Félix Dzerjinski, au premier plan, au centre, entouré de «tchekistes» en 1922. Il est à l'origine de la première police politique, la Tcheka, fondée dès décembre 1917.

Une photo des chefs du Bloc Québécois-PQ-RIN(RIP), du NPD, de Kebek solitaire avec ses nombreuses têtes de linotte, des syndiqueux de nos unions de la gaugauche, etc., etc.

Comme feu René Lévesque, la flamme des séparatisses, ils fument des «Gitane» et grillent des «Gauloise», en répétant ad nauseam le mot «nonobstant», en disant à ceux qui ne croient pas leurs chimères: Tu n’as pas compris!, et jurant qu’ils sont de vrais nationalistes alors qu’ils rejettent tous les Canadiens français des autres provinces et que leur projet de séparation a été défait à maintes reprises.

Se débarrasser de la gaugauche est un des meilleurs moyens de gérer la présente crise économique. Depuis le gouvernement synarchiste de Jean Lesage, le Kebec s’enlise dans les taxes et les dettes. L’indépendance, la vraie, est de ne pas avoir de dette et d’avoir assez d’argent à la banque pour prévoir les années de vaches maigres.

Ceux qui pensent empêcher la tempête de frapper rêvent en «technicolors».