Soeur économe Landry, comme son idole Karl Marx, est économiste. Karl Marx n’a jamais travaillé de sa vie et il vivait aux crochets de ses parents et de Hegel.

Il n’y a pas de collège ou d’association d’économistes. En conséquence, n’importe qui peut se dire économiste. Ça ne veut rien dire.

Quelles sont les études et expérience de gestion des partis de la gaugauche (PLC, NPD, BQ)?

Donnez le désert saharien aux gauchistes, et ils manqueront de sable au bout de trois jours ou moins!


Ré: article paru sur internet, Radio Canada, le 16 juin 2002, concernant Bernard Landry

"Avocat et économiste de formation,"
Depuis quand Bernard Landry est-il un économiste de formation?

Le PQ accueille son nouveau chef:
(nouvelle du 3 mars 2001

Formation
Études à l'Académie Saint-Louis, Saint-Jacques (pas de date)
Études au Séminaire de Joliette (pas de date)
Licence en droit, Université de Montréal (pas de date)
Barreau du Québec (1965)
Diplôme en économie et finance, Université de Montréal (pas de date)
diplôme entre le bacc et la maîtrise
Diplôme en économie et finance, Institut d'études politiques, Paris, France (pas de date)
équivalence selon le HEC = bacc francais équivaut au cegep moins une année
pour un français bacc plus une année universitaire pour être amis au bacc.
Maitrîse bacc francais plus 4 année universitaire


De 1964 à 1968, il est conseiller technique au cabinet du ministre des Richesses naturelles, coordonnateur, pour le Québec, du Conseil canadien des ministres des Richesses naturelles et chargé de mission au cabinet du ministre de l'Éducation. Admis au Barreau du Québec en 1965, il effectue un stage de perfectionnement au ministère des Finances et des Affaires économiques à Paris de 1965 à 1967. Ensuite, il pratique le droit à Joliette et à Montréal pendant près de sept ans, de 1969 à 1976.

Si Bernard Landry était conseiller technique de 1964 à 1968, pourquoi et comment était-il en stage à Paris de 1965 à 1967? En quelle année a-t-il fait ses études à l’Institut d'études politiques, Paris, France? Le stage de formation de cet institut est de quatorze semaines seulement et non de deux ans.

Depuis quand un ministère des finances fait-il des «économistes de formation» avec des fonctionnaires ou des ministres des finances ayant un baccalauréat en droit et un Diplôme en économie et finance?

Expérience professionnelle
(1965-1967) Stage de perfectionnement au ministère des Finances et des Affaires économiques, Paris, France
(196-1969) Avocat, Joliette et Montréal
(1986-1987) Co-animateur et personne_ressource à l'émission de télévision d'affaires publiques «Le Monde magazine»
(1986-1994) Professeur, Département des sciences administratives, Université du Québec, Montréal
(1970) Candidat du Parti québécois dans la circonscription de Joliette
(1973) Candidat du Parti québécois dans la circonscription de Joliette_Montcalm
(1974) Membre de l'exécutif national du Parti québécois
(1985) Candidat à la direction du Parti québécois
(1985) Candidat dans la circonscription de Laval_des_Rapides
(1989-1994) Vice-président du Parti québécois
(1976) Élu député de la circonscription de Fabre aux élections générales du 15 novembre
(1977-1981) Ministre d'État au Développement économique du 2 février au 12 mars
(1981-1994) Élu député de la circonscription de Laval_des_Rapides aux élections générales du 13 avril
(1994-1998) Vice_premier ministre
(1998) Réélu député de la circonscription de Verchères aux élections générales du 30 novembre
Monsieur Bernard Landry
Député de Verchères
Premier ministre du Québec

Bernard Landry est né le 9 mars 1937 à Saint-Jacques de Montcalm, dans la région de Joliette au Québec. Il a fréquenté l'«Académie Saint_Louis» à Saint-Jacques et le «Séminaire de Joliette» avant de poursuivre ses études en droit à l'Université de Montréal. Il a aussi obtenu un diplôme en économie et en finance à l'«Institut d'études politiques» à Paris.

De 1964 à 1968, il est conseiller technique au cabinet du ministre des Richesses naturelles, coordonnateur, pour le Québec, du Conseil canadien des ministres des Richesses naturelles et chargé de mission au cabinet du ministre de l'Éducation. Admis au Barreau du Québec en 1965, il effectue un stage de perfectionnement au ministère des Finances et des Affaires économiques à Paris de 1965 à 1967. Ensuite, il pratique le droit à Joliette et à Montréal pendant près de sept ans, de 1969 à 1976.

En 1970, Bernard Landry est candidat du Parti Québécois dans Joliette. Cette première expérience se solde par une défaite. Tout comme sa deuxième tentative dans Joliette-Montcalm en 1973. Il est élu député pour la première fois le 20 novembre 1976, dans la circonscription de Fabre, alors que le Parti Québécois est porté au pouvoir. Le 2 février 1977, il est nommé ministre d'État au Développement économique dans le cabinet de René Lévesque, un poste qu'il occupera jusqu'aux élections de 1981.

Bernard Landry est réélu député, le 13 avril 1981, cette fois dans la circonscription de Laval-des-Rapides. Au cours de ce deuxième mandat, le premier ministre René Lévesque lui confie tour à tour différentes responsabilités ministérielles. Il est renommé ministre d'État au Développement économique en avril 1981, puis, le 9 septembre 1982, il est nommé ministre délégué au Commerce extérieur. Du 5 mars 1984 au 16 octobre 1985, il est ministre des Relations internationales et, finalement, du 16 octobre au 12 décembre 1985, il exerce les fonctions de ministre des Finances dans le cabinet du nouveau premier ministre Pierre Marc Johnson.

Aux élections générales du 12 décembre 1985, le Parti Québécois est relégué au rang d'opposition officielle à l'Assemblée nationale. Bernard Landry n'est pas réélu dans sa circonscription. De 1986 à 1994, il se consacre à l'enseignement et assume ses nouvelles fonctions de professeur agrégé à l'École des sciences de la gestion de l'Université du Québec à Montréal. Professeur invité en France, au Mexique et en Afrique, son expertise en économie et en finance est largement reconnue. En 1986-1987, il est coanimateur à l'émission de télévision d'affaires publiques Le Monde magazine.

Bernard Landry est vice-président du Parti Québécois de 1989 à 1994, moment où il décide de se présenter dans la circonscription de Verchères.

Le 12 septembre 1994, le Parti Québécois est reporté au pouvoir. Le député de Verchères est nommé vice_premier ministre. Au cours de ce mandat, il cumulera plusieurs portefeuilles ministériels. D'abord, la première année sous Jacques Parizeau : ministre des Affaires internationales, de l'Immigration et des Communautés culturelles; membre du Comité des priorités; membre du Comité de législation; ministre responsable de la Francophonie; ministre responsable du Secrétariat à la jeunesse et ministre responsable du Secrétariat à l'action humanitaire internationale.

Le 31 octobre 1995, à la suite du référendum sur la souveraineté du Québec, le premier ministre Jacques Parizeau démissionne. Lucien Bouchard est nommé premier ministre du Québec et assermenté le 29 janvier 1996. Bernard Landry est confirmé dans ses fonctions de vice-premier ministre. Il est également nommé ministre de l'Industrie, du Commerce, de la Science et de la Technologie; ministre d'État à l'Économie et aux Finances; ministre des Finances et ministre du Revenu; président du Comité ministériel de l'emploi et du développement économique et ministre responsable de la région de l'Estrie.

Réélu dans Verchères aux élections générales de novembre 1998, Bernard Landry demeure vice_premier ministre. On lui assigne les fonctions de ministre d'État à l'Économie et aux Finances, ministre de l'Industrie et du Commerce, ministre des Finances, ministre responsable de la région de l'Estrie et président du Comité ministériel de l'emploi et du développement économique. Il a aussi été ministre du Revenu du 28 avril au 10 novembre 1999. Le 4 novembre 1999, il est nommé président du Comité ministériel spécial de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

Au cours de sa longue carrière, Bernard Landry a fait du développement économique du Québec une de ses priorités. Il est le principal artisan et promoteur de la Stratégie de développement économique du gouvernement du Québec. Cette dernière vise, entre autres, à bâtir le Québec et à le positionner dans la nouvelle économie du savoir et dans le virage technologique.
Bernard Landry est nommé président du Parti Québécois le 3 mars 2001 et il est nommé et assermenté premier ministre du Québec le 8.

Le premier ministre a trois enfants : Julie, Philippe et Pascale. Il est aussi l'heureux grand-père de trois filles.