Dans une congrégation mariale, on fait porter à nos jeunes gens l'Étoile de Sion, qui est le signe national d'Israël, bien affiché sur le drapeau palestinien, qui est aussi le signe de la franc-maçonnerie des B'nai B'rith, l'un des principaux symboles de la Franc-Maçonnerie du Rite Écossais et du Grand-Orient athée, signe que l'on trouve répété partout dans la symbologie judaïque et qui forme le motif décoratif principal de toutes les synagogues, où l'on exècre et blasphême avec une ardeur fanatique la personne et le nom du Christ.
Pour nous paralyser par des appels à la tolérance, cachée derrière le masque d'une charité grimaçante, on tente aussi de nous amollir avec des institutions et des comités pour la conversion des Juifs, des sociétés inter-confessionnelles, des organisations de fraternité judéo-chrétienne. Cet inter-confessionalisme judéo-chrétien forme aujourd'hui une Internationale dirigée par la Franc-Maçonnerie des B'naï B'rith. Et, fait pénible qu'ignorent les gogos qui ne veulent pas aller aux sources, ce sont des Juifs, des institutions juives, qui ne veulent pas se convertir, qui ne veulent pas cesser d'être juifs (donc, antichrétiens), qui FINANCENT ces sociétés ou comités de conversion. Je suis allé aux preuves, et je puis dire qu'un Comité important du diocèse de Montréal pour la conversion des Juifs, est une autre des mille fraudes qu'on veut nous faire avaler, une fraude financée en majeure partie par le Congrès Juif Canadien, section locale du Congrès Juif Mondial. Sous Pie XI on avait tenté un mouvement semblable, en fondant, à Rome, la société appelée Gli Amici d'Israële, les Amis d'Israël, pour voir s'il n'y aurait pas moyen d'attirer les Juifs au christianisme. À sa grande douleur, le Pape dut ordonner la dissolution de cette société, en 1928, après avoir appris que les Juifs bien entretenus au Vatican restaient plus judaïsants que jamais, après toutes les tentatives, et que la Société avait même donné lieu à des messes noires et aux pires profanations. Le journal des Pères Jésuites à Rome, La Civilta Cattolica, profita de l'occasion de cette dissolution des amis d'Isreël pour publier un long article éditorial dans lequel il reprocha aux Juifs leur ingratitude, leur perfidie, leur influence prédominante dans tous les mouvements de dégénérescence et de décadence, dans la Franc-Maçonnerie mondiale, dans le marxi~me international, et même leur plan de domination mondiale, chose étrange pour le profane, dans notre province, ce sont les Juifs qui financent surtout le mouvement "pour la conversion des Juifs", tout en refusant obstinément de se convertir. Quiconque a lu les rapports bi-annuels du World Jewish Congress, particulièrement ceux du secrétaire David Pietegorsky, sait que ces mouvements, dans la stratégie juive, n'ont qu'un seul but: endormir les chrétiens pendant que se propage et se complète la conquête juive de nos organismes politiques, économiques et sociaux.
Il convient bien de citer ici le plus grand spécialiste centemporain sur la question communiste, maçonnique et juive, Mgr. Ernest Jouin, de Paris, rédacteur en chef de "La Revue Internationale des Sociétés Secrètes", auteur de nombreux ouvrages de fond, dont "Le Péril Judéo-Maçonnique", en 12 volumes. Pour le récompenser de son oeuvre, le Saint-Père lui adressa le bref "Prestantes Animi", comportant félicitations, remerciements et bénédiction spéciale.
Au tome II du "Péril Judéo-Maçonnique", Mgr. Jouin a écrit:
"Aussi le véritable ennemi est-il le Juif. Si l'on dégage la pansée des contingences humaines et des événements fortuits pour embrasser dans son ensemble l'histoire du monde et la marche des âges, on se trouve en face de deux immenses cités: la Cité de Dieu et la cité du mal; et, depuis vingt siècles, la cité de Dieu est l'Église catholique, et la cité du mal est le peuple juif, peuple international, répandu sur la terre, non pas comme la Maçonnerie à l'état dissociable, mais à l'état de peuple indissolublement uni et indéracinablement cosmopolite. Ici-bas, la lutte éternelle du bien et du mal, du Christ et de Satan, se joue entre le peuple catholique et le peuple juif; et son caractère particulier, à l'heure actuelle, est qu'elle se joue au grand jour".Nos pro-juifs zélés devraient méditer ces paroles et se demander, en comptant les écus reçus du Congrès juif Canadien, comment ils font leur devoir dans cette lutte implacable et, surtout, de quel côté ils se trouvent réellement.