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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, octobre 10, 2008


Le reel du diable



au violon

le zigoneux Bernard Landry

Aujourd’hui, et spécialement au Kebec, est une journée mémorable; le plus grand ogre et tueur d’enfants du Canada va recevoir l’ordre du Canada. Oui, Mort gang ti-lard va recevoir le trophée du plus grand Canadien, selon les valeurs canadiennes: uter des enfants. Ce qui est fascinant, c’est que les valeurs du civet aux yeux bleus, Harvey Duceppe du bikiou, sont très différentes; tuer des enfants.

Le lapin de Varennes, Bernard Landry, est très fier de René Lévesque: le rosicrucien qui avait abandonné sa famille par amour de la liberté. Ces vrais patriotes vont certainement avoir des orgasmes multiples en accrochant la médaille d’honneur sur la poitrine du tueur d’enfants. Quoique Juilie Couillard ait une poitrine plus digne de cet honneur... Dans les nouvelles valeurs, les partisans des Canadiens de Montréal attendent que le club lui (Julie) enlève son chandail de la renommée Couillard.

Le lapin de Varennes, Berny, devrait apprendre son histoire du Canada, spécialement le célèbre curé qui a oeuvré à développé le Nord du Québec, bien avant Bourassa, Lesage ou le monstre du lac Memphrémagog: «Un pays se bâtit avec de la marde de monde.»

Vingt-cinq ans plus tard, cela veut aussi dire 25 X 40 000 avortements = 1 000 0000 enfants tués dans le ventre de leur mère, sans compter ceux tués par les techniques contraceptives. Mais les immigrants vont prendre la relève...

J’aimerais que les lapins de la gaugauche me disent un seul mot en faveur de la famille. Les garderies et la politique du travail pour la femme ne sont pas réellement des politiques familiales. La famille étant le noyau de la société, la société du Kebec se vend à treize la douzaine.



Le mercredi 14 novembre 2001

25 ans plus tard, Landry s'engage à poursuivre la quête de la souveraineté

Pierre April

(un journaliste du printemps qui écrit en automne)

Presse Canadienne

Québec

René Lévesque: «Je n'ai jamais été aussi fier d'être Québécois que ce soir(Pauvre insignifiant autosatisfait!)

Vingt-cinq ans après l'accession au pouvoir du premier gouvernement péquiste de René Lévesque, le premier ministre Bernard Landry demeure convaincu que le projet souverainiste est plus que jamais d'actualité et réalisable. (Une autre menterie pékisse. L'indépendance fictive du Kebec n'est qu'une étape vers la réalisation de l'État totalitaire communiste!)

Profitant d'une petite fête au Salon rouge (communiste) de l'Assemblée nationale, mercredi soir, en l'honneur de trois députés (François Gendron, Guy Chevrette et Jacques Brassard) qui étaient là en 1976, le chef du Parti québécois a profité d'un point de presse pour rappeler que la souveraineté demeure le but ultime de sa formation politique. (Ben voyons!)

«Lévesque avait dit ça va prendre une génération, donc 25 ans, a-t-il rappelé. Dans les années, il ne s'est pas trompé beaucoup sinon de 30 000 votes au dernier référendum.
(L’éthylique a aussi dit: «Aussi fou que Duplessi qui voyait des communistes partout», alors qu’il était lui-même un communiste et un franc-maçon de la secte des rosicruciens.)


«Nous avons vécu une formidable progression, et dans le contexte présent de mondialisation des marchés, où le rôle des nations va devenir de plus en plus important, je ne suis aucunement pessimiste quant à l'avenir de notre nation à nous», a ajouté M. Landry. (La nation qui ne fait pas d'enfants et qui les tue?)

Les défaites référendaires de 1980 et 1995 ont bien sûr été très dures à vivre, a reconnu M. Landry en qualifiant ces moments de véritable deuil, avant de mentionner les consolations vécues au pouvoir grâce à la loi 101, le zonage agricole, l'assurance-automobile, l'équité salariale, les politiques familiales et l'assainissement des finances publiques. (Parlant de deuil, j'espère que le lièvre de Varennes a une pensée pour les victimes des milliers d'avortement et de la disparition de la race canadienne-française. Leur histoire de «nation québécoise» cache ce fait. En ce qui concerne l'assurance-automobile, le civet ne mentionne pas que le Québec est l'endroit où les automobilistes conduisent le pire et que les criminels de la route sont des intouchables.)

«Tout en poursuivant l'idéal souverainiste, nous avons poursuivi l'idéal de bien gouverner le Québec et de lui donner de bonnes politiques économiques, culturelles et sociales. De ce point de vue là, nous avons eu notre récompense et la satisfaction du devoir accompli», a-t-il ajouté.

Vingt-cinq ans plus tard, les résultats du dernier référendum doivent nous faire réaliser, selon M. Landry, que la base est là «et qu'il ne s'agit plus maintenant que de raviver la flamme qui dort sous les braises». (Un bon civet bien grillé sur les braises pékisses. Cause toujours, mon lapin!)

«Je ne ferai pas de prédiction, mais on a un sacré bon bout de chemin de fait», a-t-il conclu.

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