Gayliwood, la maladie du formage émental

Michel Girouard vient de faire sa sortie homofolie furieuse ce matin. Le chroniqueur attitré de Gayliwood raconte qu’il suffit de s’accepter soi-même pour que les autres nous acceptent. Autrement dit, un pédophile qui s’accepte comme il est mérite l’acceptation de ce qu’il est, soit un pédophile.

La logique défaillante du chroniqueur-chanteur de Gayliwood fait fi du fait que l’homosexualité n’est pas innée et qu’il ne peut pas prouver le contraire, malgré les efforts des avocats homosexuels. Qui plus est, les homosexuels comme Girouard n’acceptent pas les homosexuels qui délaissent l’homosexualité, sur la base qu’ils ne sont pas de véritables homosexuels. Dans un sens, l’innocent a raison, puisque personne vient au monde homosexuel, mais le devient. Les homosexuels ne se reproduisent pas; ils recrutent.

Avons-nous déjà vu un Noir sortir du placard pour avouer qu’il est un Noir, en disant que les Noirs qui sont devenus des Blancs n’étaient pas de véritables Noirs de par leur nature? C’est la logique TQS de Gayliwood du chroniqueur au micro à deux boules.

Quand un homosexuel activiste parle, il faut toujours se méfier. Les homosexuels sont reconnus pour être des menteurs pathologiques et de grands activistes. Le terme activiste est employé ici dans son sens français, c’est-à-dire qui utilise la violence pour en arriver à ses fins, au contraire de militant, qui milite pour une cause quelconque sans utiliser la violence, la menace ou le chantage, comme c’est le cas des féminazistes et des androphonazistes.