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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mardi, février 24, 2009

LES JUIFS DANS LE MYSTÈRE DE L'HISTOIRE


L'histoire, en tous ses mouvements religieux et profanes, se meut au service du Corps du Christ. À travers l'histoire se complète le Corps du Seigneur. Et le travail d'incorporation de nouveaux membres au Corps du Christ s'accomplit par la Foi. "Sans la Foi, il est impossible de plaire au Seigneur" (Heb XI, 6) "Mais comment invoqueront-ils Celui auquel ils n'ont pas cru? Et comment peuvent-ils croire sans avoir entendu parler de Lui? Et comment prêchera-t-on si l'on n'est pas envoyé?" (Rom X, 14). Aussi, l'histoire, le Corps Mystique du Christ, la Foi, la prédication de l'Évangile et la mission des évangélisateurs, sont-ils étroitement liés, l'histoire n'a pas d'autre raison d'être que de déployer le temps nécessaire pour que les peuples embrassent la foi chrétienne. Et ce temps à son tour est conditionné par la force et l'élan avec lesquels la prédication se fera entendre par les peuples de la terre. Et à son tour, cet élan de la prédication dépend de la force avec laquelle s'enracine la foi dans les peuples pour susciter des missionnaires qui diffusent le message évangélique. L'Église est en état de mission depuis le jour où le Christ l'a privée de sa présence visible. Et les peuples chrétiens qui ont reçu le message évangélique doivent se constituer en porteurs de ce message à d'autres peuples. La prédication de l'Évangile justifie ainsi la continuité de l'histoire vivante. Quand l'Évangile sera parvenu à tous les peuples, l'histoire doit cesser. "Cet évangile du Royaume sera prêché dans le monde entier par toutes les nations, et alors viendra la fin", (Mt XXIV, 14).

La vie des nations dans la présente économie a donc sa raison d'être dans la prédication de l'évangile. Mais à son tour, la prédication de l'évangile est entravée et comme freinée par une tension fondamentale qui provient de la haine du juif contre l'évangélisation du gentil. Les juifs, comme catégorie historique permanente, jouent ce rôle d'être les ennemis de l'Évangile, qui s'opposent de toute leur furie à la conversion des gentils. Cette loi - loi historique - Saint Paul l'énonce dans une série de textes dont il est nécessaire de souligner la force. Le plus significatif est tiré de la 1re Épître aux Thessaloniciens (- II, 15-16 -): "Ces gens-là ont mis à mort le Seigneur Jésus et les Prophètes, ils nous ont persécutés, ils ne plaisent pas à Dieu, ils sont ennemis de tous les hommes quand ils nous empêchent de prêcher aux païens pour leur salut, mettant ainsi en tout temps le comble à leur péché, et elle est venue sur eux, la colère, pour en finir". On pourrait difficilement résumer en moins de mots la faute et sa portée, qui pèse sur le peuple juif. Ils s'opposent à la prédication évangélique en donnant la mort à Jésus, son auteur principal, et aux prophètes qui l'ont préparée; et en persécutant les Apôtres qui la propagent. Ils ne plaisent pas à Dieu, quoiqu'ils pensent le contraire. Ils sont contre tous les hommes. Saint Paul énonce ici la loi explicative de l'inimitié permanente en tant que catégorie historique, du peuple juif contre toutes les nations. Et il explique de quelle manière ils s'opposent à tous les peuples: c'est-à-dire en empêchant leur évangélisation et leur salut. C'est cela le rôle du peuple juif: semer la corruption et la ruine des peuples, surtout des peuples chrétiens.

Cette loi de persécution de la Synagogue contre l'Église, Saint Paul l'expose aussi dans son Épître aux Galates (IV, 28), où il dit: "Et vous, frères, vous êtes les fils de la Promesse, à la manière d'Isaac. Mais de même qu'alors celui qui est né selon la chair persécutait celui qui est né selon l'Esprit, de même aujourd'hui". Ismaël, fils d'Abraham par l'esclave Agar persécutait Isaac, fils d'Abraham par Sarah. Ainsi la Synagogue persécute l'Église, d'une manière permanente et fondamentale, comme une catégorie historique. Et comme l'Église est en état de mission, en portant l'Évangile à tous les peuples à travers l'histoire, la Synagogue entrave cette tâche et le plan d'évangélisation.

Aussi l'Église, avec une grande sagesse et suivant la doctrine de l'Apôtre sur les interventions de la Synagogue, quand elle était forte dans le domaine temporel, s'est opposée à l'entrée des juifs dans les peuples chrétiens. Elle savait que c'était un peuple dangereux, qui complotait la perte des chrétiens. Peuple sacré, sans doute, on ne devait pas le persécuter, et il devait être traité avec respect, ainsi qu'il convenait à la grandeur de ses pères. Mais peuple ennemi, dont il était nécessaire de se mettre en garde et de se défendre. La discipline du ghetto correspondait à leur triste condition.

Les juifs du ghetto, bien qu'impuissants à asséner des coups mortels à la chrétienté, machinaient de mille manières différentes pour perdre les peuples chrétiens. Ils disposaient de deux armes puissantes: une connaissance dialectique de la parole de Dieu, que leur donnait la science rabbinique, et avec laquelle ils pouvaient forger toute sorte d'hérésies, et le pouvoir de l'or qui leur donnait de pouvoir corrompre les mœurs, surtout celles des puissants. Ils firent quelque mal, mais du dehors, sans arriver à s'emparer du contrôle des sociétés chrétiennes.

Mais lorsque la ferveur chrétienne s'est refroidie, et que les peuples se sont paganisés, la société autrefois chrétienne ouvrit ses portes aux juifs. La Révolution Française, qui marque la mort de la société chrétienne, introduit les juifs en son sein. Une fois dans la place, ils atteignent de plus en plus de puissance, ils réussissent à corrompre de plus en plus profondément les peuples chrétiens. Avec le Libéralisme, le Socialisme et le Communisme, ils dissolvent toutes les institutions naturelles et surnaturelles qu’y avaient consolidées le christianisme. La structure des nations chrétiennes se brise. Les peuples, maintenant, ne se proposent plus d'objectifs missionnaires ni d' entreprises politiques. Ils se transforment en un conglomérat d'individus mus par le bien-être purement économique, auquel, à leur tour, ils ne peuvent atteindre qu'en dépendance et au service des juifs, lesquels deviennent les maîtres de la richesse mondiale.

La tension judéo-gentil qu'a établie Dieu au sein des nations s'accroît à mesure que celles-ci s'éloignent de Jésus-Christ. Et avec raison. Parce que cette tension ne peut disparaître que dans le christianisme. Saint Paul l'enseigne catégoriquement: "Dans le Christ, il n'y a ni juif ni gentil" (Gal III, 28). Pourtant, si les nations ne veulent pas tomber sous la domination du juif, elles doivent se soumettre au joug suave de la loi du Christ. Si au contraire elles rejettent le royaume public de Jésus-Christ, elles devront nécessairement tomber sous la domination judaïque. La loi de la tension dialectique du juif et du gentil opère nécessairement avec une rigueur théologique. Et l'Europe ex-chrétienne, qui dut être le porte-étendard de l'Évangile à tous les peuples de l'Univers, aujourd'hui judaïsés, apporte aux peuples païens l'exploitation et la ruine, y créant des obstacles insurmontables à la prédication de l'Évangile.

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