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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, décembre 19, 2009

LA VÉRITÉ DÉRANGEANTE


Voici la traduction de l’article du Financial Post, un journal canadien des finances, qui vient clairement expliquer les plans de la Haute Finance en ce qui concerne les buts du Nouvel Ordre Mondial. Ils ont changé la date butoir de 2050 à 2075 pour en arriver à leur fin: réduire la population pour mieux la contrôler. Ce texte est un modèle de propagande et de sophismes. Il prouve aussi que la Haute Finance et le communisme font bon ménage. On y mentionne clairement que ce n’est pas le réchauffement ou un nouvel ère glacial qui préoccupent ces maîtres, mais bien la peur de la population; moins il y en a, plus les gens sont faciles à contrôler. C’est noir sur blanc, sans aucun détour, dans le Financial Post. Ils le font maintenant à visage découvert.


http://www.financialpost.com/story.html?id=2314438#ixzz0ZTj8oMJS


Le monde doit adopter la politique d’un enfant de la Chine

Diane François, Financial Post
8 décembre 2009

Ironiquement la Chine, malgré ses centrales thermiques sales au charbon, est le meneur mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale, grâce à son décret d’un enfant.

La vérité dérangeante qui plane au dessus de la conférence de Copenhague de l'ONU n'est pas que le climat se réchauffe ou se refroidisse, mais la surpopulation humaine mondiale.

Une loi planétaire, comme la politique d’un enfant de la Chine, est la seule façon de changer complètement le taux de naissance désastreux mondial actuellement, qui est un million de naissances au quatre jours.

Le autres espèces planétaires: végétation, ressources, océans, terres arables, eau et atmosphère, sont détruites et disparaissent suite au taux de reproduction en hausse de l'humanité.

Ironiquement, la Chine, malgré ses centrales thermiques au charbon, est le meneur mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale, grâce à son décret d’un enfant.

Voici la logique du raisonnement:

- Si seulement un enfant par femme nait maintenant, la population mondiale baisserait de 6,5 milliards à 5,5 milliards en 2050, selon une étude faite pour l'académie scientifique Vienna Institute of Demography.

- En 2075, il y aurait 3,43 milliards de gens sur la planète. Cela aura des effets immédiats positifs pour les forêts, les autres espèces, les océans, la qualité atmosphérique et le niveau de vie.

- Ne rien faire, par contraste, aboutira à une population non durable de 9 milliards en 2050.

Les humains sont les seuls animaux raisonnables, mais doivent-ils encore le prouver. Des avances médicales et autres scientifiques ont fait baisser des taux de mortalité infantile aussi bien qu’augmenter la longévité. Les deux sont bienvenus, mais l'humanité n'a pas encore réajusté son comportement pour prendre acte du fait que le monde ne peut pas supporter autant de personnes, particulièrement si des milliards ont de la plomberie intérieure et des voitures.

Le remède est simple. C'est une mesure énergique. Et encore les dirigeants du monde n'ont pas cela en tête à Copenhague. Au lieu de cela, il y aura des séances photographiques, des prises de pose, des gros plans, du baratin à propos de la science et de la fraude climatiques, des annonces d’éoliennes, alors des subventions pour le système de plafonnement et d'échanges de droits d'émission de gaz à effet de serre.

Tout cela restera vain sans qu'une politique chinoise d’un enfant ne soit imposée. Malheureusement, il y a des adversaires puissants. Les chefs des grandes religions mondiales fondamentalistes prêchent en faveur de la procréation et s'opposent avec acharnement à la régulation des naissances. Et la plupart des responsables politiques dans les économies émergentes perpétuent un désastreux impasse : Beaucoup d'enfants (i.e. des fils) trompe la privation en l’absence d'un filet de développement social ou économique de sécurité, qui, à son tour, empêche les protections ou le développement.

La Chine a prouvé que le contrôle des naissances soit une politique intelligente. Sa classe moyenne grandit, tous ses citoyens ont un logement, des services médicaux, l'éducation et l'alimentation et la personne sur cinq qui vie là ne surpeuple pas la planète.

Pour ceux qui changent d'avis au sujet de la notion que les gouvernements doivent contrôler la nombre d’enfants de la famille, attendez seulement que la population humaine en croissance transforme deux fois plus de pâturage en déserts comme c’est maintenant le cas, ou quand l'Amazonie ne soit plus, les éléphants disparus pour de bon et que les guerres éclatent à cause des réserves d'eau, des maigres ressources et des besoins spatiaux.

C'est que les sujets de conversation de Copenhague sont tout à fait inutiles.

Le seul remède est que tous les pays réduisent résolument leur population, nettoient leurs gachis et imposent des mesures de contrôles des naissances obligatoires.

dfrancis@nationalpost.com

SACRIFICES HUMAINS POUR GAIA

L’écologisme à son pire

Je me demande pourquoi les pays en voie de développement sont sortis de la conférence sur le climat mondial. Ils ne sont pas imbéciles.


Ceux qui se tiennent régulièrement informés savent que les écologistes sont prêts à tout pour sauver la planète.

Certains ont proposé de taxer les parents des nouveau-nés de plusieurs milliers dollars pour décourager la maternité et réduire ainsi les émissions de dioxyde de carbone. D'autres ont parlé d’éliminer les sujets humains malsains ou trop nombreux de la surface de la terre.

Ces propositions ont en commun, en plus de leur sang-froid, que les écologistes dans la ligne du courant dominant continuent à assurer que ce sont des points de vue marginaux. Bien, des déclarations récentes de sources "respectables font mentir ces revendications. Et ils doivent rappeler aux chrétiens pourquoi la sainteté de la vie humaine doit être notre plus grande priorité.

Pendant le récent sommet de l'ONU à Copenhague, la Chine a subit les invectives pour réduire ses émissions de dioxyde de carbone. Cependant, la Chine avait au moins un défenseur: le journal Financial Post du Canada.

Selon le journal, la Chine est le chef de file mondial en termes de modeler la politique pour combattre la dégradation environnementale. On se calme! Comment l'émetteur mondial de dioxyde de carbone qui détient les 16 des villes mondiales les plus polluées, peut-il être un meneur mondial?

Très simple: sa politique d'un enfant. Selon le Financial Post, «la vérité dérangeante que les humains sont trop nombreux sur terre plane au dessus des débats à Copenhague.» Ce qui rend nécessaire pour le monde entier d’embrasser la politique d’un enfant de la Chine.

Cette mesure simple et drastique réduirait la population mondiale de 50 pour cent en 2075. Selon le papier, ne pas considérer une telle mesure à Copenhague est la preuve que les capitaines mondiaux ne sont pas sérieux en regard du réchauffage planétaire. Ce n‘est pas une blague. Cliquez ici pour le lien électronique du papier.

Préconiser une politique mondiale d’un enfant ne rend pas le Financial Post aussi diabolique que le gouvernement chinois, il le rend pire. La politique chinoise était un effort inhumain, brutal et totalitaire de faire face aux problèmes historiques posés par la population énorme de la Chine.

Au contraire, le Post et d'autres commu lui sont motivés par une vue du monde qui voit les humains comme une sorte de virus infectant Terre mère. Pour l'amour de Gaia, ils veulent contrôler la population humaine - même aux dépens de la liberté humaine et de la vie elle-même.

Après la Déclaration de Manhattan, certaines personnes ont mis en doute notre centre sur des questions de la vie. Elles se sont demandées pourquoi nous n'avons pas inclus d'autres soucis, comme l'environnement.

Voici pourquoi. La sainteté de la vie humaine est sous assaut continu. Cet assaut n'est pas limité à l'avortement, le mépris de l'euthanasie pour la vie humaine elle-même est devenu respectable. Pour la planète, on nous demande de résolument réduire notre nombre.

Mais les écologistes radicaux ne veulent pas dire les gens comme eux-mêmes, après tous, leur mère patrie à chacun, à l'exception des États-Unis, perd sa population. Ils veulent dire les gens les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète. Ce n'est pas une coïncidence qu'une annonce récente dans un journal britannique du lien entre les émissions de dioxyde de carbone et le contrôle de la population montrait 12 bébés africains.

C'est la vérité dérangeante qui plane sur le débat des questions environnementales.

Et c’est pourquoi la sainteté de la vie humaine est si importante. Si vous ne l'avez pas fait, cliquez sur ManhattanDeclaration.org, signez la déclaration et demandez à vos amis de faire la même chose.

jeudi, décembre 17, 2009

Adorez la terre ou allez en prison

http://noapologies.ca/?p=237



Traduction


Tim Bloedow


11 février 2008

Un des plus grands nigauds jamais vus au Canada - très dangereux, quoique que de très petite taille - a décidé d’enchérir la semaine dernière dans sa campagne pour interdire toute critique scientifique du royaume environnemental. Il veut maintenant jeter ses adversaires en prison. Ouais, c’est comment se comporte ce bonze intellectuel! C’est prétentieux. Malheureusement, cet expert a tellement perdu les pédales cette fois que je ne suis plus le seul à le qualifier de fasciste. Bien sûr, la personne en question est le grand prêtre de l’intolérance du fondamentalisme écologique: David Suzuki.

M. Suzuki est si inattaquable qu’il veut faire maintenant emprisonner ses adversaires. Hitler et Staline auraient adoré l’avoir au temps d’amadouer la gueusaille. Ah oui, Staline n'a pas dû amadouer la plèbe, il a juste tués les misonéistes. La législature devrait interdire spécifiquement à M. Suzuki de posséder toute arme, incluant les pétales de pâquerette et l'écorce d'arbre - sans insinuation.

Malheureusement, M. Suzuki n'est pas le seul jean-jean admirateur de la Terre avec des pulsions totalitaires. L'auteur environnementaliste David Shearman a écrit en janvier un article préconisant l'autoritarisme sur la liberté individuelle et louangé la Chine pour agir de même. Il a loué la Chine pour l’interdiction de sacs en plastique, et a ensuite dit:
Mais ce qui est importe dans la décision, c’est que la Chine peut le faire par décret et fermer les usines. Ils n’ont pas à s’inquiéter de la perte de dons politiques ou des chômeurs temporaires...

L'expert en bioéthique Wesley Smith a fait des remarques notamment sur cet article: «Maintenant, un auteur environnementaliste du nom de David Shearman a écrit un article hystérique pressant que nous rejetions la démocratie et adoptions l'autoritarisme du monde de mettre à exécution (sic) le consensus scientifique sur le réchauffement mondial et d'autres cas prétendus d'urgence du monde. Et il présente la Chine tyrannique (des avortements obligatoires, des infanticides, des meurtres de prisonniers pour leurs organes, la répression des dissentiments, la Place Tiananmen, etc. à nous en donner la nausée) comme l'exemple à suivre parce qu'elle a interdit les sacs en plastique! J'ai averti que certains parmi nous adorent à l'autel du scientisme et qui veulent instituer une scientocracie où les scientifiques feront main basse sur nos vies en condamnant nos opinions... J'ai averti à plusieurs reprises que nous souffrons de l'expertite, mon terme pour la tendance de remettre les décisions politiques les plus importantes à des experts.

De retour à Son Éminence grise du Canada...

Qu'a exactement dit Suzuki? Selon un article du National Post, vers la fin de son discours, le docteur Suzuki a dit:
«Nous ne pouvons plus tolérer ce qui se passe à Ottawa et Edmonton.»,

et ensuite encourager les participants à tenir les politiciens à une plus grande norme verte:

«Je vous exhorte à faire beaucoup d'efforts afin de trouver un moyen légal dejeter en prison nos chefs prétendusoarce ce qu’ils font est est un acte criminel.»,

a dit le docteur Suzuki, un ancien membre de la Canadian Civil Liberties Association.
«C'est un crime intergénérationnel face à toute la connaissance et la science pour plus de 20 ans.»

Ainsi où a-t-il dit cela? Dans la boutique arrière d’un club anonyme noir de fumé du monde criminel? C’est proche. En réalité, il parlait devant à la McGill Business Conference on Sustainability. C'est une collection de luminaires célestes, s’il en fut jamais. Comment le sais-je? Bien, parce qu'ils ont applaudi quand le Grand Prêtre du culte Vert a suggéré la prison pour ses adversaires. C'est la sorte d'intelligence supérieure que nous formons dans les écoles publiques ces jours-ci. Le Canada doit faire l'objet d'envie d'autres grandes nations du monde ces présentement: des places comme Cuba, la Corée du Nord et le Zimbabwe!

Heureusement, des gens se prononcent déjà pour condamner les visions bizarres de David Suzuki. Un député conservateur de l'Ontario - entre autres - l'a traité de fasciste. Ce serait Randy Hillier, le vigoureux avocat des droits de la propriété privé qui est devenu infâme comme fondateur et le chef de la Lanark Landowners’ Association des propriétaires terriens. Où pouvons-nous trouver plus de politiciens comme lui?

Et l'hôte provocateur de la parlote hertzienne de la Saskatchewan, John Gormley, a aussi écrit une chronique envoyant au diable M. Suzuki, soulignant entre autre que si un autre au Canada préconisait d’emprisonner les gens pour le crime de

«discordance avec eux, ils seraient correctement appelés des fanatiques, des fascistes ou ignorés en tant que drôles d’individus.»

Un porte-parole du chef du Culte Vert prétend maintenant que Suzuki plaisantait seulement. Ben voyons! Arrêtez de rire. J’ai presque fini...

Je viens d'achever d'écrire un livre qui frappe au coeur du fondamentalisme religieux et de l'extrémisme anti-scientifique des gens comme David Suzuki. Mon nouveau livre aborde l’environnementalisme d'une perspective théologique, faisant le point que l'approche exclusivement religieuse de David Suzuki à la question à cette heure justifie une réponse chrétienne responsable et complète. Nous espérons que ce livre sera disponible vers la fin de mars. Il ajoutera à la nouvelle preuve à un point central dans mon premier livre, l'État contre l'Église: que la liberté civile sociale, la liberté personnelle et la liberté économique sont toutes enracinées dans une vue du monde judéo-chrétien; et que toute autre vue du monde est une menace totalitaire à cette vision de liberté.

Tim Bloedow est l'auteur de State vs. Church: What Christians Can Do to Save Canada from Liberal Tyranny. Il a travaillé comme chercheur, auteur de discours et coordonnateur de médias pour deux membres du parlement. Tim a aussi travaillé comme un auteur indépendant et chercheur et membre d'un groupe de pression pour la Campaign Life Coalition. Tim, marié avec deux enfants, a aussi l'offre de candidature comme candidat du Parti Héritage Chrétien du Canada.

Ce que les dénigreurs des changements climatiques contestent vraiment

Voici comment répondent la gaugauche de la verdure quand ils sont attaqués.

Griffin, Palin et d'autres font preuve de narcissisme enfantin, dit le psychanalyste du The First Post

Coline Covington

LE 17 DÉCEMBRE 2009

Dans un discours au Parlement européen le mois dernier, Nick Griffin, le chef du Parti national britannique (British National Party, BNP), a traité les scientifiques et les politiciens qui recommandent vivement des contrôles internationaux pour refréner les effets des changements climatiques «d'originaux». Griffin, qui est maintenant un membre du Parlement européen à Copenhague, a déclaré qu'un consensus orwellien avait été atteint, basé pas sur l'unanimité scientifique, mais par l’intimidation, la censure intimidante et la statistique frauduleuse.

Ce que Griffin revendique est presque exactement contraire à la vérité. Tandis qu'il y a la preuve scientifique accablante que les changements climatiques arrivent et que nous les influençons activement pour le pire, il n'y a aucun consensus scientifique pour le contraire. La censure intimidante à laquelle il se réfère a eu lieu dans les cambriolages de laboratoire et le piratage informatique employé pour acquérir la preuve sélective, qui est alors prise hors contexte pour soutenir la thèse des dénigreurs.

Bref, Griffin et ses disciples diffament leurs adversaires en les salissanat avec ce qui est en effet leur propre désir de déformer la vérité pour soutenir leur propre plan.

Les partisans des changements climatiques sont maintenant aussi étiquetés comme "les nouveaux rouges". Dans le même discours, Griffin a dit: «Les maniaco-intello anti-occidentaux de la gauche ont subi une panne collective quand le communisme s'est effondré. Les changements climatiques sont leur nouvelle théologie... Mais les hérétiques auront une voix à Copenhague et la vérité sortira. Les changements climatiques sont employés pour imposer une utopie anti-humaine aussi mortelle que tout ce qu’ont conçu Staline ou Mao.»

C'est la rhétorique de la Guerre froide. Les "maniaco-intello anti-occidentaux " doivent être supprimés et la pureté de l'état occidental préservé. Sans surprise, cela s'accorde avec la politique d'anti-immigration dure de Griffin. On voit la menace à l'instinct de conservation venir "des intellectuels" qui veulent, dans l’esprit de Griffin et d'autres, établir un état totalitaire qui a le contrôle complet de l'individu.

Le contrôle est le problème-clé pour les dénigreurs des changements de climat - le contrôle sur la façon que nous vivons et comment nous employons les ressources mondiales. Sarah Palin, autre dénigreuse de la preuve des le changements climatiques, a ironiquement appelé à la meilleure preuve scientifique: la preuve qu'elle espère résistera aux découvertes que nous avons maintenant et manifestons que les restrictions de notre utilisation de l'énergie est simplement un moyen de contrôle politique plutôt que basé sur la réalité de limiter les dégâts.

Palin, comme d'autres politiciens qui nient les changements climatiques, tient beaucoup parce qu'elle voit le débat des changements climatiques comme non seulement ayant des implications mondiales, mais comme conférant plus de pouvoir sur l'avenir de nos vies. Et elle a raison.

Les changements de climat menacent notre omnipotence narcissique. Les dénigreurs ne veulent pas se fairre dirre qu’ils ne peuvent pas conduire de grosses voitures ou faire fonctionner deux réfrigérateurs. Ils veulent s'accrocher à la croyance que non seulement la mère terre a des ressources illimitées, mais que ces ressources doivent rester entièrement sous leur contrôle.

C'est une mentalité ressemblant au narcissisme des petits enfants qui veulent garder leur illusion d'omnipotence et le contrôle de la mère. Toute menace à leur position est éprouvée comme une blessure narcissique qui est tolérable seulement à la mesure que leur attachement à la mère est relativement sûr.

Cela fait partie du premier développement normal que nous tous passons. Le narcissisme à cette étape est une défense nécessaire contre la vulnérabilité réelle de l'enfant en bas âge qui pourrait autrement être accablant. Il sert aussi à protéger l'enfant de l'inquiétude de la séparation et la perte. Dans notre esprit, c'est un état "de faire un avec la mère et le monde. Comme nous grandissons, les limites de la réalité défient inévitablement notre omnipotence et nous apprenons comment accepter des restrictions externes avec notre propre vulnérabilité et la mort ultime.

Les négateurs des changements climatiques représentent une partie de notre psychisme du monde qui essaye désespérément de maintenir l'illusion narcissique que nous pouvons continuer à piller les ressources mondiales sans conséquences: autrement dit, que le sein de la mère est là pour être tété.

Cependant, comme le sein du monde commence à se tarir, l'inquiétude de la perte, la vulnérabilité et notre propre destructivité deviennent de plus en plus insupportable. Une façon de contrôler l'inquiétude est de nier la réalité. La réalité elle-même devient l'ennemi qui défie cette hégémonie narcissique et doit être attaqué en conséquence. Le besoin de maintenir le contrôle se transforme alors en paranoïa.

Tandis que les scientifiques sont accusés de préparer une conspiration de déformer la vérité pour contrôler les autres, c'est précisément ce que les négateurs des changements climatiques font.

mardi, décembre 15, 2009

Climategate: Le monde du réchauffement climatique révélé au grand jour

Montréal, 15 décembre 2009 • No 273

OPINION
Climategate: Le monde du réchauffement climatique révélé au grand jour *


« Les deux MM cherchent depuis des années à obtenir les données des stations du CRU. S'ils apprennent jamais qu'il existe une loi sur l'accès à l'information aujourd'hui au Royaume-Uni, je pense que je vais effacer les fichiers au lieu de les envoyer à qui que ce soit. Nous avons également une loi sur la protection des données, derrière laquelle je vais me cacher. »

Voilà en apparence ce qu'a écrit Phil Jones, le directeur de l'Unité de recherche climatique (CRU – Climate Research Unit) de l'Université d'East Anglia et l'un des climatologues les plus en vue de la planète, dans un courriel envoyé en 2005 à « Mike ». Selon ce que l'on peut en déduire à partir des échanges de courriels, il s'agit de Michael Mann, qui est directeur du Centre des sciences de la terre de l'Université de Pennsylvanie. Nous avons déniché ce petit morceau intéressant dans la pile de plus de 3000 courriels et documents dévoilés la semaine dernière après que les serveurs du CRU aient été piratés et que des messages échangés par certains des climatologues les plus influents du monde aient été diffusés sur Internet.

Les « deux MM » sont presque certainement Stephen McIntyre et Ross McKitrick, deux Canadiens qui ont consacré des années à essayer d'obtenir les données brutes et les codes utilisés dans les graphiques et modèles servant à étudier l'évolution du climat, puis à vérifier les conclusions publiées sur cette base – une tâche méticuleuse qui nous apparaît clairement comme un service d'utilité publique et d'intérêt scientifique. M. Jones n'a pas répondu à nos questions et l'université a déclaré qu'elle ne pouvait confirmer l'authenticité des courriels, même si elle a reconnu que ses serveurs ont bel et bien été la cible d'une attaque.

On découvre beaucoup de choses même en passant en revue une fraction des courriels. Les scientifiques semblent occupés à s'exhorter les uns les autres à présenter une perspective « unifiée » sur la théorie des changements climatiques provoqués par l'homme tout en discutant de l'importante de leur « cause commune »; à se donner des conseils sur les façons d'arranger les données pour ne pas compromettre leur hypothèse préférée; à discuter des moyens à prendre pour exclure les points de vue opposés des revues les plus prestigieuses; et à s'échanger des trucs sur les façons de «masquer le déclin» des températures dans certaines séries de données dérangeantes.

Certaines des personnes mentionnées dans les courriels ont répondu à nos demandes d'entrevue en disant qu'elles devaient d'abord consulter leurs avocats. D'autres ont répondu par des menaces de poursuites et des insultes personnelles. D'autres encore n'avaient rien à dire. Celles qui ont bien voulu commenter ont insisté sur le fait que les courriels ne révèlent rien de plus que des divergences de vue sans importance sur certains chiffres et des débats de procédure.

Tous ces refus de répondre ont toutefois pour effet de souligner ce qui pourrait bien être l'aspect le plus révélateur de cette histoire: le fait que ces scientifiques considèrent que le public n'a pas le droit de savoir sur quoi ils se basent pour faire leurs prévisions sur les changements climatiques, même lorsque les gouvernements se préparent à adopter des lois qui entraîneront des coûts ahurissants en réponse à ces prévisions.

« Tous ces refus de répondre ont toutefois pour effet de souligner ce qui pourrait bien être l'aspect le plus révélateur de cette histoire: le fait que ces scientifiques considèrent que le public n'a pas le droit de savoir sur quoi ils se basent pour faire leurs prévisions sur les changements climatiques, même lorsque les gouvernements se préparent à adopter des lois qui entraîneront des coûts ahurissants en réponse à ces prévisions. »

Voyez par exemple ce message qui semble avoir été envoyé par M. Jones à M. Mann en mai 2008: « Mike, peux-tu effacer tous les courriels que tu aurais pu envoyer à Keith concernant AR4? Keith va faire de même. Peux-tu aussi écrire à Gene pour lui demander de faire la même chose? » AR4 est le terme diminutif pour désigner le Quatrième Rapport d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), présenté en 2007 comme un consensus sur l'état de la situation présumément devenue très critiques sur le plan des changements climatiques causés par l'homme.

Dans un autre courriel qui aurait été envoyé en septembre 2007 à Eugene Wahl du Programme de paléoclimatologie de l'Agence nationale de recherche océanique et atmosphérique (National Oceanic and Atmospheric Administration) ainsi qu'à Caspar Ammann de la Division des dynamiques climatiques et planétaires du Centre national pour la recherche atmosphérique (National Center for Atmospheric Research's Climate and Global Dynamics Division), M. Jones écrivait: « Essaie de modifier la date de réception! Ne donne pas à ces sceptiques quelque chose avec lequel ils pourront s'amuser. »

Lorsque les tentatives d'effacer, de falsifier ou de retenir de l'information ne suffisaient pas, M. Jones a suggéré une solution de rechange dans un courriel d'août 2008 à Gavin Schmidt de l'Institut Goddard pour les études spatiales de la NASA, également envoyé à M. Mann en Cc: « La réponse toute faite que nous utilisons tous sur la loi d'accès à l'information est celle-ci, écrit-il. Le GIEC est exempté de toute loi nationale d'accès à l'information – c'est ce qu'on a dit aux sceptiques. Même si nous... gardons possiblement des renseignements pertinents, le GIEC n'entre pas dans le cadre de nos attributions (déclaration de mission, objectifs, etc.) et nous n'avons donc aucune obligation de fournir les renseignements. »

Il semble également que M. Mann et ses amis n'hésitaient pas à mettre sur une liste noire les scientifiques qui contestaient certaines de leurs affirmations, ou les revues qui publiaient leurs travaux. « Je pense que nous devons cesser de considérer Climate Research comme une revue légitime qui fait une révision par les pairs », lit-on dans un courriel apparemment rédigé par M. Mann et envoyé à plusieurs destinataires en mars 2003. « Il faudrait peut-être encourager nos collègues dans la communauté de la recherche sur le climat à ne plus soumettre des articles à cette revue, ni citer ceux qui y sont publiés. »

Le principal reproche de M. Mann était que la revue en question avait publié plusieurs articles remettant en question certains aspects de la théorie du réchauffement planétaire anthropogénique.

Pour la petite histoire, lorsque nous avons par le passé demandé à M. Mann ce qu'il pensait de l'accusation selon laquelle lui et ses collègues empêchent les points de vue opposés de s'exprimer, il nous a dit que « cette question n'est même pas digne d'une réponse ». Concernant nos plus récentes questions à propos des courriels piratés, il a dit qu'il n'a « d'aucune façon manipulé quelque donnée que ce soit », mais a refusé de répondre à des questions plus spécifiques. Précisons que notre objectif n'est pas de nier la probité du travail de M. Mann, et encore moins son droit de garder le silence.

Nous disposons toutefois maintenant de centaines de messages qui donnent clairement l'impression que des climatologues renommés ont cherché de manière concertée et coordonnée à adapter les données pour qu'elles correspondent à leurs conclusions, tout en essayant de faire taire et de discréditer leurs critiques. Au palmarès des vérités qui dérangent [Note du trad.: le titre du film d'Al Gore est Une vérité qui dérange], celle-ci mérite sûrement que les médias, le Congrès américain et d'autres instances d'enquête s'y penchent plus sérieusement.

*Éditorial publié le 23 novembre dans le Wall Street Journal Europe sous le titre « Global Warming With the Lid Off ». Traduction de Martin Masse.

lundi, décembre 14, 2009

DÉNONCIATION TROUBLANTE DU TAMIFLU DE ROCHE

Le médicament anti-virale Tamiflu dénoncé comme une mystification complète; Les études de Roche sont une fraude scientifique

(NaturalNews) Quand il en vient à vendre des produits chimiques qui prétendent soigner la grippe porcine H1N1, les options de l'industrie pharmaceutique se limitent à deux: vaccins et anti-viraux. Le plus populaire anti-viral, et de loin, est le Tamiflu, un médicament qui est en réalité tiré d'une herbe de la médecine traditionnelle chinoise appelée l‘anis étoilé.

Mais le Tamiflu n'est pas une herbe. C'est une concentration potentiellement fatale des composants chimiques isolés qui ont essentiellement été bio piratés de la médecine chinoise. Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques dans ces herbes, vous perdez la valeur (et la sécurité) du plein spectre de la phytothérapie.

Cela n'a pas arrêté le fabricant du Tamiflu, Roche, d'essayer de trouver un marché de multi milliards de dollars pour son médicament. Pour percer dans ce marché, cependant, Roche a eu besoin de rassembler quelques preuves que le Tamiflu était et sécuritaire et efficace.



Roche se commet dans la fraude scientifique

Roche prétend qu’il y a dix études prouvant que le Tamiflu est et sûr et efficace. Selon la société, Tamiflu a toutes sortes de bénéfices, incluant la réduction de 61 % d'admissions à ;’hôpital par ceux qui attrapent la grippe et qui ensuite sont sur le Tamiflu.

Le problème avec ces revendications consiste en ce qu'elles ne sont pas vraies. Elles ont été simplement inventées par Roche.

Un article révolutionnaire récemment publié dans le British Medical Journal accuse Roche d’induire les gouvernements et les médecins en erreur et des sur les bénéfices du Tamiflu. Des dix études citées par Roche, seulement deux ont été publiées dans des revues scientifiques. Et où sont les données originales de ces deux études? Perdues.

Les données ont disparu. Les fichiers ont été jetés. Le chercheur d'une étude dit qu'il n’a jamais même vu les données. Roche s'est occupé de tout cela, explique-t-il.

Ainsi la Cochrane Collaboration, chargée d’examiner les données derrière le Tamiflu, décidé d’investiguer. Après des demandes répétées à Roche pour les données d'étude originales, elles sont restés cachées. Les seules données complètes qu'ils ont reçues provenaient d'une étude non publiée sur 1 447 adultes qui ont montré que le Tamiflu n'était pas meilleur que le placebo. Les données des études qui ont revendiqué que le Tamiflu était efficace sont apparemment perdues pour toujours.

Comme le rapporte l'Atlantic, c'est quand les anciens employés d'Adis International (essentiellement une grosse agence pharmaceutique de relations publiques) a choqué le monde médical en annonçant qu’ils avaient été embauchés pour écrire les études pour Roche.

Encore mieux, Roche a dit à ces chercheurs quoi écrire!

Comme un de ces nègres écrivains a dit au British Medical Journal:


«La filière Tamiflu contenait une liste de messages clefs que vous deviez entrer. Le service de commercialisation [Roche] dirigeait l’affaire et vous lui étiez redevables. Dans l'introduction... je devais dire quel grand problème la grippe était. Je devais aussi en arriver à la conclusion que le Tamiflu était la réponse.»


Autrement dit, le service de commercialisation de Roche dirigéait la science et disait aux chercheurs quelles conclusions tirer des expériences cliniques. Les chercheurs engagés pour conduire la science étaient contrôlés par les marionnettistes du service de commercialisation. Peu importe ce qu'ils trouvaient dans la science, ils avaient déjà été ordonnés de conclure que: «Le Tamiflu est la réponse

Maintenant, je ne sais pas ce que vous en dites, mais d’où je viens nous appelons cela de la fraude scientifique. Et comme de nombreuses enquêtes de NaturalNews l’ont révélé, cela semble être le statu quo dans l'industrie pharmaceutique.

Pratiquement on ne peut avoir confiance à la science" conduite par l'industrie pharmaceutique parce que ce n'est pas vraiment la science en premier lieu. C'est juste la propagande maquillée pour ressembler à la science.

Tristement, même cette duperie d'expérience clinique a mystifié le CDC. Comme le dénonce l’auteur Shannon Brownlee dans le The Atlantic:


«Le Centers for Disease Control and Prevention semble fonctionner dans un autre univers, où la science valable n'importe plus à la politique publique. Les recommandations à propos de la grippe de l'agence sont synchronisées avec les revendications de Roche que le médicament peut sauver des vies - malgré les découvertes du FDA et malgré le manque d'études pour prouver une telle revendication. Qui plus est, ni le CDC ni la FDA n'ont exigé les types d’études scientifiques qui pourraient définitivement déterminer si vraiment les revendications de la société sont vraies: ce Tamiflu réduit le risque de complications sérieuses et sauve des vies. Nancy Cox, qui est à la tête du programme de la grippe du CDC, nous a dit plus tôt cette année qu'elle s'oppose à une étude contrôlée de placebo (dans laquelle on donnerait à la moitié des patients le Tamiflu et on l'autre moitié du placebo), parce que les bénéfices du médicament sont déjà prouvés.»


Avez-vous capté la dernière phrase? Le CDC n'est pas intéressé à mettre à l'épreuve le Tamiflu parce que les bénéfices du médicament sont déjà prouvés. Sauf qu’ils ne le sont pas. Mais c'est comment l'industrie pharmaceutique fonctionne:


Étape 1) Fabriquer la preuve que votre médicament soit efficace.

Étape 2) Utiliser cette preuve frauduleuse pour faire approuver votre médicament.

Étape 3) Utiliser cette preuve frauduleuse pour créer une demande pour votre médicament (et encourager les gouvernements à en faire ample provision).

Étape 4) Éviter toute étude réellement scientifique en revendiquant que le médicament a déjà prouvé son efficacité (et citer vos études originales frauduleuses comme preuve).
C'est la recette le CDC suit en ce moment même avec le Tamiflu. C'est une recette de stupidité scientifique et de logique qui tourne en rond, bien sûr, mais cela semble être drôlement commun dans la communauté médicale ces jours-ci.

Même la FDA dit que le Tamiflu n’est pas efficace

La FDA, notablement, n'a pas entièrement été mystifiée par le Tamiflu. Ils ont exigé que Roche imprime le déni suivant sur l’étiquette du Tamiflu - un déni qui admet ouvertement que le médicament n'a jamais été prouvé efficace:


«Le Tamiflu n'a pas prouvé avoir un impact positif sur les conséquences potentielles (comme des hospitalisations, la mortalité, ou un impact économique) de la grippe aviaire ou pandémique saisonnières.»


Même plus que cela, un porte-parole de la FDA a dit au British Medical Journal:
«Les expériences cliniques... n’ont pu démontrer aucune différence significative dans les taux d'hospitalisation, des
complications, ou de mortalité chez kes patients recevant ou bien le Tamiflu ou bien un placebo.»


C'est le même message à maintes reprises, comme un disque phonographique balafré: le Tamiflu ne protège pas. Et la science qui dit le contraire est une histoire inventée de toute pièce depuis le début.

Le scandale de l’accumulation de réserves de Tamiflu

La fausse science est cependant est assez bonne pour le gouvernement américain. Basé sur rien de moins que la preuve fabriquée et la grande propagande pharmaceutique, le gouvernement américain a dépensé 1,5 milliards de $ en réserves de Tamiflu. Ce s'est avéré être une très bonne affaire pour Roche, mais un pauvre investissement pour les citoyens américains qui en fin de compte ont gaspillé des sommes énormes un médicament inefficace.

Comme l’écrit The Atlantic:

«Les Gouvernements, les agences de santé publique et les corps internationaux comme l'Organisation mondiale de la santé, ont tous basé leurs décisions de recommander et d’entasser le Tamiflu sur les études qui semblaient indépendantes, mais qui avaient en fait été financées par la société et conçues presque entièrement par des employés de Roche ou des consultants universitaires payés.»


Même si le Tamiflu était efficace, il y a des sources de virus d'H1N1 qui résistent au Tamiflu en circulation maintenant. Cliquez ici. L'article est en anglais.

En fin de compte les gouvernements dans le monde entier ont jeter des milliards de dollars par la fenêtre en entreposage d’un médicament inefficace - un médicament promu par la propagande et la fraude scientifique.

Ce n'est pas la première fois que le gouvernement gaspille l’argent des contribuables, bien sûr (ce semble être ce que le gouvernement américain fait le mieux), mais cet exemple est particulièrement inquiétant étant donné que cela a été fait avec l'excuse que les remèdes naturels sont inutiles et que seulement les vaccins et le Tamiflu peuvent vous protéger d'une pandémie.

C'est pourquoi tant de gens informés ont dans le monde entier se tournent vers la vitamine D, l'ail, les teintures anti-virales et les compléments alimentaires pour se protéger d'une potentielle pandémie que la plupart des gouvernements du monde ne savent pas comment empêcher.

Je trouve fascinant que les gouvernements du monde accumulent des médicaments inopérants, tandis que les gens de santé naturels du monde se procurent des remèdes naturels actifs. Si une réelle pandémie frappait jamais notre monde, nous savons qui survivra (ce ne seront pas les ignorants faisant le pied de grue attendant leurs pilules de Tamiflu...).

Quels remèdes sont vraiment efficaces pour augmenter la fonction immunitaire et protégent le corps des maladies infectieuses? J'ai publié un rapport spécial révélant mes cinq remèdes le plus recommandés: cliquez ici, article en anglais.

En plus des remèdes mentionnés dans ce rapport, je recommande aussi la vitamine de dose forte de vitamine D aussi bien que le produit de défense viral de http://www.plantcures.com/

Je n'ai aucun lien financier à aucune des sociétés dont je recommande les produits ici. À la différence de l'industrie pharmaceutique, je ne fonctionne pas purement pour le profit. Mon travail est d’informer les gens - information qui peut aider à sauver des vies et réduire la souffrance. C'est le travail que la FDA et le CDC doivent faire, mais qu’ils ont depuis longtemps abandonné dans leur trahison du peuple américain.

Sources: cliquez sur la source!
http://www.theatlantic.com/doc/200912u/tamiflu

http://www.bmj.com/cgi/content/full/339/dec07_2/b5106

http://www.bmj.com/cgi/content/full/339/dec10_2/b5405

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