LES JUIFS ET LE CAPITALISME
PREMIÈRE PROPOSITION:AVEC LE CAPITALISME, LES JUIFS S'EMPARENT DES RICHESSES DE TOUS LES PEUPLES.
Quelle est l'essence, quel est le cœur du régime économique capitaliste qui est en vigueur depuis la Révolution Française et qui a produit les grandeurs charnelles du monde moderne? C'est le régime de richesse financière comme premier moteur de toutes les activités économiques. Le pouvoir financier qui se concentre dans les banques assure l'impulsion et le développement de toute activité commerciale, industrielle, et de culture agro-pécuniaire. Le capital financier est le grand facteur d'expansion économique. Au moyen du crédit, du prêt à intérêts, un capital financier mobilise d'énormes richesses, qui à leur tour multiplient et accroissent ce même capital financier.
Les banques s'enrichissent rapidement, non seulement par le prêt à intérêt en tant qu'intérêt, mais surtout par le prêt. Elles s'enrichissent aussi par l'intérêt. Et sous cet aspect, le prêt est merveilleux. Parce que nous avons 10 000 piastres, et à la fin de l'année, sans qu'intervienne notre travail et sans que nous ayons à nous préoccuper, cette somme aura rapporté 600 piastres. Merveilleux, parce qu'avec le prêt, l'argent acquiert un pouvoir d'enchantement, d'aimantation. L'argent, par lui-même, attire plus d'argent. Heureux ceux qui, dans un régime où le prêt à intérêt est en vigueur, possèdent de l'argent! Sans avoir besoin de le risquer dans des entreprises problématiques, ils pourront l'accroître. Il suffit qu'ils le remetten1 sous bonne garantie à un prêteur.
Merveilleux, le prêt à intérêt. Cependant les juifs, entre eux, n'ont pas le droit de se prêter à intérêt. Par contre, ils peuvent prêter aux non-juifs. (Deut. XXIII, 19). La raison de cette différence réside en ce que, entre eux, ils doivent se traiter comme des frères, et par contre, les étrangers, ils peuvent les traiter comme des ennemis. Et en réalité, le prêt à intérêts, dans un régime à forte stabilité monétaire, tend à créer deux classes bien définies: la prêteuse, et la laborieuse. La prêteuse, qui doit forcément aller en s'enrichissant, parce que l'argent augmente chaque jour d'un accroissement nouveau et indéfectible. La classe laborieuse, qui doit forcément travailler pour elle et pour les prêteurs; et comme ceux-ci s'accroissent, elle doit accroître aussi le travail des producteurs, jusqu'à ce qu'arrive le moment où ses travaux ne couvrent pas ce qu'ils doivent aux prêteurs, et alors, ils s'endettent.
Mais il y a un autre chapitre par où les banques s'enrichissent rapidement: c'est par les nombreuses opérations de prêt et de remboursement de prêts qu'elles réalisent. Cela leur permet, en disposant d'un fonds effectif relativement petit, de réaliser des opérations jusqu'à dix fois supérieures. Il y a une véritable création d'argent au pouvoir du banquier. Le crédit, c'est de la monnaie. Et en créant de la monnaie, il s'enrichit rapidement. Il est bien connu que le secteur juif, en étant relativement petit en comparaison du secteur de gentils qui se consacre à la création de richesses, manœuvre surtout le pouvoir financier qui s'exerce au moyen des banques. Que se passe-t-il, alors, dans l'économie?
Les non-juifs cultivent la terre, rendent les champs florissants, créent de puissants établissements d'agriculture ou d’élevage, montent des industries, découvrent et utilisent de nouvelles inventions, font surgir de la terre de véritables richesses, et cependant, ils sont, en grande majorité, de misérables débiteurs.
Les juifs, par contre, ni ne cultivent, ni n’inventent, ni ne produisent, et ils sont les maîtres de tout.
On les voit toujours agrippés à l'or; toujours manipulant mille papiers qu'on appellera lettres de change, chèques, billets à ordre, actions, obligations, titres, dont eux seuls connaissent tous les secrets; ils garderont toujours l'or, même quand ils laisseraient aux autres ces papiers.
Et eux, maîtres de l'or, qui est le pôle vers où tout converge... ils seront, par le fait même, maîtres de tout le mouvement financier, de tout le mouvement commercial, de tout le mouvement industriel, de tout le mouvement agro-pécuniaire.
Eux qui ne cultivent pas un grain de céréales, ils ont le monopole du blé, du riz, du lin, du coton, de l'orge, et de tous leurs dérivés, du monde entier. Eux, qui n'élèvent pas une brebis, ils possèdent le monopole de tous les ovins, bovins, porcins, et en général, toutes les viandes du monde entier; eux qui n'exploitent pas une mine, ils sont les maîtres des gisements de houille et de pétrole; maîtres de l'or, de l'argent, de l'étain, du fer, du cuivre, de la force électrique; eux qui ne savent fabriquer que des articles de qualité médiocre, ils contrôlent les plus importantes usines du pays, et de tous les pays.
L'Esprit Saint dit (dans Eccl. X, 19) "qu'à l'argent obéissent toutes choses", et les juifs, après avoir créé une économie totalement en fonction de l'argent, de l'accroissement et de la multiplication de l'argent comme fin ultime, ont su garder l'argent pour eux. C'est ainsi qu'ils ont tout pris pour eux, y compris les gouvernements. Parce que ceux-ci ayant toujours besoin d'argent, ils sont toujours les clients soumis des juifs.
Est-ce que les gouvernements ne pourraient pas rompre les liens dont les juifs les ont attachés? Si, ils le pourraient. Mais c'est si difficile! Parce que, entre beaucoup d'autres circonstances, dont l'énumération serait trop longue, observons seulement ce fait: les juifs, selon leur convenance, sont nationaux ou internationaux.
S'agit-il donc de cautionner dans le pays une industrie ou des produits juifs? Ils s'efforcent de les présenter comme nationaux, argentins. Et si l'on veut un signe relativement habile pour connaître la provenance juive d'une fabrique ou d'un article, on l'aura dans l'étiquette de "national" ou d'"argentin" qu 'ils arboreront.
Mais par contre, quand on veut les contraindre à des lois ou à des règlements qui limitent leur omnipotence financière, ils invoqueront la provenance belge, anglaise ou américaine, n'hésitant pas à aller jusqu'à exiger l'intervention de ces gouvernements en garantie de leurs intérêts.
Le juif international a créé le capitalisme international pour avoir en mains les richesses internationales. Werner Sombart a écrit un livre volumineux, documenté avec une abondance ahurissante, montrant comment les juifs ont créé le capitalisme et comment sans eux on ne pourrait pas expliquer ce système économique. (Les juifs et la vie économique, traduit de l'allemand avec l'autorisation de l'auteur par le Dr S. Jankélévitch, Payot, Paris 1923). Henry Ford, le célèbre roi de l'automobile, apporte des renseignements très intéressants dans "le juif international", renseignements qui ont surtout trait au puissant capitalisme américain, et qui démontre l'influence jamais soupçonnée de la Banque Juive Internationale. Et qu'on n'aille pas dire qu'Henry Ford a démenti son livre puissant, parce qu'un livre comme le sien, abondamment documenté, ne se dément pas par une simple lettre rédigée sous la pression de toute la juiverie internationale contre son industrie. Au contraire, cette victoire de la juiverie contre une puissance comme Ford est la meilleure démonstration du pouvoir fantastique des juifs, maîtres des richesses du monde.