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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mercredi, septembre 27, 2006

ENTRE LA POLICE DE LA PENSÉE

Pourquoi la législation du crime de haine est une mauvaise loi?

Les activistes homosexuels, les organisations des libertés civiques et d'autres à tous les niveaux, ont fait modifier la loi du crime de haine au Canada, à la lumière de ce qu'ils déclaraient être «une épidémie de crimes de haine quant à l'«orientation sexuelle». Mais quelques questions sont toujours sans réponse: qu'est exactement qu’un crime de haine?
Comment diffère-t-il d'un crime semblable non vraisemblablement motivé par la haine?


Qui décide finalement la définition de la haine?


Y a-t-il une épidémie de crime contre les homosexuels?


Est-ce que c'est une tentative déguisée de violer la liberté de parole, afin que certains groupes gagnent de l’influence politique?


Les lois existaient déjà au niveau fédéral sous le titre général indéfini de «lois des crimes haine». La loi fédérale ne couvrait pas l'orientation sexuelle et ne tenait pas de registre de crimes de haine à propos des crimes de haine prétendus contre les homosexuels.


Le Canada a suivi ce qui se faisait aux États-Unis. L'Ohio est un bon exemple. L'Ohio avait une loi d'intimidation ethnique qui augmente les pénalités pour la menace, la menace aggravante, criminel, dégâts criminels ou mettant en danger et le harcèlement au téléphone, s'il pouvait être démontré que le criminel avait agi par préjugé contre la victime sur la base de la race, de la couleur, de la religion, ou de l'origine ethnique. La loi fut à un point renversé comme inconstitutionnelle par la Cour suprême de l'Ohio, mais a été rétablie en 1994 par une décision de la Cour suprême américaine en 1993.


Encore que beaucoup d'experts et de commentateurs politiques ne soutienaient pas le concept du crime de haine. Le Columbus Dispatch écrivait un éditorial critique de l'idée: «Pourquoi une variété de haine doit-elle être punie plus ou moins qu'une autre? Crimes de Haine: de bonnes intentions ne font pas une bonne loi», (24 février 1999).

Quand quelques crimes sont punis plus à cause de certains types, mais pas tous les types, de préjugé ou d'animosité, cela sape le concept de justice égale sous la loi pour tous.


On doit punir pour des actes, pas pour des pensées.


Une autre tentative de contrôler la parole
Ces lois n’ont rien de nouveau. Les groupes qui désirent augmenter leur pouvoir politique, essayant de réduire au silence leurs adversaires et d'augmenter leur propre stature, par l'intimidation si nécessaire, y ont recours souvent. Mais, la clause de la liberté de parole est supposer avoir un effet égalisateur et empêcher les abus de pouvoir par un groupe ou par un autre.

Les tentatives de «codes d’étique du discours» par les universités ont produit une montagne de litiges, surtout sur rien de plus que des insultes. Ces lois ont été terrassées comme inconstitutionnelles par des cours fédérales américaines. Les lois de crimes de haine ne sont juste qu’une tentative déguisée d’accomplir le même but : employer la force de la loi pour élever certains groupes et individus au-dessus des autres et dans quelques cas, légitimer un comportement social douteux.


Addition de l'orientation sexuelle à la loi
Les groupes d'activistes homosexuels ont réussi à faire ajouter le terme confus d’«orientation» sexuelle comme une classe protégée aux lois. Une telle proposition soulève beaucoup de problèmes:

Les lois de crimes de haine sont une mauvaise idée tout d'abord, même pour les minorités consciencieuses comme les Noirs ou les groupes religieux, simplement parce qu'elles ne résolvent pas les problèmes qu’elles sont censées de résoudre. On ne décourage pas le racisme ou le préjugé en ajoutant des pénalités pour le crime. Et le Massachusetts et la Californie ont des lois de crime de haine qui incluent l'orientation sexuelle et en 1996, les deux seuls meurtres commis aux Etats-Unis que l'on a dit être basés sur l'orientation sexuelle sont arrivés dans ces deux états.

Et ce n’est pas rendre service à l'égalité quand le vandalisme, par exemple, est plus répréhensible dans certains cas que dans d'autres. Essayez de dire cela à un propriétaire dont le magasin a été ravagé par des jeunes gens ivres. Les criminels pillant le magasin d'un propriétaire appartenant à une minorité doivent-ils être punis plus sévèrement? Pourquoi est-ce juste?

Quand l'orientation sexuelle est à l'étude, la plupart des personnes supposent que cela signifie l'homosexualité. Mais c'est un terme très nébuleux. Il peut se référer aux hommes ou aux femmes impliqués dans des actes homosexuels, ou il peut signifier les travestis, les transsexuels ou les sadomasochistes. Il pourrait même se référer à l'orientation sexuelle des pédophiles, quand la personne exprime simplement une préférence. Voulions_nous vraiment voter des lois qui traitent ces actes et désirs comme dignes de protection?

Et, les homosexuels, les bisexuels, les transsexuels et etc. ne peuvent pas être facilement identifiés. Ce sont des comportements qui peuvent changer et fluctuer, et ils le font. Comment une société doit-elle protéger ces gens? La réalité consiste en ce que la loi ne protége pas quelque groupe dont les gens ne changent pas, mais dans l'essence protége ces comportements, ou la perception de ces comportements, de la part de chacun. Ceci veut dire que nous avons passé une loi pour défendre les droits de chacun, le votre, le mien, celui de votre voisin, ou celui de votre fille, de pratiquer ces comportements libérés de la critique. Cela met un sceau d'approbation sur l'homosexualité et d'autres activités sexuelles douteuses, celui que la plupart des personnes ne sont pas prêtes à donner. L'homosexualité n'est pas un état, mais un comportement. Prétendre que l'homosexualité soit biologiquement basée a été réfuté et beaucoup de personnes sont des ex_homosexuels. Le point en est qu’on n’est pas obligé d’être impliqué dans ces comportements et qu’il y a beaucoup de risques à la santé et d'autres risques qui doivent nous faire hésiter à élever leur statut.

L'incidence des crimes de haine est exagérée et les homosexuels ont manipulé la statistique pour faire passer ces lois inconstitutionnelles. Tandis qu'il est vrai que des assauts, des vols, du vandalisme, des assassinats même arrivent aux gens pratiquant le comportement homosexuel, un pourcentage considérable est commis par d'autres homosexuels. Et souvent, la statistique accumulée sur ces «crimes de haine» contre les gens pratiquant l'homosexualité est dopée avec beaucoup d'incidents d'activités non criminelles comme les injures. De plus, les lois existaient déjà pour punir les réels criminels. Un système était en place pour faire comparaître en justice ceux qui commettaient des crimes contre les homosexuels ou un autre, pour n'importe quel motif. Pourquoi en veulaient-ils plus? Pour essayer de faire taire par l'intimidation ceux qui pouvaient soulever une objection à leur comportement.



Exemple: le meurtre de Matthieu Shepard
Le meurtre brutal de Matthieu Shepard, un étudiant du Wyoming, a été employé par les activistes homosexuels d’une façon calculée et manipulatrice qui a perdu toute ressemblance à la vérité. Un cas semblable est arrivé dans l'Alabama: le meurtre de Billy Jack Gaither. Le meurtre de jeunes gens est toujours une tragédie. Encore est-il que le fait demeure que Matthieu Shepard était impliqué dans un comportement à haut risque, un comportement qui ne doit pas être glorifié par notre société. Ses meurtriers devaient être traduits en justice, de même que le meurtre de tout un chacun doit être également puni sévèrement.

Mais ceux qui critiquent le comportement homosexuel et qui ne veulent pas qu’il soit légitimé dans des lois, doivent-ils être vus comme des meurtriers potentiels après un tel incident? C'est exactement ce qui est arrivé. Les activistes homosexuels ont outrageusement accuser les groupes qui critiquaient la politique pro-homosexuelle, du mariage homosexuel à la promotion agressive de l'homosexualité dans les écoles, d’avoir potentiellement «incité» le meurtre de Matthieu Shepard! C’est la façons de faire des activistes homosexuels: intimidation, violence, calomnies, etc. Ils sont très intolérants et aiment bien jouer à la vitime. Ils haïssent profondément les groupes religieux, mais accusent ceux-ci de les haïr. Nous n’avons pas vraiment à le démontrer, les ayant vus à l’oeuvre.

L'étiquetage et la présomption irrationnelle de culpabilité accompagne inévitablement la mise en oeuvre de lois de crime de haine couvrant "l'orientation" sexuelle. Nous pouvons être certains que les activistes homosexuels sont à dresser la liste des criminels «potentiels» (c'est-à-dire, ceux qui expriment la moindre désapprobation de l'homosexualité.)
N’y aura-t-il pas un nouveau débat sur l'homosexualité? C’est le cauchemar des avocats homosexuels. Ils ne veulent pas rouvrir un débat qui n’a jamais eu lieu! Cela dépend du peuple.



Crimes de haine: pas même de bonnes intentions
Nous ne croyons pas que ceux qui proposent des lois de crimes de haine ont de bonnes intentions. Nous croyons que les groupes poussant les lois de crimes de haine ont un motif clair: réduire au silence le débat légitime de l'homosexualité.

Les propositions de crimes de haine sont des tentatives désespérées de la part de ceux qui sont à court d’arguments autres que les injures. Ils sont incapables de défendre des comportements indéfendables, et qui veulent égoïstement avoir des privilèges sans justifier pourquoi ils les méritent.

Tenons toutes les positions de plaidoyer à une norme plus haute. Si des groupes veulent gagner la légitimité publique, ils doivent expliquer pourquoi c’est dans le meilleurs intérêt de la société. Ayons tous le courage de nos convictions! Soyons concernés assez pour le bien_être du grand public! Tenons des débats publics responsables! et pas, parce que nous croyons égoïstement que nous méritons plus de droits que les autres en essayant de mettre en oeuvre un état policier pour pénaliser et faire taire les gens pour ce qu’ils pensent et ce qu'ils croient.

lundi, septembre 25, 2006

Au choix: L'islam, la dhimmitude ou la mort.

Les « écoles » coraniques enseignent une notion, trop peu connue des occidentaux, qui a pour nom la « dhimmitude » (de « dhimmi », celui à qui s’applique la « dhimma »).

On ne trouve que fort peu de définitions correctes du « dhimmi » et de la « dhimmitude ». Même les grandes encyclopédies n’y font référence que de façon pratiquement accidentelle. C’est notamment le cas pour l’ « Encyclopedia Universalis » dont nous extrayons le paragraphe reproduit ci_après.

Le mouvement de distribution des terres, commencé sous les califats de Omar et de Othman, a continué largement, au profit des proches et des familiers des califes omeyyades et des gouverneurs. Les terres, à l’origine seulement concédées à ferme et à titre viager, deviennent de véritables propriétés privées, susceptibles de transactions commerciales: peu à peu se constituent de grands domaines privés que leurs propriétaires arabes, résidant dans la capitale, Damas, ou dans les grandes villes, laissent à des fermiers indigènes le soin d’exploiter; ce développement de la propriété privée – qui accapare les bonnes terres – entraîne une diminution des revenus tirés par l’État de l’impôt foncier. L’État augmente alors les impôts auxquels sont astreints les non_musulmans (impôt foncier ou kharadj, et capitation ou djizya), ce qui a pour conséquences la multiplication des conversions et l’accroissement du nombre des mawali, qui, en principe, ne devraient plus payer que la dîme et les impôts religieux ; mais, l’administration n’ayant pas tenu compte des modifications intervenues, les mawali manifestèrent leur mécontentement et beaucoup d’entre eux rejoignirent les mouvements d’opposition. Le calife Omar II (717_720) introduisit alors des réformes en faveur des mawali et des mesures restrictives à l’égard des dhimmi (protégés), qui furent systématiquement éliminés de l’administration, ce qui provoqua la désorganisation de celle_ci.
Cet extrait est significatif des effets pervers de la prétendue « libéralité » des musulmans vis_à_vis, non pas des « non musulmans » (comme indiqué ci_dessus) mais des « gens du livre » qui acceptent de se soumettre à la dictature islamique en payant la « capitation » (terme « politiquement correct » pour désigner une forme ignoble de racket). Car la notion de « dhimmi » ne s’applique qu’aux seuls « gens du livre », à savoir aux juifs et aux chrétiens. Les autres sont purement et simplement passés au fil de l’épée s’ils ne se convertissent pas illico à l’islam. Les plus « chanceux » étaient réduits à l’état d’esclave !
Cependant, comme l’indique le texte de l’Universalis, malgré le paiement de la rançon censée assurer leur « protection », les dhimmis ont toujours été soumis à des pressions de toutes sortes et nombreux sont ceux qui ont fini par se convertir « pour avoir la paix ». Il en résulte que, dans les pays conquis, tous ceux qui n’ont pas été tués ou qui n’ont pas pu s’échapper ont fini, tôt ou tard, par se « soumettre » d’une manière ou d’une autre.
L’essor de l’islam est donc dû, non à des conversions volontaires mais, dans la toute grande majorité des cas, à cette forme odieuse de terrorisme religieux.
Les autres grandes encyclopédies ne font aucunement allusion à la « dhimmitude », soit par ignorance du fait (pour les éditions anciennes), soit parce que, dans le contexte actuel, il est « politiquement incorrect de parler de cela ». Il ne faut surtout pas « choquer les pauvres musulmans », n’est_ce pas ?
Une fois n’est pas coutume, nous reproduirons un article extrait d’un périodique qui ne figure pas parmi les lectures préférées des membres de notre équipe. Il s’agit, en effet, d’un périodique publié en Belgique par un parti francophone appartenant à la mouvance d’extrême droite. A défaut de proposer les bonnes solutions aux problèmes que nous rencontrons, l’extrême droite pose souvent les bonnes questions. Les deux articles que nous avons décidé de reproduire sont, en outre, de très bonne facture. Ils ne sont pas outranciers et ont manifestement été rédigés par quelqu’un qui connaît très bien le monde arabo_musulman et l’islam.
Le premier article, signé M.S., s’intitule précisément « Islam et dhimmitude – Le choc des civilisations ». Le second, signé « Augustin », concerne le statut des moines (catholiques) en islam. Ils ont été publiés en septembre 2002.
Nous ne citerons pas le titre du périodique _ pas plus que le nom du parti dont il est l’organe – afin de ne pas faire de publicité pour une mouvance dont nous rejetons les façons d’agir. Le fait que nous ayons agréé les deux articles reproduits ci_après, ne constitue en aucune manière une caution des organisations fascisantes de Belgique ou d’ailleurs. Nous aurions pu publier ces articles sans faire mention de leur origine mais c’eut été manquer à l’honnêteté intellectuelle qui prévaut dans nos rangs. Nous avons donc préféré jouer le jeu de la transparence et les faire précéder du présent avertissement.
Il ne faut jamais jeter le bébé avec l’eau du bain.
Le fait que Brasillach se soit retrouvé dans le camp fasciste n’enlève rien à la qualité de son œuvre littéraire. Il en va de même pour la qualité et la pertinence de ces deux articles, issus d'une revue qui ne mérite vraiment pas le détour mais qui a été la seule à oser publier des vérités que les « âmes bien pensantes » refusent d’entendre, avec tous les risques que cela comporte pour la démocratie. Car ces vérités là, nous devrions les trouver dans nos journaux, dans nos magazines, pas seulement dans les feuilles de chou de l’extrême droite fascisante. Nous devrions les entendre à la radio et à la télévision au lieu de subir les mensonges éhontés que colportent des hordes de journalistes « aux ordres ».
Qu’il s’agisse du « péril musulman » ou d’un autre péril, tout aussi réel, _ qui réside dans le retour en force des partis favorables à un « ordre nouveau » _ c’est l’ignorance, l’aveuglement, la servilité et la passivité qui constituent les facteurs favorables au développement de ces périls qui menacent gravement nos démocraties. Nous devons donc nous imprégner de la notion de « dhimmitude » si nous ne voulons pas que nos enfants deviennent des « dhimmi » et que nos petits_enfants soient un jour contraints de se « soumettre » à l’islam comme le firent les Perses, les Syriens, les Egyptiens puis des millions de pauvres Africains et Asiatiques qui furent réduits en servitude par les hordes arabes. Sans oublier les Ibères d’Espagne qui, pour échapper aux impôts levés par Roderic, ouvrirent toutes grandes les portes de leur pays aux Sarrasins venus du Maghreb par le détroit de Gibraltar.
le Coran exhorte tout musulman à se comporter en « fedayin », autrement dit en « combattant du djihad contre les infidèles pour le triomphe de l’islam ». Le « bon musulman » a le devoir « sacré » de soumettre les « incroyants » et de conquérir tous les territoires qu’ils « contrôlent illégalement » (autrement dit la terre entière) afin que la « parole d’Allah » (ou plutôt celle de Mahomet) y règne jusqu’au « jugement dernier ».
Ca, ce n’est pas nous qui le disons : c’est la « loi » islamique découlant du Coran, celle_là même qui est enseignée dans toutes les « écoles » coraniques, y compris en Europe occidentale !
http://www.coranix.com/108bis/dhimmi.htm
ISLAM ET DHIMMITUDE _ LE CHOC DES CIVILISATIONS
La dhimmitude dépend d'une loi divine, appliquée à tous les peuples conquis par jihad (1) pendant plus d'un millénaire, sur trois continents. Les « Infidèles » se convertissaient ou devenaient dhimmis (2) et étaient réduits à une condition humiliante et sous_humaine.

La dhimmitude est née des décrets de Mahomet au VIIIème siècle. Elle impose l'infériorisation du dhimmi, chrétien ou juif, et sa différenciation avec le musulman : seul un adulte musulman peut être témoin; les cultes doivent se passer en silence; les dhimmis doivent porter des signes distinctifs; toute critique du Coran ou des lois islamiques est punie de mort; le dhimmi ne peut posséder d'armes. De plus, le dhimmi doit être humble et reconnaissant à la loi islamique qui lui épargne la vie. La per­fection de l'oumma (3) implique la perfection de son histoire, de ses conquêtes, de ses lois. Par là_même, elle légitimise le statut de dhimmi. Cette vulnérabilité, imposée par la loi, a induit peur et servilité dans la mentalité dhimmi.

Bat Ye'or est née en Egypte. Elle est de nationalité britannique et vit en Suisse. Elle a écrit de nombreux articles et livres sur la condition des non_musulmans vivant sous l'islam. Son dernier livre examine les tendances qui poussent vers une « dhimmitude occidentale » au XXe siècle, inévitable sans une ré_évaluation des concepts de jihad et de dhimmitude. Cette évaluation, rendue encore plus essentielle depuis les actes terroristes de jihad qui ont choqué l'Amérique le 11 septembre 2001, n'a encore jamais été entreprise. C'est pourtant de là que viendra le succès d'une réconciliation entre judaïsme, chrétienté et islam, (www.fnb.be/dhimmitude.htm)
LA REPRESSION DE L'HISTOIRE
En Orient, la glorification des conquêtes et civilisations islamiques a réprimé l'histoire des dhimmis au point d'imposer une lecture islamique de la Bible qui supprime son affiliation judéo_chrétienne et la rattache au Coran, renversant l'ordre entre les trois religions.
Dans les universités occidentales, on enseigne le concept d'un jihad pacifique qui idéalise la société islamique et le désir nostalgique de sa restauration en Europe. Les ouvrages apologétiques occidentaux se basent sur le négationnisme historique, oubliant conquêtes, esclavage, déportations, massacres... et insistent sur la «cohabitation pacifique» (le Mythe de l'Andalousie).
Ce mythe est colporté par les réseaux pro_palestiniens pour justifier le remplacement d'Israël par une Palestine arabe multiculturelle et démocratique. Il a polarisé le conflit anti­israélien et la glorification du terrorisme international en « juste cause palestinienne ».


Arafat a déclaré : « Nous étions sous l'impérialisme romain. Nous avons envoyé un pécheur palestinien, appelé St Pierre, à Rome » Et il termine par : « Jésus était le premier fedayin (3) palestinien qui a porté son épée le long de la route où, au­jourd'hui, les Palestiniens portent leur croix. »
Ainsi, les religions chrétiennes et juives sont dépossédées de leurs fondations historiques.
MANIPULATION ET CULPABILISATION DE L'OCCIDENT
La dénonciation de la résistance aux premières invasions arabes, des croisades, de l'impérialisme, de la colonisation, de la création d'Israël, ont tenté d'impliquer que l'Europe avait une dette morale vis_à_vis des Palestiniens et du monde musulman. Pourtant, en insistant ainsi sur la culpabilisation de l'Occident, on minimise les causes de ces guerres: destructions d'églises en Terre Sainte, les déportations, conversions forcées, jihads et génocides, tels qu'en Arménie.
La propagande a utilisé la culpabilité européenne, amalgamant juifs persécutés et arabes palestiniens, Israéliens et nazis. Les lobbies euro_arabes ont exploité la Shoah pour châtier l'opinion publique occidentale, réticente à l'immigration de musulmans originaires d'États qui, eux_mêmes, tolèrent à peine leurs dhimmis.

DU TIERS_MONDISME A L'ISLAMISATION ET A L'ANTISEMITISME
Des observateurs ont noté que le processus d'islamisation du tiers_monde dépendait d'alliances entre gauchistes et mouvements révolutionnaires islamistes. L'idée de base était d'utiliser les fondamentalistes pour mobiliser les masses au nom d'une guerre sainte contre le colonisateur, détournant les frustrations sur le modèle anti­occidental: nationalisme, sécularisme, égalité des sexes et des religions, symbolisent les tactiques diaboliques de la conspiration occidentale pour détruire l'islam. En Occident, ce mouvement a développé l'antisionisme comme autoprotection pour dériver l'agression vers un parti tiers, politique traditionnelle des communautés arabo_chrétiennes orientales, transposée au niveau des États européens.
L'Europe s'est ouverte à l'immigration musulmane pour fusionner les deux rivages de la Méditerranée : le mélange des populations, la destruction des chauvinismes nationalistes et l'abolition des frontières créent l'émergence d'un bloc hostile à Israël qui contrebalancerait l'influence des États_Unis. Mais la rencontre entre chrétiens et musulmans exige une certaine conversion à l'islam («attitude de dialogue») et a pour corollaire que les chrétiens se sont rendus dépendants de l'ordre islamique.
La vocation chrétienne des Églises orientales au service de l'islam a donné au clergé arabo_chrétien la mission apostolique de répandre la propagande islamique par les canaux religieux occidentaux; d'encourager et de donner un support pratique et moral au terrorisme anti_israélien (en utilisant le thème du désespoir palestinien); de diaboliser Israël; de dissimuler l'islamisation et la purification religieuse des sociétés arabes avec toutes ses restrictions discriminatoires vis_a_vis des chrétiens.
Elles ont fait de l'élimination de l'État juif une priorité plus importante que la défense des droits de leurs propres communautés. Les travaux missionnaires tiers_mondistes, basés sur le rejet du judéo_christianisme, identifié avec l'exploitation capitaliste, ont développé, par le biais du clergé, le mouvement d'islamisation en Europe.

Les ruines d'églises, comme de synagogues, éparpillées en Afrique du Nord, au Proche_Orient, en Arménie, en Mésopotamie, révèlent l'étendue des persécutions religieuses là où, un jour, vivaient des populations dhimmis. Avant la conquête arabe, ces régions étaient majoritairement chrétiennes...
LA DHIMMITUDE EN EUROPE
L'abstentionnisme de l'Europe et des Églises dans la condamnation des violations des droits de l'homme des pays musulmans, le silence au sujet de l'esclavage et des génocides commis au sud du Soudan, la ré_islamisation des Balkans, l'attitude laxiste envers les millions de musulmans d'Europe, la politique anti_israélienne, sont des symptômes de soumission de l'Occident à la shari'a (4) qui ont décalé les lignes de front des conflits en Europe même. La guerre de l'OTAN contre les Serbes (en compensation de la Guerre du Golfe) a répété tactiques euro_palestiniennes : contrôle des médias, démonisation des Serbes, banalisation de la Shoah en pillant les histoires juive et serbe... Ces stéréotypes appliqués aux Serbes manquent de toute rationalité et pourraient s'appliquer à n'importe quel autre groupe.
Cette politique de l'Europe a été planifiée, exécutée et proclamée par ses propres responsables politiques, démocratiquement élus ainsi que par ses guides spirituels. L'histoire jugera de leur silence en ce qui concerne la destruction de la chrétienté orientale par la Syrie et les Palestiniens, de leur responsabilité pour la diffusion de la dhimmitude en Europe, de leur obéissance passive aux pressions politiques et de leur désir obsessif de voir la disparition d'Israël... L'actuelle situation chaotique et dangereuse est le résultat de l'incroyable irresponsabilité des dirigeants européens, ces trente dernières années.
M.S.

(1) Jihad_ Guerre sainte ; sacralisation des razzias de Bédouins, transformées en politique légale et théologique.
(2) Dhimma _ Système rançon_protection qui garantissait la vie et la sécurité en échange d'une totale soumission.
(3) Oumma _ Communauté arabe.
(4) Fedayin _ littéralement, combattant contre les chrétiens pour le triomphe de l'islam.
(5) Shari'a _ Législation islamique sacrée, basée sur le Coran.
L'idéologie du jihad est fréquemment dissimulée dans la phraséologie de type tiers_mondiste. Le jihad fait, de tout terrain conquis, une possession islamique jusqu'au jour de la résurrection. Cela inclut : l'Espagne, le Portugal, la Sicile, la Grèce, les Balkans, l'Arménie, l'Inde... Selon la conception islamiste, le refus du nationalisme n'est pas limité à l'État d'Israël: il est enraciné dans la conception de l'humanité qui devrait obligatoirement être assujettie à la shari'a (4). Le nationalisme n'a aucune légitimité: l'illégitimité d'Israël est incorporée dans celle de l'Occident.
L'Oumma a été élue par Allah entre les nations et a le devoir de prendre possession de son héritage, le monde entier, pour que la parole d'Allah règne universellement: le jihad consiste à rendre aux musulmans ce que les infidèles contrôlent illégalement, selon la loi divine.
Toutes les régions conquises l'ont été par jihads qui ont provoqué réfugiés, esclavage et massacres sur trois continents. Après les conquêtes, les peuples dhimmis sont restés des majorités ethniques: les définir en tant que minorités falsifie la nature de leur identité historique.

RITALIN, SUICIDE D'ENFANT, PAXIL

TRADUCTION

Les antidépresseurs devront porter un avertissement L'Organe de certification des aliments et des médicaments ordonne l’affichage d’un avis de risques pour les jeunes Par Shankar Vedantam Journaliste titulaire du "Washington Post" Samedi, le 16 octobre 2004; page A01 Le gouvernement fédéral américain a ordonné hier que tous les médicaments antidépresseurs portent en vue "une boîte noire" d'avertissement pour alerter les docteurs que les médications augmentent le risque de pensées et de comportements suicidaires parmi les enfants et les adolescents. Des testes en clinique ont montré que les enfants prenant des antidépresseur ont quatre pour cent de risque de pensées et de comportement suicidaires, comparé à deux pour cent risque pour le groupe témoin prenant des placebos, ont dit les responsables de l'Organe de certification des aliments et des médicaments. «L'utilisation de ces produits cause une augmentation statistiquement significative d’idées et conduite suicidaires parmi les enfants,» a dit Lester M. Crawford, le directeur par intérim de l'organe de certification des aliments et des médicaments. Crawford urge les médecins d’évaluer soigneusement les patients avant de décider si les bénéfices des drogues dans le traitement de la dépression et autres désordres valent les risques. «Autrement dit, ces médicaments ne doivent pas être employées négligemment.» La décision représente un changement majeur dans la position de longue date de l'agence et pourrait significativement changer comment les antidépresseurs sont commercialisés, prescrits et employés. La controverse des antidépresseur dure depuis plus de dix ans, mais la plupart des psychiatres ont attribué les idées suicidaires conduite suicidaires des patients à la maladie, pas la médication. Les investigateurs du Congrès examinent si l'Organe de certification des aliments et des médicaments s'est trompé dans ses avertissements paraissants plus tôt. L'annonce d'hier est venue plus d'une année après que les investigateurs eurent vent de craintes à propos de l'antidépresseur Paxil, dix mois après les autorités britanniques eurent averti les médecins de ne pas employer les médicaments pour les enfants et huit mois après qu’un scientifique de l'Organe de certification des aliments et des médicaments eut recommandé d'avertir le public sur les médicaments. Les critiques ont désigné que le FDA a longtemps eu accès aux études sur lesquelles des avertissements d'aujourd'hui étaient basés, qui comparaient les risques pour les enfants prenant des médicaments aux enfants prenant des placebos. Mais l'agence a soutenu que les essais, conduits en grande partie par des sociétés pharmaceutiques ces dernières années, n'ont pas clairement distingué les pensées et le comportement suicidaires des autres effets secondaires. Les fonctionnaires ont défendu leur approche prudente comme scientifiquement appropriée et ont soutenu que les réévaluations des données étaient nécessaires pour certifier leurs conclusions. Les psychiatres ont vigoureusement défendu l'utilisation des médicaments parce que la dépression non traitée peut être mortelle. Les fonctionnaires du FDA avaient dit craindre que les avertissements comme celui annoncé hier, puissent apeurer les familles des médicaments et priver les enfants malades d’un traitement de valeur. L'Association Psychiatrique Américaine a dit craindre l'avertissement de la boîte noir et son potentiel effet terrifiant sur le traitement. L'association a demandé que le FDA suive à la trace les conséquences de l'avertissement sur les modèles de prescription et suive aussi à la trace toute augmentation d'actions par des patients de se nuire suite à l'accès réduit au traitement médicalement nécessaire avec des antidépresseur." Nous croyons que la plus grande menace au bien_être d'un enfant dépressif est de ne recevoir aucun soin, "a-t-elle dit.
Eli Lilly & Co., le fabricant des antidépresseur Prozac et Cymbalta, a répercuté la déclaration de l'association et a dit que l'avertissement "peut avoir un effet dangereux sur la prescription appropriée pour les patients qui ont instamment besoin d'options de traitement prouvées." Mais l'Académie américaine de Pédiatrie, dont les membres aussi prescrivent largement les médicaments, a dit que "les pédiatres soutiennent les avertissements plus forts, incluant la boîte noire, alors que nous savons maintenant qu’il y a certainement un risque accru de pensées et de comportements suicidaires chez les enfants qui sont sur ces médicaments." Doug Petkus, un porte-parole de Wyeth, qui produit l'antidépresseur Effexor, a dit que la société soutient aussi l'action de la FDA. Parce que les études disponibles sur les médicaments n'ont pas été spécifiquement conçues pour examiner les risques de suicide, évaluer la preuve scientifique a été compliqué. Le Prozac a montré être efficace dans le traitement de la dépression de l'enfant, donc l'avertissement d'aujourd'hui suppose que la drogue puisse augmenter les pensées s et le comportement uicidaires parmi quelques enfants et adolescents en soulageant simultanément la dépression. Aucun des autres antidépresseurs n'a été spécifiquement approuvé pour traiter la dépression chez les enfants, alors les docteurs qui les prescrivent extrapolent à partir des études qui disent qu’ils soient efficaces chez les adultes. Chez les enfants souffrant de dépression, la majorité écrasante des expériences cliniques n’a pas démontrer que les drogues largement prescrites incluant le Paxil, le Zoloft et l’Effexor sont supérieures aux placebos; jusqu’à récemment, cependant, les médecins n'ont pas accès à la plupart de ces résultats négatifs. «De donner à un enfant une drogue qui puisse les rendre suicidaires pour des conditions où la preuve est inexistante ou inadéquate que les drogues soient efficaces est irresponsable et ne protège pas nos enfants», a dit Joseph Glenmullen, un psychiatre de la «Harvard University» et l'auteur de «Prozac Backlash», qui a recommandé vivement au FDA d'aller plus loin dans la limitation de l'utilisation des antidépresseurs non approuvés. Les fonctionnaires de la FDA ont dit que les patients doivent recevoir un avertissement séparé des risques, appelé le «MedGuide», écrit en langage simple à comprendre. Les changements seront mis en place immédiatement, ont dit les fonctionnaires, et les patients et les docteurs doivent voir les nouveaux avertissements dans les semaines. Toute la publicité pour les drogues devra mentionner les risques de pensées et de comportements suicidaires. Il est peu probable que l’on renseigne les médecins exactement sur combien des études d'une drogue donnée sont sorties négatives. Le problème avec la description des études positives et négatives, a dit Robert Temple, le directeur du Bureau de la politique médicale du FDA, est que les docteurs peuvent penser qu'une médication soit efficace à cause d'une étude positive. Mais le FDA exige que deux études positives approuvent une médication. Kweder a dit que la formulation de l'étiquetage sera mise au point en consultation avec les sociétés individuelles qui évaluaient parfois leurs produits très différemment de l'agence. Dans le cas du Zoloft, par exemple, Pfizer Inc. a publié un papier qui a uni les résultats de deux essais et a conclu que les résultats étaient positifs. Les régulateurs de la FDA, cependant, ont décidé qu'individuellement, les deux essais étaient négatifs. «Ce sera selon notre jugement quant à ce qui va sur l'étiquette», a dit Temple hier. Les régulateurs ont aussi dit qu'ils examinaient des données des essais des drogues chez les adultes pour voir s'il y avait un modèle semblable de tendances suicidaires.

dimanche, septembre 24, 2006

BENJAMIN SPOCK, DARWIN, MORALITÉ: augmentation des problèmes sociaux dans la dernière moitié du siècle

Yale a formé Benjamin Spock, l'auteur d'un des livres de littérature non-romanesque à succès de tout les temps, un guide pour les parents intitulés, Bébé et la protection de l'enfance. D'abord publié en 1946, il a été vendu à plus de 50 millions de copies et a été traduit dans 42 langues. Ses écrits et idées ont influencé tant de millions de mères qu'il a été appelé affectueusement le "le docteur national des bébés" (Spock and Morgan, 1989; Bell, 1966). Son influence dans le monde a été si profonde que docteur Spock a été nommé un des cent personnes les plus importantes au vingtième siècle par le Life magazine (Maier, 1998, p. 298). Il est aussi largement considéré l'autorité de la protection de l'enfance la plus influente du vingtième siècle (Britannica Year in Review, 1998). Pendant sa longue et distingué carrière professionnelle, le docteur Spock a enseigné dans plusieurs des principales universités américaines, incluant Cornell, l'Université du Minnesota et la « Case Western Reserve University». Toujours bon étudiant, il a obtenu un diplôme d'abord dans sa classe à la Faculté de médecine l'Université de la Colombie (Lewkonia, 1998, p. 825). Son intérêt perpétuel et l'amour pour les gens l'ont amené à devenir un observateur puissant de la condition humaine (Philpot, 1979). Son intérêt dans ce champ l'a motivé à écrire une douzaine de livres et des centaines d'articles sur la protection de l'enfance et les problèmes sociaux principaux de notre âge. Il était actif à aider l'humanité dans de nombreuses organisations avant sa mort en mars 1998, quelques semaines avant son 95ème anniversaire (Lewkonia, 1998; Collum, 1998).

Spock est initié au darwinisme

Le docteur Spock a été d'abord initié au Darwinisme à l'Université Yale et il a fait référence à Darwin et ses idées plusieurs fois dans ses livres. Même dans son oeuvre classique, Bébé et la Protection de l'enfance, dans le sous-titre «Ils répètent l'histoire entière de la race humaine», Spock a écrit que qu'observer un bébé grandir est "plein de signifcation" parce que, le développement de chaque enfant reconstitue l'histoire entière de la race humaine, physiquement et spirituellement, point par point. Les bébés commencent dans l'utérus comme une simple cellule minuscule, comme le premier être vivant est apparue dans l'océan. Des semaines plus tard, comme ils sont dans le liquide amniotique dans l'utérus, ils ont des branchies comme un poisson. Vers la fin de la première année de sa vie, quand ils apprennent à marcher, ils célèbrent cette période d’il y a des millions d’années quand nos ancêtres se sont tenus droit debout. C'est juste à ce temps-là que les bébés apprennent à employer leurs doigts avec habileté et délicatesse. Nos ancêtres se sont levés debout parce qu'ils avaient trouvé des choses plus utiles à faire de leurs mains que marcher dessus (Spock and Rothenberg, 1992, p. 301).

Voici un échantillon de l'augmentation des problèmes sociaux dans la dernière moitié du siècle:
Année.........................1960.........1992


Enfants illégitimes:

Blancs...........................3%.........22%

Noirss..........................23%.........68%

Toutes les races...............5%..........30%


Dépenses d’aide

sociale en billions
(10Exposant12)
en dollars américains..............29...........212

Délinquance juvénile
par 100 000
habitants, selon les
statistiques
américaines...................137............431

Crimes violents................16.............76

Crimes taux....................169...........566


Coûts des crimes

en billions de
dollars américains.............43...........163

Membres d’une église.......63%..........59%

Spock reconnaît le mal que le darwinisme à fait à la société!

Oui! le docteur Spock a finalement reconnu le mal sérieux que le darwinisme avait fait dans la vie des gens et à la société en général (Bloom, 1972). La compréhension que le docteur Spock a gagnée est l'histoire de beaucoup d'individus de notre temps. Son biographe, Lynn Bloom, a déclaré qu'il était inévitable que Spock, «contrecarré dans ses tentatives d'exprimer entièrement ses idées sur diverses questions sociales ou politiques dans dans les journaux», élabore ses conclusions dans un livre. Son livre, que Bloom appelle «l'autobiographie spirituelle de Spock», était la «distillation d'une durée de vie de ses diverses pensées sur les problèmes de l'homme moderne occidental, des Américains en particulier». Dans ce livre il a conclu que l'homme a perdu sa confiance en soi et son sens de l'orientation parce que les concepts d'évolution, de psychologie et de sociologie ont sapé l'autorité de la religion et l'identification de l'homme avec Dieu. Ils ont incité l'homme à se diminuer, à se concevoir comme simplement un animal divisible dans quelques parties mécaniques et motivations (Bloom, p. 213). Dans son autobiographie spirituelle, le docteur Spock note qu'il a été élevé dans une famille «avec des valeurs morales sévères même selon les standards de La Nouvelle Angleterre». Il a alors admis qu'il avait essayé de se libérer de ces standards stricts partout dans son adolescence et à au début de l’âge adulte parce qu'il croyait alors qu’«la connaissance de la biologie, la psychologie et la sociologie offrait des guides suffisants pour un homme moderne». Sa vie de lecture, de pédiatre en clinique, de professeur universitaire, d'entretiens avec des parents et de recherches, a lui a fait réaliser que les pires problèmes de la société américaine: la guerre illégale, l’injustice raciale et la pauvreté inutile, par exemple, ne sont pas causées pas par le manque de connaissance ou des moyens pour les résoudre, mais par la cécité morale ou la confusion (1970, p. 207).

Le tableau montre l'augmentation de quelques problèmes sociaux principaux qui sont arrivés à la deuxième moitié su vingtième siècle seulement. Évidemment ces problèmes sont dus à plusieurs facteurs, les principaux étant la laïcisation de la société et que le docteur Spock appelle une «cécité morale». Le docteur Spock a conclu que cette cécité morale qui a causé beaucoup de nos problèmes sociaux modernes était le résultat direct des enseignements modernes laïcs résultant du darwinisme, du freudisme et d'autres philosophies humanistes (francs-maçonnes). Dans les propres mots de Spock, la raison principale de nos problèmes sociaux les plus sérieux était l'affaiblissement de l'influence de la religion qui a résulté particulièrement de l'influence du darwinisme et notre société de plus en plus laïque (franc-maçonne et anticléricale): «Les enseignants dans les premières écoles coloniales et des universités des États-Unis étaient des ministres principalement protestants dont le but principal était de montrer des principes religieux et de former plus de ministres, qui sont devenus les chefs suivants de la communauté. À la deuxième moitié du dix-neuvième siècle la découverte de l'évolutionnisme et le développement de diverses sciences comportementales plus ont plus loin affaibli l'autorité des églises comme des éducateurs. Comme le besoin d'écoles et d’universités augmentait, ces ces sciences (le laïcisme)ont été établies de plus en plus de par les villes et les états. Maintenant la Cour suprême a interdit la plus petite prière dans les écoles publiques(Spock, 1970, p. 207.

Le docteur Spock s'est rendu compte que beaucoup des mouvements avec lesquels il avait une fois été d'accord avaient causé une énorme quantité de maux dans notre société. Suite à sa compréhension, il a admis qu'il avait bouclé la boucle à la fin, à un sentiment que ce soit crucial, en toute questions, de considérer la dimension morale «en essayant de résoudre les problèmes sociaux(1970, p. xiii). La source principale de la moralité à l'Ouest, a-t-il compris, était l'héritage de judéo-chrétien, qui a été sérieusement sapé par le darwinisme, le freudisme et la philosophie laïque humaniste apprise (francs-maçonne) dans nos écoles et par la société dans l'ensemble. Dans ses mots, il "a grandi avec le siècle" (Spock and Morgan, 1989).


Malheureusement, il est trop tard pour remédier à ces problèmes. La compréhension de Spock de ces questions est venue tard dans sa vie quand il n’Y pouvait plus faire grand chose. Tandis qu'il a reconnu que le darwinisme était nuisible, il avait assumé que la théorie avait été soutenue par des faits scientifiques vérifiables. Ses propres références à la preuve présumée pour le darwinisme ont été réfutées il y a longtemps. Par exemple, nous savons maintenant que presque tous les concepts célèbre cités ci-dessus du livre «Baby and Child Care» de Spock étaient faux. On a montré la théorie qu'un embryon répétait son histoire évolutionnaire était basée sur des contrefaçons (Wells, 2000; Bergman, 1999; Frair, 1999). En outre, ni les embryons ni des foetus n'ont des «branchies comme un poisson». Spock a reconnu que l'évolution avait fait beaucoup de mal dans la société, mais sa conviction de la preuve qui soutenait l’évolutionnisme l'a empêché de faire beaucoup pour régler le problème. Cela illustre l'importance de souligner la recherche actuelle, qui montre que la plupart les célébrités qui soutiennent l'évolutionnisme utilisent la pure fraude ou bien des preuves basées extrêmement effilées et discutables (Wells, 2000).

Références
Bell, D. 1966. “Profile: Dr. Benjamin Spock.” Midwife and Health Visitor, 2(8):323, August.
Bergman, Jerry. 1999. “The Rise and Fall of Haeckel’s Biogenetic Law.” Creation Research Society Quarterly, 37(2):110-122.
Bloom, Lynn Z. 1972. Doctor Spock: Biography of a Conservative Radical.
Indianapolis/New York: The Bobbs-Merrill Company, Inc., p. 213.
Collum, Danny Duncan. 1998. “The Spock Revolution.” Sojourners, 27(4):52, July/August.
Frair, Wayne. 1999. “Embryology and Evolution.” Creation Research Society Quarterly, 36(2):62-68.
Lewkonia, Ray. 1998. “Benjamin Spock: The Public Pediatrician.” The Lancet, 35(9130):825-826.
Maier, Thomas. 1998. Dr. Spock: An American Life. New York: Harcourt Brace & Company.
Philpot, T. 1979. “Profile: Dr. Benjamin Spock. A Middle-of-the-Road Man.”
Nursing Mirror, 149(19):20-21, November 8.
Spock, Benjamin, (M.D.). 1970. Decent and Indecent. Our Personal and Political Behavior.
New York: The McCall Publishing Company and Michael Rothenberg; 1992.
Baby and Child Care. 6th edition. New York. Dutton and Mary Morgan; 1989.
Spock on Spock. A Memoir of Growing Up with the Century. New York: Pantheon Books.
Wells, Jonathan. 2000. Icons of Evolution. Washington, D.C.: Regnery.

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