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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, février 28, 2009

CHAPITRE TROISIÈME

LES JUIFS ET LES PEUPLES DÉCHRISTIANISES

Dans le premier chapitre, nous avons exposé la loi théologique qui régit les peuples depuis l'avènement de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Il existe, disions-nous, parce que Dieu en a disposé ainsi, pour des raisons qui ne sont pas de notre pertinence, une opposition irréconciliable qui doit se perpétuer irrémédiablement jusqu'à ce que vienne le temps de la réconciliation. Juifs et chrétiens doivent se rencontrer partout sans se réconcilier et sans se confondre. Ils représentent dans l'histoire l'éternelle lutte de Lucifer contre Dieu, du serpent contre la Femme, des ténèbres contre la Lumière, de la chair contre l'Esprit. L'éternelle lutte de Caïn contre Abel, d'Ismaël contre Isaac, d'Ésaü contre Jacob, de Pharaon contre Moïse, des juifs contre le Christ.

Elle est si fondamentale, cette opposition, qu'après le Christ, ne sont possibles pour l'homme que
deux chemins: la christianisation ou la judaïsation, de même que dans toutes les manifestations de la vie ne sont possibles que deux modes véritablement fondamentaux: le mode chrétien et le mode juif; deux religions, la religion chrétienne et la religion juive; deux économies, l'économie chrétienne et l'économie juive; seulement deux internationalismes, l'internationalisme chrétien, et l'internationalisme juif.

Nous avons vu comment l'Église eut conscience de la "dangerosité" du juif, et comment elle prit des précautions, parfois douloureuses, pour éviter la contamination des peuples chrétiens.

Les juifs confinés dans leurs ghettos, contrôlés, espionnés par l'État, pouvaient se développer parallèlement aux chrétiens, mais sans se mêler à eux, afin de ne pas les contaminer.

Tandis qu'on évitait cette contamination, les peuples chrétiens n'eurent rien à redouter de la dangerosité judaïque. Le juif était un serviteur du chrétien, comme il revient au fils de l'esclave d'être au service du fils de la femme libre.

Mais quelle est la meilleure défense du Christianisme contre la "dangerosité" judaïque? Les règlements policiers, peut-être? Non. Jésus-Christ, Vérité et Salut de l'homme, était la garantie et la sécurité du chrétien, et Il avait enseigné:

33 - Cherchez d'abord le Royaume de Dieu et sa Justice, et le reste vous sera donné par surcroît. (Mt. VI)

28 - Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et ne peuvent pas tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut jeter et le corps et l'âme en enfer. (Mt. 10)

27 - Ayez bon courage. C'est Moi, ne craignez point. (Mt XIV)

C'est-à-dire que tant que les peuples chrétiens adhèrent au Christ ils n'ont rien à craindre de la Synagogue.

Mais malheur aux peuples chrétiens, s'il arrive un jour où ils oublient que leur Salut c'est le Christ!

Malheur à l'Europe s'il arrive un jour qu'elle veuille briser les liens très doux qui l'unissent à la Sainte Église de Dieu!

Parce qu'alors, ils devront tomber sous l'esclavage déshonorant du diable, et de son exécuteur sur la terre, le juif... Alors, l'Europe et l'Amérique, les peuples gentils qui connurent les bénédictions de la Foi, devront connaître l'opprobre de leur judaïsation.

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