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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, mars 07, 2009

LE SUPER-GOUVERNEMENT MONDIAL

Nos chefs civils, à Ottawa, nous ont parlé plusieurs fois de la nécessité d'un super-gouvernement mondial, depuis qu'ils ont été embobinés à San Francisco, en 1945, par le texte Juif, rédigé par le Juif Harry White qui forme la charte des Nations-Unies. Et tout leur travail, depuis cette date, a surtout consisté à nous inféoder toujours plus intimement sous l'autorité de l'O.N.U. Ces chefs, pour la plupart francs-maçons, ne font que suivre la ligne de conduite dictée par les loges, elles-mêmes sous la coupe des Juifs.
Cette folie de république universelle, qui semble toute nouvelle à certaines gens, a déjà été dénoncée depuis longtemps par l'Église. À la suite de Mgr Ernest Jouin, de Paris; Mgr Benigni, de Rome; Mgr Treczak, de Varsovie; Mgr Delassus, de Lille, les plus éminents experts contemporains sur la question Juive, c'est le cardinal français Andrieux qui, dès 1924, écrivait:

"Les gouvernements dominés par les loges maçonniques poursuivent un but... Après que peuples et nations auront été déchristianisés, il sera facile, en l'absence de tout lien religieux et social, de les réduire en poussière afin de les réunir de nouveau; puis, quand ils auront été libérés de l'ignorante idée préconçue d'une terre natale, les incorporer dans une "république universelle" dont la capitale sera Jérusalem et dont le Grand Architecte, Satan, tiendra les rênes du pouvoir, sous le manteau de pourpre de quoique fils d'Israël".
De son côté, parlant d'autorité dans son Motu Proprio, "Bonum Sane", le Pape Benoit XV écrivait:

"L'avènement d'une République Universelle, désirée par tous les pires éléments de désordre, attendue par eux avec confiance, est une idée déjà mûre pour sa réalisation. De cette république, fondée sur les principes de l'absolue égalité des hommes et la communauté des biens, seraient bannies les distinctions nationales, l'autorité du père sur ses enfants n'y serait pas reconnue, ni celle de Dieu sur la société humaine. Si ces idées sont mises en pratique, il s'ensuivra inévitablement un règne de terreur inouï. Déjà, même de nos jours, une vaste portion de l'Europe passe par cette triste expérience et nous voyons que l'on cherche à étendre cet état de chose à d'autres régions".
Si l'on comprend que la franc-maçonnerie et les politiciens qu'elle contrôle, les Sionistes internationaux, les libéraux convaincus, les socialistes, les marxistes de toute trempe, les Témoins de Jéhovah, le Congrès Juif Mondial, les francs-maçons B'nai-B'rith, la faction rouge protestante dirigée par le bishop Oxnam et opérant sous le nom de National Council of Churches, si l'on comprend que cette coalition gauchiste, enjuivée jusqu'aux moelles, pousse furibondement vers la République Universelle condamnée par l'Église, on comprend moins que des chefs catholiques, par ignorance ou inconscience, s'en fassent aussi les prosélytes.

J'avais dernièrement l'occasion de lire un livre publié, avec l'imprimatur de l'Ordinaire, par un spécialiste en questions pédagogiques. Parmi les choses qu'il recommandait d'enseigner à nos enfants, il citait nommément la citoyenneté mondiale. Citoyen implique gouvernement, état, allégeance, et citoyenneté mondiale implique gouvernement mondial. Ce livre est destiné à nos instituteurs et institutrices, et le poison qu'il porte se recouvre d'une autorité qui le condamne! Cela démontre avec quelle habilité diabolique l'erreur réussit à s'infiltrer dans tous les milieux et comment le libéralisme, l'erreur des erreurs, dont le communisme n'est que l'aboutissement, a réussi à endormir la vigilance sur laquelle nous sommes en droit de compter. J'ajouterai, en passant, que le même livre comporte un petit chapitre intitulé "La socialisation de l'enfant", encadré dans des guillemets comme si l'on voulait attirer une attention particulière sur ce terme. J'ai souvent lu, dans les livres marxistes, des projets de socialisation des banques, socialisation des terres en kolkhozes, socialisation des industries, socialisation de la ferme, socialisation de ceci et cela. Pourquoi, dans un livre catholique et sur un sujet aussi extrêmement important que celui de l'éducation, inclure des termes du lexique marxiste quand la terminologie chrétienne peut nous fournir toute la nomenclature de titres et de définitions désirés? L'infiltration viendrait-elle des mêmes sources? Je ne saurais le dire, mais le mal est là quand même, et les slogans marxistes font leur chemin chez nous.


UN CRI D'ALARME

Il fut un temps - c'était il y a trente ans - où des personnalités responsables de toutes les grandes capitales lancèrent le cri d'alarme. C'était Henry Ford, qui après avoir dépensé plusieurs centaines de mille dollars pour se documenter sur les faits, publiait dans son "Dearborn Independent" un énorme dossier détaillé sur la conspiration Juive. Wall Street lui fit en réponse une guerre si dure et l'accula de si près à la faillite que Ford dut baisser pavillon, répudier ses écrits et cesser sa publication. C'était à Paris, François Coty, le grand parfumeur qui, dans ses journaux "Le Figaro" et "L'Ami du Peuple" conduisait une campagne identique. L'Alliance Israélite lui livra bataille, fit séduire sa femme par le Juif roumain Cotnareano, provoqua son divorce, la ruine de sa fortune et la perte de ses journaux; ce Cotnareano est devenu, depuis, l'ange tutélaire et le financier de Jacques Maritain, chargé d'infiltrer libéralisme et tolérantisme dans la théologie catholique et qui, à force de propagande, a réussi dans de nombreux milieux à être substitué à l'autorité des Pères et Grands Docteurs de l'Église.

C'était, à Londres, la campagne patriotique du "Morning Post", soutenue par ce qui restait de noblesse chrétienne anglaise; les Juifs anglais réussirent, par des agents, à faire acheter le journal dont ils fermèrent les portes en détruisant les filières et archives du grand quotidien disparu. À Vienne, Rome, Berlin, Bruxelles, Bucarest, Budapest, Varsovie et Sofia, des campagnes semblables furent ou achetées à prix d'argent ou écrasées par la ruine ou arrêtées par des manoeuvres criminelles. Dans le temps, Winston Churchill n'était pas encore un pantin de Bernard-Manassé Baruch, ce réel Vicaire de Satan sur la terre, chef de Wall Street, de la Franc-Maçonnerie et du Sionisme près la Maison Blanche, Churchill n'était pas encore un agent actif du Sionisme international, il n'était pas encore sensible aux douceurs de la gloire et la fortune, il n'était pas encore prêt à sacrifier sciemment l'empire britannique pour l'aberration judéo-maçonnique d'un super-gouvernement universel. Il était encore assez courageux et surtout assez libre pour écrire les lignes suivantes: (je cite le Churchill de 1920 écrivant dans le "Sunday Herald")

"Et voyez comment en notre temps, cette race curieuse a créé un autre système de moralité et de philosophie, rempli d'autant de haine que le Christianisme est rempli d'amour, un système qui, à moins qu'on y remédie, renversera tout ce qui a été édifié par le Christianisme. On est impressionné par l'idée que l'Évangile du Christ et la doctrine de l'Antéchrist aient eu pour destin de surgir du sein du même peuple et que cette race mystérieuse ait été choisie comme champ de la Révélation divine et de la puissance diabolique. Presque tous les Juifs, sinon tous, ont renié la foi de leurs pères et rejeté toute espérance d'une vie après la mort. Ce mouvement n'est pas nouveau chez les Juifs. Depuis le temps de Weisshaupt jusqu'à Karl Marx, puis jusqu'à Trotsky, Bela Kun, etc., cette conspiration d'envergure mondiale a visé à la destruction de la civilisation et à la reconstruction de la société. Comme l'a tout récemment si bien prouvé l'auteur Nesta-H. Webster, cette conspiration a joué un rôle remarquable dans la tragédie de la Révolution Française. Elle a suscité tous les mouvements révolutionnaires du 19e siècle, puis elle a soulevé la révolte parmi les déchets de toutes les grandes villes d'Europe et d'Amérique, cette bande d'individus tristement remarquables qui ont saisi le peuple russe par les cheveux et sont devenus, en réalité, les maîtres absolus de cet énorme empire. Il n'est pas
question de discuter ici l'influence des Juifs internationaux - pour la plupart Juifs athées -dans la création du bolchevisme et l'état de choses qui a permis la révolution russe. Il ne fait aucun doute que cette influence a été considérable. Probablement, même, elle surpasse toutes les autres, à cause du fait que la plupart des dirigeants sont juifs. Je dirai même plus: ce sont des chefs juifs qui fournissent l'inspiration principale et la force dirigeante du communisme."


Depuis que M. Churchill a écrit ces lignes, il a fait du chemin. La juiverie lui a fait gagner bien des millions, il a demandé au monde en 1941 de faire confiance à la parole du demi-juif et époux d'une juive Josef Staline; il a préparé directement la destruction de l'empire qui lui avait été confié, destruction que Karl Marx, en 1868, jugeait indispensable pour l'instauration du communisme mondial; il combat en ce moment pour l'établissement des États-Unis d'Europe, que Trotsky a annoncés comme indispensables pour l'instauration des États-Unis du Monde.

La juiverie est disséminée stratégiquement dans tous les pays du monde, entourant le globe terrestre comme une toile d'araignée. Tous les fils de ce réseau sont en communication constante les uns avec les autres. Les juiveries sont gardées dans un état de docilité et d'obéissance aveugle, par un système d'autorité puissant et unique. Les chefs contrôlent une infinité d'organisations qui se rejoignent toutes et qui influent non seulement sur les Juifs mais sur la pensée et la vie physique de tous les autres peuples. Les membres de cette tribu, qui forme un tout compact dans sa dispersion, sont dans l'attente immédiate du messianisme terrestre et matériel qu'on leur a fait espérer. Ce n'est pas un pays en particulier qu'ils regardent: c'est sur le globe terrestre que leurs yeux sont fixés, c'est toute l'humanité qu'ils encerclent dans leur filet. Ils ont un coup d'oeil mondial, une conception universelle de leur mission et du système auquel ils travaillent inlassablement, chacun dans son domaine, dans sa sphère d'action. Ils ont un plan, un plan qui est le même partout et toujours, dans le temps et l'espace. C'est leur force. Les Gentils sont divisés entre eux, de peuple à peuple, au sein de chaque nation, dans chaque province, dans chaque ville; ils n'ont que la vision de leurs petits problèmes locaux. Comme les intérêts britanniques, les intérêts américains, chinois, français, allemands, italiens, hollandais, canadiens sont petits, restreints, devant l'immensité des intérêts et du plan juifs! Qu'un pays croule dans l'abîme que lui a ouvert la conspiration, le Juif comprend aussitôt qu'une étape nouvelle a été franchie, qu'il s'est rapproché du but, tandis que nos foules ne réalisent pas qu'un rempart qui les protégeait a disparu! Les grandes barrières qui fermaient la route à la marche d'Israël vers la domination ont toutes été dynamitées et les chrétiens, les Gentils, abêtis autant qu'aveuglés par la propagande, ont tour à tour applaudi à l'effondrement du géant russe, de l'empire austro-hongrois, de l'empire allemand, de l'empire italien, de l'empire japonais, de l'empire anglais, de l'empire français. C'étaient pour la grande majorité des empires chrétiens, derniers appuis de la civilisation. Pratiquement, il ne reste que les États-Unis et, encore, ce pays est-il rongé par l'intérieur, constamment affaibli dans sa substance économique et sa consistance sociale. De chef mondial réel, dont le regard embrasse la planète entière et toute l'humanité, il ne reste plus, face à la conspiration, que le Pontife Romain; il multiplie ces appels toujours plus pressants, mais un monde matérialisé l'écoute sans l'entendre!

Je vous ai dit où résidait l'espoir, j'aurai l'occasion de vous en parler plus particulièrement dans une prochaine occasion.

Pour l'instant, je vous demande de rester ce que vous êtes, vous qui êtes devenus par la souffrance la plus belle élite de notre pays, parce que cette souffrance, ces tribulations, vous les avez volontairement acceptées, sachant qu'elles devaient arriver, et vous les avez subies pour la Cause qui vous est chère.

Vous le savez, comme bien d'autres nous aurions pu prospérer, être riches, adulés, si nous avions seulement voulu prostituer dans notre coeur et notre bouche la Vérité à laquelle nous nous étions livrés.

Je suis profondément conscient de ce que je vous ai causé; perte d'emplois, pertes de commerce, diffamations, injures, calomnies, mépris de votre entourage, tribulations et ennuis de toutes sortes, pour certains d'entre vous séparation de vos familles, ruine totale, emprisonnement sans procès. Mon coeur en a saigné et j'ai souffert vos souffrances, mais aussi j'en ai été heureux, parce qu'il y avait dans notre pays des hommes consentant à accepter et endurer toutes ces choses pour servir la Vérité. Oh! je sais, il n'y a rien d'agréable à se faire insulter, ostraciser, se faire qualifier d'esprit étroit, d'obsédé, de fou, de haineux, de traître, subir les pires injustices; mais plus la Cause est grande, plus le prix à payer est élevé, plus le test à subir est sévère. Le test, vous l'avez subi; le prix, vous l'avez payé. Et c'est ce qui, lorsque tout semblera perdu, sauvera le pays.

Ce que nous avons fait tous ensemble, nous l'avons fait sans espoir de récompense, en ne cherchant que le triomphe de la Vérité, parce que c'est la Vérité qui brise les chaînes et qui libère, qui établit la justice personnelle et sociale, qui donne la stabilité à l'ordre, qui forge la prospérité réelle et confère la paix.

Dans l'attente du combat final, nous nous tiendrons à la hauteur du Juif dans la vision du monde et des problèmes qui l'agitent. Nous le dépasserons en élévation dans notre conscience d'une spiritualité en laquelle il ne croit plus, ayant toujours devant les yeux et nos responsabilités pour ce monde et nos responsabilités pour l'autre.

Ne nous préoccupant jamais de l'opinion ou du jugement des hommes, craignant seulement le jugement de notre Créateur et Maître, nous ferons inflexiblement notre devoir, sachant qu'un jour nous comparaîtrons devant le vrai Juge. Si nous n'en avons pas d'autre, nous aurons au moins le mérite, dans la plus terrible tempête qui se soit abattue sur les hommes, d'avoir consenti à tout souffrir dans nos âmes, dans nos coeurs et dans nos corps, plutôt que de céder aux offres, à la crainte, aux rigueurs, aux pertes et aux coups; et cela non seulement pour rester fidèles à nos convictions mais aussi pour rester "les gardiens de nos frères".


A. A.


Janvier 1950


Service Canadien de Librairie

Casier postal 212, Station E,

Montréal 14, Canada


Ce qui se passe sur la scène politique du monde est intéressant. - Ce qui se passe dans la coulisse et que l'on cache est plus intéressant encore.

Pour savoir ce qui se passe, d'ou viennent les idées et les manoeuvres qui vous poussent vers un abîme que vous ne voyez pas, lisez

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