs. Et cette domination se fait sentir dans la politique internationale des peuples, dans la politique interne des partis, dans l'orientation économique des pays; cette domination se fait sentir dans les Ministères d'Instruction Publique, dans les plans d'enseignement, dans la formation des Maîtres, dans la mentalité des universitaires; la domination juive s'exerce sur la banque et sur les consortiums financiers, et tout le mécanisme complexe de l'or, des devises, des paiements, se déroule irrémédiablement sous cette puissante emprise; les juifs dominent les agences d'information mondiale, les rotatives, les revues, les publications, de sorte que la masse bâtit sa mentalité d'après les moules judaïques; les juifs dominent dans le vaste secteur des loisirs, et ainsi, ils imposent les modes, contrôlent les lupanars, monopolisent le cinéma et les stations de radio, de sorte que les coutumes des chrétiens sont en train de se modeler selon leurs impositions.

Où ne domine pas le juif? Ici, dans notre pays, quel point vital de notre zone y a-t-il, où le juif ne bénéficie du meilleur de notre richesse en même temps qu'il empoisonne notre peuple avec ce qu'il y a de plus néfaste dans les idées et les loisirs? Buenos Aires, cette grande Babylone, nous en offre un exemple typique. Chaque jour son essor est plus grand, chaque jour aussi y est plus grande la puissance judaïque. Les juifs contrôlent ici notre argent, notre blé, notre maïs, notre lin, nos viandes, notre pain, notre lait, nos industries naissantes, autant que cela peut rapporter utilement, et en même temps ce sont eux qui sèment et fomentent la haine entre patrons et ouvriers chrétiens, entre bourgeois et prolétaires; ce sont eux les agents les plus passionnés du socialisme et du communisme; ce sont eux les capitalistes les plus puissants de ce qu'il peut y avoir de dancings et de cabarets à infecter la ville. On dirait que tout l'argent que nous raflent les juifs, de la fertilité de notre sol et du travail de nos bras, est ensuite investi pour empoisonner nos intelligences et corrompre nos cœurs.

Et ce que nous observons ici s'observe en tout lieu et en tout temps. Toujours le juif, emporté par la frénésie de la domination mondiale, rafle les richesses des peuples et sème la désolation. Voici deux mille ans qu'il apporte à cette tâche la ténacité de sa race, et maintenant, il est sur le point d'atteindre à une effective domination du monde.

Quand on pense que ce peuple proscrit, qui sans s'assimiler vit au milieu de tous les peuples, à travers les vicissitudes les plus diverses, toujours et partout intact, incorruptible, sans pouvoir être confondu, conspirant contre tous, quand on pense que ce peuple est le lignage le plus grand de la terre!


Le lignage le plus grand, parce que ce lignage a une histoire indestructible de six mille ans. Le lignage le plus grand, parce que le Christ, Fils du Dieu vivant, y a pris chair.

Eh bien ce peuple, qui, ici et partout, maintenant et dans les vingt siècles de civilisation chrétienne, remplit tout, malgré qu'il soit une minorité infinitésimale, quelle origine a-t-il? Comment et pourquoi se perpétue-t-il? Quel sort lui incombe dans l'histoire? Quelle attitude faut-il adopter face à lui? Voilà ce que j'espère expliquer dans les chapitres qui suivent.

Je dis: expliquer, parce que ces pages ont la prétention d'être une explication du juif, et, dans ce cas, la seule possible, une explication théologique. La théologie est la science des mystères de Dieu. Les mystères de Dieu sont les jugements insondables du Très-Haut qui nous sont connus lorsque Lui-même daigne nous les manifester. Sans leurs manifestations nous ne pourrions même jamais les entrevoir.

Or, le juif, comme l'enseigne la théologie catholique, est l'objet d'une vocation très spéciale de Dieu. C'est seulement à la lumière théologique qu'on peut expliquer le juif. Ni la psychologie, ni les sciences biologiques ni même les pures sciences historiques ne peuvent expliquer ce problème du juif, problème universel et éternel, qui remplit l'histoire par ses trois dimensions, problème qui par sa condition même, requiert une explication universelle et éternelle, qui soit valable aujourd'hui, hier, et toujours. Explication qui, comme Dieu, doit être éternelle, c'est-à-dire, théologique.

Sera-t-il nécessaire de faire remarquer que ces leçons, qui touchent au vif un sujet brûlant, ne sont pas en soi destinées à justifier l'action sémite ni l'action antisémite? Ces deux termes tendent à rapetisser un problème plus profond et plus universel. Dans le problème judaïque, ce n'est pas Sem qui lutte contre Japhet, mais Lucifer contre Jéhovah, le vieil Adam contre le nouvel Adam, le Serpent contre la Vierge, Caïn contre Abel, Ismaël contre Isaac, Ésaü contre Jacob; le Dragon contre le Christ. La théologie catholique, en même temps qu'elle répandra la lumière sur "le mystère ambulant" qu'est tout juif, indiquera les conditions de la vie en commun entre juifs et chrétiens, deux peuples frères qui doivent vivre séparés jusqu'à ce que la miséricorde de Dieu dispose de leur réconciliation.

Buenos Aires 1936


jeudi, mars 05, 2009

CHAPITRE PREMIER

LE JUIF SELON LA THÉOLOGIE CATHOLIQUE

Le juif n'est pas comme les autres peuples, qui naissent aujourd'hui et se fanent demain; qui créent une civilisation admirable restreinte à un point du temps et de l'espace. Rappelons-nous les grands empires des Égyptiens, des Assyriens, des Perses, des Grecs et des Romains. Leur gloire fut gloire d'un jour.

Le peuple juif, portion minuscule enclavée au carrefour de l'Orient et de l'Occident, est fait de petitesse pour porter le mystère de Dieu à travers les siècles. Et pour porter ce mystère gravé dans sa chair.

Il ne doit pas créer une civilisation, parce que cela est chose humaine, et c'est le divin qui lui est réservé.

C'est le peuple théologique, que Dieu crée pour Lui. Moïse nous rapporte dans la Genèse comment le Seigneur Dieu, deux mille ans avant Jésus-Christ, appelle le patriarche Abraham, qui vit à Ur, en Chaldée, dans la Mésopotamie, et lui dit:

1- Sors de ta terre et de ta parenté et de la maison de ton père, et viens au pays que je te montrerai.

2 - Et je ferai de toi une grande race, et je te bénirai, et je ferai grand ton nom, et tu seras béni;

3 - Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront; et en toi seront bénis tous les lignages de la terre.
(Ch. 12)

Le peuple juif, fils d'Abraham, a donc son origine en Dieu, parce que c'est Lui qui le sélectionne du reste de l'humanité, et parce qu'lI lui promet sa bénédiction de telle façon qu'en lui seront bénis tous les lignages de la terre. Alors, Israël, est grand, et grand d'une grandeur théologique.

Mais cette grandeur d'Israël repose-t-elle purement sur sa descendance charnelle d'Abraham, en lequel ce peuple est formé dans les côtes du Patriarche, ou bien repose-t-elle sur la foi qu'a Abraham en la Promesse de Dieu?

Cela est extrêmement important: parce que si les bénédictions de Dieu sont pour la descendance charnelle d'Abraham, alors, du fait d'être fils d'Abraham, le peuple juif sera choisi et béni entre tous les lignages de la terre. Si par contre les bénédictions sont réservées à la foi en la Divine Promesse, la simple descendance charnelle n'a pas de valeur; il faut descendre d'Abraham par la foi à la Promesse, c'est-à-dire une descendance spirituelle fondée sur la foi.

ISMAËL ET ISAAC


Sur quoi repose donc la grandeur d'Israël, selon les desseins divins?

Pour le montrer, Dieu donne à Abraham deux fils. L'un, de son esclave Agar, qui naît d'une façon courante et naturelle, et reçoit le nom d'Ismaël. L'autre que, contre tout espoir, lui enfante sa femme Sarah dans sa vieillesse, conformément à la promesse de Dieu, et qui est appelé Isaac.

Avec Isaac et avec sa descendance après lui, Dieu confirme le pacte conclu avec Abraham. À Ismaël, le Seigneur octroie aussi une bénédiction purement matérielle, lui promettant de le faire chef d'un grand peuple. De cet Ismaël descendent les Arabes actuels, qui se sont opposés si âprement à l'entrée des juifs en Palestine. Comme Ismaël, le fils de l'esclave, se moquait d'Isaac et le persécutait, Abraham, sur l'instance de Sarah sa femme et conformément à l'ordre de Dieu, dut le mettre à la porte de chez lui. (Voir la Genèse, ch 21)

Que signifient ces deux fils d'Abraham, Ismaël et Isaac? Saint Paul, le grand Apôtre des mystères de Dieu, nous explique qu'en Ismaël et Isaac sont préfigurés deux peuples. (Saint Paul aux Galates, 4)

Ismaël qui naît le premier d'Abraham comme fruit naturel de son esclave Agar, figure la Synagogue des juifs, qui se fait gloire de venir de la chair d'Abraham. Isaac par contre, qui naît miraculeusement d'après la promesse divine, de la stérile Sarah, représente et figure l'Église, qui est née, comme Isaac,
par la foi en la promesse du Christ.

Ce n'est donc pas la descendance charnelle d'Abraham qui sauve, mais son union spirituelle par la foi au Christ.

Le peuple juif, formé en Abraham, ce n'est pas précisément par son union charnelle avec Abraham, mais en s'assimilant dans la foi, en croyant au Christ, qu'il pourra atteindre son salut.

Tous ceux qui s'unissent au Christ forment la descendance bienheureuse d'Abraham et des Patriarches, et sont l'objet des Divines Promesses. L'Église est Sarah rendue féconde par la vertu de Dieu. L'esprit vivifie, et la chair, au contraire, ne vaut rien, dira plus tard Jésus-Christ. (Saint Jean, 6)

Pourrait-il arriver que ce peuple, ou une partie de ce peuple, uni par des liens charnels à Abraham, croie que cette seule union généalogique soit celle qui justifie et qui sauve?

Si. Cela pouvait arriver. Et c'est arrivé... Et pour le préfigurer, commente l'Apôtre Saint Paul, Dieu fit en sorte "qu'Abraham eut deux fils, l'un de l'esclave et l'autre de la femme libre. Mais Celui de l'esclave naquit selon la chair; au contraire, celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse".

Tout cela fut dit par allégorie pour signifier que le simple fait d'une union charnelle à Abraham est représenté en Ismaël, le fils de l'esclave, et l'imitation d'Abraham par la foi en Jésus-Christ figure en Isaac, le fils de la Promesse.

Aussi faut-il distinguer entre les vrais israélites, parce qu'ils imitèrent sa foi en Dieu en croyant en Jésus-Christ - ce sont ceux figurés par Isaac - et les Israélites qui descendent d'Abraham par la chair sans imiter sa foi - ce sont ceux préfigurés par Ismaël -.

Ismaël persécutait Isaac. Et saint Paul, le commentant, ajoute: "Mais comme alors l'enfant de la chair persécutait l'enfant de l'esprit, il en est encore ainsi maintenant", (Gal 4,29)

Voilà qui exprime la nécessité théologique de ce qu'Ismaël persécute Isaac, que la Synagogue persécute l'Église, que les juifs qui ne sont unis à Abraham que par une union charnelle persécutent les chrétiens, qui sont, eux, les véritables israélites, unis par la foi au Christ.

ÉSAÜ ET JACOB

C'est le même mystère que nous révèlent les deux fils que le Seigneur accorda au Patriarche Isaac: Ésaü et Jacob.

Reportons-nous au chapitre 25 de la Genèse:

21 - Isaac implora Yahwé pour sa femme, car elle était stérile: Yahwé l'exauça et sa femme Rébecca devint enceinte.

22 - Or, les enfants se heurtaient en elle, et elle dit: "S'il en est ainsi, à quoi bon vivre? Elle alla donc consulter Yahwé,

23 - qui lui répondit: "Il Y a deux nations en ton sein; deux peuples, issus de toi, se sépareront, un peuple dominera
l'autre, l'aîné servira le cadet".

24 - Quand vint le temps de ses couches, voici qu'elle portait des jumeaux.

25 - Le premier sortit: il était roux et tout entier comme un manteau de poils: on l'appela Ésaü.

26 - Ensuite sortit son frère, et sa main, tenait le talon d'Ésaü: on l'appela Jacob.


Saint Paul, dans son Epître aux Romains, où il révèle le mystère du peuple juif, fait voir comment Ésaü, l'aîné selon la chair, c'est le peuple juif, uni à Abraham par les simples liens du sang, et Jacob, le frère cadet, c'est l'Église (formée de Juifs et de Gentils), qui, parce qu'elle est unie par la foi au Christ, est préférée à Ésaü. Et ainsi s'accomplissent les paroles de l'Écriture: "J'ai plus aimé Jacob et j'ai détesté Ésaü". Et c'est ainsi que l'Église vainc la Synagogue, bien que la Synagogue, comme Ésaü, "maintienne vive sa haine et dise en son cœur: je tuerai mon frère Jacob". (Gen 27 - 41)

GRANDEUR DU PEUPLE JUIF

J'ai rappelé ces figures des anciens Patriarches, non pas à titre d'évocation littéraire, mais parce que dans l'origine même du peuple juif, est figurée la grandeur et la misère de ce peuple et son opposition à l'Église.

Le peuple juif est le lignage théologique, choisi, consacré, sanctifié, pour signifier et nous apporter dans sa chair "Cet Autre" qui devait venir, Celui qu'attendaient les Nations.

C'est là ce qui est terrible chez ce peuple: sa chair est sanctifiée et stigmatisée pour nous apporter "Celui qui est la Vérité et la Vie; qui est le Salut des hommes".

Mais pourquoi cette chair est-elle sainte? Pourquoi est-elle de la lignée d'Abraham, et pourquoi doit-elle nous apporter le Christ?

En d'autres termes, est-ce le Christ qui sanctifie le lignage juif, ou est-ce le lignage juif qui sanctifie le Christ?

C'est alors que le Christ, comme l'avait prédit Isaïe (Rom 9-32), a été mis comme pierre d'achoppement et de scandale parmi ce peuple.

Parce que si ce peuple, avec l'humilité d'Abraham, croit au Christ qui sanctifie son lignage, il est appelé à être racine et tronc d'un olivier frondescent qui est l'Église de Jésus-Christ, si par contre une partie de ce peuple rejette le Christ en se basant sur l'orgueil de sa race, il est appelé à être la racine et le Cep d'une Vigne sauvage qui ne produit que des fruits amers de péché.

Dans le premier cas, ce peuple sera Isaac, Jacob, Abel; dans le second, ce peuple est appelé à jouer le rôle d'Ismaël, d'Ésaü, de Caïn.

Mais ce lignage choisi aura toujours le pas sur les autres lignages de la terre. S'il accepte le Christ, il sera le principal, le meilleur de l'Église. Il sera la
racine et le tronc de cet olivier qui produit des fruits pour la vie éternelle, comme l'enseigne l'Apôtre. S'il repousse le Christ, il sera aussi le principal, c'est-à-dire le pire, dans le royaume de l'iniquité.

Le grand Apôtre Saint Paul, qui, avec orgueil se sentait israélite, souligne cette supériorité du juif dans le bien et dans le mal, quand, écrivant aux Romains, il dit: (2, 9)

"Tribulation et angoisse à toute âme humaine qui s'adonne au mal, au juif d'abord, puis au grec; gloire, honneur et paix à quiconque fait le bien, au juif d'abord, puis au grec".

"Grande est donc la supériorité des juifs,
enseigne le même Apôtre, parce qu'à eux ont été confiés les oracles de Dieu".

Le juif est donc premier dans l'ordre de la bonté, dans le mystère de la grâce. Juif alors, le tronc de l'arbre qui est l'Église. Juifs ou Israélites, les Patriarches; juifs les Prophètes; juif, Baptiste le Précurseur; juif, Saint Joseph; juive, la Mère de Dieu; juif, notre Adorable Sauveur, en qui sont bénies toutes les nations. Juifs, les Apôtres et les Evangélistes; juif, le Protomartyr Saint Étienne.

Quel peuple, que ce peuple théologique, devenu le tronc de l'arbre de l'Église!

Devant cet Olivier, que valent les peuples gentils, qui ne sont que pauvre olivastre!

Que vaut la puissance de Rome ou la science des grecs? Sottise et niaiserie, comme les appelle l'Apôtre, parce qu'elles ne servent absolument à rien pour le salut.

Les gentils, comme les grecs à leur tête, s'ils veulent entrer dans la voie du salut, doivent entrer par charité, profitant du rejet de quelques juifs pour pouvoir être greffés. Aussi l'Apôtre dit-il que la chute d'une partie du peuple juif:

12 - "est devenue une occasion de salut pour les Gentils.

... 17 - Si quelques branches ont été coupées, et si toi, peuple gentil, qui n'est qu'un olivastre, as été greffé à leur place et fait participant de la sève qui monte de la racine de l'olivier.

18 - Tu n'as pas à te glorifier contre les branches. Et si tu te glorifies, sache que tu ne te nourris pas à la racine, mais la racine à toi".
(Rom 11)
MISÈRES DU PEUPLE JUIF

Mais plus est élevé la grandeur d'Israël, qui a été prédestiné dans le Christ, plus grande devra être sa fidélité au Christ. Malheur à ce peuple s'il en vient à répudier Celui qui est son salut! Alors il continuera à être le premier, mais le premier dans l'iniquité. Et tout ce que le monde peut produire de plus inique et de plus pervers sortira aussi de ce peuple.

Judas le traître fut juif. Juifs Anne et Caïphe. Juif le peuple qui se réjouissait du sang du Sauveur et qui clamait: "Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants!". Juifs, ceux qui lapidèrent Saint Étienne. Juifs, ceux qui donnèrent la mort à l'Apôtre Saint Jacques de Jérusalem. Juifs, tous ceux qui dressaient des embûches à la prédication des Apôtres. Le crime le plus grand de tous les temps, la mort de l'Homme-Dieu, a été perpétrée par ce peuple, qui mérita pour cela le nom de "perfide".

Où est la racine du péché et de toutes les erreurs judaïques? Dans le fait "qu'une partie de ce peuple" a cru que les promesses faites aux juifs à cause du Christ qui devait naître d'eux, furent faites à sa chair, à sa généalogie.

En d'autres termes, au lieu de s'apercevoir que si le peuple juif était le peuple de prédilection, il l'était par le Christ, eux, dans leur aveuglement, crurent que ce fut le Christ qui eut de quoi se glorifier de sa descendance généalogique.

Ainsi, ce n’était pas du Christ que venait la gloire, mais de la chair d'Abraham. Aussi les pharisiens, incarnation véritable de cet esprit d'iniquité, disaient-ils avec orgueil, pour ne pas accepter le Christ: "Nous avons Abraham pour père".

Leur péché consista alors à rendre charnelles les divines promesses. De cette façon, ils donnèrent valeur de substance à ce qui n’était que figure. Ils attendirent le salut de ce qui n'était qu'un signe.

Et du Messie, qui était Celui qu'on attendait pour apporter au monde la grâce et la vérité, ils firent un dominateur politique, terrestre, qui devait assurer et perpétuer la grandeur d'Israël sur toutes les nations assujetties comme esclaves à l'empire judaïque.
CARNALISATION DU PEUPLE JUIF

Il sera instructif d'indiquer les étapes du processus de "carnalisation" opéré dans le peuple juif.

L'israélite fut toujours de conditions naturelles perverses, dominé par un grand orgueil et une grande avarice.

Moïse avertit expressément les Israëlites: (Deut IX, 6)

"Sache aujourd'hui que ce n'est pas la rectitude de ta conduite qui te vaut de recevoir de Yahwé ton Dieu cet heureux pays pour domaine: car tu es un peuple à la nuque raide".
Et plus loin: (Deut IX, 13)

"Puis Yahwé me dit: J'ai vu ce peuple, c'est un peuple à la nuque raide. Laisse-moi que je les détruise et que j'efface leur nom de dessous les cieux, et que je fasse de toi une nation plus puissante et plus nombreuse que lui!"
À l'époque des rois, la prévarication et la carnalisation de ce peuple se précisèrent tout particulièrement: il se livra à mille malhonnêtetés et à mille idolâtries, de sorte qu'en châtiment, il fut le premier à être démembré puis emmené captif à Babylone par le roi Nabuchodonosor six cents ans avant Jésus-Christ.

Cette captivité dura soixante-dix ans, au bout desquels les juifs étant retournés en Palestine, se reconstituèrent en nation sur les bases nouvelles et fermes que leur donna Esdras, que les juifs considèrent comme un aussi grand législateur que Moïse. De cette réorganisation que donna Esdras au peuple juif, démarre en réalité le judaïsme, tel qu'il était au temps de Jésus-Christ et comme il s'est perpêtué jusqu'à nous.

Pour le caractériser, nous devons dire que le juif est un peuple attaché à un Livre, le Livre par excellence, la Loi, la Thora. En réalité, la Thora se compose des cinq livres du Pentateuque écrits par Moïse. Mais les juifs n'acceptent la Thora qu'avec les interprétations que les Rabbins ont transmises de bouche en bouche; comme Parole de Dieu supérieure à celle de Moïse lui-même, interprétations qui sont restées consignées, et d'une certaine façon pétrifiées dans un livre volumineux appelé le Talmud, qui est le code civil et religieux des juifs.

LE JUDAÏSME

Les juifs sont un peuple forgé par la mentalité des Rabbins, spécialement les Rabbins pharisiens.

Le pharisien nous montre sur le vif le carnalisme judaïque. Je dis charnel, non pas nécessairement que les juifs aient une propension spéciale aux péchés d'impureté, mais dans le sens que Jésus-Christ donnait à ce mot quand il jetait l'anathème sur la tendance d'attribuer une interprétation littérale, inférieure, et terrestre à ce qui, dans l'esprit de Dieu a un sens spirituel supérieur et céleste.

Les Pharisiens, au lieu de suivre les traces des Prophètes qui comme Isaïe et Ézéchiel, avaient prêché l'adoration de Dieu en esprit, la componction du cœur, la réforme des mœurs, la charité envers tous les hommes, s'acharnèrent à inculquer au peuple l'observance littérale de rites mesquins et un sentiment d'orgueil pour le fait de la descendance charnelle du Patriarche Abraham.

Nous sommes fils de notre père Abraham, clamaient-ils orgueilleusement, comme si la chair justifiait. (Saint Jean, VIII, 31, sq)

Les Pharisiens, misérables casuistes, avaient rédigé de nombreuses prescriptions sur la purification, l'ablution, la lotion et l'immersion des mains, des corps, des verres, des nappes, afin d'assurer la pureté du peuple. Ils obligeaient à se baigner tout fidèle qui aurait touché un non-juif dans la rue, au marché, et considéraient comme un péché grave la violation de ces règles rituelles.

"Celui qui mange du pain sans se laver les mains - dit le Talmud - agit aussi mal que s'il couchait avec une prostituée".
Rien ne démontre mieux le carnalisme judaïque que ces terribles "Malheur..." que dans les derniers jours de sa vie mortelle prononce le Christ, dénonçant l'hypocrisie de religion, l'hypocrisie de pureté, et l'hypocrisie de piété du peuple pharisaïque. (Mt 23)

Il dénonce l'hypocrisie de religion quand il dit:

13 - "Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des Cieux aux hommes, parce que ni vous n'y entrez, ni vous n’y laissez entrer les autres!"

14 - "Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui parcourez mers et continents pour gagner un prosélyte, et quand vous l'avez gagné, vous le rendez digne de la géhenne deux fois plus que vous!

16 - ...Malheur à vous, guides aveugles!

23 - Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui acquittez la dîme de la menthe, du fenouil et du cumin, après avoir négligé les points les plus graves de la Loi, la justice, la miséricorde et la bonne foi.

24 - Guides aveugles, qui arrêtez au filtre le moustique et qui avalez le chameau!"
Il dénonce l'hypocrisie de pureté quand il est apostrophe:

25 - Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui ressemblez à des sépulcres blanchis: au-dehors ils ont belle apparence, mais au-dedans, ils sont pleins d'ossements de morts et de toute pourriture..."
Il dénonce enfin la simulation de culte et de piété envers les ancêtres, quand il dit:

29 - "Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui bâtissez les sépulcres des Prophètes et décorez les tombeaux des justes

30 - tout en disant: si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour verser le sang des prophètes!

32 - Vous comblez la mesure de vos pères!

33 - Serpents, engeance de vipères, comment pouvez-vous échapper à la condamnation de la géhenne?

34 - Aussi, je vous envoie des prophètes, des sages, et des scribes. Vous en tuerez, et vous en mettrez en croix, vous en flagellerez dans vos synagogues, et les pourchasserez de ville en ville.

35 - Pour que vienne sur vous tout le sang innocent depuis le sang d'Abel le Juste jusqu'au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l'autel".
Personne, au cours, de l'histoire, n'a prononcé d'anathèmes plus terribles que le Fils de Dieu contre ce perfide carnalisme judaïque qui allait combler toute mesure avec la mort du Juste par excellence.
LE GRAND PÉCHÉ DES JUIFS


Le 14 du mois de Nisan de l'an 33, le peuple juif, groupé devant le prétoire du gouverneur Pilate, stimulé par ses prêtres, demande à grands cris la mort du Promis.

- Crucifie-le, disent-ils, crucifie-le!

- Quel mal a-t-il fait?

-Nous, répondent les juifs, nous avons une Loi, et d'après cette Loi, il doit mourir! (Jean XIX. 7).

Auparavant, les Rabbins avaient dit, dans un concile secret contre Jésus:

"Que faisons-nous? Si nous laissons les choses en l'état, ils croiront tous en lui; et les Romains viendront, et ruineront notre ville et notre nation".

Et Caïphe ajoutait:

"Il vaut mieux qu'un seul homme meurt, plutôt que périsse toute la nation". (Jean, XI, 48-50)

Alors les juifs, au nom de leur Loi, de leur Thora, et pour servir les intérêts charnels de leur Nation, de leur Race, demandent le sang de Celui qui leur fut promis comme Bénédiction.

Ils excitent les Gentils contre Jésus; utilisant les Gentils comme exécuteurs de leurs plans, ils crucifient Celui qui sera exalté comme Signe de contradiction.(Lc, II, 34)

Et le Christ, Pierre d’Achoppement, exalté, élevé au-dessus du temps et de l'espace, les bras étendus, divisera ce peuple en deux; les uns, en la personne des Apôtres, seront les grands instruments de la Miséricorde de Dieu dans la Fondation et la Propagation de l'Église; les autres, en la personne des Scribes et des Pharisiens, seront les instruments de la Justice Divine dans le Royaume de Satan, dans son œuvre de perdition de l'Église et des âmes.

mercredi, mars 04, 2009

LE JUIF, VÉRITABLE CAÏN

Dieu n'exterminera pas le judaïsme carnalisé. Quand les juifs déicidés se tourneront vers le Seigneur, et, tout comme Caïn lui diront:

13 - "Mon iniquité est trop grande pour mériter le pardon.

14 - Voici que tu me rejettes aujourd'hui de la surface de la terre, et je me cacherai de ta présence, et je serai vagabond et fugitif sur la terre: aussi, quiconque me verra me tuera". (Gen 4)


Le Seigneur lui dira, comme à Caïn:

15 - "Il n'en sera pas ainsi; au contraire, quiconque tuera Caïn sera châtié sept fois. Et le Seigneur mit à Caïn un signe pour que quiconque le rencontrât ne le tuât point".

Et depuis lors, ce peuple marqué du Sceau de Dieu doit errer de par le monde, en faisant quoi?

En portant dans sa chair le témoignage du Christ dans le mystère de l'iniquité.

Parce que la chair juive, qu'on le veuille ou non, proclame que le Christ est Celui qui est béni de tous les siècles. La chair le proclame, parce que le Christ est de cette généalogie. La chair juive le proclame, parce que cette loi du juif, interprétée rabbiniquement, a crucifié le Christ, Fin et Accomplissement de la loi. Et l'on ne peut pas évoquer le Christ sans que soit évoqué le juif, l'on ne peut évoquer le juif sans évoquer le Christ.

La chair juive le proclame dans le mystère d'iniquité parce que le juif, marqué du sceau de l'iniquité depuis qu'il perpétra son crime, reste pour l'histoire comme l'agent d'iniquité.

Le juif, qui fut mystère de bonté, reste converti en mystère d'iniquité.

Maintenant, ce n'est plus Isaac, mais Ismaël. Ce n'est plus Jacob, mais Ésaü. Ce n'est plus Abel, mais Caïn.

D'autres lui ont ravi le droit d'aînesse. À d'autres ont été accordées les bénédictions de la Promesse. Et ces autres-là, c'est nous, nous tous, juifs et gentils - juifs d'abord et gentils ensuite - qui formons l'Église
de Jésus-Christ.

L'Église de Jésus-Christ est le vrai Isaac, le vrai Jacob, et le vrai Abel. Le Christ a été le sanctificateur de juifs et de gentils pour former une création nouvelle, l'Église de Jésus-Christ, qui adore le Père en esprit et en vérité. (Jean, IV)

Face à l'Église, qui est Isaac, Jacob, Abel, que va faire la Synagogue? que va faire le juif?

Il remplira le rôle d'Ismaël, d'Ésaü, de Caïn.

Que faisait Ismaël avec Isaac? Il se moquait de lui et le persécutait.(Gen, XXI, 9) Que faisait Ésaü contre Jacob? La Genèse nous dit: (XXVII)

41 - "Donc Ésaü haït toujours Jacob pour la bénédiction que son père lui avait donnée. Et il disait en son cœur: viendront les jours de deuil de mon père, et je tuerai mon frère Jacob".

Voici le rôle qui incombe dès lors à la Synagogue, au juif qui reste juif et ne veut pas reconnaître le Christ: il s'emploiera à persécuter l'Église, comme le fait remarquer l'Apôtre.

Et il devra le faire parce que telle est sa mission, son rôle théologique.

Alors le juif sera l'agent de l'iniquité. Ainsi, de même que dans le royaume du bien il a tenu et il tient (car l'histoire est un présent aux yeux de Dieu) la première place, de même aussi dans le royaume du mal, la première place doit lui revenir. Et tout le mal qui se commettra dans les vingt premiers siècles de l'histoire chrétienne doit être premièrement et principalement judaïque.

Les autres peuples, les gentils, s'ils veulent faire œuvre d'iniquité, devront aller à la remorque des juifs. Les gentils, s'ils veulent carnaliser, devront judaïser. Ainsi, avec une grande exactitude théologique, les Saints Pères appellent judaïsants les gentils qui propagent l'hérésie.
CONCLUSIONS THÉOLOGIQUES

Je ne sais si j'aurai réussi à exposer avec force l'opposition théologique, c'est-à-dire, arrangée par Dieu, qui doit exister à travers l'histoire chrétienne entre la Synagogue et l'Église, entre chrétiens et juifs, entre Isaac et Ismaël, entre Jacob et Ésaü.

Dans les deux chapitres suivants, j'étudierai historiquement ces relations entre juifs et chrétiens. L'indispensable ici est de laisser consignées les conclusions théologiques à la lumière desquelles on doit interpréter l'histoire.


PREMIÈRE CONCLUSION - Le peuple juif, dont le destin fut de nous apporter le Christ, buta sur le Christ. Une partie du peuple crut au Christ, et s'édifia sur Lui pour former les racines et le tronc de l'Olivier qu'est l'Église. Une autre partie du peuple tomba et Le renia en invoquant l'orgueil charnel de la race et de la nation judaïque. Cette partie d'Israël fut rejetée, et porte sur elle le sang du Christ comme malédiction. Cette partie forme le judaïsme proprement dit, qui est héritage et continuation des Rabbins qui rejetèrent le Christ.

Après le Christ, il n'y a, pour les descendants d'Abraham, que deux chemins: ou bien être chrétiens en adhérant au Christ, ou bien être juifs. Celui qui, sciemment, ne se convertit pas sincèrement au Christianisme, est juif, avec toutes les perversités sataniques de la race stigmatisée.


SECONDE CONCLUSION - Le judaïsme est un ennemi déclaré et actif de tous les peuples en général, et d'une manière spéciale, des peuples chrétiens. Il joue le rôle d'Ismaël, qui persécutait Isaac; d'Ésaü, qui cherchait à tuer Jacob; de Caïn, qui donna la mort à Abel. Saint Paul, dans sa Première Epître aux Thessaloniciens, dit que: "Les juifs sont ennemis de tous les peuples".

Remarquons que ceci est terrible et très important. Ils sont ennemis théologiques. C'est-à-dire, ce n'est pas une inimitié locale, ou de sang, ou d'intérêts. C'est une inimitié disposée par Dieu. Les juifs, s'ils sont juifs, c'est-à-dire s'ils ne se sont pas convertis sincèrement au Christianisme, même s'ils ne le veulent pas, chercheront avec des mensonges à faire du mal, à perdre et à corrompre les chrétiens, à s'emparer de leurs biens et à les assujettir comme de vils esclaves. Ils remplissent en cela une fonction théologique comme la remplit le diable, dont ils sont les fils, comme l'exprimait Jésus-Christ, quand il disait aux pharisiens: "Vous êtes fils du diable et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut homicide dès le commencement, et il ne demeura pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui; quand il profère des mensonges, il parle de 1ui-même, parce qu'il est menteur et père du mensonge". (Jean, VIII, 44)


TROISIÈME CONCLUSION - Si les juifs sont des ennemis théologiques, cette inimitié doit être universelle, inévitable, et terrible.

Universelle, parce qu'elle doit s'étendre à tous les peuples, précédant déjà le christianisme, l'accompagnant déjà. Aussi voyons-nous que là où va le christianisme, là aussi vont les juifs. Il n'y a pas moyen de l'éviter, parce que c'est théologique. Le christianisme et le judaïsme doivent se rencontrer partout sans se réconcilier et sans se confondre. Ils représentent dans l'histoire l'éternelle lutte de Lucifer contre Dieu, des ténèbres contre la Lumière, de la chair contre l'esprit. Ils représentent dans le temps l'accomplissement spirituel et l'accomplissement charnel de l'Écriture. La Lettre doit être partout, pour être servante de l'esprit, aussi Saint Thomas nous enseigne-t-il que le juif est serviteur de l'Église.

Inimitié terrible, parce qu'elle est théologique. Dans le juif il y a un mystère, d'iniquité, comme l'enseignent Saint Jérôme et Saint Justin se faisant l'écho de Jésus-Christ et de la prédication apostolique. Ne vous fiez pas au juif, parce qu'il exerce l'inimitié en simulant la bienfaisance. Jésus-Christ les anathématise en les appelant une infinité de fois des hypocrites et des menteurs. Le juif fait du mal sans montrer la main. Les juifs agissent derrière les coulisses, insinue le grand juif Disraéli. Et en cela ils ne font que perpétuer ce qu'ils firent un jour avec le Christ: ils tramèrent contre Lui la conjuration secrète, mais leurs plans, ce furent les gentils qui les exécutèrent. Ainsi l'action judaïque sur le monde se réalise dans l’ombre des conciles secrets, et les personnages qui paraissent régir les peuples ne sont que des marionnettes maniées par ces fils de l'iniquité.


QUATRIÈME CONCLUSION - Depuis que le Christ fut élevé sur le Mont du Calvaire, le monde a été livré à deux forces véritablement opposées: la force juive, et la force chrétienne.

Dans le monde actuel, dans toutes les manifestations de la vie, il ne peut y avoir que deux modes véritablement fondamentaux, deux pôles d'attraction: le chrétien et le juif. Seulement deux religions: la chrétienne et la juive. Seulement deux internationalismes: le chrétien et le juif. Tout ce qui n'est pas du Christ et pour le Christ se fait en faveur du judaïsme. De là vient que la déchristianisation du monde va de pair avec sa judaïsation.

Pourquoi ne peut-il y avoir que ces deux modes? Parce que ce sont les seuls voulus par Dieu. Ce sont les seuls théologiques. Dieu a réparti le monde entre Isaac et Ismaël, entre' Jacob et Ésaü, entre Caïn et Abel, entre le Christ et l'Anti-Christ.

Toutes les forces humaines doivent se replier sur l'un ou l'autre front.
C'est pourquoi aux peuples gentils, à nous qui nous nous sommes vu proposer la vocation à la foi chrétienne, il ne nous reste que deux chemins: ou nous christianiser ou nous judaïser. Prendre part ou bien à l’Olivier de l'Église ou bien à la Vigne stérile du judaïsme. Ou bien être fils de Sarah la femme libre, ou bien d'Agar l'esclave.

Les peuples gentils, s'ils veulent être libres et grands, n'ont pas d'autre solution que d'adhérer à l'Église, humblement. Ils n'ont pas d'autre grandeur dans la liberté que la grandeur incomparable des nations chrétiennes du Moyen-Âge, qui forgea les saints et les héros, qui éleva les cathédrales, qui éduqua les peuples dans la contemplation des saints, qui lui donna le sens de la beauté dans le chant grégorien et les fresques de l'Angelico et du Giotto, qui sublima son intelligence avec la Somme Théologique du Docteur Angélique.

Si les peuples gentils, répudiant cette grandeur comme obscurantiste et sombre, veulent être grands de la grandeur charnelle de Babylone, ils pourront l'être, oui, mais en tant que serviteurs du judaïsme. Parce que les juifs ont la supériorité dans le domaine du charnel.

Et voici que l'histoire nous dit (Werner Sombart en fait la preuve) que la grandeur si vantée du capitalisme anglais et américain n'est qu'une création judaïque. Grandeur charnelle incomparable, mais qui est le travail de millions de chrétiens au bénéfice d'une poignée de juifs.


CINQUIÈME CONCLUSION - L'unique défense, la seule protection des peuples gentils pour ne pas tomber dans l'esclavage judaïque est la vie chrétienne. Parce que seul, le Christ est le Salut de l'homme. C'est pour cela que le Moyen-Âge n'a pas subi la domination des juifs. Les juifs ont été à l'affût, mais sans jamais atteindre la domination.

mardi, mars 03, 2009

HOMMAGE DE GRATITUDE DES JUIFS À L'ÉGLISE

L'Église, reconnaissant la perversité théologique qu'il y a en eux, savait les soumettre à des lois sages, et sa vigilance était en alerte pour qu'ils ne pervertissent pas les chrétiens. Cependant, l'Église n'a jamais haï le juif. Au contraire, elle a prié et fait prier pour eux, elle les a défendus de vexations et de persécutions injustes, de telle sorte que quand le Sanhédrin juif s'est réuni publiquement pour la première fois depuis des siècles, en France en 1807, convoqué par Napoléon, il rendit un hommage public à la bienveillance des Pontifes, dans un document que l'on conserve (Collection des Actes de l'Assemblée des Israélites de France et du Royaume d'Italie, par Diogène Tama):

"Les Députés Israélites de l'Empire de France et du Royaume d'Italie, au Synode hébraïque décrété le 30 Mai dernier, pénétrés de gratitude pour les bienfaits successif que le clergé chrétien a fait dans les siècles passés aux israélites de différents États d'Europe, remplis de reconnaissance pour l'accueil que divers Pontifes ont fait à différentes époques aux Israélites de divers pays, quand la barbarie, les préjugés et l'ignorance réunis persécutaient et expulsaient les juifs du sein des sociétés, déclarent:

Que l'expression de ces sentiments sera consignée dans le procès-verbal de ce jour pour qu'il reste pour toujours comme un témoignage authentique de la gratitude des Israélites de cette Assemblée pour les bienfaits que les générations qui nous ont précédés ont reçus des eco1ésiastiques des divers pays d'Europe
".


SIXIÈME CONCLUSION - Les chrétiens, qui ne peuvent pas haïr les juifs, qui ne peuvent les persécuter ni les empêcher de vivre, ni les troubler dans l'accomplissement de leurs lois et coutumes, doivent cependant se préserver du péril judaïque.

Ils doivent s'en préserver comme on se préserve des lépreux. On ne peut pas non plus haïr, ni persécuter, ni molester les lépreux, mais il faut prendre des précautions contre pour qu'ils n'infectent pas l'organisme social. Ainsi, les chrétiens ne doivent pas nouer de relations commerciales, ni sociales, ni politiques, avec cette race perverse qui, hypocritement doit chercher notre ruine. Les juifs doivent vivre séparés des chrétiens parce qu'ainsi le leur commandent leurs lois, comme nous le verrons plus loin, et en outre parce qu'ils sont "infectieux" pour les autres peuples.

Si les autres peuples rejettent ces précautions, il faut qu'ils s'attendent à leurs conséquences, c'est-à-dire à être les laquais et les parias de cette race, à laquelle revient la supériorité dans le royaume du charnel.


SEPTIÈME CONCLUSION - Dans la vie errante et méprisable du juif, qui se prolonge au moins pendant dix huit siècles, il faut découvrir le mystère chrétien. C'est ce que démontre magnifiquement l'Abbé Joseph Lehmann, juif converti, dans son livre: "L'Entrée des israélites dans la société française", page 3.

Le juif avait rempli d'opprobre le Juste. Il lui avait jeté un manteau de dérision sur les épaules, une couronne d'épines sur la tête, un roseau dans la main, des coups, des crachats, des insultes, des injures, il lui avait prodigué des humiliations de toute sorte, et ne lui avait épargné aucune honte. Enfin, il le vendit pour le vil prix de trente deniers.

Ces opprobres se sont retrouvés depuis, comme châtiment et peine du talion, dans la vie du peuple juif. Déjà. Moïse l'avait annoncé: "Vous serez la fable et la risée de tous les peuples chez qui vous conduira le Seigneur". (Deut, XXVIII, 37) Nous énoncerons quelques opprobres du peuple juif pendant la Diaspora.

a) Vente aux enchères, comme des bêtes, des juifs, après la ruine de Jérusalem. On avait vendu le Juste pour trente deniers, et à la foire du Térébinthe, dans la plaine de Mambré, on en vint à vendre trente juifs pour un denier.

b) Interdiction, pendant des siècles, de venir pleurer sur les ruines de Jérusalem.

c) Exclusion des juifs des rangs de la société, pour payer l'exclusion par les juifs du Christ comme lépreux, de toute relation humaine.

d) La gifle qu'à Toulouse, Béziers et autres lieux, devait recevoir un député de la communauté juive, obligatoirement et en public, le Vendredi Saint.

e) La rouelle ou l'étoile jaune qu'il devait porter sur sa poitrine ou à son chapeau, afin d'être reconnu comme juif.

f) Les quartiers ou ghettos où ils devaient vivre entassés.

g) L'obligation dans certaines villes de payer jusqu'à l'air qu'ils respiraient, comme à Augsbourg, où ils payaient un florin par heure, et à Brême un ducat par jour.

h) Interdiction de paraître en public depuis le Dimanche des Rameaux jusqu'au jour de Pâques.

i) Les insultes au juif errant.

j) La méfiance ou la croyance en la malice perpétuelle du juif, même dans les différends entre eux. Au Puy, les différends qui surgissaient entre deux juifs étaient soumis à des enfants de chœur, afin que l'extrême innocence des juges mît à découvert l'extrême malice des parties.

k) En Allemagne et en Suisse, on pendait le juif à côté d'un chien, par moquerie, parce que le chien était symbole de fidélité.

l) Permission donnée à tout officier public pour user d'épithètes infamants contre les juifs.

m) Expulsion des juifs, tous les soirs, de certaines villes, à son de trompette.

n) Interdiction de se baigner sur les plages où se baigneraient des chrétiens.

o) Interdiction de déambuler sur les promenades publiques. En certaines villes d'Allemagne, on placardait cette inscription: entrée interdite aux chiens et aux juifs.

p) Le péage, qui était un droit que l'on percevait pour l'entrée de tout juif dans la ville.

Jusqu’à quand doit se prolonger cette inimitié terrible entre juifs et chrétiens? Jusqu'à ce que la miséricorde de Dieu dispose le temps de la réconciliation.

Saint Paul nous enseigne que viendra le jour où Israël reconnaîtra Celui qu'il a renié:

25 - Mais je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, de peur que vous ne vous complaisiez en votre sagesse: une partie d'Israël s'est endurcie jusqu'à ce que soit entrée la totalité des païens.

26 - et ainsi, tout Israël sera sauvé. Lorsqu'arrivera cette heure, qui est entre les mains de Dieu, Ésaü se réconciliera avec Jacob, c'est-à-dire: les juifs se convertiront en chrétiens, et alors s'accomplira la parole du Prophète Ézéchie1, dite cinq cents ans avant le Christ: 21... Voici que je vais prendre les enfants d'Israël parmi les nations où ils sont allés. Je vais les rassembler de tous les côtés et les ramener sur leur sol,
22 et j'en ferai une seule nation dans mon pays et dans les montagnes d'Israël, un seul roi sera leur roi à eux tous; ils ne seront plus deux nations, ils ne seront plus divisés en deux royaumes

27 - et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple.


Alors tous, dans le Christ, ils seront une seule chose, parce que les juifs cesseront d'être "juifs", et les chrétiens seront chrétiens pour de bon, et la paix se réalisera comme fruit de la justice et de la charité en Celui qui, promis à Abraham, à Isaac, et à Jacob, est Jésus-Christ, la Bénédiction de tous les siècles.




Reproduction photographique de la couverture de l'ouvrage de Mgr Pranaitis que nous mentionnons plus bas.

CHAPITRE DEUXIÈME

LE JUIF ET LE PEUPLE CHRÉTIEN

Dans le chapitre précédent, nous avons exposé la grandeur et la misère de ce peuple juif, unique lignage sacré de la terre. Et parce que lignage sacré, le seul qui doive se perpétuer à travers l'histoire comme un témoignage charnel de Celui en qui sont bénis tous les lignages de la terre. La chair juive, le lignage juif, est le mystère de grandeur et de misère. Parce que ce lignage nous a apporté le Rédempteur. Mais le Rédempteur, placé comme Pierre d'Achoppement au monde, a été aussi achoppement pour ce lignage qui apporta son sang. Aussi, ceux de ce lignage qui ont cru dans le Christ sont devenus tronc et racine de l'Olivier frondescent qui est l'Église. Ceux de ce lignage qui ont rejeté le Christ sont devenus cep et racine de la Vigne qui ne produit plus que des raisins sauvages. (Is. V, 4)

Des juifs vient le Salut. Mais le Salut, même pour les juifs. Le Salut, ce n'est ni les juifs, ni leur père Abraham. Le Salut, c'est le Christ. Malheur à ce peuple forgé et sanctifié pour apporter le Salut, pour produire le Christ, s'il croit que sa chair est le Salut! Alors, au nom de sa chair, il crucifiera Celui qui constituait sa grandeur. Et alors, ce peuple, devenu Grand par Celui qui sort de son lignage, se changera en misérable par le rejet volontaire qu'il fera du Christ.

Il importe de nous pénétrer de ce Mystère de Grandeur et de Perfidie du juif. Le juif qui n'adhère pas au Christ est un "être d'iniquité", il est un "être de perfidie", et il ne peut pas faire autre chose dans le cours de l'histoire que de persécuter le Chris". Même qu'il ne le veuille pas, c'est son destin. Parce que la raison d'être de cette race, c'est le Christ. Ou bien avec Lui, ou bien contre Lui. De là la perfidie du juif charnel. Et tout juif est charnel, qui n'adhère pas au Christ. Nous dirons même aussitôt: la PERFIDIE DU JUIF.

Mais nous, les gentils, qui avons embrassé la foi du Christ, notons bien que cette perfidie judaïque a un caractère sacré, théologique. Le sceau de Dieu est en elle. Donc, nous ne devons pas combattre contre cette "perfidie judaïque", contre ce "peuple déicide", comme on peut combattre contre d'autres forces humaines. Souvenons-nous que ce peuple, nouveau Caïn, porte sur lui un signe pour que personne ne risque de l'exterminer.

Ce n'est donc pas à base de persécutions et de pogroms que se résoudra le problème juif, aussi bien, en tout temps, les Souverains Pontifes ont protesté contre toute forme de haine contre les juifs et dans la terrible persécution de Hitler le Pontife Romain et les évêques allemands ont fait entendre leur voix de protestation.

Mais bien que nous devions, nous, chrétiens, aimer le Juif conformément au précepte du Christ, d'aimer même nos ennemis, il ne s'ensuit pas que nous ne devions pas nous prémunir contre ce danger. Nous devons aussi aimer les lépreux, et cela n'empêche pas qu'on les isole pour éviter la contamination; nous devons aimer les délinquants, et cela n'empêche pas qu'on les emprisonne pour qu'ils ne fassent pas de mal à la Société. Il est très important de souligner, dans l'ambiance moderne où nous vivons, qui s'est laissée abêtir par les idées sentimentales du libéralisme, que le Juif, vrai Ismaël face à Isaac, Ésaü face à Jacob, Caïn face à Abel, ne peut pas être régi par le droit commun des chrétiens. Il doit être régi par un droit d'exception qui prenne les précautions dues et adéquates contre le danger théologique de cette race.

Ni les exterminer du milieu des peuples chrétiens, comme le prétend l'antisémitisme, ni leur donner l'égalité des droits, qui est en réalité supériorité, comme le prétend le libéralisme ou philosémitisme.

L'antisémitisme est condamné par l'Église en un décret du Saint-Office du 25 Mars 1928, en ces termes:

"L'Église Catholique a toujours eu l'habitude de prier pour le peuple juif, qui fut le dépositaire des Promesses Divines jusqu'à Jésus-Christ, malgré l'aveuglement de ce peuple. Bien plus, elle l'a fait à cause de cet aveuglement même. Règle de cette même charité, le Siège Apostolique a protégé ce peuple contre d'injustes vexations, et de même qu'il réprouve toutes les haines et toutes les animosités entre les peuples, de même il condamne la haine contre le peuple choisi par Dieu autrefois, cette haine que l'on désigne d'ordinaire sous le vocable d'antisémitisme".

Est aussi condamné le libéralisme dans toute la législation et la pratique de l'Église.

Le juif doit vivre au milieu des chrétiens en témoin aveugle de la vérité chrétienne, et comme un aiguillon qui nous oblige à rester fidèles à Jésus-Christ. On ne doit ni l'exterminer ni le fréquenter. Ni l'exterminer, car il joue le rôle théologique de Caïn, qui porte le sceau de Dieu pour que personne ne le tue. Ni le fréquenter parce qu'il est extrêmement dangereux.

Le juif pourra être bon, et il l'est au milieu de son peuple. Ses mœurs sont généralement irréprochables et dignes de louanges. Mais envers les autres peuples, bien qu'il vive au milieu d'eux, il est un ennemi hypocrite, qui dans l'ombre prépare des embûches contre ceux qui lui ont offert l'hospitalité. C'est un ennemi qui est à l'affût... qui est à l'affût sans même le savoir et sans le vouloir, mais qui guette...

De même qu'un jour il a jugé le Christ, il l'a insulté, lui a craché dessus et l'a remis aux gentils pour qu'il fût cloué à la Croix, de même, depuis lors, son unique raison d'être et son unique préoccupation est de détruire le christianisme.

Les Actes des Apôtres nous rapportent comment toutes les premières persécutions dressées contre les Apôtres et contre l'Église furent ourdies par les juifs. Ils menaçaient saint Pierre pour qu'il ne prêchât pas le Christ. (IV, 1-23); ils lapidèrent Saint Étienne (6-7); ils tiennent conseil pour tuer Saint Paul (9, 23); ils fomentent des persécutions contre Saint Paul à Iconium (14); à Lystres (14), à Thessalonique (17); à Corinthe (18), à Jérusalem (22). Tertullien résume les accusations des Pères contre le danger judaïque par cette phrase: "Synagogae Judaeorum fontes persecutionum". Les synagogues des Juifs sont les sources de nos persécutions.

Les juifs, dans toutes ces persécutions, ne font qu'accomplir leur destin. Saint Paul, le terrible pharisien converti au Christ sur le chemin de Damas, et qui connaissait par sa propre expérience la haine satanique des juifs contre le Christ, énonce la loi des persécutions contre l'Église:

28 - Nous, frères, dit-il aux chrétiens de Galatie, nous sommes les fils de la Promesse, selon Isaac. (ad, Gal. IV)

29 - Mais oomme alors ce1ui qui était né selon la chair persécutait ce1ui qui l'était selon l'esprit, de même aussi maintenant.

Et ce "de même aussi maintenant" doit se perpétuer dans toute l'histoire chrétienne parce que c'est une loi théologique plus forte que tous les plans et tous les expédients des hommes.
LE TALMUD

Ce qu'il importe de savoir, c'est que le juif réalise cette loi qui est la sienne, comme quelqu'un qui s'acquitte d'une mission.

Parce que cette loi contenue dans le Talmud qui régit le juif, lui commande en effet de mépriser et de haïr tous les peuples, en particulier les chrétiens, et de n'avoir de cesse qu'il ne les domine et les assujettisse comme des esclaves. Voyons ce que nous enseigne sur le Talmud Paulus L. B. Drach, le célèbre rabbin du siècle dernier converti au catholicisme, dans son œuvre fameuse et rare: "De l'harmonie entre l'Église et la Synagogue", (Paul Melier, libraire éditeur, Paris, 1844). Drach dit que le Talmud désigne le grand corps de doctrine des juifs, auquel ont collaboré successivement, à des époques différentes, les ministres les plus accrédités d'Israël. C'est le code complet, civil et religieux, de la Synagogue. Son objet est d'expliquer la loi de Moïse conformément à l'esprit de la tradition verbale, et il renferme les discussions des divers docteurs. Si le lecteur judicieux du Talmud peut s'affliger parfois des étranges aberrations dans lesquelles peut tomber l'esprit humain, si plus d'une fois les lourdeurs du cynisme rabbinique l'obligent à se voiler la face, si le fidèle doit s'émouvoir des calomnies atroces et insensées que la haine impie des pharisiens diffuse sur tout ce qui est objet de sa vénération religieuse, du moins le théologien chrétien peut-il y recueillir et des renseignements et des traditions précieuses pour l'explication de plus d'un texte obscur du Nouveau Testament et pour convaincre nos adversaires de l'antiquité du Dogme Catholique. Le Talmud contient les traditions réelles, qui sont confiées à un corps de soixante-dix savants, le Sanhédrin, que l'on regardait comme le légitime successeur de Moïse. Le religieux s’y mêle au profane, surtout depuis que les juifs furent emmenés captifs à Babylone. (586, Av. J. C.) L'autorité des rabbins se substitue alors à celle de Moïse et des prophètes. Les prescriptions pour le développement temporel du peuple juif acquièrent plus d'importance que les préceptes d'amélioration religieuse. Avec ces enseignements rabbiniques, qui aggravent les pires instincts du peuple juif, on est arrivé à créer une mentalité antisociale et criminelle qui fait de ce peuple un inadapté parmi tous les peuples qui lui donnent l'hospitalité.

Le Talmud acquit une singulière virulence après l'apparition du christianisme. Les infamies les plus insolentes et les plus sacrilèges contre le Christ et les chrétiens s'y gravèrent. C'est pourquoi les livres du Talmud furent voués aux flammes par ordre des Pontifes Romains et des Princes chrétiens. Ce fut alors qu'un Synode juif, réuni en Pologne en 1631, ordonna de supprimer tout ce qui pouvait y avoir trait au Christ et aux chrétiens, dans les termes suivants: "Pour de telles raisons, nous vous ordonnons que désormais, quand vous publierez une nouvelle édition de ces livres, vous laisserez en blanc les passages où l'on parle de Jésus de Nazareth, en faisant un cercle comme ce O; et que tout rabbin, comme tout autre maître, ait soin de n'enseigner de tels passages que verbalement. De cette façon, les hommes de science chrétiens n'auront rien à nous reprocher à ce sujet, et il nous sera possible de vivre en paix".

lundi, mars 02, 2009

L'ŒUVRE DE PRANAITIS

En 1892, de la typographie de l'Académie des Sciences de Saint Pétersbourg sortait la meilleure et la plus soigneuse anthologie des maximes talmudiques ayant trait au Christ et aux chrétiens. Son auteur était Mgr I. B. Pranaitis, titulaire de la chaire d'hébreu de l'Université Impériale, et elle avait pour titre: "Christianus in Talmude Judaeorum, sive rabbinicae doctrinae de christianis secreta". (Le chrétien dans le Talmud des juifs, ou les secrets de l'enseignement rabbinique au sujet des chrétiens). Le livre apportait le texte hébreu des prescriptions rabbiniques avec leur traduction en latin. Mais les exemplaires disparurent presque complètement, un petit nombre seulement furent sauvés. Mario de Bagni a publié une édition photocopiée de l'un d'eux, avec la traduction italienne correspondante. De cette édition, parue chez les éditeurs Tumminelli et Cie, Milan, Rome, 1939, nous avons pu faire usage pour notre livre.


LES ENSEIGNEMENTS DU TALMUD SUR LE CHRIST ET LES CHRÉTIENS

Avant de reproduire textuellement les passages les plus insultants et les plus criminels au sujet du Christ et des chrétiens, nous allons en donner une idée d'ensemble. Dans une première partie, nous exposerons la doctrine du Talmud sur le Christ et les chrétiens, et dans une seconde partie, les préceptes du Talmud sur les chrétiens.

La première partie contient deux chapitres, l'un sur le Christ, et l'autre sur les chrétiens.


SUR LE CHRIST

On l'appelle avec mépris: "cet homme", "un quidam", "fils du charpentier", "le pendu". On le montre comme un bâtard, conçu pendant la menstruation de sa mère. On dit qu'il avait en lui l'âme d'Ésaü, qu'il était un sot, un prestidigitateur, un séducteur, un idolâtre, qu'il fut crucifié, enseveli en enfer, et que, jusqu'à c'e jour, il est une idole pour ceux qui le suivent. Comme séducteur et idolâtre, il ne peut enseigner que l'erreur et l'hérésie, et que cette hérésie est irrationnelle et impossible à accomplir.


SUR LES CHRÉTIENS

Ils sont appelés Notsrim, Nazaréens, et on leur applique tous les noms sous lesquels on désigne les non-juifs; "Aboda Zara", c'est-à-dire qui cultivent l'idolâtrie, "acum", adorateurs des étoiles et des planètes; "Obdé Elilim", esclaves des idoles; "Minim", hérétiques; "Edom", Iduméens; "Goïm", gentils; "Nokhrim": étrangers, gens du dehors; "Ammé Aarez": peuples de la terre, ignorants; "Apicorosim", épicuriens; "Cutim", samaritains.

L'on y dit des chrétiens ce qui se peut imaginer de plus abominable. Que ce sont des idolâtres, des hommes très mauvais, pires que les turcs homicides, libertins, animaux impurs, indignes de s'appeler hommes, bêtes à forme humaine, contagieux à la manière du fumier, bœufs et ânes, porcs, chiens, pires que les chiens; qu'ils se reproduisent comme des bêtes, qu'ils sont d'origine diabolique; que leurs âmes procèdent du diable, et qu'elles doivent retourner au diable en enfer après la mort; que le cadavre d'un chrétien mort ne diffère en rien de celui d'une bête.

Du culte des chrétiens, on dit qu'il est idolâtrique, que ses prêtres sont les prêtres de Baal, que leurs temples sont des maisons de fatuité et d'idolâtrie, et que tous les objets qui s'y trouvent, calices, livres, servent à l'idolâtrie; que leurs prières privées et publiques sont des péchés qui offensent Dieu, et que leurs fêtes sont des jours de malheur.

La seconde partie des préceptes du Talmud sur les chrétiens renferme trois chapitres: les chrétiens doivent être évités, doivent être détruits, doivent être tués.


LES CHRÉTIENS DOIVENT ETRE ÉVITÉS

Selon le Talmud, par le fait même que le juif vient d'un lignage choisi, et reçoit la circoncision, il est doté d'une si haute dignité que personne, pas même un ange, ne peut l'égaler. (Challin 91, b) Plus encore, on le considère presque égal à Dieu. "Celui qui frappe un israélite sur la joue, dit R. Chemina, c'est comme s'il donnait une gifle à la Divine Majesté". (Sanhédrin 58, b) "Le juif est toujours bon, malgré le nombre et la quantité des péchés qui n'arrivent pas à le contaminer, de la même façon que la boue ne contamine pas la chair de la noix, mais seulement sa coque". (Chagigah 15, b) "Seul l'israélite est un homme, tout l'univers est à lui, toutes choses doivent le servir, principalement les animaux qui ont forme d'homme".

Ceci étant, il devient manifeste que tout commerce avec les chrétiens salit les juifs, et fait grandement déchoir sa dignité. Aussi doivent-ils se maintenir loin de toutes les coutumes et de tous les actes des chrétiens.

Les chrétiens doivent être évités parce qu'ils sont immondes. Le "Abhodah Zara 72 b" raconte "qu'une fois un juif transvasa du vin au moyen d'un siphon avec deux roseaux, l'un et l'autre enfoncés dans les verres. Vint un chrétien qui toucha le siphon, et instantanément, tout le vin fut contaminé".

Ils doivent être évités parce qu'ils sont idolâtres et pernicieux. C'est ainsi qu'il n'est pas permis au juif d'utiliser une nourrice chrétienne, ni un précepteur chrétien, ni un médecin chrétien, ni un coiffeur chrétien, ni une sage-femme chrétienne.


LES CHRÉTIENS DOIVENT ÊTRE DÉTRUITS

Aux disciples de "cet homme-là", dont le nom lui-même, parmi les juifs, sonne comme: "qu'on efface son nom et sa mémoire", on ne peut leur désirer autre chose que de les voir périr tous; romains, tyrans, ceux qui emmènent en captivité les fils d'Israël, de sorte que les juifs puissent se libérer de leur quatrième captivité, la présente. Tout israélite est donc obligé à combattre de toutes ses forces ce royaume impie d'Idumée, répandu de par le monde. Mais comme cette extermination des chrétiens n'est pas toujours possible, en tous lieux et à tous, le Talmud ordonne de les combattre au moins indirectement, en leur faisant du mal de toutes les manières, en diminuant ainsi leur pouvoir, et en préparant leur ruine. Là où ce sera possible, le juif peut tuer les chrétiens et il doit le faire sans aucune pitié. Nous allons nous arrêter sur ce dernier point, en apportant les textes de Pranaitis.

"Abhodah Zarah 26 b: les hérétiques, les traîtres et les apostats doivent être jetés dans un puits d'où l'on ne puisse les retirer".

Si nous ajoutons à ceux-ci les tyrans qui maintenant réduisent Israël à la captivité, nous aurons les quatre genres de ceux qui doivent être tués par les juifs, à savoir: les traîtres, les apostats, les tyrans et tous les hérétiques chrétiens, sans aucune exception, fussent-ils les meilleurs des hommes.

1. - Sont considérés comme les plus grands ennemis des juifs ceux qui révèlent les secrets du Talmud ou causent un dommage pécuniaire, même minime - Noseroth - aux juifs.

Choschen Hammischapt 388, 10: "Il est licite de tuer le délateur, même de nos jours, en tout lieu qu'on le trouve. Il peut être tué avant la délation. Dès l'instant qu'il aura dit qu'il veut trahir quelqu'un dans ses biens de vie ou de richesse, si modiques qu'ils soient, et malgré que cela ne lui cause pas grand dommage, il aura déjà prononcé contre lui-même un motif suffisant pour mourir. Qu'on l'avise et qu'on lui dise: "Ne dénonce pas volontairement". Mais s'il dit imprudemment "non, cela je le manifesterai", il doit être mis à mort. Et plus vite quelqu'un le tuera, plus grand mérite il aura. Si on n'a pas le temps de l'aviser, l'avis n'est pas nécessaire. Il y en a qui disent qu'il faut tuer le traître seulement quand il est impossible de se débarrasser de lui en le privant de quelque membre. S'il était possible de se débarrasser de lui, par exemple, en lui enlevant la langue ou les yeux, alors il n'est pas licite de le tuer, parce qu'il n'est pas pire que les autres persécuteurs. Choschen Hammischpat 388, 15: "Si l'on avait prouvé que quelqu'un a trahi trois fois Israël, ou ait fait en sorte que son argent passât aux mains des chrétiens, il sera nécessaire de chercher un moyen prudent et astucieux de le supprimer de la face de la terre".



II - DOIVENT ÊTRE TUÉS LES JUIFS QUI REÇOIVENT LE BAPTÊME

Jove Dea 158, 2 Hagah: "Les prévaricateurs qui passent du côté des chrétiens et qui se contaminent parmi les chrétiens, rendant un culte aux étoiles et aux planètes, comme ils le font, sont semblables à ceux qui irritent Dieu par leurs prévarications; aussi doit-on les jeter au puits et ne plus les en sortir ".


III - LES CHRÉTIENS DOIVENT ÊTRE TUÉS parce qu'ils sont des tyrans, héritiers des Amalécites, à qui il fut commandé de détruire la Loi antique.

Zohar I, 219 b: "Il est certain que notre captivité doit durer jusqu'à ce que soient effacés de la terre les princes chrétiens qui adorent les idoles".


IV - TOUS LES CHRÉTIENS DOIVENT ÊTRE TUÉS sans en excepter les meilleurs:
Abhodah Zarah 26 b Tosephoth: "Le meilleur parmi les Goïn mérite d'être mis à mort".


V - LE JUIF QUI TUE UN CHRÉTIEN NE PÈCHE PAS. Au contraire, il offre un sacrifice acceptable.
Sepher Or Israël; 177 b: "Efface la vie du chrétien, et tue-le. C'est agréable à la Majesté Divine comme celui qui offre un don d'encens".

Ibid, fol. 180: "L 'Israélite est obligé de mettre toute son ardeur à ôter toutes les épines de la vigne, c'est-à-dire d'arracher, d'extirper les chrétiens de la terre; on ne peut donner une plus grande joie au Dieu béni que celle que nous faisons en exterminant les impie et les chrétiens de ce monde".


VI - DEPUIS LA DESTRUCTION DU TEMPLE DE JÉRUSALEM, il n'y a pas de sacrifice plus grand que l'extermination des chrétiens.

Dans le Zohar III, 227 b, le bon pasteur dit: "Il n 'y a pas de sacrifice, hors celui qui consiste à faire disparaître la partie immonde". Mikdasch Molech, dans le Zohar f 62, dit: "Le bouc que l'on envoyait à Azazielle jour de l'Expiation nous enseigne que nous aussi nous devons supprimer du monde les chrétiens".


VII - À CEUX QUI TUENT LES CHRÉTIENS, on promet la place suprême au Paradis.
Zohar I, 38 b et 39 a: "Dans le quatrième Palais du Paradis sont tous ceux qui pleurent Sion et Jérusalem et tous ceux qui ont détruit les restes des nations idolâtres... Et comme la pourpre est le vêtement honorifique et distinctif de Dieu, ainsi seront honorés et distingués tous ceux qui auront tué les autres peuples idolâtres".


VIII - ON NE DOIT PAS SE RACCROCHER AUX CHRÉTIENS, au contraire, il faut les exterminer.
Hilkhoth Akum 10, l: "Qu'on ne s'accroche pas aux idolâtres; de sorte qu'on leur accorda la permission d'adorer les idoles... mais qu'on les écarte de leur culte, et qu'on les tue. "


IX - TOUS LES JUIFS ONT L'OBLIGATION d'oeuvrer de concert pour détruire les traîtres leurs ennemis; si ce n'est par action directe, au moins par tous les moyens.
Choschen Hammischpat 388, 16: "Tous les habitants de la cité sont obligés de rembourser les dépenses effectuées pour tuer le traître, même ceux qui payent leur quote-part pour un autre sujet."

Pesachim 49 b: "R. Eliezer dit: "Il est licite d'étrangler l'homme idiot en la fête de l'Expiation, même si elle tombe le jour du Sabbat. Ses disciples lui dirent: Rabbi, dis plutôt immoler. Ce à quoi il répondit: absolument pas; parce qu'en immolant, il faut réciter certaines prières, et en l'étranglant, ce n'est pas nécessaire."

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