ADAPTATION FRANÇAISE
Mises Daily: mardi, le 03 novembre 2009 par French Doug
Les statisticiens du Ministère du Commerce américain assurent que l'économie américaine a ressuscité des morts à cause des mesures d‘aide du gouvernement dans le but d’inciter les consommateurs à acheter des voitures et des maisons. En surface, le nouveau Nouvel Accord se déroule comme prévu par Washington, avec un PIB en hausse de 3,5 pour cent et des achats ménagers montant à 3,4 pour cent au troisième trimestre, la plus haute hausse en deux ans selon Bloomberg. L'économiste en chef du Vice-président Joseph Biden, Jared Bernstein, prêche sur les ondes de CNBC que le Recovery Act (Décret de la reprise économique) du gouvernement fédéral a créé ou sauvé un million d'emplois en réaction "à l'échec du marché" jusqu'ici; et 3,5 millions d'emplois seront créés ou sauvés à un coût de seulement 92 000 $ par emploi l’an prochain.
Mais comme John Williams de shadowstats.com le précise, 92 pour cent de la croissance au quatrième trimestre provient de biens durables comme le programme Cash for Clunkers pour retirer les vieux véhicules de la circulation, de la subvention de 8 000 $ pour des maisons achetées pour la première fois, et des surplus d’inventaire. «Quand la consommation personnelle et le marché domiciliaire ralentiront de nouveau, à la fin des programmes incitatifs, et que les excès d'inventaire diminueront, une baisse du PIB est très probable au quatrième trimestre,» écrit Williams.
Donc l'administration Obama n’aura de cesse que quand le taux inflexible de chômage descendra sous les 9,8 pour cent. Et les nouvelles sur ce front sont mauvaises, avec le journal du Conference Board qui affiche une baisse de l’offre d’emplois la plus basse depuis 58 ans et 5,8 millions de chômeurs. Ce n'est qu’une question de temps avant que soient réclamés des programmes comme le Works Progress Administration (WPA) ou d'autres programmes semblables en temps de crise économique avec de nouveau l’idée de l'Oncle Sam remettant les gens au travail.
Les monuments aux mauvais investissements des gouvernements, le résultat des politiciens se mêlant du marché, plutôt que de permettre à l'économie de se guérir, sont présents dans le monde entier. Juste au sud du Las Vegas se trouve le barrage Hoover, un projet autorisé selon le Boulder Canyon Project Act de 1928. Normalement, les barrages ne prennent pas le nom des présidents en exercice, mais Herbert Hoover faisait campagne pour se faire réélire voulait s’attribuer le mérite de créer les emplois.
La structure massive a coûté 49 millions $ (ou 736 millions $ en dollars d’aujourd’hui) et il fait plus de 726 pieds de haut par 1 200 pieds de large. Il a fallu cinq ans et 4 360 000 verges cubiques de béton pour le construire et terminé deux ans avant l'heure. Environ 16 000 personnes ont travaillé à la construction du barrage, avec plus de 100 morts dans le processus. "C’est un grand plaisir pour moi de voir un vieux rêve se réaliser sous la forme de pierres et de ciment,» a écrit Hoover dans ses mémoires. «Cella fait maintenant dix ans que je suis devenu le président de la Colorado River Commission…. Ce barrage est le travail technique le plus grand de son genre jamais réalisé par la main d'homme.»
Mais les Romains n'ont pas eu besoin de béton pour achever l'aqueduc de Segovia en Espagne, empilant les blocs massifs de granit pareils à des briques dans une structure qui atteint une hauteur de plus de 93 pieds. Bien que personne ne le sache à coup sûr, l'aqueduc a été construit soit pendant le règne des empereurs Vespasian ou Nerva pour transporter l'eau de la rivière Fuente Fria à plus de dix milles de la ville. L'aqueduc a 167 arches et atteint sa pleine hauteur à la Place Azoguejo.
Bien que cette impressionnante structure romaine ne serve seulement qu’à attirer les touristes à la ville de 55 000 habitants aujourd'hui, l’aqueduc abreuvait la ville il n’y a pas si longtemps. Mais comme notre guide Jerry nous disait: «La population de Segovia n'avait pas endossé une telle dépense quand il a été construit. Les Romains ont principalement construit l'aqueduc pour montrer leur puissance,» a expliqué Jerry - ce qui n’a pas surpris le groupe de partisans de Mises qui visitaient Segovia après la conférence de Salamanca.
Dans son livre The New Deal in Old Rome, H.J. Haskell écrit qu'il a été intrigué par l'intervention du gouvernement dans le monde antique après avoir traversé l’Europe en automobile avec sa femme. Haskell a écrit: «La main de Rome est partout.» L’aqueduc alimentait encore la ville de Segovia en eau quand le coupe visita la ville historique à la fin des années 1930.
Et de même que les ouvriers du WPA ont construit le Cow Palace à San Francisco, l'aéroport La Guardia de New York et la promenade River Walk à San Antonio pendant la Dépression, les Romains ont construit des aqueducs dans de petites villes, des sites industriels et de grandes villes de la France à Istanbul. Mais les aqueducs étaient seulement une petite partie du style romain des nouveaux programmes d'affaire.
L'histoire engageante d'Haskell est un documentaire de voyage d'un observateur curieux qui a étudié comment les tentacules de Rome s’étendaient partout en Europe et quels programmes économiques servaient à amadouer ceux vivant dans les pays vaincus. C’est un excellent livre de l'histoire romaine et aussi un informateur ceux projetant un voyage en Europe. Il donne des informations que vous ne trouverez pas dans le guide Fodor.
Pour ceux qui pensent que Franklin Delano Roosevelt (FDR) a inventé les programmes fédéraux de ferme dans les années 1930, Haskell signale que Domitien a créé une administration d’aide agricole en l’an 91 de l’ère chrétienne.
Et la déconfiture du dollar a été précédé il y a des siècles par la dévaluation du denier, qui s’effondra de plus de de 95 pour cent à partir d’Auguste au début du premier siècle jusqu’à la fin du 3ème siècle sous Dioclétien.
Le nouvel accord de la Rome antique est contient tous les attributs connus, à partire des croissances économiques aux dépressionsa Nouvelle Affaire à Vieux Rome l'a tous : des booms et faillites des grandes entreprises. La largesse politique de Rome renait dans la prose d'Haskell. Dans les années 1930, l'auteur cherche à attirer l'attention sur les leçons du passé. Mais ses leçons furent ignorées alors comme maintenant. «Les dépenses pour des travaux publics inutiles, pour la bureaucratie et la défense, ont mené à la surtaxe, l'inflation et la ruine de la nécessaire classe moyenne et de ses meneurs,» écrit Haskell.
Washington chante que les affaires reprennent. Rome psalmodiait la même chanson aux citoyens de Segovia.
Source ici en américain
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samedi, novembre 14, 2009
jeudi, novembre 12, 2009
Ce que la médecine soviétique nous enseigne
TRADUCTION
Mises Daily le 21/8/2009
Yuri N. Maltsev
En 1918, l'Union soviétique est devenue le premier pays à promettre l'universalité des soins de santé du berceau à la tombe, par la socialisation complète de la médecine. Le droit à la santé» est devenu un droit constitutionnel des citoyens soviétiques.
Les avantages proclamés de ce système consistaient en ce qu'il réduirait les dépenses et éliminerait les pertes qui proviennent de la duplication inutile et du parallélisme - c'est-à-dire, la compétition.
Ces buts étaient semblables à ceux déclarés par Barrrack Obama et mme Pelosi - les buts attirants et humains de couverture universelle et de bas coûts. Où est la différence?
Le système a eu des décennies pour réussir, mais l'apathie répandue et la pauvre qualité du travail ont paralysé le système des soins. Dans les profondeurs de l'expérience socialiste, les établissements des soins en Russie étaient au moins cent ans derrière le niveau moyen AMÉRICAIN. De plus, la saleté, les odeurs, les chats errant dans les corridors, l’ivrognerie du personnel médical et l'absence de savon et de produits nettoyants, additionnés au désespoir et à la frustration, ont paralysé le système. Selon les évaluations officielles russes, 78 pour cent de toutes les victimes du sida en Russie ont contracté le virus par des aiguilles sales ou du sang contaminés par le virus dans les hôpitaux étatiques.
L'irresponsabilité s‘exprimant ainsi: «Ils feignent de nous payer et nous feignons de travailler,» a causé la piètre qualité des services, la corruption répandue et d’innombrables décès. Mon ami, un neurochirurgien célèbre en Russie d'aujourd'hui, recevait un salaire mensuel de 150 roubles - un tiers du salaire moyen d’un conducteur d'autobus.
Pour recevoir les services minimums des médecins et du personnel infirmier, les patients devaient donner des pots-de-vin. J'ai même été témoin d'un cas de non-paiement qui est mort en essayant d'atteindre un cabinet de toilette au bout du long couloir après une chirurgie cérébrale. L'anesthésie n'était pas chose usuelle pour les avortements ou les chirurgies mineures de l'oreille, du nez, de la la gorge et de la peau. C’était un moyen d'extorsion par les bureaucrates sans scrupules de la médecine.
Ayant été député populaire dans la région de Moscou de 1987 à 1989, j'ai reçu beaucoup de plaintes de négligence criminelle, de pots-de-vin pris par des apparatchiks de la médecine, des ambulanciers ivres et d'intoxication alimentaire dans les garderies et les hôpitaux. Je me rappelle le cas d'une fille de quatorze ans de ma zone qui est morte de néphrite aiguë dans un hôpital de Moscou. Elle est morte parce qu'un docteur avait décidé qu'il valait mieux économiser les précieux films radiographiques (importés par les Soviets contre de la monnaie forte) au lieu de la revérifier son diagnostic. Ces radios auraient réfuté son diagnostic de douleur neuropathique.
Au lieu de cela, le docteur a traité l'adolescente avec une compresse chaude, ce qui l'a tuée presque immédiatement. Il n'y avait aucun remède légal pour les parents et les grands-parents de la jeune fille. Par définition, un système de payeur unique ne peut pas permettre un tel remède. Les grands-parents de la fille ne pouvant pas faire face à cette perte sont tous les deux morts dans les six mois suivants. Le docteur n'a reçu aucune réprimande officielle.
Ce n’est pas étonnant que fonctionnaires et bureaucrates du gouvernement du Parti communiste, dès 1921 (trois ans après la socialisation de la médecine par Lénine), se rendent compte que le système égalitaire des soins était bon seulement pour leurs intérêts personnels comme donneurs, administrateurs et distributeurs de rations - mais pas comme utilisateurs privés du système.
Ainsi, comme dans tous les pays avec la médecine socialisste, un système à deux vitesses a été créé: un pour la masse populaire, et l'autre, d’un niveau de service complètement différent, pour les bureaucrates et leurs serviteurs intellectuels. En URSS, c'était souvent le cas que tandis que les ouvriers et des paysans mouraient dans les hôpitaux d'État, la médecine et l'équipement qui auraient pu les sauver demeuraient là inutilisés dans le système de nomenklatura.
À la fin de l'expérience socialiste, le taux de mortalité infantile officielle en Russie était de plus de 2,5 fois plus haut qu'aux États-Unis et plus de cinq fois que celui du Japon. Le taux de 24,5 morts par 1 000 naissances vivantes a été remis en question récemment par plusieurs députés au Parlement russe, qui prétendent que c'est sept fois plus haut qu'aux États-Unis. Ce serait un taux de mortalité russe de 55, comparé au taux américain de 8,1 par 1 000 naissances vivantes. (Au Québec, le taux est de 333,3 par 1 000 naissances à cause des avortements.)
Cela dit, je dois préciser que les États-Unis ont un des taux les plus hauts du monde industrialisé seulement parce qu'il compte tous les enfants morts en bas âge, incluant les bébés prématurés, qui comptent la majorité des morts infantiles.
La plupart des pays ne comptent pas les morts des prématurés. Certains ne comptent pas les morts qui arrivent dans les 72 premières heures. Quelques pays ne comptent pas même les morts dans les deux premières semaines de leur vie. À Cuba, qui se fait fort d’un taux de mortalité infantile très bas, les enfants en bas âge sont seulement enregistrés quand ils ont plusieurs mois, sortant ainsi hors de la statistique officielle toutes les nombreuses morts d'enfant en bas âge qui ont lieu dans les premiers mois de vie.
Dans les régions rurales de Karakalpakia, de Sakha, de Tchétchénie, de Kalmykia et d’Ingushetia, le taux de mortalité infantile est près de 100 par 1 000 naissances, mettant ces régions dans la même catégorie que l'Angola, le Tchad et le Bangladesh. Des dizaines de milliers d'enfants en bas âge tombent victimes de la grippe chaque année et la proportion d'enfants mourant de la pneumonie et la tuberculose sont en augmentation. Le rachitisme, causé par un manque de vitamine D et inconnu dans le reste du monde moderne, tue beaucoup de jeunes.
Les dégâts utérins sont répandus, merci aux 7,3 avortements que la femme moyenne russe subit pendant ses années de maternité. En gardant à l'esprit que beaucoup de femmes évitent les avortements, la moyenne de 7,3 signifie que beaucoup de femmes ont une douzaine ou plus d'avortements dans leur vie.
Même aujourd'hui, selon le Comité de statistique d'État, l'espérance de vie moyenne pour les hommes en Russie est de moins de 59 ans - 58 ans et 11 mois - tandis que celle des femmes est de 72 ans. La moyenne combinée est de 65 ans et trois mois. [1] En comparaison, la durée de la vie moyenne des Américains est de 73 ans et pour les Américaianes de 79 ans. Aux États-Unis, l'espérance de vie à la naissance pour la population totale a atteint un le record américain le plus élevé de 77,5 ans, de 49,2 ans qu’il était il y a un siècle. L'espérance de vie russe à la naissance est de 12 ans inférieur. [2]
Après soixante-dix ans de socialisme, 57 pour cent de tous les hôpitaux russes n'avaient pas l'eau chaude courante et 36 pour cent des hôpitaux situés dans les secteurs ruraux de la Russie n'avaient pas d'eau ou d’égout du tout. N’est-il pas étonnant que le gouvernement socialiste, en développant l'exploration spatiale et des armes sophistiquées, ignorerait complètement les besoins humains de base de ses citoyens?
La qualité épouvantable des services n'est pas simplement la caractéristique de la Russie barbare et autres nations de L'Europe de l'Est: c'est le résultat direct du monopole du gouvernement sur les soins et il peut arriver dans n'importe quel pays. En Angleterre civilisée, par exemple, la liste d'attente pour les chirurgies est presque de 800 000 pour une population de 55 millions. L'équipement dernier cri est inexistant dans la plupart des hôpitaux britanniques. En Angleterre, seulement 10 pour cent des dépenses des soins de santé proviennent du privé.
La Grande-Bretagne a ouvert la voie dans la technologie de dialyse des reins, mais encore le pays a un des taux de dialyse les plus bas dans le monde. La Brookings Institute (sûrement pas un partisan du libre marché) a constaté que chaque année 7 000 Britanniques attendant un remplacements de la hanche, entre 4,000 et 20,000 attendant un pontage coronarien, et environ 10 000 à 15 000 espérant une chimiothérapie, attendent encore et toujours en Grande-Bretagne.
La discrimination selon l'âge est en particulier apparente dans tous les systèmes lourdement étatisés des soins de santé. En Russie, les patients de 60 ans et plus sont considérés comme des parasites sans valeur et ceux de plus de 70 souvent n’ont pas droit aux soins élémentaires de santé.
Au Royaume-Uni, les 55 ans et plus n’ont pas droit à la dialyse dans 35 pour cent des centres de dialyse, quarante-cinq pour cent des patients des 65 ans et plus n’ont pas droit au traitement, et ceux de 75 et sont rarement soignés.
Au Canada, la population est divisée e trois tranches d'âge en termes de leur accès aux soins: ceux de 45 et moins, les 45-65 ans et les 65 et plus. Inutile de dire que le premier groupe, les contribuables actifs, sont prioritaires.
Les chantres de la médecine socialiste aux États-Unis emploient la tactique de propagande soviétique pour atteindre leurs buts. Michel Moore est un des propagandistes socialistes les plus en vue et efficaces aux États-Unis. Dans son film, Sicko, il compare injustement et défavorablement les services médicaux des patients plus vieux aux États-Unis aux soins des maladies complexes et incurables en France et au Canada pour les accouchements routiniers. S'il avait fait la réciproque - c'est-à-dire comparer les soins pour les accouchements routiniers aux États-Unis aux patients agés avec des maladies complexes et incurables dans des systèmes de soins socialisés - le film aurait été le même, sauf que le système des soins des États-Unis semblerait idéal et ceux du Royaume-Uni, du Canada etdea France sembleraient barbares.
Maintenant aux États-Unis nous subissons le lavement de cerveau pour accepter la discrimination selon l’âge dans le système de santé. Ezekiel Emanuel est le directeur du Clinical Bioethics Department (Département de bioéthique clinique) et aux US National Institutes of Health aux États-Unis et un architecte du plan de réforme des soins d'Obama. Il est aussi le frère de Rahm Emanuel, le chef du personnel d'Obama à la Maison Blanche. Foster Friess annonce qu'Ezekiel Emanuel a écrit que l'on ne doit pas garantir la sécurité sociale aux individus qui sont irréversiblement incapables de devenir des citoyens participants. Un exemple évident ne garantit pas de sécurité sociale aux déments. [3]
Dans une oeuvre de collaboration écrite par Emanuel purut dans le journal médical The Lancet en janvier 2009, les auteurs écrivent:
(âgisme: Attitude ou comportement visant à déprécier les individus du fait de leur âge. Ce terme, formé par analogie avec «racisme», «sexisme», s'emploie pour désigner la discrimination ou la ségrégation dont sont victimes des personnes du fait de leur âge, et plus particulièrement les personnes âgées.
Le regroupement des personnes âgées en catégories en fonction de leur âge chronologique («jeunes vieux», «vieux vieux», «troisième âge», «quatrième âge») peut être vu comme une manifestation d'âgisme.)
La médecine socialiste créera la bureaucratie massive du gouvernement - semblable à nos zones scolaires unifiées - imposera des mandats coûteux aux employeurs, détruisant les emplois en étendant la couverture et en imposant des contrôles des prix qui mèneront inévitablement aux manques et la mauvaise qualité de service. Il mènera aussi au rationnement d’économies réalisées par des moyens autres qu'une action sur les prix (c'est-à-dire, le rationnement basé sur des considérations politiques, la corruption et le népotisme) de soins par les bureaucrates du gouvernement.
Des économies réelles dans un système de soins socialisé pourraient être réalisées seulement en serrant les fournisseurs et en refusant les soins - il n'y a aucune autre façon de sauver. Les mêmes arguments ont été employés pour défendre l'agriculture de coton au Sud avant la Guerre civile. L'esclavage certainement réduit les coûts de main-d’oeuvre, élimine les pertes causées par la négociation pour des salaires et évite la duplication inutile et le parallélisme.
En supportant la vague de la médecine socialisée, les professionnels de la santé américains sont comme des moutons invitant les loups: ils ne comprennent pas que les coûts élevés des soins médicaux aux États-Unis sont partiellement dûs au fait que les professionnels de la santé américains ont le niveau le plus haut de rémunération dans le monde. Une autre source du hauts coûts de nos soins provient des règlements du gouvernement sur l'industrie, des règlements qui empêchent la compétition de baisser les coûts. Des règles existantes comme les certificats de besoin, les permis et autres restrictions de la disponibilité des services de soins empêchent la compétition et, donc, aboutissent à des coûts plus élevés et des services réduits.
Les systèmes socialisés médicaux n'ont pas amélioré la santé générale ou le niveau de vie n'importe où. En fait et le raisonnement analytique et la preuve empirique démontrent le contraire de la conclusion. Mais l'échec lamentable de la médecine socialiste pour améliorrer la santé populaire et la longévité n'a pas affecté son attrait pour les politiciens, les administrateurs et leurs laquais intellectuels en quête de pouvoir absolu et de contrôle total.
La plupart des pays asservis par l'empire soviétique ont délaissé le système entièrement socialiste par la privatisation et la en s’assurant qu’il y a de la compétition dans le système de santé. D'autres, incluant beaucoup de démocraties européennes socialistes, ont l'intention de privatiser le système de soins à la longue et de décentraliser le contrôle médical. On voit la propriété privée d'hôpitaux et d'autres unités comme un facteur déterminant critique d’un nouveau système plus efficace et humain.
Source ici en américain.
_________________________
Yuri N. Maltsev, de la Mises Institute, a travaillé comme économiste sur l'équipe de réforme économique de Mikhail Gorbachev avant de passer aux Etats-Unis. Il est le rédacteur de Requiem for Marx. Il enseigne l'économie au Carthage Collegeà.
Notes
[1] Russian Life Expectancy on Downward Trend (St. Petersburg Times, January 17, 2003).
[2] CRS Report for Congress: Life Expectancy in the United States." Updated August 16, 2006, Laura B. Shrestha, Order Code RL32792.
[3] Foster Friess, Can You Believe Denying Health Care to People with Dementia Is Being Considered? (July 14, 2009). See also Ezekiel J. Emanuel, Where Civic Republicanism and Deliberative Democracy Meet (The Hastings Center Report, vol. 26, no. 6).
[4] Govind Persad, Alan Wertheimer, and Ezekiel J. Emanuel, Principles for Allocation of Scarce Medical Interventions (The Lancet, vol. 373, issue 9661).
Mises Daily le 21/8/2009
Yuri N. Maltsev
En 1918, l'Union soviétique est devenue le premier pays à promettre l'universalité des soins de santé du berceau à la tombe, par la socialisation complète de la médecine. Le droit à la santé» est devenu un droit constitutionnel des citoyens soviétiques.
Les avantages proclamés de ce système consistaient en ce qu'il réduirait les dépenses et éliminerait les pertes qui proviennent de la duplication inutile et du parallélisme - c'est-à-dire, la compétition.
Ces buts étaient semblables à ceux déclarés par Barrrack Obama et mme Pelosi - les buts attirants et humains de couverture universelle et de bas coûts. Où est la différence?
Le système a eu des décennies pour réussir, mais l'apathie répandue et la pauvre qualité du travail ont paralysé le système des soins. Dans les profondeurs de l'expérience socialiste, les établissements des soins en Russie étaient au moins cent ans derrière le niveau moyen AMÉRICAIN. De plus, la saleté, les odeurs, les chats errant dans les corridors, l’ivrognerie du personnel médical et l'absence de savon et de produits nettoyants, additionnés au désespoir et à la frustration, ont paralysé le système. Selon les évaluations officielles russes, 78 pour cent de toutes les victimes du sida en Russie ont contracté le virus par des aiguilles sales ou du sang contaminés par le virus dans les hôpitaux étatiques.
L'irresponsabilité s‘exprimant ainsi: «Ils feignent de nous payer et nous feignons de travailler,» a causé la piètre qualité des services, la corruption répandue et d’innombrables décès. Mon ami, un neurochirurgien célèbre en Russie d'aujourd'hui, recevait un salaire mensuel de 150 roubles - un tiers du salaire moyen d’un conducteur d'autobus.
Pour recevoir les services minimums des médecins et du personnel infirmier, les patients devaient donner des pots-de-vin. J'ai même été témoin d'un cas de non-paiement qui est mort en essayant d'atteindre un cabinet de toilette au bout du long couloir après une chirurgie cérébrale. L'anesthésie n'était pas chose usuelle pour les avortements ou les chirurgies mineures de l'oreille, du nez, de la la gorge et de la peau. C’était un moyen d'extorsion par les bureaucrates sans scrupules de la médecine.
«L'esclavage a certainement réduit les coûts de main-d’oeuvre, éliminé les dépenses inutiles pour les négociations salariales, évité la duplication inutile et le parallélisme.»Pour améliorer la statistique concernant la mortalité élevée dans le système, on donnait généralement congé aux patients avant qu’ils ne donnent leur dernier souffle.
Ayant été député populaire dans la région de Moscou de 1987 à 1989, j'ai reçu beaucoup de plaintes de négligence criminelle, de pots-de-vin pris par des apparatchiks de la médecine, des ambulanciers ivres et d'intoxication alimentaire dans les garderies et les hôpitaux. Je me rappelle le cas d'une fille de quatorze ans de ma zone qui est morte de néphrite aiguë dans un hôpital de Moscou. Elle est morte parce qu'un docteur avait décidé qu'il valait mieux économiser les précieux films radiographiques (importés par les Soviets contre de la monnaie forte) au lieu de la revérifier son diagnostic. Ces radios auraient réfuté son diagnostic de douleur neuropathique.
Au lieu de cela, le docteur a traité l'adolescente avec une compresse chaude, ce qui l'a tuée presque immédiatement. Il n'y avait aucun remède légal pour les parents et les grands-parents de la jeune fille. Par définition, un système de payeur unique ne peut pas permettre un tel remède. Les grands-parents de la fille ne pouvant pas faire face à cette perte sont tous les deux morts dans les six mois suivants. Le docteur n'a reçu aucune réprimande officielle.
Ce n’est pas étonnant que fonctionnaires et bureaucrates du gouvernement du Parti communiste, dès 1921 (trois ans après la socialisation de la médecine par Lénine), se rendent compte que le système égalitaire des soins était bon seulement pour leurs intérêts personnels comme donneurs, administrateurs et distributeurs de rations - mais pas comme utilisateurs privés du système.
Ainsi, comme dans tous les pays avec la médecine socialisste, un système à deux vitesses a été créé: un pour la masse populaire, et l'autre, d’un niveau de service complètement différent, pour les bureaucrates et leurs serviteurs intellectuels. En URSS, c'était souvent le cas que tandis que les ouvriers et des paysans mouraient dans les hôpitaux d'État, la médecine et l'équipement qui auraient pu les sauver demeuraient là inutilisés dans le système de nomenklatura.
À la fin de l'expérience socialiste, le taux de mortalité infantile officielle en Russie était de plus de 2,5 fois plus haut qu'aux États-Unis et plus de cinq fois que celui du Japon. Le taux de 24,5 morts par 1 000 naissances vivantes a été remis en question récemment par plusieurs députés au Parlement russe, qui prétendent que c'est sept fois plus haut qu'aux États-Unis. Ce serait un taux de mortalité russe de 55, comparé au taux américain de 8,1 par 1 000 naissances vivantes. (Au Québec, le taux est de 333,3 par 1 000 naissances à cause des avortements.)
Cela dit, je dois préciser que les États-Unis ont un des taux les plus hauts du monde industrialisé seulement parce qu'il compte tous les enfants morts en bas âge, incluant les bébés prématurés, qui comptent la majorité des morts infantiles.
La plupart des pays ne comptent pas les morts des prématurés. Certains ne comptent pas les morts qui arrivent dans les 72 premières heures. Quelques pays ne comptent pas même les morts dans les deux premières semaines de leur vie. À Cuba, qui se fait fort d’un taux de mortalité infantile très bas, les enfants en bas âge sont seulement enregistrés quand ils ont plusieurs mois, sortant ainsi hors de la statistique officielle toutes les nombreuses morts d'enfant en bas âge qui ont lieu dans les premiers mois de vie.
Dans les régions rurales de Karakalpakia, de Sakha, de Tchétchénie, de Kalmykia et d’Ingushetia, le taux de mortalité infantile est près de 100 par 1 000 naissances, mettant ces régions dans la même catégorie que l'Angola, le Tchad et le Bangladesh. Des dizaines de milliers d'enfants en bas âge tombent victimes de la grippe chaque année et la proportion d'enfants mourant de la pneumonie et la tuberculose sont en augmentation. Le rachitisme, causé par un manque de vitamine D et inconnu dans le reste du monde moderne, tue beaucoup de jeunes.
Les dégâts utérins sont répandus, merci aux 7,3 avortements que la femme moyenne russe subit pendant ses années de maternité. En gardant à l'esprit que beaucoup de femmes évitent les avortements, la moyenne de 7,3 signifie que beaucoup de femmes ont une douzaine ou plus d'avortements dans leur vie.
Même aujourd'hui, selon le Comité de statistique d'État, l'espérance de vie moyenne pour les hommes en Russie est de moins de 59 ans - 58 ans et 11 mois - tandis que celle des femmes est de 72 ans. La moyenne combinée est de 65 ans et trois mois. [1] En comparaison, la durée de la vie moyenne des Américains est de 73 ans et pour les Américaianes de 79 ans. Aux États-Unis, l'espérance de vie à la naissance pour la population totale a atteint un le record américain le plus élevé de 77,5 ans, de 49,2 ans qu’il était il y a un siècle. L'espérance de vie russe à la naissance est de 12 ans inférieur. [2]
Après soixante-dix ans de socialisme, 57 pour cent de tous les hôpitaux russes n'avaient pas l'eau chaude courante et 36 pour cent des hôpitaux situés dans les secteurs ruraux de la Russie n'avaient pas d'eau ou d’égout du tout. N’est-il pas étonnant que le gouvernement socialiste, en développant l'exploration spatiale et des armes sophistiquées, ignorerait complètement les besoins humains de base de ses citoyens?
La qualité épouvantable des services n'est pas simplement la caractéristique de la Russie barbare et autres nations de L'Europe de l'Est: c'est le résultat direct du monopole du gouvernement sur les soins et il peut arriver dans n'importe quel pays. En Angleterre civilisée, par exemple, la liste d'attente pour les chirurgies est presque de 800 000 pour une population de 55 millions. L'équipement dernier cri est inexistant dans la plupart des hôpitaux britanniques. En Angleterre, seulement 10 pour cent des dépenses des soins de santé proviennent du privé.
La Grande-Bretagne a ouvert la voie dans la technologie de dialyse des reins, mais encore le pays a un des taux de dialyse les plus bas dans le monde. La Brookings Institute (sûrement pas un partisan du libre marché) a constaté que chaque année 7 000 Britanniques attendant un remplacements de la hanche, entre 4,000 et 20,000 attendant un pontage coronarien, et environ 10 000 à 15 000 espérant une chimiothérapie, attendent encore et toujours en Grande-Bretagne.
La discrimination selon l'âge est en particulier apparente dans tous les systèmes lourdement étatisés des soins de santé. En Russie, les patients de 60 ans et plus sont considérés comme des parasites sans valeur et ceux de plus de 70 souvent n’ont pas droit aux soins élémentaires de santé.
Au Royaume-Uni, les 55 ans et plus n’ont pas droit à la dialyse dans 35 pour cent des centres de dialyse, quarante-cinq pour cent des patients des 65 ans et plus n’ont pas droit au traitement, et ceux de 75 et sont rarement soignés.
Au Canada, la population est divisée e trois tranches d'âge en termes de leur accès aux soins: ceux de 45 et moins, les 45-65 ans et les 65 et plus. Inutile de dire que le premier groupe, les contribuables actifs, sont prioritaires.
Les chantres de la médecine socialiste aux États-Unis emploient la tactique de propagande soviétique pour atteindre leurs buts. Michel Moore est un des propagandistes socialistes les plus en vue et efficaces aux États-Unis. Dans son film, Sicko, il compare injustement et défavorablement les services médicaux des patients plus vieux aux États-Unis aux soins des maladies complexes et incurables en France et au Canada pour les accouchements routiniers. S'il avait fait la réciproque - c'est-à-dire comparer les soins pour les accouchements routiniers aux États-Unis aux patients agés avec des maladies complexes et incurables dans des systèmes de soins socialisés - le film aurait été le même, sauf que le système des soins des États-Unis semblerait idéal et ceux du Royaume-Uni, du Canada etdea France sembleraient barbares.
Maintenant aux États-Unis nous subissons le lavement de cerveau pour accepter la discrimination selon l’âge dans le système de santé. Ezekiel Emanuel est le directeur du Clinical Bioethics Department (Département de bioéthique clinique) et aux US National Institutes of Health aux États-Unis et un architecte du plan de réforme des soins d'Obama. Il est aussi le frère de Rahm Emanuel, le chef du personnel d'Obama à la Maison Blanche. Foster Friess annonce qu'Ezekiel Emanuel a écrit que l'on ne doit pas garantir la sécurité sociale aux individus qui sont irréversiblement incapables de devenir des citoyens participants. Un exemple évident ne garantit pas de sécurité sociale aux déments. [3]
Dans une oeuvre de collaboration écrite par Emanuel purut dans le journal médical The Lancet en janvier 2009, les auteurs écrivent:
«À la différence de l'assignation [des soins] par le sexe ou la race, l'assignation selon l'âge n'est pas de la discrimination désobligeante; chaque personne passe par des étapes de la vie différentes plutôt qu'un simple âge . Même si les 25 ans reçoivent ont la priorité sur les 65 ans, tous les 65 ans ont déjà eu 25 ans. Le traitement des 65 ans diffère à cause des stéréotypes ou des mensonges serait agéiste; les traiter différemment parce qu'ils ont déjà vécu plus d'années à vivre de l'est pas.» [4]
(âgisme: Attitude ou comportement visant à déprécier les individus du fait de leur âge. Ce terme, formé par analogie avec «racisme», «sexisme», s'emploie pour désigner la discrimination ou la ségrégation dont sont victimes des personnes du fait de leur âge, et plus particulièrement les personnes âgées.
Le regroupement des personnes âgées en catégories en fonction de leur âge chronologique («jeunes vieux», «vieux vieux», «troisième âge», «quatrième âge») peut être vu comme une manifestation d'âgisme.)
La médecine socialiste créera la bureaucratie massive du gouvernement - semblable à nos zones scolaires unifiées - imposera des mandats coûteux aux employeurs, détruisant les emplois en étendant la couverture et en imposant des contrôles des prix qui mèneront inévitablement aux manques et la mauvaise qualité de service. Il mènera aussi au rationnement d’économies réalisées par des moyens autres qu'une action sur les prix (c'est-à-dire, le rationnement basé sur des considérations politiques, la corruption et le népotisme) de soins par les bureaucrates du gouvernement.
Des économies réelles dans un système de soins socialisé pourraient être réalisées seulement en serrant les fournisseurs et en refusant les soins - il n'y a aucune autre façon de sauver. Les mêmes arguments ont été employés pour défendre l'agriculture de coton au Sud avant la Guerre civile. L'esclavage certainement réduit les coûts de main-d’oeuvre, élimine les pertes causées par la négociation pour des salaires et évite la duplication inutile et le parallélisme.
En supportant la vague de la médecine socialisée, les professionnels de la santé américains sont comme des moutons invitant les loups: ils ne comprennent pas que les coûts élevés des soins médicaux aux États-Unis sont partiellement dûs au fait que les professionnels de la santé américains ont le niveau le plus haut de rémunération dans le monde. Une autre source du hauts coûts de nos soins provient des règlements du gouvernement sur l'industrie, des règlements qui empêchent la compétition de baisser les coûts. Des règles existantes comme les certificats de besoin, les permis et autres restrictions de la disponibilité des services de soins empêchent la compétition et, donc, aboutissent à des coûts plus élevés et des services réduits.
Les systèmes socialisés médicaux n'ont pas amélioré la santé générale ou le niveau de vie n'importe où. En fait et le raisonnement analytique et la preuve empirique démontrent le contraire de la conclusion. Mais l'échec lamentable de la médecine socialiste pour améliorrer la santé populaire et la longévité n'a pas affecté son attrait pour les politiciens, les administrateurs et leurs laquais intellectuels en quête de pouvoir absolu et de contrôle total.
La plupart des pays asservis par l'empire soviétique ont délaissé le système entièrement socialiste par la privatisation et la en s’assurant qu’il y a de la compétition dans le système de santé. D'autres, incluant beaucoup de démocraties européennes socialistes, ont l'intention de privatiser le système de soins à la longue et de décentraliser le contrôle médical. On voit la propriété privée d'hôpitaux et d'autres unités comme un facteur déterminant critique d’un nouveau système plus efficace et humain.
Source ici en américain.
_________________________
Yuri N. Maltsev, de la Mises Institute, a travaillé comme économiste sur l'équipe de réforme économique de Mikhail Gorbachev avant de passer aux Etats-Unis. Il est le rédacteur de Requiem for Marx. Il enseigne l'économie au Carthage Collegeà.
Notes
[1] Russian Life Expectancy on Downward Trend (St. Petersburg Times, January 17, 2003).
[2] CRS Report for Congress: Life Expectancy in the United States." Updated August 16, 2006, Laura B. Shrestha, Order Code RL32792.
[3] Foster Friess, Can You Believe Denying Health Care to People with Dementia Is Being Considered? (July 14, 2009). See also Ezekiel J. Emanuel, Where Civic Republicanism and Deliberative Democracy Meet (The Hastings Center Report, vol. 26, no. 6).
[4] Govind Persad, Alan Wertheimer, and Ezekiel J. Emanuel, Principles for Allocation of Scarce Medical Interventions (The Lancet, vol. 373, issue 9661).
lundi, novembre 09, 2009
CHUTE DU MUR DE LA HONTE
Un historien allemand qui a été témoin de la chute du mur de Berlin explique pourquoi il ne semblait pas un événement important à l'époque
Roland Pietsch
LE 9 NOVEMBRE, 2009
TRADUCTION
Il a été révélé cette semaine qu'Angela Merkel se rendit le jeudi soir comme d'habitude au sauna avec un ami la nuit de la chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989. Tandis que des milliers de ses compatriotes Est-allemands passaient à Berlin-Ouest, la jeune physicienne, qui deviendra député un an plus tard et plus tard encore chancelier fédéral, se prélassait dans un bain de vapeur de Berlin-Est et allait prendre ensuite un pot avec un ami. «Je me suis dit que si le Mur était ouvert, il ne fermerait pas de nouveau, donc j'ai décidé d'attendre,» a-t-elle dit au Gardian.
Comme Ouest-allemand, élevé de l'autre côté du Mur de Berlin, j'étais aussi un peu nonchalant ce jour-là.
J'avais 18 ans, lors de ma dernière année scolaire. Le matin suivant, le 10 novembre, j'ai grimpé sur le Mur avec des camarades de classe et les photos sont entrées dans les livres d'histoire. «Monsieur, nous ne savions pas que vous étiez si vieux que ça!», a été la réponse générale des étudiants du cour d'histoire de la Queen Mary University de Londres quand ils ont vu des photo de moi.
Ces photographies sont devenues des symboles du 20ème siècle. Mais était-ce vraiment un moment si unique de ma vie?
Né à Berlin-Ouest, j'ai vécu avec le Mur durant toute ma jeunesse. Ma génération ne savait rien d'autre. Nous avons mis en doute l'existence du Mur aussi souvent que les Britaniques remettent en question l'eau qui entoure leur île: jamais.
En fait, nous n'avons presque jamais remarqué le Mur dans nore vécu quotidien. Berlin-Ouest était notre monde, un village se comportant comme une métropole. Quoiqu'on ait permis aux habitants de l'Ouest de traverser la frontière de Berlin-Est en achetant un visa, peu s'intéressaient à ce qui se passait de l'autre côté, dans la grisaille socialiste. Pour nous, le Mur était l'affaire de l'Est. Pour une majorité de Berlinois de l'Ouest, l'Est n'était qu'une terre désolée à traverser pour aller en vacances en Europe occidentale.
J'en savais un peu plus sur l'Est, puisque ma mère avait quitté l'Allemagne de l'Est et ses parents juste avant l'érection du Mur en 1961. Donc nous avons passé nos vacances en visite chez nos grands-parents, tantes et cousins sur la côte de la Mer Baltique.
En 1989, une nouvelle a ébranlé soudainement notre quotidien à propos des changements en Europe de l'Est. Des événements historiques sont devenus coutumiers, qui expliquent le calme inexplicable avec lequel le porte-parole embarrassé Est-allemand du gouvernement lisait à haute voix le communiqué de presse du libre accès pour les Est-allemands le 9 novembre au soir.
Je n'étais pas le seul: la plupart de mes amis se couchèrent cette nuit-là totalement indifférents de tout. L'ouverture limitée pour les Est-allemands avait déjà été débattue une semaine auparavant.
Mais peut-être avons-nous été aussi légèrement abasourdis. Était-ce un malentendu? L'ouverture style RDA voudrait dire aussi de longues listes d'attente de visa, seulement un membre de famille à la fois et des restrictions semblables? Personne ne croyait que les Est-allemands si dramatiquement exploiteraient l'ouverture des communications et le vide politique de leur gouvernement cette nuit-là en traversant simplement la frontière.
À l'âge pré-téléphone cellulaire, des millions dormaient calmement durant un événement historique. Mes deux cousins, à propos, avaient décidé de fuir l'Allemagne de l'Est par la frontière ouverte de la Hongrie quelques jours plus tôt. À leur arrivée chez-nous, la moitié de l'Allemagne de l'Est avait déjà fait l'aller-retour de Berlin-Ouest une fois.
Le matin suivant à l'école la dimension historique de l'événement fut saisie. Nous avons convaincu notre directeur de fermer l'école et d’aller ensemble visiter la Porte Brandenburg. Peu d'élèves l'ont finalement fait, la majorité préférant clairement profiter d’un jour de conger ailleurs.
L'atmosphère autour de la Porte était celle d’un parc d'attractions; il y avait une frivolité apolitique que des livres d'histoire sérieux ne saisissent jamais. Néanmoins, quand mes étudiants me demandent aujourd'hui comment je sentais d’être là, alors je dois admettre: «Oui c'était amusant, oui l'événement allait changer ma vie. Mais je dois aussi dire qu'il y a des événements infinis dans ma vie qui m’ont plus ému. Même à l'époque, me préparer pour un examen comptaient plus.
Rien n'illustre mieux ce manque d’importance des événements historiques pour un adolescent que la photo de moi et mes camarades de classe (ci-dessus). Je regarde ma caméra qui était au bout de son rouleau. J'en avais délibérément apporté un seul avec moi - les caméras digitales `n’existaient pas encore - voulant ménager sur les pellicules. Il en résulte 36 photos du jour de l’effondrement du Mur de Berlin - et 144 de mon jour de congé.
Encore que l’expression de mon visage semble dire que ce n’était pas le moment pour ménager sur la pellicule. Comment ai-je pu supposer que mon sens du manque historique serait ainsi préservé pour l'éternité, me forçant à justifier ma stupidité devant mes étudiants aujourd'hui?
J'ai fini mon cours en montrant des plans de coupe d'un documentaire de la B.B.C., une adaptation dramaturgique traditionnelle d'images chargées d’émotion et de musique, mais pas toujours conforme à l’histoire.
Encore là le pouvoir de ces images et de la musique m’attristait. J'ai compris que ces événements avaient beaucoup bouleversé ma mère. Et j'espérais que l'obscurité de l'amphithéâtre cache mes yeux un peu larmoyants.
Roland Pietsch
LE 9 NOVEMBRE, 2009
TRADUCTION
Il a été révélé cette semaine qu'Angela Merkel se rendit le jeudi soir comme d'habitude au sauna avec un ami la nuit de la chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989. Tandis que des milliers de ses compatriotes Est-allemands passaient à Berlin-Ouest, la jeune physicienne, qui deviendra député un an plus tard et plus tard encore chancelier fédéral, se prélassait dans un bain de vapeur de Berlin-Est et allait prendre ensuite un pot avec un ami. «Je me suis dit que si le Mur était ouvert, il ne fermerait pas de nouveau, donc j'ai décidé d'attendre,» a-t-elle dit au Gardian.
Comme Ouest-allemand, élevé de l'autre côté du Mur de Berlin, j'étais aussi un peu nonchalant ce jour-là.
J'avais 18 ans, lors de ma dernière année scolaire. Le matin suivant, le 10 novembre, j'ai grimpé sur le Mur avec des camarades de classe et les photos sont entrées dans les livres d'histoire. «Monsieur, nous ne savions pas que vous étiez si vieux que ça!», a été la réponse générale des étudiants du cour d'histoire de la Queen Mary University de Londres quand ils ont vu des photo de moi.
Ces photographies sont devenues des symboles du 20ème siècle. Mais était-ce vraiment un moment si unique de ma vie?
Né à Berlin-Ouest, j'ai vécu avec le Mur durant toute ma jeunesse. Ma génération ne savait rien d'autre. Nous avons mis en doute l'existence du Mur aussi souvent que les Britaniques remettent en question l'eau qui entoure leur île: jamais.
En fait, nous n'avons presque jamais remarqué le Mur dans nore vécu quotidien. Berlin-Ouest était notre monde, un village se comportant comme une métropole. Quoiqu'on ait permis aux habitants de l'Ouest de traverser la frontière de Berlin-Est en achetant un visa, peu s'intéressaient à ce qui se passait de l'autre côté, dans la grisaille socialiste. Pour nous, le Mur était l'affaire de l'Est. Pour une majorité de Berlinois de l'Ouest, l'Est n'était qu'une terre désolée à traverser pour aller en vacances en Europe occidentale.
J'en savais un peu plus sur l'Est, puisque ma mère avait quitté l'Allemagne de l'Est et ses parents juste avant l'érection du Mur en 1961. Donc nous avons passé nos vacances en visite chez nos grands-parents, tantes et cousins sur la côte de la Mer Baltique.
En 1989, une nouvelle a ébranlé soudainement notre quotidien à propos des changements en Europe de l'Est. Des événements historiques sont devenus coutumiers, qui expliquent le calme inexplicable avec lequel le porte-parole embarrassé Est-allemand du gouvernement lisait à haute voix le communiqué de presse du libre accès pour les Est-allemands le 9 novembre au soir.
Je n'étais pas le seul: la plupart de mes amis se couchèrent cette nuit-là totalement indifférents de tout. L'ouverture limitée pour les Est-allemands avait déjà été débattue une semaine auparavant.
Mais peut-être avons-nous été aussi légèrement abasourdis. Était-ce un malentendu? L'ouverture style RDA voudrait dire aussi de longues listes d'attente de visa, seulement un membre de famille à la fois et des restrictions semblables? Personne ne croyait que les Est-allemands si dramatiquement exploiteraient l'ouverture des communications et le vide politique de leur gouvernement cette nuit-là en traversant simplement la frontière.
À l'âge pré-téléphone cellulaire, des millions dormaient calmement durant un événement historique. Mes deux cousins, à propos, avaient décidé de fuir l'Allemagne de l'Est par la frontière ouverte de la Hongrie quelques jours plus tôt. À leur arrivée chez-nous, la moitié de l'Allemagne de l'Est avait déjà fait l'aller-retour de Berlin-Ouest une fois.
Le matin suivant à l'école la dimension historique de l'événement fut saisie. Nous avons convaincu notre directeur de fermer l'école et d’aller ensemble visiter la Porte Brandenburg. Peu d'élèves l'ont finalement fait, la majorité préférant clairement profiter d’un jour de conger ailleurs.
L'atmosphère autour de la Porte était celle d’un parc d'attractions; il y avait une frivolité apolitique que des livres d'histoire sérieux ne saisissent jamais. Néanmoins, quand mes étudiants me demandent aujourd'hui comment je sentais d’être là, alors je dois admettre: «Oui c'était amusant, oui l'événement allait changer ma vie. Mais je dois aussi dire qu'il y a des événements infinis dans ma vie qui m’ont plus ému. Même à l'époque, me préparer pour un examen comptaient plus.
Rien n'illustre mieux ce manque d’importance des événements historiques pour un adolescent que la photo de moi et mes camarades de classe (ci-dessus). Je regarde ma caméra qui était au bout de son rouleau. J'en avais délibérément apporté un seul avec moi - les caméras digitales `n’existaient pas encore - voulant ménager sur les pellicules. Il en résulte 36 photos du jour de l’effondrement du Mur de Berlin - et 144 de mon jour de congé.
Encore que l’expression de mon visage semble dire que ce n’était pas le moment pour ménager sur la pellicule. Comment ai-je pu supposer que mon sens du manque historique serait ainsi préservé pour l'éternité, me forçant à justifier ma stupidité devant mes étudiants aujourd'hui?
J'ai fini mon cours en montrant des plans de coupe d'un documentaire de la B.B.C., une adaptation dramaturgique traditionnelle d'images chargées d’émotion et de musique, mais pas toujours conforme à l’histoire.
Encore là le pouvoir de ces images et de la musique m’attristait. J'ai compris que ces événements avaient beaucoup bouleversé ma mère. Et j'espérais que l'obscurité de l'amphithéâtre cache mes yeux un peu larmoyants.
LA SOCIÉTÉ SAINT-JEAN-BAPTISTE
La Société Saint-Jean-Baptiste, une organisation non représentative qui prétend représenter les Canadiens-français du Québec et d’ailleurs, veut demander des excuses au prince Charles pour le prétendu génocide des Acadiens il y a 400 ans.
D’abord, les Acadiens en question refusaient de jurer allégeance à la couronne britannique selon la tradition de l’époque. Ils n’ont pas été exterminés mais expatriés. Les Acadiens sont toujours là, bien portants.
Mais là où le bas blesse, ce sont les 35 000 bébés avortés annuellement dans la province de Québec, non pas par les méchants Anglais, mais dans les CLSC et les cliniques spécialisées dans l’infanticide. Ensuite, comparez le nombre de morts entre la déportation des Acadiens qui n’avaient qu’à jurer fidélité à la couronne britannique et les bébés tués par les amis de la SSJB dans les usines de la mort depuis le début du programme d’élimination des bébés par des médecins formés pour tuer.
D’abord, les Acadiens en question refusaient de jurer allégeance à la couronne britannique selon la tradition de l’époque. Ils n’ont pas été exterminés mais expatriés. Les Acadiens sont toujours là, bien portants.
Mais là où le bas blesse, ce sont les 35 000 bébés avortés annuellement dans la province de Québec, non pas par les méchants Anglais, mais dans les CLSC et les cliniques spécialisées dans l’infanticide. Ensuite, comparez le nombre de morts entre la déportation des Acadiens qui n’avaient qu’à jurer fidélité à la couronne britannique et les bébés tués par les amis de la SSJB dans les usines de la mort depuis le début du programme d’élimination des bébés par des médecins formés pour tuer.
dimanche, novembre 08, 2009
Le projet de loi des soins de santé universelle passe sans le financement de l’avortement
Le 7 novembre 2009
Washington, DC - La version de la législation des services médicaux a passé de justesse avec un vote de 220-215 tard samedi soir, mais il a été fait sans le financement d'avortements.
Sweeping Health Care Plan Passes House
By CARL HULSE and ROBERT PEAR
Published: November 7, 2009
WASHINGTON — Handing President Obama a hard-fought victory, the House narrowly approved a sweeping overhaul of the nation’s health care system on Saturday night, advancing legislation that Democrats said could stand as their defining social policy achievement.
The New York Times
Democrats were forced to make major concessions on insurance coverage for abortions to attract the final votes to secure passage, a wrenching compromise for the numerous abortion-rights advocates in their ranks.
http://www.nytimes.com/2009/11/08/health/policy/08health.html?th&emc=th
Washington, DC - La version de la législation des services médicaux a passé de justesse avec un vote de 220-215 tard samedi soir, mais il a été fait sans le financement d'avortements.
Sweeping Health Care Plan Passes House
By CARL HULSE and ROBERT PEAR
Published: November 7, 2009
WASHINGTON — Handing President Obama a hard-fought victory, the House narrowly approved a sweeping overhaul of the nation’s health care system on Saturday night, advancing legislation that Democrats said could stand as their defining social policy achievement.
The New York Times
Democrats were forced to make major concessions on insurance coverage for abortions to attract the final votes to secure passage, a wrenching compromise for the numerous abortion-rights advocates in their ranks.
http://www.nytimes.com/2009/11/08/health/policy/08health.html?th&emc=th
LE MAJOR NIDAL MALIK HASAN EN ÉTATS MODIFIÉS DE CONSCIENCE
Le tireur fou d'Orlando ainsi que le tireur fou de Fort Hood étaient tous les deux sous l'influence de drogues psychiatriques
Samedi, le 07 novembre 2009
par
Mike Adams
(NaturalNews) Le major de l'Armée américaine Nidal Malik Hasan a abattu 13 personnes et blessé 30 autres dans une attaque violente à la base militaire du Texas la semaine passée. Il a censément ouvert le feu à la base de Fort Hood sans raison ou motif particuliers. En fait, comme psychiatre, il avait conseillé à beaucoup d'autres soldats comment faire face aux conséquences de la violence extrême (amputations, angoisse, etc.).
Comme psychiatre militaire, on lui a aussi permis de prescrire des drogues psychiatriques puissantes, et à ses patients et lui-même. Beaucoup de psychiatres se prescrivent eux-mêmes des médicaments et Hasan était extrêmement inquiet de la possibilité d'être envoyé outre-mer par l'armée, selon des déclarations des membres de la famille (Reuters, ci-dessous). Bien que la confirmation officielle ne soit jamais probablement faite, il semble tout probable qu'Hasan se traitait avec de puissants psychotropes.
Les médias dans la ligne du courant dominant, sans surprise, ont passé sous silence cette question. Mais elle est soulevée par des médias indépendants comme le Prison Planet, où l'auteur Paul Joseph Watson dit: «Les psychiatres ont une histoire d'automédication à cause de l'accès libre aux psychotropes. Dans presque chaque fusillade principale de masse des deux dernières décennies, depuis que les antidépresseur sont devenus populaires, le tueur était sur les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine.
Un article informatif dans le The Examiner demande aussi la même question: «Le major Hasan prenait-il des drogues capables de modifier l'activité mentale quand il a ouvert le feu?»
En attendant, une étude dans le journal Psychotherapy and Psychosomatics révèle que 16 % des psychiatres s'auto médicamentent.
Vu tous les psychotropes impliqués dans de tels actes dans les fusillades précédentes, un tel lien semble non seulement probable, mais presque certain.
Confirmation que le tireur d’Orlando prenait des psychotropes
Ce fut une semaine occupée pour les explosions de violence causés par des psychotropes aux États-Unis. Jason Rodriguez, le tireur fou d’Orlando, est maintenant reconnu avoir pris des psychotropes quand il a fait feu dans un immeuble à bureaux d’Orlando la semaine dernière, tuant une personne et en blessant cinq d'autres.
Dans une entrevue télévisé avec Fox News, l'ancienne belle-mère de Rodriguez a déclaré: «Il était sous médication... pour contrôler le cerveau.»
Ce segment vidéo est disponible ici:
Les psychotropes ont rendu Rodriquez paranoïaque, a-t-elle dit.
Cette paranoïa et la violence sont des effets secondaires classiques des psychotropes dans le traitement de la dépression. Ces psychotropes puissants, modifiant l’activité mentale, ont été liés presque à chaque fusillade de masse aux États-Unis pendant les vingt dernières années, incluant celle de Colombine au Colorado.
Pourquoi les fusillades continueront-elles jusqu’à ce que les psychotropes soient interdits
Ce qui est clair avec les fusillades d'Orlando et de Fort Hood, c’est qu'il y a un rapport de médicament psychiatrique entre les deux. Aucun de ces hommes n'agissaient rationnellement. Quelque chose a fait se court-circuiter des fils dans le cerveau. Ce quelque chose est presque certainement un psychotrope.
Tant que ne s'arrêtera pas l'holocauste chimique étant commis contre notre monde par l'industrie de drogue psychiatrique, nous continuerons à voir plus de ces fusillades violentes incitées par la drogue. Vous pouvez compter sur cela. Les drogues psychiatriques causent la violence. Et plus les psychotropes sont prescrits, plus nous verrons de violence .
Selon la statistique Medwatch, 63 000 personnes aux États-Unis se sont suicidées alors qu’ils étaient sous l’effet d'antidépresseurs. Incidemment, c’est plus de dix fois le nombre d’Américains qui sont morts de la grippe porcine H1N1.
Les médias dans la ligne du courant dominant refusent absolument de vous dire la vérité sur le lien entre les psychotropes et des meurtres violents, mais c'est le rapport évident dans presque tous les coups de feu qui ont eu lieu dernièrement: La fusillade de Virginia Tech, celle de Stephen Kazmierczak en Illinois, celle d’Omaha, et cetera.
En décembre, 2007, j'ai fait cette prédiction publique:
«Il y en aura plus. J'ai horreur de la précision de cette horrible prédiction, parce que je pleure pour les familles de ceux perdus par la violence causée par les psychotropes, mais la vérité est que tant que nous droguerons nos enfants avec des psychotropes, les fusillades vont continuer.»
Et en effet, il y a eu plus. Tant que ces drogues dangereuses, modifiant les états de conscience continueront à être prescrites aux patients, ils continueront à conduire les gens à la violence. Plus d’innocents seront massacrés tandis que l’industrie pharmaceutique s’en mettra plein de milliards dans les poches provenant des mêmes drogues qui cause la violence.
L’organisation des droits de l’homme Citizens Commission on Human Rights se bat contre l’holocauste chimique. Visionnez les vidéos choquants sur leur site Web pour en apprendre plus sur les dangers des psychotropes.
Sources:
Reuters
The Examiner
CCHR:
Samedi, le 07 novembre 2009
par
Mike Adams
(NaturalNews) Le major de l'Armée américaine Nidal Malik Hasan a abattu 13 personnes et blessé 30 autres dans une attaque violente à la base militaire du Texas la semaine passée. Il a censément ouvert le feu à la base de Fort Hood sans raison ou motif particuliers. En fait, comme psychiatre, il avait conseillé à beaucoup d'autres soldats comment faire face aux conséquences de la violence extrême (amputations, angoisse, etc.).
Comme psychiatre militaire, on lui a aussi permis de prescrire des drogues psychiatriques puissantes, et à ses patients et lui-même. Beaucoup de psychiatres se prescrivent eux-mêmes des médicaments et Hasan était extrêmement inquiet de la possibilité d'être envoyé outre-mer par l'armée, selon des déclarations des membres de la famille (Reuters, ci-dessous). Bien que la confirmation officielle ne soit jamais probablement faite, il semble tout probable qu'Hasan se traitait avec de puissants psychotropes.
Les médias dans la ligne du courant dominant, sans surprise, ont passé sous silence cette question. Mais elle est soulevée par des médias indépendants comme le Prison Planet, où l'auteur Paul Joseph Watson dit: «Les psychiatres ont une histoire d'automédication à cause de l'accès libre aux psychotropes. Dans presque chaque fusillade principale de masse des deux dernières décennies, depuis que les antidépresseur sont devenus populaires, le tueur était sur les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine.
Un article informatif dans le The Examiner demande aussi la même question: «Le major Hasan prenait-il des drogues capables de modifier l'activité mentale quand il a ouvert le feu?»
En attendant, une étude dans le journal Psychotherapy and Psychosomatics révèle que 16 % des psychiatres s'auto médicamentent.
Vu tous les psychotropes impliqués dans de tels actes dans les fusillades précédentes, un tel lien semble non seulement probable, mais presque certain.
Confirmation que le tireur d’Orlando prenait des psychotropes
Ce fut une semaine occupée pour les explosions de violence causés par des psychotropes aux États-Unis. Jason Rodriguez, le tireur fou d’Orlando, est maintenant reconnu avoir pris des psychotropes quand il a fait feu dans un immeuble à bureaux d’Orlando la semaine dernière, tuant une personne et en blessant cinq d'autres.
Dans une entrevue télévisé avec Fox News, l'ancienne belle-mère de Rodriguez a déclaré: «Il était sous médication... pour contrôler le cerveau.»
Ce segment vidéo est disponible ici:
Les psychotropes ont rendu Rodriquez paranoïaque, a-t-elle dit.
Cette paranoïa et la violence sont des effets secondaires classiques des psychotropes dans le traitement de la dépression. Ces psychotropes puissants, modifiant l’activité mentale, ont été liés presque à chaque fusillade de masse aux États-Unis pendant les vingt dernières années, incluant celle de Colombine au Colorado.
Pourquoi les fusillades continueront-elles jusqu’à ce que les psychotropes soient interdits
Ce qui est clair avec les fusillades d'Orlando et de Fort Hood, c’est qu'il y a un rapport de médicament psychiatrique entre les deux. Aucun de ces hommes n'agissaient rationnellement. Quelque chose a fait se court-circuiter des fils dans le cerveau. Ce quelque chose est presque certainement un psychotrope.
Tant que ne s'arrêtera pas l'holocauste chimique étant commis contre notre monde par l'industrie de drogue psychiatrique, nous continuerons à voir plus de ces fusillades violentes incitées par la drogue. Vous pouvez compter sur cela. Les drogues psychiatriques causent la violence. Et plus les psychotropes sont prescrits, plus nous verrons de violence .
Selon la statistique Medwatch, 63 000 personnes aux États-Unis se sont suicidées alors qu’ils étaient sous l’effet d'antidépresseurs. Incidemment, c’est plus de dix fois le nombre d’Américains qui sont morts de la grippe porcine H1N1.
Les médias dans la ligne du courant dominant refusent absolument de vous dire la vérité sur le lien entre les psychotropes et des meurtres violents, mais c'est le rapport évident dans presque tous les coups de feu qui ont eu lieu dernièrement: La fusillade de Virginia Tech, celle de Stephen Kazmierczak en Illinois, celle d’Omaha, et cetera.
En décembre, 2007, j'ai fait cette prédiction publique:
«Il y en aura plus. J'ai horreur de la précision de cette horrible prédiction, parce que je pleure pour les familles de ceux perdus par la violence causée par les psychotropes, mais la vérité est que tant que nous droguerons nos enfants avec des psychotropes, les fusillades vont continuer.»
Et en effet, il y a eu plus. Tant que ces drogues dangereuses, modifiant les états de conscience continueront à être prescrites aux patients, ils continueront à conduire les gens à la violence. Plus d’innocents seront massacrés tandis que l’industrie pharmaceutique s’en mettra plein de milliards dans les poches provenant des mêmes drogues qui cause la violence.
L’organisation des droits de l’homme Citizens Commission on Human Rights se bat contre l’holocauste chimique. Visionnez les vidéos choquants sur leur site Web pour en apprendre plus sur les dangers des psychotropes.
Sources:
Reuters
The Examiner
CCHR:
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