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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

dimanche, décembre 06, 2009

Ce matin à Radio-Canada, la fine lame communiste, le chef du Bloc Québécois Gilles Duceppe, se faisait aller le clapet selon la tradition marxiste. La fine lame est stupéfaite des soi-disant tortures commises contre des prisonniers afghans révolutionnaires qui tuent nos soldats. Charité bien ordonnée commence par soi-même.

Le grand humaniste communiste oublie les 35 000 bébés tués dans le ventre de leur mère chaque année dans la seule province de Québec. Qui plus est, le marxiste trouve dangereux ceux qui combattent le meurtre de masse de nos enfants, payé par nos taxes, que nous soyons d’accord ou pas avec la tuerie.

L’agneau blanc Duceppe accuse le présent gouvernement de tous les maux. Il dit que le gouvernement a toujours raison. Duceppe habite une maison de verre et il devrait se regarder dans une glace.

Ses amis féministes célèbrent le malheureux massacre de la polytechnique. Ces féministes enragés font de la propagande pour désarmer le peuple selon la tactique communiste. Le premier à avoir passé une telle loi était Hitler. Lépine était probablement sur les antidépresseurs qui changent l’état d’esprit. Au Québec, les médecins donnent ces médicaments comme des bonbons à l’Halloween. Le problème n’est pas le contrôle des armes comme le contrôle des malades mentaux.

Un autre point qui démontre à quel point ces gens déforment la réalité c’est bien sur la torture des prisonniers. Ce maudit bon monde voit la guerre comme une joute sportive avec des règles à suivre et des punitions données par des arbitres. Il faut vraiment être naïf, menteur, ignorant ou communiste pour voir la réalité d’une façon aussi grossièrement déformée. La guerre ne fait pas de quartier, mais des massacres terribles. Au front, les soldats se battent pour demeurer vivant. La meilleure manière de ce faire est de tuer l’ennemi. Tous les moyens sont bons pour s’informer des ennemis. Ceux qui prétendent le contraire devraient plutôt s’engager pour l’Afghanistan d’abord et parler ensuite.

Le récent massacre aux Philippines vient justement démontrer que les lois de contrôle des armes à feu ne servent à rien, sauf à mettre un cataplasme sur une jambe de bois.

La Fédération des femmes du Québec devrait s’attaquer à la violence faite aux bébés (filles et garçons) qui sont tués par milliers dans les abattoirs d’enfants.

59 personnes viennent de se faire massacrer aux Philippines. Les femmes ont été violées avant de se faire abattre. Mais hommes et femmes ont été massacrés. La vie d’une femme vaut-elle plus cher que celle d’un enfant ou d’un homme?


Massacre aux Philippines : un notable arrêté

Le maire d'une commune des Philippines est le principal suspect du massacre qui a fait 57 morts, lundi, dans le sud du pays. Le gouvernement philippin a annoncé jeudi qu'Andal Ampatuan Junior avait été arrêté et serait transféré vers Manille pour y être interrogé. Son père, le puissant gouverneur de la province de Maguindanao sur l'île de Mindanao, qui est soupçonné d'être le commanditaire de cette tuerie, a rejeté les accusations.

Il n'y a rien de vrai dans tout cela», a-t-il déclaré.

Une rivalité pour le pouvoir

Pour l'armée et les proches des victimes, le gouverneur aurait organisé le massacre, perpétrée par des miliciens, pour empêcher un rival, Esmael Mangundadatu, chef d'un autre clan, de se porter candidat au poste de gouverneur lors d'élections prévues l'an prochain. Le gouverneur actuel souhaitait voir son fils assurer sa succession.

Une enquête a été ouverte à l'encontre de tous les fonctionnaires de police d'une commune sous le contrôle du suspect numéro un, a ajouté le gouvernement. «Tous les policiers du poste contrôlé par Ampatuan font l'objet d'une enquête, soupçonnés de complicité dans le crime», a déclaré le secrétaire à l'Intérieur, Ronaldo Puno.

Le père du suspect allié de la présidente

Le père d'Andal Ampatun est membre de la coalition de la présidente Gloria Arroyo, qui a promis mercredi que les responsables du massacre n'échapperaient pas à la justice. Le directeur général de la police nationale Jesus Verzosa a annoncé plus tôt qu'un certain nombre, non précisé, de meurtriers présumés avaient déjà été arrêtés. «Nous n'avons pas le nombre exact mais nos policiers sur le terrain en ont arrêté plusieurs», a déclaré le directeur général de la police Jesus Verzosa.

Une centaine d'hommes de main d'Ampatuan ont stoppé lundi un convoi de politiciens rivaux du clan d'Esmael Mangudadatu, qui comprenait un groupe de journalistes. Ils ont été enlevés, tués et enterrés à proximité d'une ferme. Les victimes, dont au moins 14 femmes, ont été découvertes le corps criblé de balles. Parmi les 57 victimes figurent 13 journalistes. La zone où l'état d'urgence a été décrété, a été bouclée jeudi par les forces de sécurité.

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