Libellés

Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, février 21, 2009

ÉPILOGUE


Les considérations qui précèdent ont été écrites pour expliquer LE JUIF. La race juive est une race salvatrice dans le Christ.

Tout ce qu'on pourra dire au sujet du juif restera bien court devant la grandeur de cette race qui nous a apporté le Christ et Marie.

Mais le Christ et Marie sont si grands que leur grandeur surpasse la grandeur humaine. Le Christ et Marie touchent au Divin. Le Christ comme Fils Unique du Père, Splendeur de la Substance Divine. La Vierge Marie comme Mère de Dieu. Aussi le juif, soutien généalogique de grandeurs qui surpassent sa propre valeur, aurait dû s'abîmer dans sa propre petitesse à cause des grandeurs qu'il porte. Mais au contraire une partie d'Israël fut mordue par l'orgueil. Insensée, elle se crut plus grande que les autres peuples, que toutes les autres races... et surtout plus grande que le Christ et Marie.

Elle se crut supérieure à tous et éleva autour d'elle une enceinte pour ne pas se contaminer à l'infériorité des autres; et elle a travaillé avec astuce pour les dominer. Et elle continue à le faire. Avec la Presse et avec l'argent, les juifs ont aujourd'hui le contrôle des peuples chrétiens.

Dans le régime de grandeur charnelle que leur astuce a élevé avec les forces déchristianisées, les juifs sont les maîtres, et il n'y a pas apparemment, de pouvoir capable de résister à leur puissance occulte.

Alors les peuples chrétiens devront-ils se voir condamnés à un esclavage dégradant et sans rédemption sous la prépotence judaïque? En aucune manière. Il faut secouer avec une énergie virile cette domination génératrice de mort. Comment? Avant de l'indiquer je vais demander aux lecteurs de bien peser les mots qu'ils vont lire, parce qu'ils ont été écrits dans la précision logique la plus stricte. Et ils ont été écrits aussi selon les principes chrétiens les plus purs.

On sait le Christianisme se résume dans le grand Commandement: "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur... et ton prochain comme toi-même".

Aimer signifie chercher LE BIEN de ceux que nous aimons. L'homme doit donc chercher d'abord LE BIEN de Dieu, et ensuite LE BIEN de l'homme. Le bien de Dieu est que son nom soit béni et glorifié dans les faits par l'accomplissement de sa loi. Le bien de l'homme est que lui soient reconnus tous les droits qui concourent à l'obtention de son bien-être éternel et temporel.

S'il en est ainsi, il manquerait au commandement de l'amour ce père qui ne reprendrait pas son fils qui viole les droits de Dieu ou les droits de sa mère. Il n'accomplit pas son devoir de charité ce père qui ne punit pas, si c'est nécessaire, le fils qui ne respecte pas sa mère ou qui maltraite ses frères. Il n'accomplit pas son devoir de charité ce gouvernant qui ne prend pas soin des intérêts de la Patrie ou qui ne prévient ni ne châtie les infractions aux lois des mauvais citoyens.

Charité n'est pas SENTIMENTALISME qui consent à toutes les erreurs et infractions des autres. La charité, c'est procurer efficacement le bien réel (éternel et temporel) des autres, et HAÏR À TOUT MOMENT LE MAL.

Ceci étant donné, comment faut-il prévenir les propos judaïques de dominer les peuples chrétiens?

De deux façons simultanées:

1. - EN AFFERMISSANT ET EN CONSOLIDANT LA VIE CHRÉTIENNE DANS LES PEUPLES.

Comme je l'ai fréquemment répété au cours de ce livre, la domination judaïque va de pair avec la déchristianisation des peuples. C'est une loi théologique prouvée par l'histoire. Donc, la christianisation véritable des peuples, par un catholicisme intérieur et profond de foi et de charité, marquera le déclin de la domination judaïque. Pour cela, la meilleure façon de combattre la domination judaïque est de restaurer solidement le sens chrétien dans la vie publique et dans la vie privée.

2. - EN RÉPRIMANT DIRECTEMENT LES MAUVAIS COUPS JUDAÏQUES.

Et ici, faisons remarquer que les juifs, comme "fils du diable", ainsi que les appelle Jésus-Christ, ont aussi des méthodes diaboliques pour dominer les peuples chrétiens. Ces méthodes se réduisent au mensonge.

"Vous êtes les fils du diable, leur disait Jésus-Christ, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. il fut homicide dès le commencement, et il ne demeura pas dans la vérité; quand il dit des mensonges, c'est de lui-même qu'il parle, parce qu'il est menteur et père du mensonge". (Jean, VIII, 44)

Saint Paul, parlant de Satan, nous dit : "qu'il se transforme en ange de lumière" (II Cor, XI, 14)

Le mensonge est la grande arme du diable et de ses fils les juifs. Aussi le diable est-il figuré par le serpent, et les juifs aussi adoptent le serpent comme symbole cabalistique.

De là vient que la méthode propre du judaïsme dans sa lutte contre les peuples chrétiens soit de tendre des pièges.

Il tue les peuples chrétiens sous l'apparence de les sauver. Il les réduit en esclavage au nom de la liberté. Il les hait sous le prétexte de la fraternité. Il les domine sous le prétexte de l'égalité. Il les tyrannise sous le prétexte de la démocratie. Il les vole sous le prétexte du crédit. Il les empoisonne sous le prétexte de l'illustration.

Et par ailleurs, mentant toujours avec une merveilleuse habileté, il accuse les vrais sauveurs d'être les ennemis des peuples. Et ainsi, le Christ, l'Église, le sacerdoce, les gouvernants chrétiens, sont présentés au peuple comme de vils séducteurs.

La lutte tragique de la guerre civile espagnole en est la meilleure démonstration. Le judaïsme, avec sa caserne à Moscou, avait corrompu les masses espagnoles et avait suborné quelques gouvernants vils et couards. Il voulait terminer son œuvre en soumettant la nation hispanique à un ruineux esclavage plus vil que celui de la Russie Soviétique. Mais surgissent les héros de l'Espagne du Cid et des Rois catholiques, résolus à libérer le peuple espagnol de cette affreuse tyrannie, et alors le judaïsme universel diffuse dans tous les coins du monde qu'une poignée de factieux conspire contre le pouvoir constitué et contre le peuple espagnol.

En écrivant ces pages, j'ai ressenti la douleur de penser que beaucoup de VRAIS ISMAÉLITES pourraient croire que l'on y veut que le juif soit réprimé pour le simple fait de porter du sang juif. Cependant, c'est impensable.

Non seulement ce n'est pas contre le sang juif en tant que tel, mais c'est en défense du véritable sang juif. Parce que la grandeur d'Israël, c'est le Christ et c'est Marie. La grandeur d'Israël c'est le sang juif qui coule dans les veines du Christ et de Marie. Et c'est bien pour défendre ce sang, c'est-à-dire les principes chrétiens, qu'ont été écrites ces pages, en proscrivant l'infect du sang pharisaïque.

Que les vrais israélites veuillent bien comprendre qu'ils ne pourront atteindre à la véritable grandeur de leur sang, qui est la grandeur universelle du monde, que lorsqu'eux-mêmes prendront l'épée en mains pour nettoyer de leur sein le ferment pharisaïque qui pervertit, et lorsqu'ils adhéreront à Celui qui est venu sauver tous les hommes.

    Archives du blogue