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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

vendredi, octobre 23, 2009

CAS PERSONNELLEMENT VÉCU

Les avocats de l’eutanasie essayent de brouiller le débat en changeant le vocabulaire. Qu’ils parlent de suicide assisté ou pas, de compassion ou pas, un meurtre est un meurtre. Un suicide assisté, est une contradiction. Ce n’est pas la personne qui se suicide, mais une personne qui donne la mort à une autre personne. C’est un meurtre.

Une personne qui se donne la mort par pendaison ou en avalant une dose mortelle de barbiturique avant de sauter d’un pont ou passer devant un train, ne commet pas un suicide, puisque «mort douce et sans souffrance, survenant naturellement ou grâce à l’emploi de substances calmantes ou stupéfiantes», par poison, en sautant d’un pont ou autrement Cette personne est lucide. Elle parle, elle marche et est capable de s’afliger la mort. La définition de l’euthanasie a de grandes faiblesses et contradictions. Elle est en droite ligne avec la culture de mort semée. C’est de la pure démagogie et un sophisme criminel.

Je peux faire aussi un documentaire qui fera pleurer tout le monde sur la mort de Hitler. Il détestait les chats parce que les chats mangent les oiseaux.

Il y a cinq ans, j'assistais aux funérailles d’un jeune suicidé de 28 ans. Curieusement, personne ne riait ni ne débordait de joie. Pourtant, le suicidé avait écrit une longue lettre sur son mal de vivre. En suivant votre logique du culte de mort, nous aurions dû l’assassiner par compassion. Il s’est pendu, a passé douze jours à l’Hôpital Général Juif aux soins intensifs et a été «débranché» un dimanche soir. Sa mort est survenue environ dix minutes après le débranchement. Ce n’était pas de l’euthanasie, comme le veulent les mythes du culte de la mort.

Il ne souffrait pas puisque tout ce qui faisait sa personnalité était mort dans son cerveau. En fait, son cerveau était le système externe qui le faisait respirer et son coeur battre.

Le médecin m'a expliqué qu'il pouvait faire battre un coeur hors de son corps sur une table, tant qu'il voulait.

Je vous rappelle qu'il ne souffrait pas. Le corps avait des spasmes dus aux électro-encéphalogrammes pour déterminer quelles parties de son cerveau fonctionnaient. Ces spasmes étaient automatiques.

Il était déjà mort et il fallait que la famille le comprenne. Je me suis servi du Catéchisme de l’église catholique pour leur faire comprendre, pas du catéchisme de la secte des assassins de Patapouf.

 
 

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