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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, mars 13, 2009

La place du créditiste n'est pas là

Que des hommes de partis entrent dans les parlements et que la majorité d'entre eux y soient des nouilles, des boutons à vote du côté du parti, c'est admissible - c'est tout ce qu'on attend d'un parti. Il y a là continuité plutôt que déchéance. Surtout, déception pour personne.

Mais que des gens d'idéal aillent dans cette «galère» se faire «happer» et «engluer», incapables d'y réaliser la centième partie de l'objectif au nom duquel ils réclamaient un mandat, c'est là une descente. Et ce sont ces déchus de mouvements d'idéaux qui découragent le peuple, bien plus que les momies des partis politiques traditionnels.

Ce ne sont pas des députés, ni des aspirants-députés, ni des organisateurs d'élections, mais des apôtres qu'il faut à un mouvement de salut.

De 1935 à 1958, la députation créditiste au Parlement d'Ottawa a varié en nombre. Commencée avec 17 députés, elle est descendue à certaines élections à 10 ou 12; elle atteignit son maximum de 19 en 1957 pour tomber à zéro en 1958. Disons que le moyenne a été de 15 au cours de ces vingt-trois années.

Si, au lieu de 15 hommes assis là pendant ces 23 ans, il y avait eu 15 apôtres du Crédit Social parcourant le Canada anglais pendant vingt-trois ans, non pas pour mousser leur candidature, mais pour porter le message authentique du Crédit Social, est-ce que la cause ne serait pas plus avancée aujourd'hui?

Puis, est-ce que les esprits n'auraient pas été plus ouverts au Crédit Social présenté comme doctrine de libération et de formation d'hommes, au lieu d'être associé à un parti cherchant à prendre la place des libéraux ou des conservateurs? Est-ce que les portes libérales et conservatrices n'auraient pas été plus accueillantes devant un porteur de vérité que devant un concurrent politique?

Les brouillons qui, dans la province de Québec, se groupent autour de Réal Caouette, ou derrière lui, essaient justement de faire ce qu'un adversaire de la cause créditiste aurait de plus efficace à suggérer pour l'entraver.

Réal Caouette et ses Judas ne sortent de leur embourgeoisement que pour essayer de saboter une œuvre qu'ils n'ont point fondée. Trop lâches pour partir de zéro, ils voudraient bousculer les bâtisseurs et installer leurs passions dans l'édifice. Ils voudraient détourner au service de leur gloriole un mouvement dont ils n'ont eu cure d'endosser les responsabilités. Ils sont prêts à le ternir, s'ils le pouvaient, en s'en faisant un escabeau pour leurs ambitions politiques. Ils en sont encore à la méthode vieillie et stérile des partis politiques, qui en matière de réforme n'a jamais apporté que déceptions au peuple. Les avatars électoraux les plus spectaculaires ne leur ouvrent pas les yeux; ou plutôt ils ferment délibérément les yeux pour ne consulter que leurs appétits: traits parasitaires de racketeers et de politiciens.

Vers Demain, 1er août 1958

jeudi, mars 12, 2009

Mensonge avant la culbute

Dans Vers Demain daté du 1er avril, mais paru quelques jours avant l'élection du 31 mars, nous écrivions, pour expliquer notre attitude envers la candidature de Réal Caouette:
«Ce n'est rien moins qu'un parti politique dont ils (Caouette et son groupe) veulent affliger notre mouvement créditiste, alors qu'ils connaissent parfaitement l'attitude intransigeante des responsables du Crédit Social à ce sujet.»
Nous donnions quelques signes des liaisons entre le groupe Caouette et les «pucerons» de Solon Low dans cette élection. Là-dessus, des créditistes de l'Abitibi allèrent trouver Réal Caouette pour lui poser deux questions, auxquelles ils voulaient une réponse avant de voter:

  1. Avez-vous l'intention de former un parti politique?

  2. Êtes-vous lié ou avez-vous l'intention de vous lier au parti de M. Low?

À chacune des deux questions, Caouette répondit par un «non» catégorique.

N'empêche que le 4 mai, à Québec, il appelait un ralliement de tous les groupes, les pucerons de Solon Low y compris. Il ajoutait qu'éventuellement son ralliement se joindrait au parti politique fédéral.

Tout cela, c'est la «fréquentation» avant le mariage. Les Judas annoncent leur premier congrès pour les 30 et 31 août, à Montréal. Et dans leur programme, la formation de deux comités, l'un de trois Judas, l'autre de trois pucerons.

L'union sera consommée.

La réponse de Caouette, à la délégation qui le questionnait à la veille de l'élection, valait donc ce que valent les paroles de politiciens. Le mensonge ne leur pèse pas.

Qui a dit vrai - Réal Caouette à cette occasion, ou bien Vers Demain du 1er avril sur le sujet?

Vers Demain, 1er septembre 1958



* * *

Et, en effet, le mariage a eu lieu, bien consommé.

Solon Low ayant démissionné comme leader du parti, pour cause de santé, la succession fut ouverte. Et Réal Caouette lui-même posa sa candidature au poste de chef national du PARTI du Crédit Social.

Au Congrès national du parti, c'est Robert Thompson qui fut élu chef, et Réal Caouette chef-adjoint.

Dans la mesure où son titre de chef-adjoint et les moyens dont il dispose le lui permettent, Réal Caouette hérite du projet formulé par Solon Lowen 1957: «Tuer l'Union des Électeurs dans l'œuf

Solon Lowa disparu de la scène avant l'Union des Électeurs. Il en sera de même de Caouette.

Douglas et l'électoralisme

Le Social Credit Secretariat, organisme fondé par le major Douglas lui-même, vient de rééditer une conférence donnée par le fondateur du Crédit Social, le 7 mars 1936. Ce jour-là, Douglas ne parlait pas à un public quelconque, mais à des créditistes.

Dans cette conférence, Douglas recommande la politique de pression et condamne vigoureusement la méthode parti politique, surtout celle d'un parti «du Crédit Social». Il condamne cette méthode, non seulement parce qu'elle est d'avance vouée à l'échec, mais parce que c'est lier la belle chose qu'est le Crédit Social à une politique de boîte électorale. Douglas va jusqu'à dire:

«Si vous élisez un parti du Crédit Social, en supposant que vous en soyez capables, je puis vous dire que je considérerais l'élection d'un parti créditiste au pouvoir en ce pays comme une des plus grandes catastrophes qui puisse arriver.»
La fonction propre d'un député, expliquait Douglas, c'est de recevoir et transmettre au gouvernement l'expression de la volonté légitime de ses électeurs. La fonction propre d'un gouvernement, c'est d'accueillir cette demande et de donner aux experts l'ordre d'y faire suite (aux experts, donc aux financiers pour la finance). Non pas dire à ces experts comment s'y prendre, mais leur désigner le résultat à obtenir et exiger ce résultat.

Et le rôle du peuple, lui, c'est de prendre conscience des objectifs qu'il veut communément et d'exprimer cette volonté à ses représentants. C'est là que ça doit commencer, de là que ça doit partir, chez les électeurs. Donc, au lieu de placer l'importance sur l'élu, la placer sur les électeurs.

Selon les mots de Douglas:

«Si vous admettez que le but, en envoyant des représentants au parlement, est d'obtenir ce que vous voulez, pourquoi élire une catégorie spéciale d'hommes, un parti spécial plutôt qu'un autre? Les hommes qui sont là sont capables de passer vos commandes - c'est là leur rôle. Ce n'est pas leur rôle de dire comment cela sera obtenu. Le comment doit être laissé aux experts.»
C'est le quoi qui doit être signifié aux experts, et ce quoi doit procéder d'abord des citoyens eux-mêmes.

L'électoralisme a perverti le sens de la démocratie. Les partis politiques ne sont bons qu'à diviser le peuple, affaiblir sa force et le conduire à des déceptions. Y ajouter un parti nouveau ne peut qu'ajouter une autre déception sous un autre nom. Déception encore plus funeste si l'aventure traîne avec elle le vocable d'une cause excellente comme celle du Crédit Social.

Vers Demain, 1er novembre 1958



Douglas a aussi écrit en 1951:

«Incompatibles (avec le Crédit Social): Le collectivisme, le matérialisme dialectique, le totalitarisme, la philosophie et la ligne de conduite judéo-maçonniques. La démocratie de la boîte électorale incorpore tous ces incompatibles-là
"Parti", contraire de Crédit Social.


Un vrai créditiste ne peut pas être un homme de parti. Parti et Crédit Social sont deux termes qui s'excluent l'un l'autre, par la nature et la définition de ce qu'ils signifient.


Soif du pouvoir

Le parti politique organise un groupe autour de politiciens pour essayer de prendre le pouvoir. Le Crédit Social conçoit le pouvoir redistribué aux individus: le pouvoir économique, par la garantie d'un dividende permettant à chaque individu de commander à la production les biens dont il a besoin; le pouvoir politique, en faisant de l'État la chose des personnes, au lieu des personnes la chose de l'État.
La formule de parti porte les citoyens à mettre leur confiance dans un groupe de politiciens. Le Crédit Social apprend aux citoyens à prendre eux-mêmes leurs responsabilités et, en politique, à se faire les surveillants et la conscience des gouvernements.

Le parti politique divise le peuple, en formant un groupe pour lutter contre d'autres groupes à la recherche du même pouvoir; or toute division affaiblit. Le Crédit Social unit les citoyens autour d'aspirations fondamentales communes et les invite à unir leurs demandes pour qu'y soit fait suite par les gouvernants, quel que soit le parti au pouvoir. Si le peuple n'est pas assez fort pour mettre un gouvernement à son service, ce n'est pas le gouvernement qu'il faut changer, mais le peuple qu'il faut travailler à rendre plus puissant; cela ne se fait certainement pas par la division, mais par l'union. D'où la formule «Union des Électeurs».


Avec le pouvoir, la contrainte

Le parti politique veut le pouvoir, donc le droit de contraindre, car le pouvoir s'exerce par des mesures administratives, législatives, exécutives qui obligent sous peine de sanctions. C'est le contraire du Crédit Social, qui répugne à la coercition («compulsion», dit Douglas) et préconise la persuasion («inducement»). Le Crédit Social a horreur de l'obligatoire, il est pour la liberté de choix; or, tout ce qui vient du gouvernement est obligatoire.

Le créditiste qui s'inféode à un parti, de n'importe quelle dénomination, pour la conquête du pouvoir, démontre par là même qu'il n'est pas véritablement créditiste, même s'il en porte le titre et quand même il connaîtrait très bien les propositions monétaires du Crédit Social. Il fait penser à un chrétien qui, tout en connaissant très bien les enseignements de l'Évangile, même au point de pouvoir les présenter aux autres, se conduirait d'après un esprit exactement contraire.


Aux pieds de l'argent

Le Crédit Social dénonce la dictature de l'argent. Or, ne voit-on pas des créditistes devenus électoralistes compter surtout sur la force de l'argent pour atteindre leur but?

En 1944, Manning disait à l'Association Créditiste du Canada, en Convention à Toronto, qu'il était prêt à accepter l'argent de n'importe quelle source il vienne. Et l'organisateur de Caouette, Laurent Legault, disait de même à un petit groupe de pucerons réunis à Guigues le 10 août 1958: «L'argent, on en aura, même s'il faut se mettre à quatre pattes pour l'avoir

Dans le parti des Déraillés, on donne plus d'importance à l'argent qu'aux hommes. Les hommes, ça ne compte que comme voteurs une fois tous les quatre ans! C'est certainement loin du Crédit Social, cela.


Corruption

D'ailleurs, la recherche de sièges parlementaires s'accompagne généralement, pour ne pas dire toujours, de la convoitise des prébendes attachées aux sièges parlementaires. Appétit de l'argent en plus de l'appétit des honneurs. Et comme cet appétit, au lieu de s'assouvir, augmente à mesure qu'on lui cède, il arrive trop souvent que l'indemnité parlementaire ne peut plus satisfaire son homme. Il explore alors des sources extra-parlementaires où peut sombrer son sens de l'honnêteté.

Ce ne sont point là des propos imaginaires. C'est en se basant sur des constatations que Lord Acton a pu écrire: «Tout pouvoir tend à corrompre, et le pouvoir absolu corrompt absolument.»

Nous pourrions en donner des exemples sans avoir à sortir du Canada.

Vers Demain, 15 janvier 1962

mardi, mars 10, 2009

Par un peuple éclairé et formé

L'Institut d'Action Politique, qui publie cette brochure, édite deux journaux: Vers Demain en français, The Union of Electors en anglais.

Ce sont deux journaux d'orientation politique, mais détachés de tout parti. La doctrine qu'ils propagent est la doctrine du Crédit Social, présentée au monde pour la première fois en 1918, par un Écossais de génie, le Major C. H. Douglas. Mais l'Institut qui publie ces deux organes n'est pas du tout un parti politique. L'Institut d'Action Politique est une école. Une école d'enseignement et de formation, d'enseignement créditiste et de formation créditiste. Cette école ne se contente pas d'exposer les propositions financières énoncées par Douglas, mais à l'exemple de ce grand maître, elle met en relief la philosophie dont s'inspire sa politique monétaire.

La politique monétaire n'est qu'un moyen en vue d'une fin. La fin du Crédit Social pourrait se résumer en une courte phrase: Rendre chacun capable d'être maître chez soi. Maître de l'organisation de sa vie, du choix de sa profession, de l'emploi de son temps. Maître de ses biens, de sa propriété. Libre d'accepter ou de refuser tout programme placé devant lui, d'y participer ou de s'en abstenir; libre d'entrer ou non dans une association qui l'invite, et libre d'en sortir quand tel est son choix.

Cela va bien au delà d'une seule réforme financière, car il peut y avoir et il y a d'autres forces qui s'opposent à la liberté de choix de l'individu. Mais la première condition pour qu'un homme devienne maître chez lui, c'est que lui-même le veuille, d'une volonté ferme, et qu'il pose personnellement des actes dirigés dans ce sens - ce qui est loin de se fier aux aléas d'une élection.

Douglas n'a jamais conseillé la formation d'un parti politique de Crédit Social. Nous avons déjà cité ses paroles à un auditoire créditiste:

«Si vous réussissez à élire un parti de Crédit Social, en supposant que cela soit possible, je considère que l'élection d'un parti de Crédit Social au pouvoir en ce pays serait la plus grande catastrophe qui puisse arriver.»

C'est le maître qui parle ainsi. Le maître, dont certains politiciens de chez nous prétendent être les disciples alors qu'ils s'évertuent à faire ce qu'il condamne expressément.

Au Canada, le résultat de la dernière élection fédérale a bien démontré, à quiconque n'a pas la tête tournée, l'inutilité de compter sur des élections pour arriver au Crédit Social. Non seulement elles n'y conduisent pas, mais elles font exactement le contraire.



Pour les candidats ou pour le peuple?

Non, ce n'est pas un parti, ce ne sont pas des campagnes électorales, qui feront jamais un peuple créditiste. Les partis existent pour essayer de mettre de leurs membres dans les parlements, donc pour faire des campagnes électorales. Et les campagnes électorales sont faites pour les candidats, pas pour le peuple. En temps de campagne électorale, ce ne sont pas les hommes politiques qui travaillent pour le peuple, c'est le peuple qu'on fait travailler pour les aspirants au pouvoir. Les campagnes électorales peuvent apporter quelque chose aux candidats, elles ne donnent rien au peuple. Ce n'est pas une affaire du peuple, c'est une affaire des politiciens.


Pour un peuple puissant

La puissance financière n'est pas venue d'un coup sec, et elle ne disparaîtra pas d'un coup sec. Elle est aujourd'hui solidement installée; et ce ne sont certainement pas des croix à la mine de plomb tous les trois, quatre ou cinq ans, qui la délogeront de ses retranchements. Une seule puissance peut lui faire face: celle de tout un peuple, d'un peuple suffisamment renseigné, et uni pour exiger le changement qui s'impose dans le régime financier.

C'est à former ce peuple puissant que s'applique l'Institut d'Action Politique, par ses journaux, ses brochures et autres moyens de diffusion. C'est pour faire le peuple prendre conscience de sa force, que l'Institut entraîne des citoyens à poser des actes auprès des corps publics, à tous les échelons, au municipal, au provincial, au fédéral.

C'est pous ne pas perdre notre temps, ni le faire perdre aux créditistes, que notre mouvement travaille à construire du solide, par l'éducation, la formation d'hommes, pour des acquisitions qui durent; et non pas à monter sur du sable mouvant des structures que le moindre vent ou la moindre vague peuvent faire culbuter.


Vers Demain, 15 juin 1959

La République Universelle


Ce qu'il y a de plus pénible, dans la tempête affreuse qui secoue la civilisation jusque dans ses fondements les mieux assis, c'est l'aveuglement général. Plus triste que les pertes gigantesques de l'humanité, et ses profondes blessures est cette cécité collective qui semble avoir frappé les victimes.

Partout on manifeste étonnement, surprise. En tout milieu on entend demander: "Mais qu'est-ce qui se passe? Où va-t-on? Qu'est-ce qui s'en vient? Qu'arrivera-t-il demain?".

Pour la foule, cette pauvre foule exploitée, trimée, ignorante, qui fait confiance à ses chefs, qui espère en la sagesse de ceux qui la dirigent, on comprend qu'elle ne voie rien, qu'elle n'apprécie pas le cours et la portée des événements. Mais pour les chefs en autorité, pour les dirigeants, les élites, il n'y a pas d'excuse à l'aveuglement, à l'incompréhension, au manque de vision. Puisque "gouverner c'est prévoir", leur rôle et leur devoir de gouvernants ou de chefs est de prévoir clairement les conséquences inévitables des actes posés par les hommes.

Il faut cependant dire -sans que ce soit une excuse - que depuis que la politique a rompu avec le christianisme il y a bientôt deux siècles, en se livrant au libéralisme, elle n'a fait que s'enliser toujours plus rapidement dans les ténèbres et dans la confusion.


LE LIBÉRALISME

On nomme Lucifer, qui fut le plus lumineux, le plus brillant des êtres créés, "le prince des ténèbres". À quoi peut tenir un renversement aussi total chez un même être, une chute du pinacle de la lumière jusqu'au tréfonds de la noirceur, l'effondrement de l'extrémité d'un sommet jusqu'à l'extrémité d'un abîme? Au principe libéral proclamé par Lucifer, principe qui fait de la raison de la créature la loi suprême de cette même créature, lui confère toute autorité sur elle-même, en fait l'origine de tout pouvoir qu'elle peut exercer, soustrait la créature à la volonté du Créateur. C'est le divorce total, la révolte sans compromis du fini contre l'Infini; c'est, sinon la déification de la raison personnelle, de l'ego qui pense, du moins son élévation à la hauteur de Dieu même sur le plan des attributions de l'Autorité, du Pouvoir et du Droit.

S'il est vrai que la lumière ne peut venir que de la source de toute lumière, Dieu Lui-même, il est pareillement vrai que l'éloignement de Dieu ne peut conduire qu'aux ténèbres. En faisant de la raison humaine l'Absolu suprême dont découlent tout commandement, toute loi et toute initiative, le libéralisme a posé le même geste que Lucifer. Et la politique en a subi la même chute terrifiante, chute qui n'est pas encore rendu à son terme mais qui s'accentue chaque jour davantage vers des ténèbres plus épaisses et un chaos plus profond, dont le communisme donne une première image. Dans des termes plus compréhensibles au profane, c'est ce que le Pape Pie XI expliquait de façon plus courte et plus claire lorsque, dans sa lettre encyclique "Quadragesimo Anno", il disait; "Le socialisme a le libéralisme pour père et le communisme pour héritier".

Maintenant, en cette ère de politique absolue, les impératifs de la politique sont acceptés par tous sans discussion ni esprit critique, ce qui explique que le libéralisme, le socialisme ou le communisme ont pénétré partout et gangrené tous les milieux.

LA DÉMOCRATIE

Pour faire oublier la funeste chose, on donne un nom populaire au système politique auquel elle préside: DÉ - MO - CRA - TIE ! Y a-t-il aujourd'hui en ce monde un mot plus propagé que celui-là, soit de ce côté-ci, soit de l'autre côté du "rideau de fer"? C'est un mot qu'on ne définit jamais parce qu'aucune définition n'en peut se prouver par la réalité des faits concrets. Pourtant, c'est le mot qu'on vénère le plus, qu'on respecte le plus, qu'on encense le plus. C'est le mot initial et final, l'alpha et l'oméga qui comprend tout, qui renferme tout en lui-même. Si vous vivez, si vous respirez, si vous pouvez manger, travailler, chanter, rêver, être parfois heureux, si la machine à vapeur fonctionne, si l'électricité donne ses services, si le microscope grossit les objets, si nous avons des théâtres et des hôpitaux, si le soleil luit et le blé pousse, si les rivières coulent et le vent souffle, si même vous pouvez croire à quelque chose et ériger des temples, il n'y a qu'une explication à tout cela: D É M O C R A T I E ! Eliminez la démocratie, c'est la fin du monde, c'est le néant. Écoutez nos libéraux, nos socialistes et nos communistes hurler le mot, s'en gargariser avec des trémolos hystériques, voyez-les rouler des yeux extasiés quand ils le déclament, la bouche pâteuse, écumeuse, et vous comprendrez l'importance donnée à cette idole, ce fétiche des temps modernes, que le libéralisme nous fait adorer à la place du Dieu qu'il a détrôné parmi les hommes en niant ses droits publics sur les hommes, Cette idolâtrie, la plus stupide de toutes puisqu'elle ne repose sur rien du tout, explique pourquoi la partisannerie politique exerce sur les foules ignorantes une autorité plus forte qu'un culte religieux et, par voie de conséquence, que la matière a plus de prix que les choses de l'Esprit. Là encore, on ne peut blâmer ces pauvret foules, brebis dociles qui ont suivi les bergers mais ont commencé, d'instinct, à les déserter, devant le danger. Cependant on ne saurait acquitter les chefs, les bergers, qui ont trahi leur mission de conduire le troupeau vers des pâturages plantureux et des terres pacifiques pour le lancer dans des précipices et des torrents dangereux, exposé aux pires intempéries et aux menaces des bêtes fauves.

Non seulement les chefs de la société ont conduit le troupeau sur le bord même de l'abîme, mais encore ils ont laissé usurper autorité, direction, contrôle, avec ce résultat que ce sont les éléments de destruction et de carnage qui aujourd'hui, dans la moitié du genre humain, règnent sans partage tandis que dans l'autre moitié, les mêmes éléments se préparent à compléter une conquête déjà commencée.


GUERRES DE 1914 ET DE 1939

La paix et la possibilité de paix ont disparu de ce monde depuis 1914. Cette date a marqué le commencement du grand entre-déchirement de l'Europe, de la race blanche. Ce que l'on a appelé la première Guerre Mondiale a initié dans notre monde moderne une ère de retour à la barbarie et à la brutalité antiques, le grand divorce définitif avec ce que le moyen-âge avait échafaudé de chevalerie et de gentilhommerie, le dernier assaut contre la charité: c'est-à-dire les fondements mêmes du christianisme; le commencement d'une guerre des nerfs qui n'a pas cessé un seul instant depuis, l'élimination du nom de Dieu dans les grands conseils supérieurs des nations, l'effritement de l'idée de nationalisme et, par voie de conséquence, de l'idée qui présida toujours à son origine: l'idée de famille; puis la mise en oeuvre de l'internationalisme aspirant à régenter le monde avec la Ligue des Nations. Ce que l'on a appelé la Deuxième Guerre Mondiale n'a pas été autre chose que la continuation et l'extension de ce vaste programme entrepris par la première.

Que de livres, que de mémoires, que d'archives, que de chroniques n'a-t-on pas publiés, dans tous les pays du monde, sur ces deux guerres? Pourtant, quand on a lu ce gigantesque amas de prose, qui entre dans une infinité de détails sur les opérations militaires et les manoeuvres politiques, on n'est pas plus avancé. Nul ne situe les événements dans le grand cadre de l'Histoire, nul ne les interprète en fonction de leur influence sur l'état présent de l'Humanité, nul n'établit leurs rapports avec d'autres événements qui ont une concordance commune avec la marche du monde vers un même but. Il semble que l'immense majorité des auteurs est incapable de s'élever au-dessus du plan local ou de la scène restreinte où ils ont joué un rôle, d'élargir leur vision au-delà d'un certain horizon, de voir le monde comme un tout, de prendre conscience d'un vaste jeu d'ensemble dans le développement du drame mondial. J'ai dit "l'immense majorité des auteurs", parce qu'il en existe une petite minorité qui a non seulement le souci, mais apparemment l'intérêt très vif du sort de toute l'humanité, avec une mentalité à lui donner, des formes politiques et sociales à lui imposer, bref un but précis à atteindre. Je vous en reparlerai dans quelques instants.

ERREURS ET MENSONGES

On a apporté bien des causes aux deux guerres mondiales de 1914 et 1939, que l'on commence aujourd'hui à ne considérer que comme une seule guerre qui n'est pas encore terminée, que l'on nomme souvent "la drôle de guerre" et dont on qualifie les accalmies du nom de "la drôle de paix".

Suivant les auteurs, on attribue ces guerres à des causes différentes. Pour la première, celle de 1914-1918, on a dit qu'elle était due au panslavisme russe qui voulait avaler définitivement les Balkans et ouvrir à la Russie un débouché sur la Méditerrané; à l'esprit de revanche français qui voulait réparer la défaite de 1870; au militarisme prussien et à l'esprit de conquête des Hohenzollern; aux nécessités de l'impérialisme anglais qui voulait consolider ses riches possessions du sud-africain et assurer la sécurité de sa ligne vitale vers l'Inde aux dépens de l'empire ottoman; à l'intransigeance des Habsbourg d'Autriche-Hongrie qui voulaient raffermir l'édifice branlant du Saint Empire; sans mentionner les causes attribuées aux rivalités navales et commerciales. Pour la guerre de 1939, Perlin prétendait vouloir détruire ce que nous-mêmes admettions être "le cercle de fer autour de l'Allemagne", défendre sa propre vie contre un boycott mondial organisé pour l'étouffer: les soi-disant "démocraties" prétendaient vouloir délivrer la sainte Pologne (qu'elles ont par la suite livrée à la dictature soviétique), sauver l'humanité d'un Hitler qui voulait avaler le monde, puis nous défendre dans une sainte Croisade contre l'Antéchrist annoncé depuis vingt siècles. Et quand le Japon entra en lice, on fit surgir le spectre du péril jaune, contre lequel un demi-milliard de Chinois, Indochinois et autres Jaunes furent invités à nous défendre.

Toutes ces explications des deux premières guerres mondiales, et bien d'autres thèses encore, répétées incessamment par une propagande qui se déverse sur le monde en torrents impétueux, sont la cause de l'aveuglement, de la confusion et des ténèbres qui nous enveloppent de toutes parts. Nos élites du haut savoir, nos chefs responsables censés nous nourrir de vérité, ont avalé, digéré puis «revomi» tout ce fatras d'erreurs et de mensonges. Ils ont (non pas trouvé) mais absorbé en gogos toutes les explications fantaisistes imaginables qu'on leur a présentées sur l'agonie imposée au monde depuis 1914, ils ont pompeusement «remâchouillé» toutes les platitudes et toute les sornettes de la propagande sauf la vérité, la réalité, l'exact état des faits.


LA VÉRITÉ

La vérité est si simple qu'elle ne peut pénétrer un cerveau compliqué; elle est si claire qu'elle est repoussée par une cervelle enténébrée; elle est si franche qu'elle n'est pas accueillie par un esprit entaché d'erreur. Un monde pourri, saturé, imbibé de la pire des erreurs: le libéralisme; macéré, mariné dans cette quintessence de mensonge, est-il capable de voir la Vérité même s'il la regarde bien en face? Pas plus qu'un homme qui, sortant d'une cave obscure, tenterait de contempler le soleil radieux du midi.

Cette vérité qu'on ne peut pas voir, qu'en certains cas on refuse délibérément de voir, c'est que les hécatombes de 1914 et 1939 n'ont pas été des guerres mondiales; ce furent tout simplement les deux premières phases de la Révolution Mondiale patiemment préparée depuis 1789; les deux premiers actes de la grande tragédie que rien ne peut plus arrêter et qui doit se terminer, de notre temps, par un troisième et dernier acte, plus palpitant, plus compliqué, plus bouleversant que les deux premiers, et dont l'issue nous présentera le communisme, le Matérialisme ou Libéralisme triomphant sur toute l'humanité subjuguée; ou bien l'Esprit vainqueur de la Matière, la Vérité planant victorieuse sur les débris de l'Erreur.

Les auteurs les plus sérieux, tant de gauche que de droite, ont écrit que la Révolution Française avait déclenché un mouvement mondial qui devait aboutir à une Révolution Mondiale, la vraie, la grande, la désirée, dont la Révolution Française n'avait été qu'un premier essai, un début, l'impulsion initiale. Avant de déclencher cette Révolution Mondiale, que les esprits simplistes attendent toujours mais dans laquelle un monde épuisé se débat depuis déjà trente-six ans, il fallait préparer les institutions, les états, les foules, les chefs politiques, sociaux et religieux. Et comme ils l'ont été! Par le naturalisme, le matérialisme, le rationalisme, le tolérantisme, les postulats et leurs conséquences de la trilogie Liberté-Égalité-Fraternité, par les enseignements et les sophismes de la trinité des temps modernes: libéralisme-socialisme-communisme, qui n'est en somme qu'une seule et même chose, une seule et même essence à des stages de maturité différents comme le sont le pépin, le pommier et la pomme.

Une guerre n'apporte aux états qui y participent que des changements territoriaux ou financiers; une fois que la guerre est terminée, on revient au statu quo ante, sans qu'on puisse remarquer de changement appréciable dans le système politique, le mode de vie. les moeurs, la façon de concevoir les choses. C'est ce que nous enseigne l'Histoire de tous les temps. Mais une révolution apporte, indépendamment des changements territoriaux, des pertes ou des gains financiers ou autres, une transformation complète du régime ou système politique, de la conception ou vision des choses, du mode de vie, des principes qui doivent diriger la vie politique, économique et sociale.


CONSÉQUENCE DES GUERRES DE 1914 ET 1939

Que nous a apporté la guerre de 1914-1918? À tous les belligérants, elle n'a apporté que colossales pertes de vie, ruines immenses, dettes gigantesques. Les empires anglais et français ont été ébranlés au point qu'ils devaient crouler dès le choc subséquent; le libéralisme européen fut supplanté par le socialisme; la Russie, notre alliée, vit la famille impériale, la noblesse, le clergé, les classes intellectuelles et possédantes liquidées dans une orgie de sang pour une poignée d'étrangers non-russes parvenus au pouvoir. La Russie, le pays si stratégiquement si bien situé, chevauchant à la fois l'Europe, l'Orient et le Proche-Orient, tomba sous la coupe du communisme, et les Russes s'éveillèrent prisonniers d'un système tout à fait contraire à l'esprit et au génie russes, un système qui avait broyé la tradition russe, l'idée de patrie russe, le christianisme russe, la famille russe, tous les droits et privilèges que l'âme russe avait jusque-là reconnus. Ce fut le principal résultat de la première guerre mondiale, dans laquelle tous les peuples perdirent, même le peuple russe. Le seul victorieux, le seul gagnant, fut le peuple juif, qui obtint le contrôle absolu du pouvoir en Russie, décupla son contrôle ou son influence sur les autres États, sur la finance et le commerce internationaux, sur les organisations internationales de prolétaires et qui se vit ouvrir les portes de la Palestine. La deuxième guerre mondiale ou deuxième phase de la Révolution Mondiale vit le judéo-communisme s'étendre sur plus de la moitié du genre humain, avec les mêmes conséquences funestes pour les institutions nationales, religieuses et économiques des pays conquis, et vit le Sionisme International prendre franche possession de la Palestine. Disons en passant que cette Palestine nous est présentée par la propagande comme une terre aride et ingrate où il faut faire des prodiges de ténacité pour la faire produire; tandis que des rapports officiels d'ingénieurs anglais et américains à leurs gouvernements affirment que les eaux de la Mer Morte peuvent, par évaporation, donner des métaux et métalloïdes à un profit de cinq trillions de dollars, c'est-à-dire dix milliards par année pendant cinq cents ans; et aussi que le sous-sol palestinien contient vingt fois plus de pétrole que toutes les réserves connues des deux Amériques. Dans leurs discours et leurs écrits, les chefs sionistes internationaux ne se gênent plus de dire ouvertement, aujourd'hui, que celui qui possédera la Palestine possédera le coin le plus riche de la terre, le centre stratégique militaire et politique du monde, de par sa position géographique.

Et, depuis 1945, depuis que tout les pays derrière le rideau de fer ont été engloutis dans l'abîme du judéo-communisme, voyez comment l'Amérique du Nord, le dernier puissant bastion qui reste à conquérir, est envahi de toutes façons par les Juifs. Non seulement par une vague d'immigration sémitique comme il ne s'en est encore jamais vue, par des nuées de spécialistes juifs en révolution, mais encore comment nos industries, nos commerces, nos entreprises de construction, nos possessions immobilières, notre organisme politique, notre corps diplomatique, notre magistrature, nos professions, nos organismes ultra délicats, comme la radio, sont envahis par une ruée impétueuse des Juifs. Pour que nous ne protestions pas, pour que nous ne voyions pas le danger, pour que nous restions bien endormis dans l'intervalle qui précède le dernier stage de la Grande Révolution, on a envahi jusqu'à nos corps religieux, nos paroisses, nos écoles.


lundi, mars 09, 2009

POUR PARALYSER LES CHRÉTIENS

Dans une congrégation mariale, on fait porter à nos jeunes gens l'Étoile de Sion, qui est le signe national d'Israël, bien affiché sur le drapeau palestinien, qui est aussi le signe de la franc-maçonnerie des B'nai B'rith, l'un des principaux symboles de la Franc-Maçonnerie du Rite Écossais et du Grand-Orient athée, signe que l'on trouve répété partout dans la symbologie judaïque et qui forme le motif décoratif principal de toutes les synagogues, où l'on exècre et blasphême avec une ardeur fanatique la personne et le nom du Christ.

Pour nous paralyser par des appels à la tolérance, cachée derrière le masque d'une charité grimaçante, on tente aussi de nous amollir avec des institutions et des comités pour la conversion des Juifs, des sociétés inter-confessionnelles, des organisations de fraternité judéo-chrétienne. Cet inter-confessionalisme judéo-chrétien forme aujourd'hui une Internationale dirigée par la Franc-Maçonnerie des B'naï B'rith. Et, fait pénible qu'ignorent les gogos qui ne veulent pas aller aux sources, ce sont des Juifs, des institutions juives, qui ne veulent pas se convertir, qui ne veulent pas cesser d'être juifs (donc, antichrétiens), qui FINANCENT ces sociétés ou comités de conversion. Je suis allé aux preuves, et je puis dire qu'un Comité important du diocèse de Montréal pour la conversion des Juifs, est une autre des mille fraudes qu'on veut nous faire avaler, une fraude financée en majeure partie par le Congrès Juif Canadien, section locale du Congrès Juif Mondial. Sous Pie XI on avait tenté un mouvement semblable, en fondant, à Rome, la société appelée Gli Amici d'Israële, les Amis d'Israël, pour voir s'il n'y aurait pas moyen d'attirer les Juifs au christianisme. À sa grande douleur, le Pape dut ordonner la dissolution de cette société, en 1928, après avoir appris que les Juifs bien entretenus au Vatican restaient plus judaïsants que jamais, après toutes les tentatives, et que la Société avait même donné lieu à des messes noires et aux pires profanations. Le journal des Pères Jésuites à Rome, La Civilta Cattolica, profita de l'occasion de cette dissolution des amis d'Isreël pour publier un long article éditorial dans lequel il reprocha aux Juifs leur ingratitude, leur perfidie, leur influence prédominante dans tous les mouvements de dégénérescence et de décadence, dans la Franc-Maçonnerie mondiale, dans le marxi~me international, et même leur plan de domination mondiale, chose étrange pour le profane, dans notre province, ce sont les Juifs qui financent surtout le mouvement "pour la conversion des Juifs", tout en refusant obstinément de se convertir. Quiconque a lu les rapports bi-annuels du World Jewish Congress, particulièrement ceux du secrétaire David Pietegorsky, sait que ces mouvements, dans la stratégie juive, n'ont qu'un seul but: endormir les chrétiens pendant que se propage et se complète la conquête juive de nos organismes politiques, économiques et sociaux.

Il convient bien de citer ici le plus grand spécialiste centemporain sur la question communiste, maçonnique et juive, Mgr. Ernest Jouin, de Paris, rédacteur en chef de "La Revue Internationale des Sociétés Secrètes", auteur de nombreux ouvrages de fond, dont "Le Péril Judéo-Maçonnique", en 12 volumes. Pour le récompenser de son oeuvre, le Saint-Père lui adressa le bref "Prestantes Animi", comportant félicitations, remerciements et bénédiction spéciale.

Au tome II du "Péril Judéo-Maçonnique", Mgr. Jouin a écrit:


"Aussi le véritable ennemi est-il le Juif. Si l'on dégage la pansée des contingences humaines et des événements fortuits pour embrasser dans son ensemble l'histoire du monde et la marche des âges, on se trouve en face de deux immenses cités: la Cité de Dieu et la cité du mal; et, depuis vingt siècles, la cité de Dieu est l'Église catholique, et la cité du mal est le peuple juif, peuple international, répandu sur la terre, non pas comme la Maçonnerie à l'état dissociable, mais à l'état de peuple indissolublement uni et indéracinablement cosmopolite. Ici-bas, la lutte éternelle du bien et du mal, du Christ et de Satan, se joue entre le peuple catholique et le peuple juif; et son caractère particulier, à l'heure actuelle, est qu'elle se joue au grand jour".
Nos pro-juifs zélés devraient méditer ces paroles et se demander, en comptant les écus reçus du Congrès juif Canadien, comment ils font leur devoir dans cette lutte implacable et, surtout, de quel côté ils se trouvent réellement.


LA QUESTION JUIVE

Pendant plus de vingt ans, sans relâche, je vous ai exposé la question juive, non pas suivant ce que je pense, non pas d'après des auteurs non-juifs puisqu'ils sont accusés par les Juifs de "préjugé chrétien", mais uniquement suivant les livres juifs les plus importants, les chefs, écrivains, poètes, docteurs, rabbins juifs les plus éminents. C'est par centaines et centaines que je vous ai cité les textes de ces auteurs juifs responsables, avouant, affirmant, se vantant d'avoir organisé, propagé, financé et de diriger les courants d'idées, les mouvements politiques, les organisations mondiales qui tous poussent vers un but commun, un dessein unique: la conquête et la domination du monde par les Juifs, au moyen d'un super-gouvernement mondial régentant une république universelle.

Ces auteurs juifs, qui pour la plupart, repoussent fanatiquement l'authenticité des fameux "Protocoles des Sages de Sion", donnent pourtant beaucoup plus de détails que ces "Protocoles" en ce qui concerne les moyens et le but de la conquête mondiale. Quand on place tous ensemble les aveux et les déclarations de toutes les sources juives imaginables, qu'il s'agisse d'Adolphe Crémieux, Cerfbeer de Mendelsheim, Benjamin Disraeli, Théodore Herzl, Chaim Weizman, l'abbé Joseph Lémann, Oscar Lévy, Baruch Lévi, Bernard Lazare, L'Encyclopédie Juive, Éli Ravage, le rabbin Stephen Wise, Byalistock, Jabotinsky, Henry Klein, Samuel Roth et d'innombrables autres juifs de tous pays, on est mis en face de la plus formidable conspiration qui se puisse concevoir. Si on peut prendre connaissance de cette conspiration, c'est parce que les Juifs eux-mêmes s'en sont vantés, parce qu'ils ne craignent pas d'en livrer le secret dans leurs livres. Cette conspiration a l'ampleur même du globe terrestre, elle s'étend à tous les peuples, à toute l'humanité. C'est pourquoi elle parait impossible, extravagante, incroyable à ceux dont la vision ne peut englober toute l'humanité dans un seul coup d'oeil.
LA CONSPIRATION

Les grandes lignes de cette conspiration, suivant les explications des auteurs Juifs, sont les suivants:


le but final poursuivi est la conquête et la domination du monde, sans lesquelles le Messie attendu par les Juifs ne viendra pas. Cette conquête est une condition sine qua non de la venue de leur Messie et du millenium messianique de domination sur les peuples gentils;

la conquête doit se faire par le travail conjugué de toutes sortes d'internationales opérant simultanément pour dissoudre les souverainetés politiques, les frontières nationales, les éthiques religieuses, les traditions locales, les classes sociales et laisser ainsi les autres races sans aucune défense devant l'assaut final qui se fera par le moyen de la grande révolution mondiale.

Les armes forgées pour travailler à ce but messianique Juif sont, d'après les auteurs Juifs: l'Internationale de l'Or, contrôlée à 100 pour cent par les banquiers Juifs; l'Internationale franc-maçonnique dont les Juifs ont conquis le contrôle et la direction par le sommet, les Internationales prolétariennes, notamment la Première ou Trade- Unioniste; la deuxième ou Socialiste; la Troisième ou Communiste; la Quatrième ou Anarchiste; la plupart des agences internationales de nouvelles et 98% de toute l'industrie du cinéma, exerçant une influence correspondante sur les journaux et la radio; le Sionisme International qui, par d'innombrables sociétés peu connues mais très puissantes, exerce une influence incroyablement forte sur tous les gouvernements; les grands conseils internationaux dont les Juifs se vantent d'avoir rédigé les constitutions, comme la Société des Nations, puis les Nations-Unies, où les Juifs exercent, par la haute prédominance des Juifs, franc-maçons ou marxistes, l'influence prépondérante.

Les mêmes auteurs Juifs nous disent que, même là où il n'y a pas de Juifs pour faire avancer la conspiration, on n'en suit pas moins, grâce à l'opération des organismes Juifs internationaux, le point de vue Juif, les axiomes Juifs, les sophismes Juifs qui contribuent à éroder sans relâche les barrières nationales ou religieuses qui barrent la route à la grande conquête messianique Juive.

Le problème Juif concerne moins les Juifs pris individuellement que l'action Juive sur les peuples, sur le monde, par l'influence énorme de leurs organisations sur le cerveau des masses, l'orientation de la vie politique, économique, financière, sociale et morale des foules.

QUE DOIT-ON FAIRE DEVANT UN TEL PROBLÈME?

S'il est vrai qu'il y a une conspiration Juive pour la conquête du monde, pour la destruction du christianisme devenue une tyrannie suivant l'expression de Disraeli, pour le renversement de la civilisation occidentale, de la culture gréco-latine, des souverainetés nationales, bref pour la mise en esclavage de tous les peuples non-Juifs, que convient-il de faire? C'est évidemment la question la plus vitale qui se soit jamais posée à l'humanité puisque le sort de tous les peuples, leur liberté, leurs possessions spirituelles et matérielles sont en jeu. C'est pourtant la question la plus négligée, la plus vivement écartée quand elle se présente, celle que l'on craint le plus de discuter, voire de seulement mentionner.

Que l'on décrie les Anglais et leur impérialisme, que l'on ridiculise le chauvinisme Français, que l'on bave sur les Allemands, que l'on vomisse sur les Espagnols, c'est permis, c'est même encouragé. Mais que l'on mentionne seulement le mot Juif, et c'est instantanément un tollé vociférant, un tintamarre qui fait le tour du globe.

Celui qui prend tout simplement conscience de ce que disent les Juifs, qui après avoir examiné les faits, admet avec les Juifs que ceux-ci sont maîtres de l'or mondial, et par conséquent du jeu international des devises et du haut commerce, admet avec eux qu'ils sont les originateurs, propagateurs et maîtres du communisme au pouvoir, devient un subversif, un danger public, un galeux qu'il faut éliminer de la société. Par mille et un organes, la Juiverie fait un vacarme de tous les diables, alarme tous les milieux, crie à la persécution, à l'intolérance, au manque de charité. Toute la société en devient paralysée, et celui qui a voulu protéger son pays, sa tradition, sa foi, sa propriété, sa liberté: la vraie victime enfin, subit le sort de l'assaillant et du criminel.

Pourtant, il y a en tout cela une question de faits, une question de vérité, et il n'est pas possible de s'y soustraire.

Y a-t-il, oui ou non, une conspiration Juive mondiale, une conspiration Juive contre tous les peuples, toutes les religions?

Pour répondre non, il faudrait confondre de mensonge tous les auteurs Juifs qui admettent et expliquent les détails de cette conspiration; il faudrait expliquer que le contrôle Juif de l'or, de la finance, de la presse et du cinéma, des grands marchés, des sociétés subversives et des organismes communistes, QUI EST UN FAIT PROUVÉ, ADMIS, n'a absolument aucune importance. Seule la démence en délire pourrait faire une pareille réponse.

Devant la réalité, devant les faits, devant la Vérité, les esprits étroits, les préjugés, les esprits faussés sont bien ceux qui refusent de se rendre à l'évidence; ce sont bien ceux-là qui refusent de voir ce que leurs yeux regardent, ce sont bien ceux-là qui refusent d'entendre ce que leurs oreilles écoutent.

Et la raison, l'unique raison qui les fait agir ainsi, c'est la couardise, la lâcheté. Le monde ne succombe pas sous le courage des Juifs, toutes nos institutions ne croulent pas sous les coups de leur vaillance: tout s'écroule par la lâcheté de ceux qui avaient la responsabilité de le défendre.

Combien de fois des gens importants sont venus me dire: "Vous avez parfaitement raison, j'ai étudié la question depuis tant et tant d'années, j'ai poursuivi des enquêtes la-dessus. Continuez, dénoncez le péril. Mais, dans mon cas, vous comprenez, je ne puis rien faire, car j'ai un commerce". L'un craignait d'être attaqué, diffamé; l'autre craignait de perdre des votes; un autre craignait de perdre ses fournisseurs Juifs; un autre encore des clients Juifs; puis un autre de se faire serrer financièrement. D'autres, ces lapins tremblants qui s'affublent du titre d'intellectuels, craignaient de passer pour "antisémites", pour des gens "pas comme il faut". Tous ces bergers timorés admettent le danger du loup, mais ils le craignent encore plus que les brebis qu'ils sont censés défendre. Chacun a sa crainte particulière et tous marchent par la peur, surtout celle de perdre de l'argent. Si une grande multitude est prête à des bassesses pour faire de l'argent, un plus grand nombre encore fera de pires bassesses pour ne pas en perdre. Et le Juif les conduit tous par la terreur, une terreur morale solidement organisée chez nous comme ailleurs et qui, comme ailleurs, n'est que l'avant-coureuse de la terreur physique qui surgit, brutale, implacable, inexorable, quand le Juif monte au pouvoir, comme s'en rendent compte maintenant toutes les populations emprisonnées derrière le rideau de fers.

Le Juif n'a qu'une seule conception d'établir et imposer l'autorité: par la terreur. Non par la sagesse et la beauté des lois, par leur concordance avec la Loi Naturelle et l'ordre de la création, mais par la peur qui, ignorant l'intelligence, ne s'adresse qu'à l'instinct de conservation purement animal. Cela s'explique par le fait qu'il n'a jamais subi, dans toute son histoire, une autre sorte d'autorité. À cause de son caractère particulier, dont ses livres font si souvent mention, son Dieu fut toujours pour lui un Dieu jaloux, un Dieu vengeur, un Dieu de colère et de terreur; le Juif n'a jamais voulu accepter un Dieu d'amour et de douceur. Le ghetto d'hier, la colonie Juive d'aujourd'hui ont la même interprétation du pouvoir et règnent avec une telle terreur sur leurs membres qu'un Juif déclaré anathème n'a généralement de recours que dans le suicide ou la rupture sans espoir de retour avec sa communauté.

Et le plus grand paradoxe moderne est bien celui que nos innombrables gogos, victimes de demain, ingurgitent avec avidité: le paradoxe du Juif persécuté.


QUI SONT LES PERSÉCUTEURS?

Voilà un peuple qui, dans ses plus grands chefs, admet travailler à détruire le christianisme, à dissoudre la morale chrétienne et la moralité publique; un peuple qui admet contrôler l'or et la finance mondiale, dont il sert pour torturer l'humanité par des crises économiques d'une cruauté inouïe en vue d'arriver à ses fins; un peuple qui admet contrôler l'autorité et la politique de la Russie soviétique, où quarante millions ont péri de cette politique depuis 1917; un peuple qui admet tramer constamment des complots contre le Trône et l'Autel, contre tout ce à quoi nous tenons, pour parvenir à son messianisme utopique; un peuple dont les plus sérieux auteurs admettent qu'il a provoqué toutes les révolutions et toutes les guerres que nous avons subies depuis le commencement des temps modernes; un peuple qui admet son ingérence active pour fins uniquement Juives, dans tous nos conseils internationaux et nationaux; un peuple qui admet contrôler et diriger tout ce qu'il y a d'organismes de subversivité, tout ce qu'il y a de mouvements de décadence, de distorsion, de démoralisation; qui, après avoir été reçu charitablement chez chaque peuple, tente de détruire sa vie nationale et religieuse pour la remouler dans un moule Juif. Et c'est ce peuple qui crie à la persécution, tandis qu'il détruit, sabote, accapare, torture! Et nos gens sont assez naïfs, assez "caves", suivant l'expression populaire, pour avaler pareilles couleuvres.

Sont-ce nos épiciers canadiens-français qui persécutent les immigrés Steinberg, ou si ce sont les Steinberg qui ruinent nos épiciers établis ici depuis 300 ans, qui les font disparaître les uns après les autres? Non seulement en bouleversant complètement les conditions du marché régulier, mais en éliminant radicalement ces petits bastions de la bourgeoisie canadienne-française? Sont-ce les fourreurs canadiens qui persécutent les marchands Juifs de fourreurs, qui en moins de trente ans et avec les capitaux de l'étranger ont accaparé le contrôle incontesté de cette industrie autrefois bien canadienne-française? Sont-ce nos petits ferronniers qui persécutent les Pascal ou si ce sont ces derniers, soutenus par les capitaux de la banque Juive de l'or, qui persécutent nos marchands canadiens-français, en vue d'éliminer cette autre section de bourgeoisie canadienne-française? Et la même question peut se poser pour les domaines de la bijouterie, de l'industrie de la chaussure, de la confection pour dames, de la confection pour hommes, de l'industrie de construction, de l'industrie laitière, de l'industrie des alcools, bref de presque toutes nos industries et tous nos commerces. Nos Canadiens peuvent à peine se trouver des logements, tandis que les réfugiés Juifs d'Europe, dès leur arrivée au pays où ils n'ont jamais fait de sacrifices, ni payé de taxes, trouvent à leur disposition des immeubles luxueux. De quel côté est la persécution? Quand des étrangers au sens national et à la foi nationale, bien accueillis, jamais molestés, peuvent en moins d'un demi-siècle accaparer une influence indue sur la conduite de la nation, sur la vie économique du pays, s'infiltrer partout, saboter la mentalité politique, usurper des contrôle qui doivent en tout temps rester aux mains des nationaux, sont-ce ces étrangers qui sont persécutés, ou est-ce la nation qui les a accueillis?

L'abbé Joseph Léman, Juif converti, dans ses livres qui forment un plaidoyer de charité passionnée en faveur de sa race, se sent obligé de dire: "L'émancipation des Juifs et leur entrée de plein-pied dans la société européenne a marqué le commencement de la déchéance des états chrétiens et la mise en marche d'Israël vers la domination mondiale". De quel côté est la persécution, du côté des chrétiens qui ont émancipé le Juif, ou du côté des Juifs qui ont fait déchoir les États chrétiens afin de parvenir à leur domination mondiale. Le Docteur Oscar Lévy, Juif éminent de Londres, après avoir avoué la responsabilité totale des Juifs dans la bolchevisation de la Russie et l'expansion du communisme, s'écrie: "Nous avons tout renversé, tout sali, tout pourri, tout détruit; oui, nous sommes biens les incendiaires du monde, ses destructeurs, ses tyranniseurs. Nous avons saboté votre morale, qui ne peut plus faire de progrès parce que nous lui barrons la route. Combien grande, prospère et prodigieuse aurait été votre destinée, ô chrétiens, si nous n'avions pas été là pour l'empêcher! Nous l'empêchons encore". De quel côté est la persécution: du côté chrétien ou du côté Juif? Et je vous fais grâce de bien d'autres textes similaires que vous connaissez déjà et qui ne formeraient, ici, que des redites inutiles.

Pourtant, si, constatant tout simplement des faits, vous dites que les organismes Juifs sont en train d'éliminer graduellement les nôtres de la vie économique canadienne, si vous lisez à haute voix des textes exclusivement Juifs, si vous vous apercevez que le communisme en ce pays est aux mains de dirigeants Juifs, vous êtes immédiatement accablés des pires accusations d'intolérance, de persécution. Et le public va le croire, car c'est le Juif qui contrôle son opinion, sa pensée, par les organes de propagande qui l'influencent: presse, radio, cinéma, partis politiques. Par ces organes, que nos élites traîtresses ont laissé tomber aux mains d'Israël, ou sous l'autorité de son terrorisme, le Juif exerce aujourd'hui plus d'influence sur les masses que n'en exercent les parents, les instituteurs et les pasteurs.

LA SITUATION ACTUELLE

La situation générale de notre temps, la grande révolution morale et politique qui secoue toute la civilisation, n'est pas autre chose que le fruit des lâchetés, des trahisons, des compromissions du passé et d'aujourd'hui, de la vénalité de nos élites, qui ont totalement forfait à leur mission de nous défendre.

Parfois, ces chefs infidèles ont tenté une faible et timide défense, mais à coups de périphrases et de mots creux que personne ne comprenait, justement parce qu'ils ne voulaient rien dire. Ils dénonçaient les "forces du mal", les "sociétés subversives", les "forces secrètes et souterraines", la "main cachée", bref des fantômes anonymes et inaccessibles. Ils avaient peur de dire franchement la vérité, d'appeler les choses par leur nom, de qualifier de "conspiration Juive" ce que les Juifs eux-mêmes appellent une conspiration Juive. Un peu de courage aurait fait éviter les hécatombes que nous avons subies, même celles des Juifs.

dimanche, mars 08, 2009

SEULE LA VÉRITÉ

Seule la vérité peut nous sauver de ce qui s'en vient, mais il faut qu'elle soit complète, qu'on n'en cache pas une parcelle. Seule la vérité peut détruire le communisme, si l'on veut bien dire exactement ce que c'est. J'en ai fait l'expérience personnelle à bien des reprises, et j'ai aujourd'hui parmi mes amis de furieux communistes d'hier qui peuvent attester que seule la vérité, dont ils ont cherché et trouvé les preuves, a réussi à les changer.

Discuter pendant des mois et des années avec les communistes sur le matérialisme historique et dialectique, sur l'erreur ou la moralité du marxisme, sur les mensonges de la propagande bolchevique, c'est perdre sa salive et son temps. Aussi longtemps qu'il croit suivre une cause et combattre pour son propre avancement, son bien-être et celui de la société, le communiste reste sourd aux discussions académiques, à tous les arguments contraires, voire même au sens commun. C'est un fasciné, un obsédé, un fanatisé. Plus on combat ainsi le communisme, plus on lui fait de propagande, plus on l'aide, plus se multiplient les légions des communistes. À juste titre et à bon droit, parce qu'on ignore et trahit la vérité.

Mais quand on ne craint pas d'arborer la vérité, quels qu'en soient les risques ou les conséquences, le communisme disparaît comme par enchantement. Et la vérité, c'est celle-ci: le communisme n'est pas une formule politique, ce n'est pas une synthèse de réorganisation sociale, ce n'est pas un système de justice sociale ou économique. Le communisme n'est pas autre chose qu'un stratagème Juif, inventé par les Juifs, financé par les Juifs, dirigé et propagé par les Juifs, pour dépouiller les gentils de toutes leurs valeurs matérielles, spirituelles, morales et culturelles, et les enchaîner dans un esclavage collectif sous l'implacable dictature des Juifs.

Celui qui a le mieux résumé ce stratagème, et l'objet de cette conspiration, est le Juif communiste Baruch Lévy, l'un des principaux conseillers de Karl Marx, qui écrivit il y a déjà cent ans la lettre suivante à l'auteur du Manifeste Communiste: (Je cite)


"Dans la nouvelle organisation de l'humanité, les enfants d'Israël se répandront sur toute la surface de la terre et deviendront partout, sans aucune opposition, l'élément dirigeant, spécialement s'ils peuvent imposer aux classes ouvrières le ferme contrôle de certains d'entre eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront sans efforts dans les mains des Juifs sous le couvert de la victoire du prolétariat. La propriété privée sera ensuite supprimée par les gouvernants de race Juive, qui contrôleront les fonds publics. Ainsi se réalisera la promesse Talmudique que lorsque les temps du Messie seront arrivés, les Juifs posséderont la richesse de tous les peuples de la terre".

De nos jours, parlant encore plus succinctement, c'est Stephen Wise, le grand rabbin de N.Y., qui s'écriait:
"Certains appellent la chose du communisme; moi, qui m'y connais, je la nomme du Judaïsme".
La voilà la vérité sur la conspiration Juive, sur les dessous du communisme. Et des centaines d'autres auteurs Juifs l'affirment dans leurs oeuvres. Quand vous la servez à des communistes, cette vérité, vous les voyez ébranlés du premier coup. Eux qui croyaient combattre pour eux-mêmes, pour leurs familles, pour la société, apprennent soudainement que ce serait uniquement pour le Juif, pour devenir ses esclaves, qu'ils poursuivent cette lutte. Et quand vous ajoutez à ces textes Juifs des preuves de faits et de personnes sur l'organisation communiste, ils deviennent complètement désarmés; puis ils poursuivent leur enquête personnelle, vont aux preuves et finalement ils se retournent contre le communiste Juif avec autant de zèle et d'ardeur qu'ils en avaient mis à le servir avant de connaître la vérité.


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