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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, février 28, 2009

SAGESSE DE L'ÉGLISE

Sagesse admirable de l'Église, qui a su pénétrer profondément dans le coeur des juifs et dans celui des chrétiens, pour découvrir en ceux-là le désir dissimulé mais profond de domination universelle, et dans le coeur de ceux-ci la simplicité pécheresse de recourir aux juifs pour obtenir quelques avantages pour leurs caisses d'or.

Parce que la mise en esclavage des chrétiens, des peuples chrétiens, sous le pouvoir judaïque, a commencé par la faute des chrétiens. Les juifs, par leur orgueilleux désir de domination, ne font qu'accomplir leur devoir. C'est pour cela qu'ils sont au milieu des peuples chrétiens: pour les dominer, s'ils le peuvent. C'est leur rôle théologique; c'est-à-dire, la mission que Dieu a départie à leur perfidie.

Les chrétiens ne veulent pas être victimes de cette perfidie? Qu'ils cessent de fréquenter les juifs; qu'ils ne se livrent pas à leurs vices, et ainsi, ils n'auront pas besoin de recourir au prêteur juif, ni aux cinémas juifs, ni aux revues juives, et ils n'auront pas à supporter demain le patron juif à l'usine, le patron juif au bureau, dans les banques, dans les entreprises commerciales, le patron juif dans la richesse du pays, dans le blé, dans le maïs, dans le lin, dans le lait, dans le vin, dans le sucre, dans le pétrole, dans les titres et les actions de toute entreprise d'importance, dans la circulation de la monnaie, dans l'or, et peut-être aussi dans le domaine politique. Ils ne devront pas, demain, penser à la manière juive en théologie, en philosophie, en histoire, en politique, en économie, parce que la presse juive et les universités, les écoles et la bibliographie judaïsées ont formé la mentalité de notre peuple; ils n'auront pas à supporter demain l'action mortifère des juifs dans la société libérale que nous a léguée la Révolution Française, l'action juive dans la socialisation des peuples du socialisme, ni la mise en esclavage judaïque dans le communisme.

Dans le prochain chapitre, nous étudierons comment la judaïsation des peuples chrétiens va de pair avec leur déchristianisation, et comment, si la miséricorde de Dieu ne nous ménage pas autre chose, nous ne sommes pas loin du jour où nous, les chrétiens, nous serons des parias qui de nos sueurs amasserons les richesses pour cette race maudite.

Ce que nous disions dans le chapitre précédent est très important, et il n'est pas superflu de le répéter ici: si les peuples gentils, c'est-à-dire nous aussi, nous voulons une civilisation basée sur la grandeur de l'économique, comme le fut, par exemple, l'antique civilisation des Pharaons au temps de Joseph ou de Babylone au temps d'Assuérus, ou, dans notre temps moderne, la civilisation capitaliste ou communiste, c'est-à -dire un régime de grandeur charnelle, à l'apogée de toutes les valeurs économiques, un régime dans lequel toute la nation, merveilleusement équipée des dernières inventions de la technique, se développe avec la précision d'une montre pour produire tout ce dont l'homme a besoin en vue d'une vie confortable ici-bas, je dis, oui, que nous pouvons l'obtenir comme l'ont obtenu ces civilisations... les juifs étant les maîtres et nous les esclaves.

Depuis que le Christ vint au monde, une civilisation de grandeur charnelle n'est pas possible, une civilisation où prédomine Mammon, le dieu des richesses et le dieu de l'iniquité, sans que les juifs en soient les créateurs et les gentils les exécuteurs. Parce que l'hégémonie leur a été donnée dans ce qui est charnel comme nous l'avons expliqué au chapitre précédent; et le prochain chapitre, qui traitera des juifs et des peuples déchristianisés nous fera voir que le processus de destruction de l'ordre chrétien, c'est-à-dire d'une civilisation de type spirituel, court parallèlement à la formation d'une civilisation de type charnel, matérialiste, à prédominance économique, et l'un et l'autre processus courent eux-mêmes parallèlement à l'émancipation des juifs, qui prennent leur revanche sur les prétendues agressions médiévales, et cette émancipation à son tour, va de pair avec la réduction en esclavage des peuples chrétiens.

Ah! C'est que ce n'est pas impunément que l'on foule aux pieds la Parole de Dieu! La théologie régit l'histoire avec une précision infiniment plus admirable que ne le croient les yeux vulgaires qui ne voient que des forces antagonistes qui luttent entre elles sans aucun sens. Non. l'histoire a un sens, et c'est un sens théologique, parce que Dieu sait profiter de toutes les réussites et de tous les échecs des hommes pour que s'accomplissent ses insondables desseins.

Aux nations chrétiennes qui se sont épanouies sous le contrôle aimant de l'Église au Moyen-Âge, Dieu a donné deux ennemis: l'un interne, qui est l'instinct de rébellion contre le spirituel pour réaliser une grandeur sans Dieu; l'autre, externe, qui sont les juifs, lesquels devaient vivre avec les peuples chrétiens pour leur servir d'aiguillon et d'éperon.

La Chrétienté, sous le gouvernement de Pontifes et de Rois qui furent des saints, comme Innocent III et Louis IX de France, sut refréner ces ennemis. Elle refrénait les instincts charnels de grandeur parce qu'elle était unie à Jésus-Christ qui avait dit: "Cherchez d'abord le Royaume de Dieu et sa Justice, et le reste vous sera donné par surcroît". Elle repoussait les embûches juives, parce qu'avec un grand sens théologique, elle voyait en eux la domination du charnel, avec le danger qui en découlait pour le spirituel, et elle savait la réprimer par l'isolement énergique de cette race perfide, bien que sacrée.

La chrétienté a réalisé une culture et une civilisation spirituelle dans la liberté, où il était forcé que les juifs vécussent sous la domination chrétienne.

Mais les temps modernes commencent par la rébellion des instincts charnels avec la Renaissance et la Réforme Protestante, et par une nécessité théologique, plus forte que les calculs des hommes, doit commencer aussi l'émancipation des juifs, à qui Dieu a remis le monopole du charnel; émancipation qui doit aller en s'accentuant à mesure que grandit la civilisation de grandeur charnelle, émancipation qui doit forcément se changer en la domination effective du juif, à laquelle on arrive dans le capitalisme, et qui, avec encore plus d'efficacité, se réalise dans le communisme, comme je le démontrerai, Dieu aidant, dans le prochain chapitre.

Aussi je ne rejette pas sur les juifs la faute des maux qui nous arrivent. Ils accomplissent leur devoir en réalisant le programme perfide que, dans les desseins de Dieu, il leur revient de mener à bonne fin. Il faut rejeter la faute sur les chrétiens, sur les peuples chrétiens, qui n'ont pas répondu à la vocation admirable à laquelle Dieu les a appelés, et par l'ambition d'être grands dans le charnel, ils ont noué une alliance avec les juifs; grandeur qui doit se terminer dans des fleuves de sang chrétien, comme elle s'est terminée en Russie, en Espagne, et dans le monde, parce que ce n'est pas en vain que la Vérité Éternelle a dit: "Cherchez d'abord le Royaume de Dieu, et le reste vous sera donné par surcroît". (Mt VI, 24-33)

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