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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, octobre 10, 2008

Ceux qui ont l’intention de voter pour le Bloc, le NPD, le PLC ou le parti de la verdure, devraient lire attentivement ce qui suit.

Ces partis sont cd prime abord des partis communistes avec tout ce qui s’en suit. Écoutez bien le discour du lapin blanc aux yeux bleus de Bloc. Son nom même est calqué sur le Bloc Populaire en France.
Il a déjà choisi la classe qui doit être éliminé: les vrais catholiques. Les faux sont aumôniers dans son organisation anticléricale et antiDieu. Il parle de tuer des enfants dans le ventre de leur mère comme si ces enfants étaient des légumes. Le NPD comme le Bloc vivent de l’argent des travailleurs et utilisent leur argent pour promouvoir le marxisme.


En Ontario, les gens se souviennent de Bob Rae et de son administration. Ce fut un désastre monumental: chômage sans précédant, augmentation des primes d’assurance, et j’en passe.
Pour connaître ce que peuvent faire les bloquex, nous n’avons qu’à nous rappeler les grandes oeuvres pékisses. Le credo communiste de Bavard Landry à l’Assemblée nationale lors de l’adoption de la loi contre la pauvreté, pourquoi pas aussi contre les avalanches, les raz de marée, etc.? «Karl Marx avait raison, répéta-t-il à deux reprises.


En ce qui concerne le crime de masse, il faut connaître ce qui motive ces gauchistes qui trouvent que de tuer des enfants fasse partie des droits ancestraux des femmes, que la maternité soit une maladie, que les poulets doivent avoir plus de droits que les enfants dans le ventre de leur mère, etc. La liste est longue.

Mais non seulement ces gauchistes qui détestent la vie et les enfants veulent les tuer avant qu’ils ne naissent, ils prétendent les aimer en agitant le spectre d’enfermer les enfants en prison avec des adultes. Ce qui est parfaitement faux et de la pure démagogie de la part de ces assoiffés de sang.

Qui sont-ils vraiment? Margaret Sanger fut aussi la maîtresse d’Éleanor Roosevelt. Hitler aima ses idées et les appliqua avec soin. Comme résultat, en 1997, les avortements dépassaient le cap des 1 000 000 000 de bébés tués. Dans les archives de Planned Parenthood, la secte à Duceppe et de ses semblables, tous ces bébés étaient viables et leur mère en santé. aucun n’était le fruit de l’inceste ou du viol. Donc, quand des gens comme Guy Fournier veulent faire passer le Pape ou les chrétiens pour des ogres, ils devraient se regarder dans une glace.

Quand le lièvre du Bloc accuse Harper - prononcez Harpeur à la mode du lapin - de ne pas avoir de morale, c’est qu’il dit que la nouvelle morale n’accepte pas la dissidence. Sachant qu’ils n’ont pas raison et que ce n’est pas parce que ce soit légal que ce soit morale, ils ne veulent surtout pas qu’un débat qui n’a jamais eu lieu se retrouve sur la place public.

Si vous désirez goûter aux délices d’une dictature communiste, alors votez pour eux. Mais ne venez pas vous lamenter par la suite. La Chine et les pays communistes sont des vibrants témoignages de ce que fassent ces gens-là.

Pour les esprits lents, le texte suivant devrait vous accélérer les neurones.

J’ai aussi mis un texte que plusieurs ont oublié sur les demandes de la fédération des folles du Québec. Combien d’enfants Françoise David a-t-elle eu? La réponse devrait générer un vilain doute dans votre esprit.

N’oubliez pas:

KARL MARX = NDP = PQ = RIN = NAZI = PLC - CRIMES DE MASSE

Je n’ai rien contre le fait que la David ne se reproduise pas - et cela vaut pour tous les tueurs d’enfants -, mais de décider de la vie ou de la mort d’un enfant à partir d’une idéologie criminelle est une autre pair de manches. Quand vous appelez Satan, il vient.

Duceppe, soeur sourire Layton, Dion et la verdure font une campagne de peur présentement. Cela devrait suffire à prouver qu’ils ont vraiment peur de voir l’opinion publique se réveiller.
Harper n’est pas un saint, mais entre un chien méchant et un tigre communiste, je préfère le gros toutou.



4 PEUT-ON COMPARER LES CRIMES COMMUNISTES ET LES CRIMES NAZIS?



Le crime de masse, en ce XXe siècle, n'aura pas été l'apanage des pouvoirs communistes. Dès 1915, les Jeunes Turcs avaient montré la voie avec le génocide des Arméniens. On a connu plus récemment des massacres de grande ampleur et de même type en Indonésie, en 1966 et plus récemment, où un fanatisme musulman a dressé des populations pauvres contre la communauté chinoise commerçante, au prétexte qu'elle serait communiste, faisant plus de 600 000 morts. Au Rwanda où l'ethnie hutu a cru le moment venu d'en finir avec son éternelle rivale tutsi, faisant là aussi plus de 700 000 morts.

Mais ce sont les crimes de masse perpétrés par les nazis qui ont surtout mobilisé l'attention de l'opinion et des chercheurs. Et à juste titre: par leur ampleur (25 millions de victimes civiles), par leur férocité (incendies de villages entiers comme à Oradour-sur-Glane), par leur caractère en apparence irrationnel (comme dans l'assassinat de masse des Juifs et des Tziganes), par leur côté industriel (avec l'invention de l'ensemble chambre à gaz/crémation), ces crimes ont dépassé toute mesure humaine, et sont apparus d'autant plus graves qu'ils étaient perpétrés par les ressortissants d'un peuple «civilisé».

Si les crimes communistes peuvent se comparer aux crimes nazis, tant par leur ampleur que par leur férocité, certains observateurs estiment que la comparaison s'arrête là, le nazisme se distinguant du communisme sur deux points essentiels: le caractère racial du crime, et sa méthode industrielle.

Or, l'assassinat industriel, dont le camp d'Auschwitz est devenu emblématique, s'il frappe les imaginations et s'il est extraordinairement symbolique, ne recouvre qu'en partie la réalité; le système sélection/gazage/crémation a été inventé pour exterminer d'abord plus de 70 000 Allemands «aryens» (malades mentaux et vieillards) entre l'automne 1939 et le printemps 1941. Les chambres à gaz n'ont commencé à fonctionner pour les Juifs qu'à partir du début 1942; jusque-là, les nazis avaient massacré au revolver, au fusil et à la mitrailleuse, sans oublier la faim, le froid et la maladie dans les ghettos - toutes méthodes pratiquées depuis déjà plus de deux décennies par les communistes russes.

L’ensemble des Juifs de l'ex-URSS occupée furent exterminés par les nazis par ces méthodes qui, pour être «artisanales», n'en étaient pas moins terriblement meurtrières. Dans le Cambodge de Pol Pot, bon nombre de victimes furent tuées d'un simple coup de bâton ou de pelle derrière la tête. Et la déportation massive par train était déjà pratiquée par Staline depuis 1930 dans le cadre de l'«extermination des koulacks en tant que classe».

L’utilisation de la chambre à gaz pour l'extermination systématique des Juifs et des Tziganes à partir de 1942 n'a pas d'équivalent dans l'histoire. Mais elle ne suffit pas, à mon sens, à faire de ce génocide un événement qui interdit toute comparaison avec les autres génocides ou crimes de masse. Les observateurs opposés à la comparaison avancent alors un argument de plus de poids: les crimes de Hitler, par leur caractère racial, et en particulier par la fixation homicide sur les Juifs, sont le fait d'un malade mental et ne relèvent d'aucune justification rationnelle.

À l'inverse, les crimes commis par Lénine, Trotsky, Staline et les autres répondraient à la logique d'une lutte politique pour la mise en oeuvre et la défense d'une société plus juste; la lutte contre les «ennemis du peuple» et les «contre-révolutionnaires» serait légitime et aurait été justifiée par le combat contre le nazisme.

Cette distinction, selon moi, relève d'une erreur méthodologique et mérite d'être discutée.
L'antisémitisme n'était pas le seul moteur de Hitler: l'ultra-nationalisme et la peur/haine du bolchevisme étaient chez lui au moins aussi importants et se mêlaient étroitement, comme l'indique sa hantise du «judéo-bolchevisme» (8).

D'autre part, Hitler eut d'abord pour objectif de débarrasser l'Allemagne des Juifs, mais pas forcément de les exterminer. Ce n'est qu'en juin 1941 que commença le massacre systématique par les Einsatzgruppen dans l'URSS occupée, et en décembre que Hitler donna l'ordre de la «Solution finale» (9).

Quant aux bolcheviks, s'ils ont dès leurs premières semaines de pouvoir prétendu que la terreur n'était qu'une action préventive et d'autodéfense contre la réaction bourgeoise, ils n'en avaient pas moins proclamé depuis 1916 la nécessité d'exterminer la bourgeoisie «en tant que classe», ce qu'ils mirent immédiatement en pratique, le terme de «bourgeoisie» étant bientôt étendu à l'ensemble de ceux qui n'acceptaient pas leur politique.

Venons-en maintenant à l'erreur méthodologique: condamner les crimes abominables des nazis, cela ne dispense pas d'analyser le mécanisme interne qui a amené au crime en fonction des valeurs des bourreaux.

Or, partant d'une philosophie tout aussi matérialiste que les nazis (non pas biologique et raciale, mais socio-historique), les communistes ont agi au nom des mêmes valeurs antidémocratiques, antimorales et antihumaines.

C'est cette convergence qui a permis à de très nombreux auteurs, dès les années 1930 - citons en France Elie Halévy, Boris Souvarine ou Jacques Maritain -, d'engager une comparaison entre les deux phénomènes et de les désigner sous le terme de totalitarisme.

Il nous parait aberrant que Hitler ait pu conclure de la défaite de novembre 1918 et des mouvements révolutionnaires de 1919 que l'Allemagne était victime d'un complot du «judéo-bolchevisme». Mais la pensée de Staline n'est-elle pas tout aussi aberrante, quand, confronté à l'échec de l'étatisation économique, il y voit d'abord le complot des «koulaks» dont il décrète qu'ils doivent être «exterminés en tant que classe», puis le complot des «bandits hitléro-trotskystes», qui justifie la Grande Terreur?

Ces deux systèmes de pensée et de pouvoir, nazi et communiste, plaçaient bien au centre de leur vision du monde l'image de «l'ennemi». Un ennemi qui n'avait rien à voir avec l'adversaire politique traditionnel: un ennemi absolu, irréductible, qu'il faut exterminer pour survivre. C'est, chez Hitler, le «judéo-bolchevik» qui, après la liquidation des communistes en 1933-1934, deviendra le seul Juif; chez Lénine et ses successeurs, le «capitaliste» ou le «koulak», bref le «bourgeois» dont la haine a été, comme l'a très bien montré François Furet, l'un des moteurs essentiels des mouvements totalitaires (10).


Cinquante-cinq ans après la défaite et la disparition de Hitler, les crimes du nazisme continuent de hanter l'Europe et le monde. Neuf ans après la chute du communisme à Moscou, et alors que plus d'un milliard d'hommes continuent de vivre sous ce type de régime, les crimes du communisme semblent être tombés dans quelque poubelle de l'histoire.

Le mouvement communiste qui s'est emparé du pouvoir en novembre 1917 est mort en 1991, mais les communistes sont toujours là, reconvertis en socio-démocrates, en socio-libéraux ou en ultra-nationalistes. Aucun processus juridique sérieux n'a été engagé pour condamner les bourreaux. Viachteslav Molotov, bras droit de Staline et personnellement responsable de centaines de milliers d'assassinats, est mort tranquillement dans son lit en 1986, à l'âge de quatre-vingt-seize ans. Nikita Khrouchtchev, présenté comme le dénonciateur de Staline, fut sous les ordres de ce même Staline le bourreau de l'Ukraine - il y fut chargé de la Grande Terreur en 1937 (plus de 100 000 arrestations et exécutions en 1938 et 3 survivants sur les 200 membres de Comité central du parti communiste d'Ukraine); il s'attaqua ensuite aux nationalistes ukrainiens dont les dernières guérillas furent exterminées au début des années 1950.

Comme l'a montré Alain Besançon dans son beau livre, Le Malheur du siècle, à l'hypermnésie des crimes nazis correspond une amnésie des crimes communistes. Sans doute faut_il y voir l'effet de la pression persistante des communistes en ex-URSS, en Europe de l'Est, en Chine et jusque dans notre gouvernement. Mais il est indéniable que pèse aussi, en France, le prestige de l'idée de révolution qui demeure constitutive de notre histoire nationale et de la fondation de la République.

Notre tranquillité démocratique d'Européens de l'Ouest, notre prospérité économique, notre bien-être social ont été directement payés de l'abandon à Staline de toute une part de l'Europe. La réunification, qui est en route, de la grande aire culturelle et de civilisation que fut l'Europe, de l'Atlantique à l'Oural, avant 1917, ne pourra se faire que si nous reconnaissons l'immense tragédie vécue à l'Est.

Il faut pour cela avoir le courage intellectuel, moral et politique de regarder en face les crimes du communisme.

NOTES
8. Cf Ernst Nolte, La Guerre civile européenn2, 1917_1945, Paris. Éditions des Syrtes, 2000.


9. Cf. «Auschwitz. La Solution finale Les Collections de L’histoire no. 3.


10. François Furet, Le Passé d'une illusion (cf. Pour en savoir plus, p. 73).



Mercredi 28 mars 2001


Bouchard a fait enrager les groupes de femmes


«Les femmes d'aujourd'hui ne font plus d'enfants et en plus, nous demandent de les payer»


Katia Gagnon

La Presse

Québec

La Presse

Françoise David, présidente de la Fédération des femmes du Québec

Après avoir créé toute une controverse lors de la dernière campagne référendaire en affirmant que les femmes «de race blanche» faisaient peu d'enfants, Lucien Bouchard a provoqué la colère des groupes de femmes, l'automne dernier, en se plaignant que les femmes d'aujourd'hui «ne font plus d'enfants et en plus, nous demandent de les payer».

L'épisode, qui s'est produit à l'issue de la Marche mondiale des femmes, n'avait pas encore été ébruité. Hier, la présidente de la FFQ, Françoise David, qui ignorait la présence d'une journaliste dans la salle, a pour la première fois évoqué l'incident devant un auditoire d'une centaine de femmes réunies par le Regroupement Naissance-Renaissance pour discuter des questions de périnatalité.

En octobre dernier, l'exécutif de la FFQ rencontrait l'état-major du gouvernement, Lucien Bouchard en tête, pour lui présenter les demandes des groupes de femmes. Certaines concernaient les mères qui demeurent aquelques années au foyer pour s'occuper des enfants: le gouvernement devrait les compenser pour les pertes au Régime des rentes et dispenser temporairement les étudiantes de rembourser les intérêts de leur prêt, suggérait la FFQ.

«Excédé par nos demandes, Lucien Bouchard s'est exclamé: coudonc, nos mères faisaient bien plus d'enfants et ne demandaient rien. Les femmes d'aujourd'hui ne font plus d'enfants et nous demandent en plus de les payer», a raconté Françoise David. «Ça nous a sciées, a-t-elle ajouté. C'est pour vous dire à quel point on part de loin. »

Questionnée après son allocution, la présidente de la FFQ, visiblement prise au dépourvu par la présence de La Presse, a admis qu'à l'époque, elle avait songé à rapporter publiquement les propos de M. Bouchard. «On aurait pu faire tout un esclandre avec ça. On a décidé que notre cause était plus importante. Mais en voyant les résultats de la Marche mondiale, je me suis dit qu'il y avait des coups de poing sur la table qui s'étaient perdus.»

Au moment de la rencontre, Lucien Bouchard avait été irrité par un communiqué diffusé par la Fédération des femmes, qui se disait «inquiète» des intentions gouvernementales quant aux demandes de la Marche des femmes. «Le gouvernement a de la difficulté à supporter la colère des femmes. Un gars comme Marc Laviolette (président de la CSN) peut exprimer durement son désaccord. Nous, on avait simplement émis un petit communiqué poli et M. Bouchard était bleu marin.»

Les craintes de la FFQ se sont cependant révélées fondées. En plus d'une modeste hausse de 10 cents du salaire minimum, le gouvernement n'a mis de l'avant qu'un train de mesures équivalant à une cinquantaine de millions sur trois ans pour répondre aux immenses demandes des manifestantes. À l'époque, la réponse gouvernementale avait mis Françoise David en furie. «Une gifle» assénée aux plus pauvres de la société, avait-elle tonné. «Nous sommes fâchées. Calmement fâchées, mais fâchées.»

Tellement fâchées que la présidente de la FFQ avait publiquement soulevé l'idée, dans les mois qui ont suivi, de fonder un parti politique formé de femmes qui se préoccuperait des questions sociales. L'idée, sondée pour la première fois par SOM il y a un mois, a recueilli une opinion favorable dans la population: près de 49% des répondants se disaient tentés d'accorder leur vote à un tel parti. Des chiffres qui ne sont pas étrangers au soudain regain d'intérêt du gouvernement Landry pour la pauvreté, croit la présidente de la FFQ, qui reste visiblement amère de cette dernière algarade avec le gouvernement péquiste.


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