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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

jeudi, octobre 09, 2008

Le lapin menteur du Bloc et la gaugauche accusent Harper de plagiat en reprenant mot pour mot le discour du Premier ministre australien. Pauvre opposition mal informée! Non seulement il a copié sur la copie du ministre kangourou, mais il reprend les mêmes propos que soeur économe Landry.

Le lapin du bloc en pousse des bonnes. Il dit que les émissions de gaz à effet de serre ont baissé depuis le début des années 90 en Québec. Et, n’hésitant pas à franchir le pas de la conclusion, affirme que cela est dû aux politiques de notre gouvernement sans peur et sans reproche du Québec. C’est là que le bas blesse.

Les compagnies avaient mis en place des programmes d’économie d’énergie dès le premier choc pétrolier bien avant que les gouvernements ne réagissent. Ce n’est que par la suite que les gouvernements ont emboîté le pas.

Le benzène était envoyé à la flamme pour y être brûlé. Quand on a découvert que ce gaz pouvait faire augmenter le rendement des moteurs à combustion, les raffineurs l’ont tout simplement ajouté à l’essence. Plus le taux de benzène est haut, plus l’essence est chère. Pas mal pour un produit autrefois considéré comme une perte!

L’énergie étant plus coûteuse, les compagnies ont investi dans l’isolation pour baisser le coûts.
Les compagnies les plus polluantes ont investi des millions pour améliorer leurs systèmes de production en installant des mesures et des systèmes pour baisser leur pollution.


Plusieurs compagnies ont fermé leurs portes. Il y avait six raffineries de pétrole à Montréal-Est et d’autres compagnies chimiques. Quatre raffineries ont fermé, et, au début des années quatre-vingt-dix, Union Carbides, reconnue comme la plus polluante, fermait ses portes après avoir investi des millions pour gérer ses rejets toxiques.

Mais en parlant de gaz à effet de serre, si tous les bloqueux et pékisses de la gaugauche cessaient de respirer, non seulement mère nature en serait plus aise, mais les médias aussi souffriraient moins de la pollution. Un bon geste, les marxistes, retenez votre souffle!

Alors, quand le lapin du Bloc vient nous raconter ses salades de carottes de lapin, soit qu’il mente, soit qu’il soit complètement ignare. Moi, je pense qu’il est un bon communiste et qu’il ne peut s’empêcher de conter des menteries: la fin justifie les moyens.
Mais pour revenir au copiage, voici soeur économe qui chante:



Tout va très bien
Madame la marquise,
Tout va très bien tout va très bien.




Le jeudi 13 décembre 2001

Landry se réjouit de la performance du Québec

Presse Canadienne

Québec

La Presse

Bernard Landry

L'économie du Québec est suffisamment solide pour passer à travers la mauvaise conjoncture économique sans trop de mal, d'autant plus que le «mauvais temps» sera sans doute de courte durée, estime le premier ministre Bernard Landry.

«La conjoncture, il se peut qu'elle soit moins mauvaise qu'on l'ait cru. Et il y a plusieurs éléments à cet effet», a-t-il indiqué à l'Assemblée nationale jeudi.

M. Landry a signalé que le Québec avait devancé plusieurs provinces dont l'Ontario au chapitre de l'implantation de nouvelles industries au cours de l'année 2000-2001.

Le Québec a obtenu des investissements privés de 5,7 milliards $ uniquement en grands projets, comparativement à 1,9 milliard $ en Ontario.

Pour l'augmentation du taux d'emploi, le Québec a dépassé l'Ontario, l'Alberta, la Saskatchewan, le Nouveau-Brunswick et la Colombie-Britannique, a précisé M. Landry en s'inspirant des derniers constats de Statistiques Canada.

«Contrairement à ce que l'on pense généralement, le climat d'investissement au Québec est plus compétitif qu'en Ontario», s'est réjoui le premier ministre.

La solidité de l'écomomie québécoise lui permet donc de croire que le mauvais temps qu'il appréhendait ne perdurera probablement pas.

Ironiquement, M. Landry a signalé que le budget de Paul Martin, «tellement nul», a-t-il dit, au chapitre de la relance de l'économie qu'il constitue une preuve additionnelle de la solidité de l'économie.

Le chef libéral Jean Charest a pris acte des constats du premier ministre mais lui a demandé des preuves de la bonne santé financière du gouvernement en réclamant à nouveau la Synthèse des opérations financières, un document qui passe aux «Rayons-X» les finances publiques.

Saisissant la balle au bond, la ministre des Finances, Pauline Marois, a promis de rendre public ce «véritable best-seller» vendredi. Elle le déposera à l'Assemblée nationale en matinée.


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