LE TALMUD
Ce qu'il importe de savoir, c'est que le juif réalise cette loi qui est la sienne, comme quelqu'un qui s'acquitte d'une mission.
Parce que cette loi contenue dans le Talmud qui régit le juif, lui commande en effet de mépriser et de haïr tous les peuples, en particulier les chrétiens, et de n'avoir de cesse qu'il ne les domine et les assujettisse comme des esclaves. Voyons ce que nous enseigne sur le Talmud Paulus L. B. Drach, le célèbre rabbin du siècle dernier converti au catholicisme, dans son œuvre fameuse et rare: "De l'harmonie entre l'Église et la Synagogue", (Paul Melier, libraire éditeur, Paris, 1844). Drach dit que le Talmud désigne le grand corps de doctrine des juifs, auquel ont collaboré successivement, à des époques différentes, les ministres les plus accrédités d'Israël. C'est le code complet, civil et religieux, de la Synagogue. Son objet est d'expliquer la loi de Moïse conformément à l'esprit de la tradition verbale, et il renferme les discussions des divers docteurs. Si le lecteur judicieux du Talmud peut s'affliger parfois des étranges aberrations dans lesquelles peut tomber l'esprit humain, si plus d'une fois les lourdeurs du cynisme rabbinique l'obligent à se voiler la face, si le fidèle doit s'émouvoir des calomnies atroces et insensées que la haine impie des pharisiens diffuse sur tout ce qui est objet de sa vénération religieuse, du moins le théologien chrétien peut-il y recueillir et des renseignements et des traditions précieuses pour l'explication de plus d'un texte obscur du Nouveau Testament et pour convaincre nos adversaires de l'antiquité du Dogme Catholique. Le Talmud contient les traditions réelles, qui sont confiées à un corps de soixante-dix savants, le Sanhédrin, que l'on regardait comme le légitime successeur de Moïse. Le religieux s’y mêle au profane, surtout depuis que les juifs furent emmenés captifs à Babylone. (586, Av. J. C.) L'autorité des rabbins se substitue alors à celle de Moïse et des prophètes. Les prescriptions pour le développement temporel du peuple juif acquièrent plus d'importance que les préceptes d'amélioration religieuse. Avec ces enseignements rabbiniques, qui aggravent les pires instincts du peuple juif, on est arrivé à créer une mentalité antisociale et criminelle qui fait de ce peuple un inadapté parmi tous les peuples qui lui donnent l'hospitalité.
Le Talmud acquit une singulière virulence après l'apparition du christianisme. Les infamies les plus insolentes et les plus sacrilèges contre le Christ et les chrétiens s'y gravèrent. C'est pourquoi les livres du Talmud furent voués aux flammes par ordre des Pontifes Romains et des Princes chrétiens. Ce fut alors qu'un Synode juif, réuni en Pologne en 1631, ordonna de supprimer tout ce qui pouvait y avoir trait au Christ et aux chrétiens, dans les termes suivants: "Pour de telles raisons, nous vous ordonnons que désormais, quand vous publierez une nouvelle édition de ces livres, vous laisserez en blanc les passages où l'on parle de Jésus de Nazareth, en faisant un cercle comme ce O; et que tout rabbin, comme tout autre maître, ait soin de n'enseigner de tels passages que verbalement. De cette façon, les hommes de science chrétiens n'auront rien à nous reprocher à ce sujet, et il nous sera possible de vivre en paix".