Libellés

Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

lundi, mars 09, 2009

QUE DOIT-ON FAIRE DEVANT UN TEL PROBLÈME?

S'il est vrai qu'il y a une conspiration Juive pour la conquête du monde, pour la destruction du christianisme devenue une tyrannie suivant l'expression de Disraeli, pour le renversement de la civilisation occidentale, de la culture gréco-latine, des souverainetés nationales, bref pour la mise en esclavage de tous les peuples non-Juifs, que convient-il de faire? C'est évidemment la question la plus vitale qui se soit jamais posée à l'humanité puisque le sort de tous les peuples, leur liberté, leurs possessions spirituelles et matérielles sont en jeu. C'est pourtant la question la plus négligée, la plus vivement écartée quand elle se présente, celle que l'on craint le plus de discuter, voire de seulement mentionner.

Que l'on décrie les Anglais et leur impérialisme, que l'on ridiculise le chauvinisme Français, que l'on bave sur les Allemands, que l'on vomisse sur les Espagnols, c'est permis, c'est même encouragé. Mais que l'on mentionne seulement le mot Juif, et c'est instantanément un tollé vociférant, un tintamarre qui fait le tour du globe.

Celui qui prend tout simplement conscience de ce que disent les Juifs, qui après avoir examiné les faits, admet avec les Juifs que ceux-ci sont maîtres de l'or mondial, et par conséquent du jeu international des devises et du haut commerce, admet avec eux qu'ils sont les originateurs, propagateurs et maîtres du communisme au pouvoir, devient un subversif, un danger public, un galeux qu'il faut éliminer de la société. Par mille et un organes, la Juiverie fait un vacarme de tous les diables, alarme tous les milieux, crie à la persécution, à l'intolérance, au manque de charité. Toute la société en devient paralysée, et celui qui a voulu protéger son pays, sa tradition, sa foi, sa propriété, sa liberté: la vraie victime enfin, subit le sort de l'assaillant et du criminel.

Pourtant, il y a en tout cela une question de faits, une question de vérité, et il n'est pas possible de s'y soustraire.

Y a-t-il, oui ou non, une conspiration Juive mondiale, une conspiration Juive contre tous les peuples, toutes les religions?

Pour répondre non, il faudrait confondre de mensonge tous les auteurs Juifs qui admettent et expliquent les détails de cette conspiration; il faudrait expliquer que le contrôle Juif de l'or, de la finance, de la presse et du cinéma, des grands marchés, des sociétés subversives et des organismes communistes, QUI EST UN FAIT PROUVÉ, ADMIS, n'a absolument aucune importance. Seule la démence en délire pourrait faire une pareille réponse.

Devant la réalité, devant les faits, devant la Vérité, les esprits étroits, les préjugés, les esprits faussés sont bien ceux qui refusent de se rendre à l'évidence; ce sont bien ceux-là qui refusent de voir ce que leurs yeux regardent, ce sont bien ceux-là qui refusent d'entendre ce que leurs oreilles écoutent.

Et la raison, l'unique raison qui les fait agir ainsi, c'est la couardise, la lâcheté. Le monde ne succombe pas sous le courage des Juifs, toutes nos institutions ne croulent pas sous les coups de leur vaillance: tout s'écroule par la lâcheté de ceux qui avaient la responsabilité de le défendre.

Combien de fois des gens importants sont venus me dire: "Vous avez parfaitement raison, j'ai étudié la question depuis tant et tant d'années, j'ai poursuivi des enquêtes la-dessus. Continuez, dénoncez le péril. Mais, dans mon cas, vous comprenez, je ne puis rien faire, car j'ai un commerce". L'un craignait d'être attaqué, diffamé; l'autre craignait de perdre des votes; un autre craignait de perdre ses fournisseurs Juifs; un autre encore des clients Juifs; puis un autre de se faire serrer financièrement. D'autres, ces lapins tremblants qui s'affublent du titre d'intellectuels, craignaient de passer pour "antisémites", pour des gens "pas comme il faut". Tous ces bergers timorés admettent le danger du loup, mais ils le craignent encore plus que les brebis qu'ils sont censés défendre. Chacun a sa crainte particulière et tous marchent par la peur, surtout celle de perdre de l'argent. Si une grande multitude est prête à des bassesses pour faire de l'argent, un plus grand nombre encore fera de pires bassesses pour ne pas en perdre. Et le Juif les conduit tous par la terreur, une terreur morale solidement organisée chez nous comme ailleurs et qui, comme ailleurs, n'est que l'avant-coureuse de la terreur physique qui surgit, brutale, implacable, inexorable, quand le Juif monte au pouvoir, comme s'en rendent compte maintenant toutes les populations emprisonnées derrière le rideau de fers.

Le Juif n'a qu'une seule conception d'établir et imposer l'autorité: par la terreur. Non par la sagesse et la beauté des lois, par leur concordance avec la Loi Naturelle et l'ordre de la création, mais par la peur qui, ignorant l'intelligence, ne s'adresse qu'à l'instinct de conservation purement animal. Cela s'explique par le fait qu'il n'a jamais subi, dans toute son histoire, une autre sorte d'autorité. À cause de son caractère particulier, dont ses livres font si souvent mention, son Dieu fut toujours pour lui un Dieu jaloux, un Dieu vengeur, un Dieu de colère et de terreur; le Juif n'a jamais voulu accepter un Dieu d'amour et de douceur. Le ghetto d'hier, la colonie Juive d'aujourd'hui ont la même interprétation du pouvoir et règnent avec une telle terreur sur leurs membres qu'un Juif déclaré anathème n'a généralement de recours que dans le suicide ou la rupture sans espoir de retour avec sa communauté.

Et le plus grand paradoxe moderne est bien celui que nos innombrables gogos, victimes de demain, ingurgitent avec avidité: le paradoxe du Juif persécuté.


Archives du blogue