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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, octobre 03, 2008


Sauf que Karl Marx avait raison aussi. Karl Marx avait raison aussi.
Dixit Bernard Landry


Tout le mouvement séparatiste est communiste. Et qui dit communiste, dit violent, menteur, hypocrite, calculateur, etc.

Le gouvernement péquiste, celui du pikiou de Bernard Landry dit Dirty Laundry le bolchevique, a adopté une loi contre la pauvreté.

Diogène, s’il avait le malheur de vivre en Québec péquiste, serait enfermé avec sa barique et soumis à une cure de réhabilitation péquisse (ce n’est pas une faute de frappe, mais la façon de bien prononcer le mot péquiste en laissant tomber le t et en sifflant bien les s).

Hier soir, les quatre marxistes-léninistes qui sont tous des émules des lois simplistes et de mesures dévastatrices, y allaient avec force en proposant des problèmes aux solutions. Vous avez bien lu: des problèmes aux solutions!

Des gens qui nient la lumière en plein midi peuvent dire et faire n’importe quoi, surtout des promesses pour demain.

Question: Quel est le jour qui n’arrive jamais?
Réponse: Demain.

Si vous avez compris ce simple principe, vous avez commencé à comprendre la tactique communiste. Demain n’arrivant jamais, promettez le ciel aux esprits lents ou chloroformés par la propagande de masse et vous voguerez toujours au dessus des vagues.

Dirty Laundry, ou encore Bernie pour les intimes, nous donne un exemple pratique de sa foi.

Bern n’a jamais travaillé en économie. Il n’a jamais même été simple caissier dans une caisse populaire ou une banque. Il a toujours été un avocat manqué et un politicien démagogique. Pour ceux qui ne le savent pas, Bernie déteste les ingénieurs.

À ses débuts en politique, soeur économe Landry a eu maille à partir avec un ingénieur qui est aussi un gradué de la fameuse MIT aux États-Unis, et qui a tenu des postes importants dans des projets importants en Québec.

Or donc, soeur économe étant le pan du poulailler communiste, fut rabroué par cet ingénieur. Soeur économe ne lui a jamais pardonné et déteste tous les ingénieurs depuis ce temps.

Les chefs péquisses sont renommés pour leurs discours fleuve. Tout est dans la forme, mais rien dans le contenu. Dans ce qui suit, la soeur avoue son appartenance marxiste publiquement. Il fait sa sortie du placard, comme le disent les homosexuels.

Poursuivant toujours le modèle de pensée franc-maçonnique, soeur communiste fait la synthèse du marxisme et des autres théories ou sytèmes économiques.

Ce qui est surprenant du débat des chefs, c’est qu’aucun des chefs rouges n’aient présenté une proposition de loi contre les dépressions économiques!

C’est que, voyez-vous, Bush leur a coupé l’herbe sous le pied en poussant les contribuables à sauver les banques. Comme Robin des bois, ce gauchiste vole les riches pour donner aux pauvres.

Cet hiver, le piquiou va proposer un projet de loi contre les tempêtes de neige et les froids extrêmes. Tous les partis politiques, en bons gauchistes, vont voter pour. Ils ont bien voté pour les unions homosexuelles et pour le droit aux femmes de tuer leurs enfants. Ce n’est pas le monstre du lac Memphrémagog - Jean Charest - qui va voter contre...


http://www.assnat.qc.ca/fra/Publications/debats/journal/ch/021213.htm#_Toc27884265

M. Bernard Landry

M. Landry: Je remercie les autres partis de leur consentement parce qu'il est important que nous soulignions de façon particulière le geste que nous nous apprêtons à poser, important pour nous dans cette Chambre, important pour nos visiteurs d'aujourd'hui qui, d'une manière ou d'une autre, ont participé et, certains et certaines, participé en profondeur à la préparation de cette extraordinaire loi que nous nous apprêtons à voter.

La période de questions nous a donné la possibilité d'évoquer les
succès économiques du Québec, qui sont réels.
Il faut créer la
richesse. Nous créons la richesse et nous en sommes, je l'ai dit, contents mais non satisfaits, puisqu'il faudra encore plus de richesse. Mais pourquoi créer la richesse sinon pour augmenter les chances de bonheur humain? Et comment, en créant la richesse, augmenter les chances de bonheur humain? En répartissant la richesse. Et je crois que notre société, et elle en fait la preuve aujourd'hui, a réussi une bonne synthèse entre les grands courants intellectuels à ce sujet au cours des 125 dernières années.

Adam Smith, un auteur économique écossais, vantant les règles de l'économie de marché, de la concurrence, etc., avait sûrement raison dans une très large mesure. C'est pour ça que des PME créent la richesse en région et partout et c'est pour ça que l'économie de marché est devenue l'apanage d'à peu près tous les pays avancés.

Sauf que Karl Marx avait raison aussi. Karl Marx avait raison aussi.

On ne crée pas la richesse pour enrichir des oligarchies, on ne crée pas la richesse pour procurer un confort bien au-delà de la moyenne à
une toute petite partie de la population, on crée la richesse pour la répartir.

Alors, qu'on appelle ces courants sociaux-démocrates ou autrement, ce sont des courants humains, des courants de compassion, et c'est pour cela que notre ministre responsable de ces questions passe à
l'histoire ce matin
. Oui, elle passe à l'histoire avec les hommes et les femmes qui l'ont aidée dans son travail, puis parfois l'ont stimulée et presque bousculée. Mais, ça aussi, ça fait partie du dialogue
démocratique q
uand la société civile se mêle de ses affaires et s'en
mêle bien
.

(Un Franc-Maçon disait aux journalistes: Quand la Franc-Maçonnerie fait quelque chose, elle le fait bien!) Mais continuons la lecture de ce roman intéressant de soeur économe. J.C.

Pourquoi est-ce qu'elle passe à l'histoire? Parce qu'il y a peu ou pas de Parlements
démocratiques qui, par une loi, auront déclaré une telle attaque frontale à la pauvreté et à l'exclusion. Et je crois que nous devons être fiers de cela, fiers de notre unanimité, et j'espère que nous pourrons nous relever dans cette Chambre un jour pour dire que nous avons fait aussi bien dans
la lutte à la pauvreté et
l'exclusion que nous avons réussi à le faire dans le développement de la
richesse par la technologie et l'économie avancées.
Je dis en terminant que nous ne partons pas de trop loin; c'est dans notre tradition québécoise et, heureusement, c'est une de nos belles caractéristiques. Le Québec a un record, en Amérique du Nord? il faut dire que, souvent, notre continent n'a pas été le plus avancé là-dessus? où les inégalités de revenus sont les plus faibles.

Alors, déjà, les inégalités, riches et pauvres, sont les plus faibles ici. Sait-on, par exemple, que le taux de pauvreté des familles, au critère de 50 % du revenu médian réel, est de 18 % aux États-Unis d'Amérique? C'est pour ça qu'on dit que dans cette société il y a une trentaine de millions de pauvres. Il est de 12 % dans l'Union européenne, donc, déjà une grosse différence là? la réconciliation Adam Smith et Karl Marx se fait mieux en Europe qu'aux États-Unis ? de 10 % au Canada et de 9 % au Québec. Il reste beaucoup à faire, mais on sent bien que notre société est déjà une société profondément solidaire.


Si tout baigne dans l’huile, pourquoi le synarchiste veut-il sortir de la Confédération canadienne? Si le Québec n’avait ni sou ni maille, nous comprendrions. Mais soeur économe nous dit que le Québec soit le paradis terrestre promis dès maintenant!
Les gauchistes étaient les premiers à accuser la pauvreté pour les émeutes de Montréal-Nord il y a quelques semaines. Qu’en advient-il donc de la loi contre la pauvreté de Berny? Personne ne se souvient de cette loi?

Ce qui se passe au Québec...

Comment les marxistes exploitent les masses.

Par

Marcel CLÉMENT

La première phase de la guerre révolutionnaire dans n'importe quel pays en est une de préparation. Elle peut être très longue.

Il faut d'abord choisir l'idéologie qui servira de thème à la guerre révolutionnaire. Pour cela, la société est mise en observation. Des révolutionnaires professionnels, formés à cet effet, s'efforcent de détecter tous les points de friction qui peuvent exister dans cette société. Principalement ce sont les oppositions de classes, les oppositions de races, éventuellement les oppositions religieuses. L'analyse de ces contradictions internes se fait dans la perspective d'un choix. Il s'agit de savoir laquelle des contradictions sera finalement choisie pour être exploitée et servir de thème général à la guerre révolutionnaire. En Indochine l'idéologie adoptée fut le nationalisme démocratique-populaire. En Algérie, au contraire, on a procédé à la fabrication entièrement artificielle d'un nationalisme de type occidental ne correspondant en rien dans un pays aux races et aux religions profondément diverses, parfois ou souvent opposées.

LA GUERRE SUBVERSIVE

La guerre subversive consiste en une agression psychologique opérée sur la population d'un pays et destinée à rendre cette population hostile à son gouvernement et à toutes les structures sociales et fondamentales, qui la soutiennent: pouvoir spirituel, armée, puissance financière, structure familiale, etc. Elle vise essentiellement à réaliser un transfert psychologique en prenant une population dans un certain état d'esprit et en la conduisant graduellement dans un autre état d'esprit.

Cette guerre subversive (dont personne ne se doute) est une technique marxiste-léniniste en tant que pour opérer ce transfert elle agit de façon dialectique. La guerre subversive repose sur deux activités complémentaires:

a) Une propagande destinée à gagner les esprits à une idéologie (par exemple le nationalisme en Algérie)

b) Une propagande destinée à détruire l'ossature morale sociale et administrative du pays à conquérir.

Les deux propagandes sont menées simultanément. Elles divisent donc le pays en deux. Au début l'idéologie choisie (par exemple le nationalisme) est présentée à une minorité qui trouve dans cette idéologie un principe dynamique d'action. En même temps, la propagande s'exerce au sein d'une majorité (par les journaux et les organes de diffusion etc... ) pour la détourner de l'ordre établi et l'incliner à mépriser les structures qui la soutiennent. Au fur et à mesure que la conquête des esprits s'étend, l'effectif majoritaire, ayant honte des structures qui la soutiennent, diminue et s'effrite cependant que l'effectif minoritaire, fier de l'idéologie montante, s'accroît et tente de devenir prédominant. Lorsque les conditions politiques sont telles que ce renversement semble réalisé, la guerre subversive est alors, une guerre victorieuse.

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