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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

dimanche, octobre 12, 2008

Pour ceux qui sont victimes de la propagande communiste des soeur sourire Layton du NPD, du lapin blanc aux yeux bleus du Bloc Québécois ou plus précisément du Bloc Populaire et de leurs suites royales marxistes, il est temps de siroter une bonne tasse de café fort ce matin.

Duceppe applique la bonne vieille tactique de l’action pour berner le peuple. Quand il prétend parler au nom du Québec ou des Québécois, ce qui est fondamentalement faux, il ne fait que faire marcher les naîfs et ses taupes des autres partis qui emboîtent le pas. Il ne faut jamais faire d’alliance avec les communistes, à moins que ce soit pour les détruire.

Regardez attentivement le passé de Duceppe et des séparatistes, il est jalonné d’appartenance et de lavement de cerveau communistes. Duceppe a le cerveau tellement lessivé qu’il en a les cheveux blancs.



Retour vers le futur


Voici ce que les séparatistes ne vous ont jamais dit ce qui attend les esprits lents lors de la main-mise des communistes sur un pays pour établir leur soi-disant paradis terrestre humanioste. Humaniste mon oeil!






THE LOST CITY


Une nation et une ville perdues attendent de renaître.

Un nouveau film dit finalement la vérité sur la révolution cubaine de Castro.

L'acteur cubain Andy Garcia se rappelle de ce jour fatidique de 1961 quand il a fui la Havane avec sa famille, alors qu’il n’avait que cinq ans et demi.

L'aéroport grouillait de soldats armés et accompagnés par des chiens. Un des soldats approcha sa soeur avec une paire de grands ciseaux dans ses mains. Andy pensait que le soldat allait couper la main de sa soeur pour prendre les petits anneaux de ses doigts, mais le soldat coupa seulement les anneaux de ses doigts.

Un des soldats se rappela que la mère d'Andy lui avait enseigné au secondaire. Il a empêché un autre fonctionnaire de prendre la montre qu'elle portait dans sa classe d’anglais pour dire l’heure.

«Non, cette montre est une montre bon marché, a menti le soldat. De plus, a-t-il dit, la mère en a besoin pour savoir quand faire manger ses enfants».

Quarante cinq ans plus tard, après un effort de 16 ans, Garcia a finalement fait un film de son bien-aimé Cuba et la prise de contrôle brutale communiste de cette île par Fidel Castro. Un hommage nostalgique à la Havane, le Paris des Caraïbes, et à la musique cubaine,

THE LOST CITY inclut une scène intense dans l'aéroport où les fonctionnaires communistes fouillent les bagages des voyageurs qui quittent Cuba, pour s’assurer que leurs biens personnels les plus importants restent la propriété de l'État.

Dans d'autres scènes, le film montre le gouvernement de Castro s’emparant de petits commerces, disant aux musiciens qu’ils ne peuvent pas jouer du saxophone parce que c'est un instrument "décadent" et en fusillant des gens.

Poétique, dramatique et de temps en temps incroyablement émouvant, LA VILLE PERDUE non seulement est un hommage d'amour en la Havane, à l'art et à la musique cubains, c'est aussi un hommage d'amour à la liberté, à la démocratie et au capitalisme. Le régime de Castro est clairement peint comme une maléfique dictature.

THE LOST CITY, mettant en vedette des étoiles comme Bill Murray, Dustin Hoffman et l'actrice espagnole Inés Sastre, est aussi très pro famille. On montre le patriarche protagoniste de la famille catholique comme un chef d'amour qui préconise la résistance paisible et l'importance de la famille sur la politique. Le film inclut aussi une scène où quelques familles prient à table. Une de ces scènes est très émouvante.

Heureusement, c'est aussi un film politique et historique qui fait éclater le mensonge derrière ce mauvais symbole de la culture pop, Che Guevara. Des étrangers illégaux protestaient en portant des gilets à manches courtes et des pancartes à l’effigie de Guevara. THE LOST CITY nous montre cependant la sorte de monstre qu’était vraiment Guevara. À un certain moment dans le film, Che affirme que «La fin justifie les moyens».

En attaquant de cette façon le régime épouvantable que Castro et Guevara ont établi à Cuba, Andy Garcia et son équipe montrent le besoin des valeurs éternelles et des absolus moraux. Leur film non seulement est un hommage à Cuba, c'est aussi un hommage au pays d’adoption de leur famille, les Etats_Unis. Malgré toutes les circonstances tragiques entourant le Cuba d'aujourd'hui, le film finit sur une note d'espoir, de liberté et de célébration.

«Je regrette d’avoir dû raconter cette histoire, a dit Garcia, parce qu’alors, elle ne serait pas arrivé. Et, je ne serais pas ici. Je cultiverais des pommes de terre à la Havane et je jouerais probablement du piano. Je serais très heureux. Je serais un riche propriétaire terrien et pianiste.»

Que veut-il que le citoyen moyen américain et les gens d'autres cultures retirent du film?
«C'est un film qui reflète tous les éléments classiques des films auxquels j'ai répondus dans ma vie. C'est la fin d'une manière de vivre. C'est une célébration d'une culture qui m’est très chère et de la musique de cette culture. La musique est un protagoniste dans le film. Et, a-il ajouté, il est à propos de l'amour impossible, du besoin de laisser la chose la plus importante que vous chérissez. THE LOST CITY est une histoire épique de la lutte d'un homme pour garder l'âme de son peuple. Dans le film, avant que mon personnage ne parte, un soldat lui dit: «Vous ne pouvez pas emporter Cuba avec vous.» Mais, vous pouvez et je l'ai fait. Je vis dans THE LOST CITY chaque jour de ma vie, a-t-il conclu.»

L'histoire de THE LOST CITY est aussi très personnelle pour un des partenaires de Garcia, Enrique Murciano, qui joue le plus jeune frère d'Andy dans le film. Les grands-parents d'Enrique ont échappé à la tyrannie de Castro.

«Ils ont perdu tout ce qu'ils avaient et sont venus dans ce pays avec rien», a_t_il dit.
Enrique a ajouté: «J'ai grandi proche d'Andy, voyant sa carrière grandir. un jour et j'ai vu ce scénario chez lui . Il avait cette belle couverture.»

Il a aussi tombé sur un autre roman du scénariste, THREE TRAPPED TIGERS, un jour dans une librairie. Alors, quand l'équipe est allé en République dominicaine pour tourner le film, une des scènes les plus importantes dans le film pour Enrique est arrivée quand par accident il a vu la maison que son grand_père avait achetée parce que le secteur lui rappelait tant son bien_aimé Cuba.

«Je crois vraiment que cela n’est pas arrivé pour rien et tout va bien», a_t_il dit.
Enrique est heureux que le film dise finalement la vérité non seulement de ce que Castro a fait à Cuba, mais aussi la vérité sur l’impitoyable révolutionnaire communiste, le bourreau Che Guevara.

«J'espère que ce film ouvre des yeux, a dit Murciano. Malheureusement, c’est l'oppression à Cuba. Les gens pensent à Cuba en pensant au cha_cha_cha, au rhum and coke, aux cigares, au Tropicana et que tous sont si heureux et pauvres. J'espère que les gens sortiron du cinéma en pensant qu’il faille voir différemment l'histoire de Cuba. Depuis quelques années, les films qui traitent du sujet idéalisent toujours Che, le béret et la belle barbe et le regard stoïque regardant au loin. Che est devenu le symbole de l'opprimé, du déshérité et de beaucoup de façons il l’était, mais en même temps, l'histoire de Che et l'histoire de Cuba n'ont pas été rapportées exactement. Il y a beaucoup de choses qui sont arrivées à Cuba que les gens ne savent pas et il y a beaucoup de choses qui arrivent aujourd'hui que les gens ne savent pas.»

L'acteur Jsu Garcia, qui joue Che Guevara dans le film, ajoute: «Che a tué beaucoup de personnes et encore il a réussit à se faire aimé à un point le qu'il est sur des gilets à manches courtes. La plupart ne comprend pas ce pour quoi il se batait et ce qu'il a vraiment fait. Andy Garcia m'a donné la permission de montrer le mauvais côté de Che.»

«Le peuple de Cuba souffre, a dit Enrique. Le peuple est désespéré. Indépendamment de votre éducation, vous avez beau être un neurologue ou un ingénieur biochimique et vous conduisez des touristes dans un taxi. Et votre fille de 14 ans dispaîtra le matin pour faire Dieu sait quoi pour un verre de huit once de lait. Des dissidents ont été arrêtés et condamnés à de 30 à 35 ans de prison pour rassemblement publique. Je voudrais une transition paisible après la mort de Castro dans un système démocratique qui fonctionne vraiment. Je voudrais voir que les gens soient capables de penser librement et être ce qi’ils veulent vraiment être.»

La communauté cubaine en exil aux Etats-Unis a réagi très favorablement et vivement au film d'Andy Garcia THE LOST CITY.

«Nous avions une projection extraordinaire au Festival du cinéma de Miami, a dit Garcia. Certaines personnes ont défailli et ont dû être transportées en dehors. C'était incroyable.»
THE LOST CITY est un des événements cinématographiques les plus importants de l'année. En fait, c'est un des films les plus historiques importants jamais faits. De plus, c'est aussi un des films politiques les plus importants jamais faits. C'est aussi un des plus importants films hispaniques et cubains jamais faits. Finalement, c'est un des films américains les plus importants jamais faits.
THE LOST CITY mérite d'être vue par tous les votants et les politiciens sur la terre.
Cuba Libre!

A Lost City and Lost Nation Waiting to Be Reborn

Apr 28th, 2006

New Movie Finally Tells the Truth About Castro's Cuban Revolution
By Dr. Tom Snyder & Dr. Ted Baehr

Cuban-born actor Andy Garcia remembers the frightening day his family left Havana, Cuba, when he was only 5 and one_half, in 1961.

The airport was filled with soldiers in military fatigues, holding guns and accompanied by dogs. One of the soldiers approached his sister with large cutting shears in his hands. Andy thought the soldier was going to cut off his sister’s hand in order to take some ringlets off her fingers, but the soldier only cut the ringlets from her fingers.

One of the soldiers remembered being taught by Andy’s mother in high school. He stopped another official from taking the watch she used in her English class to tell time.
"No, that watch is a cheap watch," the soldier lied. Plus, he said, the mother needs it to tell what time to feed her children.

Forty-five years later, after a 16_year effort, Garcia has finally made a movie about his beloved Cuba, and Fidel Castro’s brutal Communist takeover of that island. A nostalgic tribute to Havana, the "Paris of the Caribbean," and Cuban music,

THE LOST CITY includes a powerful scene at the airport where a Communist official paws over the belongings of people, making sure that their most important personal possessions remain the property of the State.

In other scenes, the movie shows the Castro government seizing small businesses, telling musicians they can't use the saxophone because it's a "decadent" instrument and executing some of the hundreds of people.

Poetic, dramatic and at times incredibly moving, THE LOST CITY not only is a loving tribute to Havana and Cuban art and music, it is also a loving tribute to liberty, democracy and capitalism. Castro’s regime is clearly portrayed as an evil dictatorship.

THE LOST CITY, which also stars Bill Murray, Dustin Hoffman, and Spanish actress Inés Sastre, is also very pro_family. The patriarch of the protagonist’s Catholic family is shown as a loving leader who advocates peaceful resistance and the importance of family over politics. The movie also includes a couple scenes of the family praying at the dinner table. One of these scenes is emotionally powerful.

Happily, this is also one political, historical movie that explodes the lies behind that evil pop culture icon, Che Guevara. Recent demonstrations by illegal aliens contained some T_shirts and placards with Guevara’s likeness on them. THE LOST CITY shows, however, the kind of monster that Guevara truly was. At one point in the movie, Che asserts, "The ends justifies the means."

By attacking the terrible regime that Castro and Guevara brought to Cuba in this way, Andy Garcia and his team are making a powerful defense of the need for eternal values and moral absolutes. Their movie not only is a credit to Cuba, it is also a credit to the adopted country of their families, the United States. Despite all of the tragic circumstances surrounding today’s Cuba, the movie ends on a spirit of hope, freedom and celebration.

"I wish we didn't have to tell this story," Garcia said, "because, then, it wouldn't have happened. And, I wouldn't be here. I'd be growing potatoes in Havana and probably playing the piano. I'd be very happy. I'd be a gentleman_farmer piano_player."

What does he want the average American citizen and people of other cultures to get out of the movie?

"It's a movie that reflects all the classical elements of the films that I've responded to in my life. It's the end of a way of life. It's a celebration of a culture that I hold very dear and the music of that culture. The music is a protagonist in the film.

"And," he added, "it's about impossible love, about having to leave the most important thing you cherish. THE LOST CITY is an epic story of one man's struggle to hold onto the soul of a people. In the movie, before [my character] leaves, the soldier says to him, 'You can't take Cuba with you.' But, you can, and I did.

"I live in the Lost City every day of my life," he concluded.

The story of THE LOST CITY is also a very personal one for one of Garcia's co_stars, Enrique Murciano, who plays Andy's younger brother in the movie. Enrique's grandparents escaped Castro's tyranny.

"They lost everything they had and came to this country with nothing," he said.

Enrique added, "I grew up around Andy, seeing his career grow and grow. I was at his house one day, and I saw this script. It had this beautiful cover."

Not only did he happen to come upon the script one day, he also accidentally came upon one of the scriptwriter's novels, THREE TRAPPED TIGERS, one day in the bookstore. Then, when the crew went to the Dominican Republic to shoot the movie, one of the most important scenes in the movie for Enrique happened to be within sight of the house that his grandfather had bought because the area reminded him so much of his beloved Cuba.

"I really believe that stuff happens for a reason and everything sort of works out," he said.
Enrique is happy that the movie finally tells the truth not only about what Castro has done to Cuba, but also the truth about the ruthless Communist revolutionary and executioner, Che Guevara.

"I hope this movie opens some eyes," Murciano said. "Sadly, Cuba's current state is that of oppression. People think Cuba and they think cha_cha_cha, rum and coke, cigars, the Tropicana, and everyone's so happy and poor. I hope people see the movie and walk away from it, thinking, 'I got to see Cuba's history from a different vantage point.'

"In the past couple years, films that have dealt with this subject matter always romanticize Che, the beret and the beautiful beard and the stoic look off into the distance. Che has sort of become the face of the underdog, the underprivileged, and in many ways he did that, but at the same time, Che's history and Cuba's history hasn't been reported on accurately. There's a lot of stuff that happened [in Cuba] that people don't know about, and there's a lot of stuff that happens today, that people don't know about."



Actor Jsu Garcia, who plays Che Guevara in the movie, adds, "Che killed many people yet he seduced the world into loving him so much that he's on T_shirts. Most don't understand what he stood for and what he really did. [Andy Garcia] gave me permission to show Che in a dark light."
"The people of Cuba are suffering," Enrique noted. "People are desperate. Regardless of your education, you might be a neurologist or a biochemical engineer, and you're driving tourists around [in a taxi] and your 14_year_old daughter disappears in the morning to do, God knows what, for an eight ounce glass of milk. Dissidents have been arrested and given 30_35 year sentences for congregating publicly.
"I would like a peaceful transition [after Castro dies] into a democratic system that truly works. I'd like to see people to be able to think freely and aspire to be what inside of their hearts they truly want to be."
From all reports, the Cuban exile community in the United States has responded very favorably and dramatically to Andy Garcia's movie THE LOST CITY.
"We had an extraordinary screening at the Miami Film Festival," Garcia said. "Some people fainted and had to be carried out. It was incredible."
THE LOST CITY is one of the most important movie events of the year. In fact, it is one of the most important historical movies ever made. Moreover, it is also one of the most important political movies ever made. It also is one of the most important Hispanic, Latino and Cuban movies ever made. Finally, it is one of the most important American movies ever made.
THE LOST CITY deserves to be seen by every voter and politician on earth.
Cuba Libre!

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