Fanatique en sens contraire
Dans l'axe anticommuniste, Hitler fut considéré comme le chef de file parce qu'il avait à sa disposition des moyens plus puissants, une population plus grande et des ressources plus considérables. Cet homme, dont l'ascension phénoménale dans un pays qui n'était pas le sien n'a de parallèle que l'ascension de Napoléon en France, était indiscutablement un mystique et un fanatique. Il fut abstème et chaste jusqu'à ce qu'il lui fut médicalement conseillé de prendre des breuvages légèrement alcoolisés et, vers la cinquantaine, de se trouver une épouse. Il ne fuma jamais. Le grand économiste anglais Artlhur W. Kitson («The Banker's Conspiracy»), après un stage de quinze jours avec lui à Berchtesgaden, écrivait à un Canadien, entre autres choses: «J'ai vécu quinze jours dans la plus stricte intimité avec Hitler. C'est indiscutablement un génie. Nul besoin d'entrer dans les détails; énumérer les grandes lignes est suffisant avec lui. Il y a une chose 'que je n'aime pas chez cet homme: trop de madones et de crucifix dans ses appartements privés, ça sent le papisme». Kurt-Wilhelm Ludecke, un intime du cénacle hitlérien de la première heure, déclarait à Montréal en 1932, avant même que Hitler fût au pouvoir: «J'ai été dans son intimité et j'ai entendu ses confidences. Je peux parler bien à l'aise car je suis incroyant. Hitler a une marotte comme tous les grands hommes. Sa marotte, c'est la Vierge Marie. Il prétend même que c'est e1le qui l'a sauvé lorsqu'il fut blessé dans les tranchées lors de la guerre, qu'il l'a vue, qu'elle lui a dit qu'il avait la mission de sauver l'Europe. Il faut lui pardonner cette faiblesse, car si ce n'était pas celle-là, ce serait peut-étre une faiblesse d'un genre plus grave». En 1936 et 1939, de retour de visites auprès de Hitler, Winston Churchill ne tarissait pas d'éloges sur les prodigieux talents de reconstructeur de Hitler, «sa compétence, son sourire désarmant, sa puissante personnalité, son étrange magnétisme», allant jusqu'à dire: «Si jamais l'Angleterre était vaincue et tombait aussi bas que l'Allemagne est tombée, je souhaiterais que la Providence lui donne un Hitler anglais pour la relever aussi rapidement» («Step by Step» 1939). En septembre et octobre 1936, les journaux anglais reproduisaient des éloges encore plus grands de Lloyd George sur l'«admirable» personnalité de Hitler et l'oeuvre qu'il avait accomplie, ce qui lui valut les foudres des journaux juifs, maçonniques et communistes du Royaume-Uni.
Hitler était vraiment un fanatique, mais un fanatique dans le sens contraire de Napoléon. Il se disait «chargé providentiel de mission», la mission d'éliminer d'Europe le haut capitalisme juif et le marxisme juif. Il frappa avec rigueur tout ce qui ressortissait du libéralisme, du socialisme, du communisme, de l'athéisme, des Témoins de Jéhovah, de la franc-maçonnerie, du sionisme. Sitôt arrivé au pouvoir, il fit signer par tous les ministres de son cabinet la fameuse déclaration de Potsdam, qui ne reconnaissait que les confessions chrétiennes comme «fondement moral et social de l'Allemagne», reléguant toutes les confessions non-chrétiennes à un statut d'ordre exclusivement privé, jusqu'au point d'en sacrifier son ami de la première heure, le maréchal Ludendorf, wotaniste par complaisance pour son épouse. Son fanatisme incita la jeunesse allemande à brûler sur les places publiques tous les livres accessibles des communistes, socialistes, libéraux, de Voltaire, Heinrich Heine, Rousseau, Condorcet, etc.; il alla jusqu'à ouvrir un «Musée des Horreurs» où furent entassées les oeuvres des sculpteurs, peintres et graveurs modernistes, abstractionnistes, sauvagistes, dadaïstes, cubistes, etc., pour mieux stigmatiser ce qu'il appelait les «oeuvres décadentes de l'esprit juif». Une bien grande partie de la presse mondiale en fut scandalisée. Par-dessus tout, il remilitarisa l'Allemagne avec une intensité dynamique extraordinaire surtout après le début de la guerre civile espagnole qu'il interprétait comme un signal des visées immédiates de Moscou sur l'Europe. Tous ses écrits, tous ses discours indiquaient à ne pas s'y tromper qu'il se croyait un «envoyé de Dieu» pour débarrasser le monde du judéo-communisme, l'homme prédestiné pour écraser la Russie Soviétique et le Haut Capitalisme juif international. Pour aller frapper la Russie Rouge, il lui fallait traverser l'Autriche, la Tchécoslovaquie puis la Pologne. Il joua de perfidie et de ruse avec Staline, signant avec lui un traité de non-agression qui n'équivalait qu'à une dose de chloroforme avant une opération sanglante. Neville Chamberlain était indiscutablement au courant de ce plan, de même que son ambassadeur à Washington, Lord Lothian. Ces deux Anglais moururent prématurément avant la fin de la «drôle de guerre», cette guerre au cours de laquelle les belligérants ne se frappaient pas, chose qui énervait au plus haut point la Juiverie internationale et son pantin 33e degré maçon F.D. Roosevelt, dont les ancêtr,es juifs se nommaient Rossocampo (cham p rouge) quand ils furent chassés d'Espagne par l'Inquisition, puis Rosenfeld (champ rouge) durant leur stage en Hollande, puis Roosenvelt et finalement Roosevelt après leur émigration en Amérique (cf.: Carnegie Institute, Washington, D.C.). La célèbre affaire de Tyler Kent, commis aux chiffres à l'ambassade américaine de Londres, a démontré comment le haut gradé maçon Winston Churchill et le président Roosevelt, durant cette période de «curieuse de ,guerre», correspondaient ensemble par câble, à l'insu de Neville Chamberlain et dans son dos, pour «devenir tous les deux les maîtres du monde» en se cachant derrière l'accusation que Hitler voulait lui-même devenir maître du monde. Cette propagande était aussi idiote que celle laite contre Napoléon un siècle plus tôt. De même que Napoléon voulait que le libéralisme devint la formule politique universellement adoptée, de même Hitler voulait que le socialisme national, libéré de tout marxisme, tout juivisme, tout libéralisme et tout maçonnisme, fasse son tour d'Europe. Car Hitler était avant tout l'Européen, peut-être le dernier des grands Européens modernes. Il voulait agrandir l'Europe vers les monts Oural, la protéger contre la poussée grandissante des masses asiatiques et assurer à la race blanche une prédominance prolongée dans la direction du monde.
La guerre inutile
Mussolini, Hitler, Franco, Salazar, Metaxas, momentanément Cuza de Roumanie et le prince Konoye du Japon, affirmèrent la souveraineté nationale de leurs pays d'autant plus fortement que l'internationale communiste ou maçonnique préconisait la fin des autonomies nationales. Lorsque les puissances nationalistes marchèrent vers les frontières du communisme, tout ce que notre monde connaît de gauchisme, de maçonnisme, de marxisme, d'internationalisme fut mis en branle non pas tant pour détruire les puissances nationalistes que pour sauver la Russie Soviétique et assurer sa survie. C'était ce qui importait le plus: sauver la Russie communiste, résultat d'un siècle et demi de conspiration, puis voir ensuite à l'élimination des nationalismes. On alla même plus loin. Avec Yalta et Téhéran, les puissances maçonniques de J'Occident donnèrent à Moscou les privilèges d'hégémonie politique dans les Balkans, les pays Baltes et la Chine, ce qui lui assurait, en population, la moitié du genre humain.
On admet aujourd'hui la justesse de la formule soutenue par les nationalistes du Royaume-Uni ,en 1939: laisser J'Allemagne aller faire son combat à finir avec la Russie Soviétique sans intervenir d'un côté ni de l'autre, de sorte que le gagnant sortira tellement épuisé qu'il ne pourra que chercher à s'entendre avec des empires intacts, puissants, qui n'auront subi ni perte de sang ni perte d'argent. Mais la neutralité était impossible pour tous ceux qui étaient pris dans le réseau judéo-maçonnique. Dans les «Mémoires de James Forrestal», on entend Sir Neville Chamberlain dire en 1939, après avoir déclaré la guerre à l'Allemagne: «L'alffaire de la Pologne n'était pas une cause de guerre ni pour la France ni pour le Royaume-Uni... Sans le harassement constant de Washington (F.D.R.), cette guerre n'aurait pas eu lieu... L'Angleterre a été forcée d'entrer dans cette guerre par Washington et par la Juiverie Mondiale.» France et Royaume-Uni, «vainqueurs» dans l'équipée, en ont perdu de colossales parties de leurs empires et sont tombés de plusieurs crans dans l'échelle des puissances politiques, minés tous deux par le funeste germe auquel ils se sont associés. Cette destruction des grandes puissances occidentales était d' ailleurs l'un des buts principaux de la deuxième Guerre Mondiale. Si je l'ai crié tant et plus moi-même, longtemps à l'avance dans diverses provinces canadiennes, ce n'était ni par caprice ni par vision plus claire que d'autres, mais parce que je m'étais donné la peine d'étudier assidument les mots d'ordre et publications émanant du sionisme, du communisme et de la maçonnerie. Les événements ont donné totalement raison moins à mes paroles qu'au plan criminel que nos élites, aveuglées par les soucis de la course à l'argent, amollies par le respect humain, paralysées par la peur des coups, marinées par la fatuité du scientisme académique, orientées par le désir de paraître extérieurement «super-respectables», s'entêtent obstinément à ne pas voir malgré toutes les évidences. Nos élites du monde occidental en regard du péril suprême qui menace la civilisation, les historiens de demain devront en dire ce que Napoléon disait de son ministre des Affaires Étrangères, Talleyrand, ce prestigieux défroqué jouisseur: «C'est de la merde dans un bas de soie».
Parce que Hitler était vraiment Européen et comprenait très clairement la conspiration judéo-maçonnique, il s'écria, avant de disparaître de la scène politique: «Si les puissances occidentales ne veulent pas sombrer dans le bolchévisme, elles devront reprendre mon combat là où je l'abandonne et de la façon même que je l'ai conduit».
Il fallut moins de deux ans aux chefs occidentaux pour se faire l'écho de cette parole de 1945 et de commencer à nous dire (en 1947) que le communisme est le plus' grand péril de tous les temps, à rechercher l'appui des «ennemis» allemand et japonais contre l'«allié» soviétique. Et cela pendant que Churchill qualifiait l'équipée de 1939-1945 du terme bien retardataire mais bien juste: «la guerre qui fut inutile».
Vaincu par la supériorité matérielle, Napoléon resta vainqueur dans son libéralisme qui s'incrusta là où avaient passé ses armées. Vaincu par la supériorité numérique, Hitler reste vainqueur dans son idée nationaliste, qui bouillonne dans toute l'Europe, toute l'Asie, toute l'Afrique. Malheureusement, la franc-maçonnerie occidentale est si férocement hargneuse contre tout nationalisme, ses hommes d'États sont si petits et si préjugés, que seule la puissance communiste qui s'accommode de n'importe quelle situation, profite des explosions nationalistes asiatiques et africaines pour les encourager, les financer au besoin, les orienter et les incorporer finalement dans l'empire soviétique.
Front commun des Loges
Dans les instructions adressées à Garibaldi en même temps que son suprême serment, la Franc-maçonnerie se déclare un État dans l'État, contre l'État et au-dessus de l'État. C’est évidemment une pure identification politique, malgré les dénégations coutumières des obédiences maçonniques lorsque le reproche leur en est fait. Et c'est le jeu politique le plus antidémocratique qui soit puisque la franc-maçonnerie n'a ni mandat public ni consentement populaire pour intervenir ainsi. Cette intervention, quand on l'examine sous tous ses aspects, dépasse les bornes de la haute trahison ordinaire, car c'est plus que le pays qui la tolère qui en est victime dans ses institutions, dans sa course historique, dans les saines aspirations de son peuple, dans son âme et ses croyances, c'est l'humanité tout entière. Si la maçonnerie-religion veut supplanter les religions existantes pour rétablir (à son insu ou non)' l'Ancienne Alliance interprétée comme messianisme pour un seul peuple, la maçonnerie-politique veut abattre tous les États existants pour les fondre dans une république universelle à gouvernement mondial, le grand rêve du Sionisme International.
Le célèbre chef juif Benjamin Disraéli, qui devint premier ministre d'Angleterre, a écrit des lignes très révélatrices sur «les sociétés secrètes qui forment des gouvernements provisoires» et qui travaillent au renversement des trônes, des religions, des frontières nationales, de la famille, du droit de propriété, bref à la réalisation du serment du 33e degré tel que prêté par Garibaldi. Disraéli a aussi affirmé que «des hommes de race juive se trouvent à la tête de chacune de ces sociétés secrètes», et quel but poursuivent ces «hommes de race juive»? Disraéli répond catégoriquement: «Ils veulent détruire cette ingrate chrétienté dont ils ne peuvent plus supporter la tyrannie». Jamais ces «hommes de race juive» que l'on trouve à la tête de «chacune des sociétés secrètes» n'auraient causé dans le monde les ravages que Disraéli leur attribue s'ils n'avaient trouvé, pour accomplir leur travail, des légions de chrétiens qui se sont laissé enchaîner par des serments redoutables et des promesses incroyablement téméraires exigés de maîtres qu'ils ne connaissaient même pas.
Les publications et comptes-rendus des francs-maçonneries de toutes obédiences démontrent clairement que la politique active forme un souci constant de ce que toutes ces obédiences appellent la «franc-maçonnerie universelle». D'ailleurs, toutes se vantent d'avoir contribué à la formation de la défunte Société des Nations, puis de l'Organisation des Nations-Unies, qui sont des corps essentiellement politiques. On peut lire dans leurs publications les efforts déployés par la franc-maçonnerie pour l'instigation d'un Parlement européen, puis d'un Parlement mondial, la subordination des souverainetés nationales, la coexistence amicale et coopérative de l'Occident avec l'Orient soviétique, la réorientation de l'économie générale (production et commerce). Cet enchaînement progressif des masses humaines se fait au cri de liberté, la persécution des droits familiaux, nationaux et religieux se fait sous un prétexte de fraternité.
C'est avec raison que toutes les obédiences parlent de LA «franc-maçonnerie universelle», car toutes font un front commun sur les grandes questions d'intérêt mondial et toutes manifestent une solidarité cohésive. Ainsi, parce que l'Espagne franquiste a banni le Grand-Orient athée de son territoire, les loges saxonnes qui se prétendent hostiles au Grand-Orient ont toutes soutenu la mise de l'Espagne au ban de l'humanité par les Nations-Unies, avec les conséquences politiques que l'on sait: et ce sont encore les loges saxonnes, surtout américaines, qui insistent le plus pour la réadmission du Grand-Orient athée en Espagne. D'ailleurs, ne voit-on pas des délégués de la Grande Loge d'Angleterre aller porter leurs saluts fraternels aux convents annuels du Grand-Orient de France, et le Rite Écossais coopérer activement avec le Grand-Orient dans la majorité de ses campagnes et ses entreprises?
Quel serment prédomine?
L'action maçonnique en politique est d'une exceptionnelle gravité à cause des serments et engagements auxquels le franc-maçon est ogligé de souscrire de degré en degré, sans savoir quel sera le développement logique de l'engagement suivant. En cas de conflit entre le serment d'office et le serment maçonnique d'un homme politique ou d'un haut bureaucrate, lequel devra prévaloir? Le serment connu de toute la nation ou le serment secret connu des seuls initiés? La réponse a été donnée par la franc-maçonnerie elle-même quand elle a décidé, dans certaines obédiences - et tout récemment encore - de prendre les moyens voulus pour «rappeler à leur devoir maçonnique les Frères défaillants du monde parlementaire et du fonctionnarisme». C'est dire qu'une fois que le maçon de bonne foi a été enchaîné, il n'est plus libre dans sa conscience et doit obéir aveuglément à ses maîtres inconnus, même s'il croit que l'intérêt de sa patrie exige une attitude contraire. C'est le parfait reflet de la double allégeance des Sionistes, avec prédominance de l'allégeance à l'État juif. S'il ne plie pas aux ordres de ses dictateurs inconnus, le politicien ou fonctionnaire franc-maçon sera broyé et dépossédé par es «moyens voulus» de la secte où il était allé chercher de l'avancement, de l'entraide et une ascension facile payée au prix de sa liberté.
Un très grand nombre de francs-maçons - on peut dire plus de 90 pour cent - ignorent totalement dans quelle conspiration ils sont entrés, qui les conduit, à quoi on les conduit. Ils s'imaginent que la Loge est une société fraternelle de bienfaisance qui veut réellement le bonheur du genre humain, la fraternité universelle, la paix en ce monde et qui aide ses membres à parvenir plus vite à de hauts postes pour qu'ils puissent mieux promouvoir ces grandes idées. Généralement, ils meurent avant d'avoir atteint le stage d'«illumination» du général Garibaldi, en autant qu'ils auraient été trouvés aptes à s'en accommoder; mais, ils n'en ont pas moins collaboré à l'affaiblissement du christianisme dans lequel ils étaient nés, à l'affaiblissement politique de leur patrie, voire à la compromission même de la fortune qu'ils ont pu accumuler pour leurs descendants. Le jour où les francs-maçons honnêtes et de bonne foi ouvriront les yeux et verront à quel point ils ont été trompés sur les buts réels de la secte, ils voudront faire machine arrière, mais le pourront-ils?
Dans les «Protocoles» sionistes, on peut lire cette phrase:
«Lorsque la franc-maçonnerie aura terminé son oeuvre, nous nous en débarrasserons». La maçonnerie, par ses chefs juifs et par son juivisme doctrinal est la société qui a le plus décrié le contenu des «Protocoles», mais, aujourd'hui, elle subit la vérité des «Protocoles» avec autant de rigueur que d'autres institutions, dont le catholicisme romain. Les maçons si glorifiés d'avant-guerre Bénès et Masaryk ont été liquidés comme les prêtres catholiques par les judéo-communistes de leur pays et les loges ont été écrasées. Les convents maçonniques, depUIS 1945, se plaignent dans leurs comptes rendus des «persécutions» antimaçonniques dans les pays situés derrière le rideau de fer, mais les plaintes et protestations n'ont rien changé à la situation. Derrière le rideau de fer, la franc-maçonnerie n'a plus sa raison d'être, après avoir tant coopéré à faire surgir le régime final qui correspond bien au serment prêté par Garibaldi, surtout à y éliminer le «papisme» détesté qui a été frappé en même temps que la propriété et la tête des francs-maçons «bourgeois». Nos sectes maçonniques occidentales d'Europe et d'Amérique auront exactement le même sort, dans leur organisation et dans leurs membres, si le marxisme qu'ils préparent avec autant de zèle que d'ignorance arrive au pouvoir.
Avant que les francs-maçons eux-mêmes puissent se défendre contre le complot qui les menace autant qu'il menace le «papisme» qu'ils ont appris à exécrer, il leur faudra subir un incroyable décrassage. Même si tous les Juifs talmudistes étaient expulsés de la franc-maçonnerie, la secte n'en resterait pas moins un simple outil pour la promotion du sionisme messianique international; les idées sont implantées, la voie est tracée, l'impulsion est donnée, le but est fixé. C’est l'idéologie toute entière qui doit être abandonnée et remplacée.
Sionisme, mouvement âgé
Depuis la Révolution Française à chaque proposition antiromaine a correspondu une proposition antinationale, de sorte qu'il n'est presque plus possible de dissocier les deux domaines, et certaines propositions purement politiques ont 'pris une importance aussi grande que les propositions antireligieuses et ont fait corps avec elles. Cela a provoqué, par la répétition effrénée de la propagande maçonnico-sioniste, une affreuse confusion des normes affectant le nationalisme et l'internationalisme, le civil et le religieux. Avec l'aboutissement final que, dans les pays où la Révolution est consommée, on s'aperçoit toujours trop tard que l'imposture appelée «séparation de l'Église et de l'État» n'était simplement que le germe de la destruction ou l'enchaînement de l'Église par l'État par des groupes et des individus qui n'appartiennent ni au corps ni à l'âme du peuple.
La franc-maçonnerie est, dans son origine, son inspiration et sa direction, un instrument aux mains de la Juiverie mondiale. Elle s'adresse surtout aux classes supérieures, à la bourgeoisie, aux employeurs, patrons, intellectuels, bref cette faction appelée «le Capital» dans la division artificielle de la société. On y attire des adeptes par l'ambition, la hâte d'arriver, le désir de parvenir plus vite et plus facilement que d'autres à la prospérité matérielle, à l'avancement politique et social. Pour attirer dans le communisme les classes humbles, la faction appelée «le Travail», on procède exactement de la même façon, en stimulant l'instinct spirituel le plus puissant de l'être humain: s'élever le plus vite possible et le plus haut possible, c'est-à-dire l'ambition. La chanson est aussi simple que séduisante: «Jusqu'ici vous avez eu la dictature capitaliste, qui vous a apporté guerres, misères, injustices, exploitation. Pourquoi ne pas essayer la dictature du prolétariat, la dictature de vous-mêmes? Ce sera à votre tour d'être les maîtres, de jouir du pouvoir et ce qu'il comporte, et la situation ne pourra pas être pire qu'elle l'est aujourd'hui». Ainsi, Capital et Travail, attelés au même charriot juif, croyant se faire la guerre mais en réalité ne faisant que s'entre-détruire sur le plan national au profit d'une constante expansion financière, économique et politique de la Juiverie Internationale, courent simultanément vers le même but final, bien défini dans le serment prêté par Garibaldi et dans le Manifeste Communiste: le renversement du Trône et de l'Autel, du 'sacerdoce et des hiérarchies sociales du monde chrétien, des souverainetés nationales, de la famille, du droit de propriété.
Au-dessus de la franc-maçonnerie et du communisme, il y a le Sionisme International à la fois religieux, intellectuel et national. Le Sionisme s'appuie sur la Haute Banque Juive Mondiale, ensemble des banquiers juifs internationaux.
Sionisme, communisme et franc-maçonnerie ont toujours formé le parfait triangle. Déjà au temps des Encyclopédistes, dont 99% étaient francs-maçons, qui parlaient de citoyenneté mondiale et de république universelle, d'une nouvelle religion mondiale fondée sur la science des hommes, il était question de Sionisme. Voltaire et Diderot écrivaient à leur collègue maçon Frédéric II de Prusse, le suppliant d'intervenir auprès du sultan de Turquie pour qu'il abandonnât sa colonie de Palestine aux Juifs. C’est le même Voltaire qui écrivait: «Si le Christ a édifié son oeuvre avec 12 ignorants, moi je la détruirai avec quelques esprits intelligents», qui terminait tant de ses lettres par le mot d'ordre: «Écrasez l'infâme» (le Christ) et qui à l'theure de sa mort, désespéré de ne pas recevoir le prêtre qu'il appelait à grands cris, avala le contenu de son vase de nuit avant de rendre l'âme. La supplique voltairienne de r,endre la Palestine aux Juifs a reçu sa réponse positive, il y a sept ans, des politiciens francs-maçons de l'Ouest et des chefs communistes de l'Est.
Dans leur forme moderne, le sionisme et le communisme sont issus du même berceau: «L'Union des Juifs pour la civilisation et la science», fondée à Berlin en 1819 par Moses ben Mendel alias Mendelssohn, Heinrich Heine et quelques autres, tous maçons et d'esprit révolutionnaire. Enquêtée fréquemment et étroitement surveillée par la police, cette société fut dissoute en 1824 et se transforma en deux tronçons dont l'un devait devenir graduellement le corps du Sionisme messianique et l'autre le parti communiste international. Karl Marx était en contact avec les membres de 1'«Union» et fut aidé par eux.
Programme à l'échel1le mondiale
Tout le programme conjugué du sionisme, du marxisme et de la franc-maçonnerie est exposé dans les «Protocoles des Sages de Sion» traduits et publiés par Serge Nilus il y a déjà cinquante ans. Tout ce qui s'est passé depuis un demi-siècle y est décrit, souvent avec beaucoup de détails. Voici les items les plus importants énumérés dans ce plan de C0nquête du monde:
«Contrôle de l'or, de la finance mondiale, provocation d'écroulements économiques et de paniques, encouragement à une spéculation effrénée, établissement de monopoles mondiaux, conquête du contrôle mondial de la presse et la diffusion des nouvelles; substitution de républiques dans les états monarchistes; promotion de politiciens tarés ou compromis à la tête des affaires, multiplication des scandales politiques afin de tuer dans les foules le respect. de l'autorité; propagation du darwinisme, du vice, de l'immoralité, de l'alcoolisme; multiplication des théories les plus variées pour créer le doute, détruire la foi, jeter .l'humanité dans la confusion; multiplication effrénée des spectacles, amusements, tournois, concours, afin de ne pas laisser aux foules le temps de penser et les empêcher d'avoir une vie intérieure; voir à ce que le coût de la vie augmente à mesure que sont haussés les salaires pour que les foules travailleuses soient dans un état constant d'insécurité et de mécontentement; dépréciation constante des monnaies nationales et du niveau de vie; endetter et finalement ruiner les états par une course aux armements; provocation de guerres mondiales, empêchement du retour à la paix, accentuation d'une guerre des nerfs jusqu'à ce que l'humanité, en désespoir de cause, se rende aux conditions juives; constitution d'un gouvernement mondial qui doit se transformer en dictature mondiale sous un roi-pontife juif établissant le règne messianique d'Israël sur toutes les races et tous les peuples définitivement subjugués. On trouve dans le même livre de curieux passages concernant les emprunts internationaux, l'utilisation des germes microbiens pour créer des épidémies, voire un passage ou est prévue la possi1oilité d'un épisode comme celui d'Hitler et les moyens d'y parer (... «il est 'trop tard pour que pareil génie puisse contrecarrer nos plans... nous liguerons contre lui les pays environnants... nous lui répondrons par les canons américains, chinois, etc.»). Le livre annonce aussi que l'athéisme sera imposé aux peuples non-juifs mais que, après une génération, le déisme judaïque leur sera imposé».
Ce livre des «Protocoles» sionistes a été passionnément controversé. On n'a jamais tenté d'en nier le contenu, on a seulement essayé de le ridiculiser, depuis qu'une copie en a été cataloguée au British Museum en 1906. Les experts juifs ne se sont attaqués qu'à l'origine du livre. Ils l'ont déclaré «un faux», parce qu'il contient quelques pages semblables à celles qu'on peut trouver dans les «Dialogues aux enfers entre Machiavel et Montesquieu», par Maurice Joly. Un «faux» est toujours une copie d'un document authentique qui existe déjà. Il se peut qu'il en soit de même des «Protocoles» qui alors, reproduiraient un plan autihentique. De fait, Maurice Joly était un Juif né sous le nom de Moses Joel, maçon et inféodé dans les cercles marxistes révolutionnaires; en plus, le livre de Maurice Joly est presque une copie d'un autre livre de dialogues publié par le Juif Jacob Vénédey, grand ami des Mendelssohn, Marx, Heine, Engels, etc., membre des cénacles sioniste, communiste et maçonnique. Si les «Protocoles» sont une oeuvre antisémitique de mauvaise foi, comment ses détracteurs peuvent-ils logiquement lui reprocher de reproduire ce qu'ont écrit des Juifs des hauts cercles marxiste et sioniste? Quoi qu'il en soit, ce que les «Protocoles» ont annoncé il y a cinquante ans s'est réalisé avec tant d'exactitude que son ou ses auteurs étaient des prophètes de génie ou d'habiles conspirateurs pourvus de tous les moyens pour exécuter leur complot. En Russie Soviétique, le seul fait de posséder une copie des «Protocoles» constitue une offense criminelle passible de la peine de mort; dénoncer l'existence d'un complot juif dans une loge maçonnique constitue une infraction si grave contre la «fraternité», le «progrès» et la «libre-pensée» que son auteur peut encourir l'ultime anathème de la secte. Le même esprit maçonnico-marxiste a envahi partout la Fraternité Judéo-chrétienne, d'origine sioniste, ou les doctorantins chrétiens utilisés comme paravents de respectabilité fulminent leurs excommunications personnelles contre la charité militante d'autres chrétiens qui, appuyés sur des autorités autrement chrétiennes que celle des maçons ou marxistes juifs, scellent par des tribulations nombreuses et joyeusement acceptées leur devoir vraiment chrétien de défendre les derniers bastions encore intacts; c'en est tellement triste qu'on ne peut que prier pour le désaveuglement de ces doctrillons convertis par la Synagogue au problème d'unir l'eau avec le feu, l'ombre avec Ia réalité, le mensonge avec l'erreur. Pour des chrétiens authentiques, être attaqués ou diffamés par la Fraternité Judéo-chrétienne est un honneur aussi grand que de l'être par toutes les teintes de rougisme, par le sionisme, par la maçonnerie, car c'est à l'identité des inimitiés et des hostilités que l'on reconnaît les déviations d'une même école et les oiseaux d'un même plumage.