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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

mercredi, octobre 01, 2008

DOSSIER: L’AFFAIRE DUCLOS

Le lapin aux yeux bleus du Bloc Québécois est aussi d’avis de tuer les enfants dans le ventre de leur mère. C’est devenu un droit ancestral: tuer un enfant est même une bonne action et un signe d’évolution. Ceux qui sont contre ne sont quee des réactionnaires et ils sont dangereux. C’est le mode de pensée du lapin et de sa suite royale. Il est aussi d’avis que ceux qui sont pour aider à combattre les Talibans sont des méchants. Il faut comprendre le lapin bloqueux. Un Taliban veut toujours protéger un autre Taliban, et le Bloc, en bon gauchiste, veut protéger ses frères Talibans.

Jean Charest fait tout pour aider le Bloc dans la prochaine élection fédérale. C’est que son gouvernement est aussi taliban que les pires Talibans que notre armée combat. Sa résolution de forcer les cours de religion et d’étique religieuse contre la volonté des ^parents en est l’exemple le plus éclatant.


Vous pensez que le lapin et son parti de séparatistes ne son pas des terroristes dans l’âme? Voyez la suite!

Bientôt, le gouvernement va imiter le gouvernement de la Chine communiste et décider qui peut avoir des enfants, combien et quand. C’est le nouveau gouvernement du Québec.



La Presse

Le mercredi 17 octobre 2001

Landry maintient sa décision de nommer Michèle Duclos en Algérie

Michel Hébert

Presse Canadienne

Québec

Le gouvernement Landry ne reviendra pas sur sa décision de nommer Michèle Duclos au poste de déléguée générale du Québec en Algérie.

Les antécédents judiciaires de Mme Duclos, reconnue coupable de conspiration pour commettre des attentats terroristes aux États-Unis durant les années 1960, ne justifient pas ce choix, estiment les libéraux.

«Les événements du 11 septembre ont modifié la façon dont on doit conduire les affaires de l’État. Compte tenu de ces changements-là, compte tenu du fait qu’on a aussi des obligations envers nos partenaires, est-ce qu’il ne serait pas opportun que le gouvernement révise sa décision ?», a demandé le chef libéral Jean Charest, à l’Assemblée nationale, mercredi.

Le premier ministre Bernard Landry a vivement réagi, et, rouge de colère, a répondu: «Non seulement, je ne crois pas que ce serait opportun, mais je vais vous donner le fond de ma pensée: aller relier Mme Michelle Duclos, qui a représenté, sous Robert Bourassa, le Québec à Toronto et à Mexico, directement ou indirectement aux événements du 11 septembre, serait de la cruauté et de la méchanceté et nous n’irons jamais à ces extrêmes, qui ressemblent à une sorte de terrorisme».

Mme Duclos a occupé d’importantes fonctions dans divers ministères au cours des années 1970 et 1980, tant sous les péquistes que sous les libéraux.

Elle a été conseillère économique à Toronto, à Mexico, etc. Elle était jusqu’à tout récemment consultante en relations internationales. A 63 ans, elle a été nommée en Algérie.

Dans sa jeunesse, Mme Duclos a été en contact avec le groupe radical américain Black Liberation Front . Appréhendée, elle a été reconnue coupable en 1965 d’avoir trempé dans un complot visant le dynamitage de la Statue de la Liberté, à New York. Elle avait 28 ans et écopa d’une sentence suspendue de 5 ans. «C’était fou et stupide», commentera-t-elle plus tard.

À l’époque, elle avait des liens avec un certain François Dorlot, qui a été appréhendé en rapport avec cette affaire mais pas accusé et qui, aujourd’hui, est l’époux de la ministre des Relations internationales, Louise Beaudoin.

Celle-ci a appuyé sans réserve la nomination de Mme Duclos en Algérie. «Si elle a été assez bonne pour vous, elle est assez bonne pour nous», a lancé Mme Beaudoin aux libéraux en rappelant le passé professionnel non-partisan et impeccable de Mme Duclos.



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Ouf!



DOSSIER: L’AFFAIRE DUCLOS

Dans notre numéro spécimen nous écrivions: «Ce n’est plus un secret pour personne que l’île de Cuba est devenue un centre d’entraînement révolutionnaire.» Nous parlions alors de l’infiltration marxiste (communiste) au Québec. Certains nous ont ridiculisé. Nous étions, à leurs dires, des chasseurs de sorcières. Pourtant, tout récemment encore, trois Noirs américains et une jeune Québécoise de Montréal (membre du RIN, et ancienne secrétaire de Pierre Bourgault) ont été arrêtés par le FBI et accusés d’avoir voulu faire sauter à la dynamite la statue de la Liberté, le monument de Washington, et la Cloche de la Liberté à Philadelphie.

Les trois conspirateurs noirs faisaient partie du Front de libération noir. Deux des trois conspirateurs Noirs - tous anciens étudiants - étaient des pro-castristes avoués : l’un d’eux, Robert Collier, se rendait à Cuba l’année d’avant; son camarade Walter Bowe était inscrit au Fair Play for Cuba Committee. Fait assez intéressant, ce mouvement possède une branche à Montréal où une réunion récente s’est tenue à l’Hôtel Windsor. Environ 200 personnes assistaient à cette réunion que présidait un syndicaliste bien connu, Jean Paré, vice-président des ouvriers unis de l’électricité. Le président des Amis des Peuples de l’Amérique Latine (traduction de Fair Play for Cuba Committee, le Dr Adélard Paquin, déclara devant la foule à l’hôtel Windsor:

«Nous avons pris partie pour le peuple cubain, pour tout ce qu’il a entrepris.»
Remarquez bien le mot tout; les Amis des Peuples de l’Amérique Latine prennent partie pour tout ce que Cuba a entrepris et va sans doute entreprendre ! Même la subversion idéologique des autres pays?

De toute façon les paroles du Dr Paquin furent très bien accueillies puisqu’elles furent prononcées devant l’ambassadeur de Cuba et Mme Gonzales, consul de Cuba à Montréal.

Quelques jours seulement après cette réunion pro-castriste, les étudiants de l’Université de Montréal invitaient à leur tout l’ambassadeur de Cuba au Canada à venir leur parler.


EXPLOITATION DES LUTTES RACIALES

Les trois Noirs qui furent arrêtés avec la jeune militante séparatiste québécoise faisaient partie du Front de libération noir. Cette organisation est à la solde de l’idéologie communiste. D’ailleurs, partout dans le monde, les marxistes exploitent les divisions, les frictions, les luttes raciales ou le nationalisme, pour diviser les pays par l’intérieur et amener la Révolution (1). Un peu avant la tentative de sabotage des monuments américains par Michelle Duclos et les trois membres du Front de libération noir , un pasteur baptiste de Harlem, le Rév. O. D. Dempsey, dans une déclaration assermentée, en date du 7 août 1964, (et citée par le Sénat américain) déclarait:

«1 - Les actes de violences et les émeutes à Harlem depuis quelques mois ont été inspirés par des narcomanes à la solde de Castro à qui on a fourni des armes et des munitions. (Victor Riesel dans le Detroit FREE PRESS du 28 janvier 1965 confirme cette nouvelle).

«2 - Le Cuba de Castro par l’entremise de la pègre de la Mafia fait distribuer des narcotiques à des militants communistes de Harlem, ces narcotiques émanent de la Chine communiste (district de Yunnan). Le secteur des narcotiques de l’O.N.U. confirme que l’opium servant de base à l’héroïne est identifié, dans 90% des cas, par des preuves de laboratoire, comme provenant du district de Yunnan en Chine continentale.

On se demande ce que faisait la jeune militante séparatiste québécoise avec ce groupe de pro-castristes ? Si Castro fournit des armes à des révolutionnaires américains, pourquoi ne le ferait-il pas pour les révolutionnaires du Québec? Pourquoi cette jeune Québécoise, membre de l’organisation séparatiste RIN, a-t-elle fourni de la dynamite aux saboteurs américains?

À première vue tout nous semble ahurissant et invraisemblable. Mais réfléchissons un peu. Lors de la visite de la Reine à Québec, un certain journaliste américain était là au milieu des manifestants séparatistes québécois. Son nom: Marc Schleifer.

Qui était ce Marc Schleifer? Tout le monde savait d’abord qu’il est correspondant américain pour la revue communiste Revolution. Et, tout dernièrement, deux publications américaines, Herald of Freedom, de New-York, et Toscin, de Los Angeles, révélaient ce qui suit sur le fameux Marc Schleifer.

Marc Schleifer a fait trois voyages à Cuba, et son nom est mentionné dans le Rapport Marchi de New-York comme un des propagandistes de la Chine Rouge qui avaient moussé les émeutes aux États-Unis dans les secteurs nègres des grandes villes du Nord. Pas mal n’est-ce pas? Mais ce n’est pas tout. Le même Marc Schleifer est présentement correspondant pour le journal Québec Libre. Ce journal, qui se dit indépendant de tout parti politique, est cependant très dépendant de la politique marxiste-léniniste mondiale. Et un journal (même s’il se proclamait bien haut contre le parti Communiste canadien officiel), qui suit la politique de l’idéologie communiste mondiale, est en fait un journal communiste.

L’Éditorial de février dernier de Québec Libre est signé du nom d’un certain Monsieur Joseph Costisella, qui connait très bien sa théologie d’ailleurs “SIC”, est rédacteur à un journal qui, sans s’affirmer ouvertement marxiste-léniniste, ne l’est pas moins en fait.

Joseph Costisella est aussi l'auteur d'un livre: The scandal of canadian RACISM, qui apparaîtra plus haut dans ce blogue.

QUI ÉTAIT MICHELLE DUCLOS?

Michelle Duclos était, selon les dires mêmes de Pierre Bourgault (Franc-Maçon, ami de l'animateur tout aussi athée que lui: Guy A. Lepage, que nous nommons affectueusement: Giy a le zouave), homosexuel et communiste), «un membre dévoué et convaincu du RIN». Le président du RIN a décrit son ancienne secrétaire «comme étant ce type de femme très convaincante qui est toujours intéressée dans les bonnes causes». (SIC!)

Un fait assez intéressant de noter: la jeune militante séparatiste a été pendant quelque temps employée du ministère de la Défense nationale à Valcartier. Elle appartenait alors au service de recherches de l'armée canadienne et son emploi était celui de copiste. Michelle Duclos a aussi travaillé à CFCM-TV à Québec comme maquilleuse, script-assistante et speakerine suppléante. Puis elle passa successivement par CKRS et CKRS-TV à Jonquière, CJMT à Chicoutimi et CJRL à Québec puis, finalement, CFTM-TV à Montréal. En 1962, elle fit des séjours en Europe et en Algérie. La soeur de Michèle Duclos, Danielle, confia à un journaliste que «depuis son retour d'Algérie, elle était beaucoup plus décidée, plus acharnée, à faire valoir ses vues». C'est à son retour d'Algérie qu'elle se mêla aux groupes séparatistes et devint membre du RIN où elle y travailla comme volontaire au secrétariat.

Quand on interrogea Pierre Bourgault, après l'arrestation de Michelle Duclos, il déclara qu'il ne l'avait pas vue depuis plusieurs mois. Pourtant la jeune séparatiste, elle, s'intéressait à Monsieur Bourgault, puisqu'en fouillant l'appartement de Michèle Duclos la police saisit des documents relatifs à la récente tournée provinciale du président du RIN.

Michèle Duclos avait tenté dernièrement de se faire accréditer aux Nations Unies comme correspondante du journal du RIN (L'Indépendance). Sa demande fut rejetée.

QUE CONCLURE?

L'infiltration de l'idéologie Marxiste devient inquiétante au Québec. Ceux qui dorment ne veulent pas s'ouvrir les yeux. Ils ont des yeux et ne voient pas.

Dans son éditorial de L'ACTION du 28 octobre dernier, M. Lorenzo Paré écrivait:

«Aux yeux des communistes québécois l'indépendance n'est qu'un préalable et qu'une étape vers l'instauration de la dictature communiste. Dans ce but ils utilisent les bourgeois qui rêvent d'indépendance et de séparatisme afin qu'ils contribuent malgré eux à la victoire communiste.»
Au Québec, nous n'avons pas l'habitude de la guerre idéologique et subversive. Nous ne comprenons pas que des hommes et des femmes du Québec puissent être les acteurs conscients (et parfois bêtement inconscients) d'une révolution mondiale. Cela devient de plus en plus inquiétant. Qui va réagir? Qui va parler? Presque que personne. C'est notre devoir à tous de crier, car, comme le disait si bien saint François de Sales:

«C'est la charité de crier au loup quand le loup est dans la bergerie
Notes:
1. Lire et étudier attentivement notre document: «La pratique communiste dans un pays non-communiste».



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Michèle Saunier, professeur à l'École Normale Jacques-Cartier, est accusée de conspiration. Voici ce qu'on pouvait lire textuellement dans La Presse du mercredi 3 mars 1965 en page 13:

NEW YORK - Un grand jury fédéral américain a formellement accusé hier deux Canadiennes françaises de Montréal et trois Noirs de New York d'avoir conspiré pour transporter illégalement et clandestinement des explosifs du Canada aux États-Unis dans le but de détruie des biens appartenant à la nation américaine.

Les deux Québécoises sont Mlles Michèle Duclos, de Montréal, et Michèle Saunier, 30 ans, professeur de psychologie à l"École normale Jacques-Cartier, à Montréal. Elles ont été inculpées en même temps que Robert Steele Collier, 28 ans, présumé leader du groupe, Walter Augustus Bowe, 32 ans, et Khaleel Sultarn Sayyed, 22 ans. Les trois hommes sont des Noirs et résidaient tous dans le New York métropolitain.

"Agent de liaison..."

L'apparition du nom de Mlle Saunier parmi les accusés n'a pas été sans causer une certaine surprise.

C'était la première fois, hier, que son nom était officiellement relié au fameux "complot des monument" qui, selon la police, aurait eu pour objectif de faire sauter la statue de la Liberté, à New York, la cloche de la Liberté, à Philadelphie, et le monument Washington, à Washington.

Toujours selon la police, Michèle Saunier serait membre du RIN - tout comme Michèle Duclos - et collaboratrice à la revue "Parti Pris".

L'an dernier, en juillet et août, elle aurait fait partie d'un groupe de 84 voyageurs nord-américains qui visitèrent Cuba en dépit des ordres du State Department américain. C'est au cours de ce voyage qu'elle aurait rencontré Robert Collier.

Quel rôle aurait-elle joué dans le complot? Robert M. Morgenthau, le procureur américain du district du district sud de New York, résume ainsi les événements:

"Bowe, Collier et Sayyed se sont rencontrés à l'appartement de Collier et ont tramé la destruction des monuments nationaux précités. Plus tard, Collier s'est rendu à Montréal. Il y a rencontré Mlle Saunier, qui l'a présenté à Mlle Duclos. Les jeunes filles acceptèrent de l'aider à se procurer des explosifs.

"Subséquemment, le 15 février 1965, Mlle Duclos transporta à New York, dans sa voiture, les explosifs promis. Il s'agissait de 30 bâtons de dynamite et de trois détonateurs."

Michèle Saunier aurait donc été l'intermédiaire entre Collier et Mlle Duclos.

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LE CARABIN - UNIVERSITÉ LAVAL À QUÉBEC - JEUDI, LE 5 NOVEMBRE 1964

VOYAGE ÉTUDIANTS À CUBA

Comme par les années passées, le gouvernement cubain invite les étudiants étrangers à visiter son pays au cours des vacances d'été. Vous pouvez obtenir tous les renseignements en écrivant avant le 30 novembre à: Voyage étudiant à Cuba, 5565, Decelles, app. 7, Montréal, P.Q. Ou en téléphonant au Carabin, (683-7276, loc. 7) (Remarquez l'adresse sur cette annonce, celle de Michèle Saunier , professeur à l'École normale Jacques-Cartier, est 5566 Decelles, app. 1.)

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