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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, février 28, 2009

LA DÉCHRISTIANISATION DU MONDE

Voici qu'à la fin du Moyen-Âge, les peuples chrétiens commettent de grands péchés, énormes, effrayants... Le clergé surtout, qui aurait dû être le Sel de la Terre et la Lumière du monde, se corrompt et s'assombrit.

Cela est très grave, pour le salut des peuples. Parce qu'ils se déchristianisent, il leur faudra se judaïser. Telle est la loi théologique. L'histoire aussi l'a prouvé, point par point. Les faits nous disent que le processus de déchristianisation, entrepris par l'Humanisme de la Renaissance et de la Révolution Française, et qui atteint aujourd'hui son apogée dans la Révolution Soviétique est un processus typique de judaïsation du monde, c'est-à-dire dans lequel les plans judaïques de domination universelle et absolue sur les chrétiens sont en train d'atteindre leur accomplissement.

Que ces plans existent, cela ne peut faire le moindre doute pour ceux qui ont suivi les deux chapitres précédents. C'est une exigence de l'irréductible opposition d'Ismaël et d'Isaac, d'Ésaü et de Jacob, de Caïn et d'Abel, que Dieu a disposée sur le monde. C'est une exigence du Talmud, qui est le Code civil et religieux des juifs. L'histoire en apporte la preuve en tout lieu et en tout temps.

En outre, on démontre que tant la Renaissance que la Réforme Protestante, l'Encyclopédisme pendant du XVIIIe siècle, la Révolution Française, le Capitalisme, la contamination des peuples par le Libéralisme et le Socialisme, le Communisme, la Révolution Soviétique, ont été en grande partie forgés par les Juifs, qui en ont certainement bénéficié au détriment des peuples chrétiens.

En d'autres termes: depuis la Renaissance jusqu'au Communisme, se développe un processus uniforme de déchristianisation des peuples et de leur assujettissement aux juifs, qui, de serviteurs qu'ils étaient au Moyen-Âge, deviennent maîtres et rois. Et ce processus est en grande partie l'œuvre des juifs.

Je crois qu'il n'est pas nécessaire de faire remarquer aux lecteurs intelligents qu'en attribuant aux juifs un rôle prépondérant dans l'œuvre de déchristianisation du monde moderne, on ne veut pas en faire un dieu malin doté de pouvoirs surhumains pour monter des révolutions et des catastrophes.

Tout processus historique se réalise au sein d'un mouvement continuel, compliqué, de forces les plus diverses, dont beaucoup se déterminent librement; de sorte qu'il faut tenir compte de tous ces intérêts qui se croisent pour expliquer totalement les réalités historiques engendrées au cours de l'histoire. Mais bien que ceci soit la vérité, il n'y a pas de doute que nous pouvons concentrer notre attention exclusivement sur l'action et l'influence des juifs, pour voir en quel sens ils procèdent, et avec quelle intensité, avec quelle portée, dans les possibilités d'action, pour créer et donner naissance aux grands faits qui se produisent dans l'histoire, depuis la Renaissance jusqu'à nos jours. Et ma thèse est celle-ci: dans les possibilités d'agir, les juifs sont cause première et principale (disons: le cerveau qui pense et la main qui dirige, selon l'expression de Mgr Jouin) des principaux faits antichrétiens qui s'échelonnent de la Renaissance au Communisme.

Le juif, agent théologique de l'iniquité, comme je l'ai démontré dans le premier chapitre, accomplit avec une ténacité indéfectible ce travail démolisseur de destruction du christianisme.

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