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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

jeudi, février 26, 2009

LES JUIFS ET LA CORRUPTION DÉMO-LIBÉRALE


SECONDE PROPOSITION:
AVEC LE LIBÉRALISME ET LE SOCIALISME, LES JUIFS, MAÎTRES DES RICHESSES DU MONDE, EMPOISONNENT TOUS LES PEUPLES, PERVERTISSANT LEUR INTELLIGENCE ET CORROMPANT LEUR COEUR.


Le grand bénéficiaire de la révolution libérale bourgeoise a été le juif. La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen allait se changer en déclaration des droits du juif. On ne peut prouver que la Révolution Française, qui ouvrit la porte de la société aux juifs, ait été leur œuvre directe. Cependant, ils eurent une grande part dans le succès de cette révolution. Après les études d'Augustin Cochin (Les Sociétés de pensée et la Révolution en Bretagne, Plon, Paris: la Société de pensée et la Démocratie, Plon, 1920: la Révolution et la Libre-Pensée Plon, 1924; les Actes du Gouvernement Révolutionnaire, A. Picard, 1929), il est bien clair qu'il revient à la maçonnerie une part de premier plan dans la grande Révolution. La Préface du livre: "La franc-maçonnerie française et la préparation de la Révolution (Les Presses Universitaires, Paris, 8e mille) du maçon notoire Gaston Martin. reconnaît "que la maçonnerie, en qui se résume l'apport français des philosophes et des économistes, l'apport anglais et américain, enfin l'apport scientifique a été, au milieu du désordre des institutions et des esprits, une des pièces maîtresses de l'organisation pré-révolutionnaire et de l'ordre nouveau, de l'ordre bourgeois de 1789 (page XV)", et il ajoute: "Le livre de Monsieur Gaston Martin le prouve avec une clarté lumineuse". Si la Révolution fut en grande partie l'oeuvre de la maçonnerie, elle doit l'avoir été également des juifs, qui étaient des éléments les plus actifs dans la promotion des loges.

Mais enfin, que cela soit plus ou moins discutable, ce qui est certain, c'est que les juifs ont atteint une influence prépondérante dans la société libérale bourgeoise. Dans les secteurs financier, commercial et industriel, ils ont obtenu des positions importantes, qui ont mis dans leurs mains le maniement de la richesse des pays, surtout en France, et dans le secteur culturel et éducatif, ils sont arrivés à dominer aussi totalement.

L'influence démesurée que les minorités juives devaient obtenir sur la population devrait provoquer à son tour des pogroms ou des persécutions, ou un état d’animosité qui accompagne invariablement de telles dominations. Il est intéressant de lire les volumes de Simon Doubnov, Histoire Moderne du Peuple Juif, tome I (1789-1848) et tome II (1848-1914) Payot, Paris, pour suivre cette alternative d'influence des juifs et de persécutions des peuples au cours du XIXe siècle, dans les pays les plus divers, comme la Russie, l'Allemagne, l'Autriche, l'Europe Centrale, la France, etc. Le même phénomène s'y vérifie toujours. Les juifs, laissés en complète liberté dans la société Gentil, s'emparent des postes de commande dans le champ économique, culturel et politique, et soumettent toute la société à un haut degré de corruption des formes de penser et d'agir, ce qui à son tour détermine une forte réaction de l'opinion publique contre eux. Mais le démo-libéralisme n'est qu'une étape dans le processus de dissolution des peuples. L'autre étape est le socialisme. Et ici, les juifs ont eu aussi une action de premier plan.

Que le socialisme soit judaïque, cela se prouve non seulement parce que ses prudhommes, tels que Marx, Engels, Lassalle, Kurt Eisner, Bela Kun, Trotsky, Léon Blum, furent des juifs, mais surtout, comme le fait remarquer le juif Alfred Nossig (lntegrales Judentum, le judaïsme intégral) parce que le socialisme et le mosaïsme non seulement ne s'opposent pas, mais parce qu'au contraire, il y a entre les idées fondamentales des deux doctrines une conformité surprenante. (I)

"Le mouvement socialiste moderne, dit-il, est en sa majeure partie l'œuvre des juifs; les juifs furent ceux qui y imprimèrent la marque de leur cerveau. Également, ce furent des juifs qui eurent une part prépondérante dans la direction des premières républiques socialistes. Cependant, les socialistes juifs dirigeants étaient, dans leur immense majorité, éloignés du judaïsme; et malgré cela le rôle qu'ils jouèrent ne dépend pas d'eux, parce que, d'une manière inconsciente, le principe eugénique de mosaïsme œuvrait en eux, et la race du vieux peuple apostolique vivait dans leur cerveau et leur tempérament social.

Le socialisme mondial actuel forme le premier stade de l'accomplissement du mosaïsme, le principe de la réalisation de l'état futur du monde annoncé par les prophètes. C'est pour cela que tous les peuples juifs, quels qu'ils soient, ou Sionistes, ou adeptes de la Diaspora, ont un intérêt vital dans la victoire du socialisme, victoire qu'ils doivent exiger non seulement par principe et par son identification avec le mosaïsme, mais aussi par principe de tactique
".

Mais, direz-vous, comment est-il possible que le juif bâtisse à la fois le socialisme et le capitalisme, deux forces qui se contredisent et s'éliminent? Très simple. Parce que ces deux créations sont construites par les chrétiens, ad usum christianorum. Le capitalisme, pour leur voler ce qu'ils ont. Le socialisme, pour empoisonner ceux qui n'ont rien, et établir ainsi la lutte des classes.

Avec le capitalisme et le paupérisme, avec les bourgeois et les prolétaires, avec le libéralisme et le socialisme, les juifs ont réussi à partager le monde en deux camps également pernicieux. Et dès lors, toutes les manifestations de la vie, de culture, de bienfaisance, syndicales, religieuses, politiques, économiques, portent le sceau de l'un ou l'autre camp.

Et le Catholicisme, qui est le Salut du Monde, qui a construit la chrétienté, reste confiné dans une "espèce de ghetto", tout juste jeté dans un coin des sacristies, dans les séminaires et dans les couvents.

Les gens, le public, se sont judaïsés: les riches avec le libéralisme, les pauvres avec le socialisme. Tous pensent, haïssent, aiment et dansent à la façon judaïque. Tous se sentent libres, c'est vrai, libres pour être manœuvrés comme des guignols par l'astucieux pouvoir des fils d'Israël. Tous libres, mais aucun ne pense autrement que par le cerveau judaïsé de son journal, de son livre, de sa revue. Tous libres, mais aucun n'a de haine ni d'amour qu'à travers l'artiste ou l'acteur judaïsé du cinéma. Tous libres, mais leurs idées politiques, économiques, religieuses, philosophiques, ont été préparées et imposées par les juifs.

Combien vraies sont les paroles d'un journal anglais (Jewish World, 9 Février 1863) quand il dit: "Le grand idéal du judaïsme est que le monde entier soit imbu de l'enseignement juif, et que dans une fraternité universelle des nations - un judaïsme élargi toutes les races et les religions séparées disparaissent.

Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur passion dominant dans toutes les branches de l'activité publique, ils sont en train de faire vider graduellement les pensées et les systèmes non-juifs dans des moules juifs
".

Il y a bien des années déjà que l'on écrivait cela... Aujourd'hui la marche des choses a bien avancé en faveur d'Israël.


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Notes:

(I) Malgré la fausseté de l'affirmation de Nossig, que le mosaïsme soit socialiste, cependant la citation a une valeur de démonstration en tant qu'elle prouve que l'interprétation juive moderne du mosaïsme concorde avec le socialisme.

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