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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

lundi, septembre 25, 2006

Au choix: L'islam, la dhimmitude ou la mort.

Les « écoles » coraniques enseignent une notion, trop peu connue des occidentaux, qui a pour nom la « dhimmitude » (de « dhimmi », celui à qui s’applique la « dhimma »).

On ne trouve que fort peu de définitions correctes du « dhimmi » et de la « dhimmitude ». Même les grandes encyclopédies n’y font référence que de façon pratiquement accidentelle. C’est notamment le cas pour l’ « Encyclopedia Universalis » dont nous extrayons le paragraphe reproduit ci_après.

Le mouvement de distribution des terres, commencé sous les califats de Omar et de Othman, a continué largement, au profit des proches et des familiers des califes omeyyades et des gouverneurs. Les terres, à l’origine seulement concédées à ferme et à titre viager, deviennent de véritables propriétés privées, susceptibles de transactions commerciales: peu à peu se constituent de grands domaines privés que leurs propriétaires arabes, résidant dans la capitale, Damas, ou dans les grandes villes, laissent à des fermiers indigènes le soin d’exploiter; ce développement de la propriété privée – qui accapare les bonnes terres – entraîne une diminution des revenus tirés par l’État de l’impôt foncier. L’État augmente alors les impôts auxquels sont astreints les non_musulmans (impôt foncier ou kharadj, et capitation ou djizya), ce qui a pour conséquences la multiplication des conversions et l’accroissement du nombre des mawali, qui, en principe, ne devraient plus payer que la dîme et les impôts religieux ; mais, l’administration n’ayant pas tenu compte des modifications intervenues, les mawali manifestèrent leur mécontentement et beaucoup d’entre eux rejoignirent les mouvements d’opposition. Le calife Omar II (717_720) introduisit alors des réformes en faveur des mawali et des mesures restrictives à l’égard des dhimmi (protégés), qui furent systématiquement éliminés de l’administration, ce qui provoqua la désorganisation de celle_ci.
Cet extrait est significatif des effets pervers de la prétendue « libéralité » des musulmans vis_à_vis, non pas des « non musulmans » (comme indiqué ci_dessus) mais des « gens du livre » qui acceptent de se soumettre à la dictature islamique en payant la « capitation » (terme « politiquement correct » pour désigner une forme ignoble de racket). Car la notion de « dhimmi » ne s’applique qu’aux seuls « gens du livre », à savoir aux juifs et aux chrétiens. Les autres sont purement et simplement passés au fil de l’épée s’ils ne se convertissent pas illico à l’islam. Les plus « chanceux » étaient réduits à l’état d’esclave !
Cependant, comme l’indique le texte de l’Universalis, malgré le paiement de la rançon censée assurer leur « protection », les dhimmis ont toujours été soumis à des pressions de toutes sortes et nombreux sont ceux qui ont fini par se convertir « pour avoir la paix ». Il en résulte que, dans les pays conquis, tous ceux qui n’ont pas été tués ou qui n’ont pas pu s’échapper ont fini, tôt ou tard, par se « soumettre » d’une manière ou d’une autre.
L’essor de l’islam est donc dû, non à des conversions volontaires mais, dans la toute grande majorité des cas, à cette forme odieuse de terrorisme religieux.
Les autres grandes encyclopédies ne font aucunement allusion à la « dhimmitude », soit par ignorance du fait (pour les éditions anciennes), soit parce que, dans le contexte actuel, il est « politiquement incorrect de parler de cela ». Il ne faut surtout pas « choquer les pauvres musulmans », n’est_ce pas ?
Une fois n’est pas coutume, nous reproduirons un article extrait d’un périodique qui ne figure pas parmi les lectures préférées des membres de notre équipe. Il s’agit, en effet, d’un périodique publié en Belgique par un parti francophone appartenant à la mouvance d’extrême droite. A défaut de proposer les bonnes solutions aux problèmes que nous rencontrons, l’extrême droite pose souvent les bonnes questions. Les deux articles que nous avons décidé de reproduire sont, en outre, de très bonne facture. Ils ne sont pas outranciers et ont manifestement été rédigés par quelqu’un qui connaît très bien le monde arabo_musulman et l’islam.
Le premier article, signé M.S., s’intitule précisément « Islam et dhimmitude – Le choc des civilisations ». Le second, signé « Augustin », concerne le statut des moines (catholiques) en islam. Ils ont été publiés en septembre 2002.
Nous ne citerons pas le titre du périodique _ pas plus que le nom du parti dont il est l’organe – afin de ne pas faire de publicité pour une mouvance dont nous rejetons les façons d’agir. Le fait que nous ayons agréé les deux articles reproduits ci_après, ne constitue en aucune manière une caution des organisations fascisantes de Belgique ou d’ailleurs. Nous aurions pu publier ces articles sans faire mention de leur origine mais c’eut été manquer à l’honnêteté intellectuelle qui prévaut dans nos rangs. Nous avons donc préféré jouer le jeu de la transparence et les faire précéder du présent avertissement.
Il ne faut jamais jeter le bébé avec l’eau du bain.
Le fait que Brasillach se soit retrouvé dans le camp fasciste n’enlève rien à la qualité de son œuvre littéraire. Il en va de même pour la qualité et la pertinence de ces deux articles, issus d'une revue qui ne mérite vraiment pas le détour mais qui a été la seule à oser publier des vérités que les « âmes bien pensantes » refusent d’entendre, avec tous les risques que cela comporte pour la démocratie. Car ces vérités là, nous devrions les trouver dans nos journaux, dans nos magazines, pas seulement dans les feuilles de chou de l’extrême droite fascisante. Nous devrions les entendre à la radio et à la télévision au lieu de subir les mensonges éhontés que colportent des hordes de journalistes « aux ordres ».
Qu’il s’agisse du « péril musulman » ou d’un autre péril, tout aussi réel, _ qui réside dans le retour en force des partis favorables à un « ordre nouveau » _ c’est l’ignorance, l’aveuglement, la servilité et la passivité qui constituent les facteurs favorables au développement de ces périls qui menacent gravement nos démocraties. Nous devons donc nous imprégner de la notion de « dhimmitude » si nous ne voulons pas que nos enfants deviennent des « dhimmi » et que nos petits_enfants soient un jour contraints de se « soumettre » à l’islam comme le firent les Perses, les Syriens, les Egyptiens puis des millions de pauvres Africains et Asiatiques qui furent réduits en servitude par les hordes arabes. Sans oublier les Ibères d’Espagne qui, pour échapper aux impôts levés par Roderic, ouvrirent toutes grandes les portes de leur pays aux Sarrasins venus du Maghreb par le détroit de Gibraltar.
le Coran exhorte tout musulman à se comporter en « fedayin », autrement dit en « combattant du djihad contre les infidèles pour le triomphe de l’islam ». Le « bon musulman » a le devoir « sacré » de soumettre les « incroyants » et de conquérir tous les territoires qu’ils « contrôlent illégalement » (autrement dit la terre entière) afin que la « parole d’Allah » (ou plutôt celle de Mahomet) y règne jusqu’au « jugement dernier ».
Ca, ce n’est pas nous qui le disons : c’est la « loi » islamique découlant du Coran, celle_là même qui est enseignée dans toutes les « écoles » coraniques, y compris en Europe occidentale !
http://www.coranix.com/108bis/dhimmi.htm
ISLAM ET DHIMMITUDE _ LE CHOC DES CIVILISATIONS
La dhimmitude dépend d'une loi divine, appliquée à tous les peuples conquis par jihad (1) pendant plus d'un millénaire, sur trois continents. Les « Infidèles » se convertissaient ou devenaient dhimmis (2) et étaient réduits à une condition humiliante et sous_humaine.

La dhimmitude est née des décrets de Mahomet au VIIIème siècle. Elle impose l'infériorisation du dhimmi, chrétien ou juif, et sa différenciation avec le musulman : seul un adulte musulman peut être témoin; les cultes doivent se passer en silence; les dhimmis doivent porter des signes distinctifs; toute critique du Coran ou des lois islamiques est punie de mort; le dhimmi ne peut posséder d'armes. De plus, le dhimmi doit être humble et reconnaissant à la loi islamique qui lui épargne la vie. La per­fection de l'oumma (3) implique la perfection de son histoire, de ses conquêtes, de ses lois. Par là_même, elle légitimise le statut de dhimmi. Cette vulnérabilité, imposée par la loi, a induit peur et servilité dans la mentalité dhimmi.

Bat Ye'or est née en Egypte. Elle est de nationalité britannique et vit en Suisse. Elle a écrit de nombreux articles et livres sur la condition des non_musulmans vivant sous l'islam. Son dernier livre examine les tendances qui poussent vers une « dhimmitude occidentale » au XXe siècle, inévitable sans une ré_évaluation des concepts de jihad et de dhimmitude. Cette évaluation, rendue encore plus essentielle depuis les actes terroristes de jihad qui ont choqué l'Amérique le 11 septembre 2001, n'a encore jamais été entreprise. C'est pourtant de là que viendra le succès d'une réconciliation entre judaïsme, chrétienté et islam, (www.fnb.be/dhimmitude.htm)
LA REPRESSION DE L'HISTOIRE
En Orient, la glorification des conquêtes et civilisations islamiques a réprimé l'histoire des dhimmis au point d'imposer une lecture islamique de la Bible qui supprime son affiliation judéo_chrétienne et la rattache au Coran, renversant l'ordre entre les trois religions.
Dans les universités occidentales, on enseigne le concept d'un jihad pacifique qui idéalise la société islamique et le désir nostalgique de sa restauration en Europe. Les ouvrages apologétiques occidentaux se basent sur le négationnisme historique, oubliant conquêtes, esclavage, déportations, massacres... et insistent sur la «cohabitation pacifique» (le Mythe de l'Andalousie).
Ce mythe est colporté par les réseaux pro_palestiniens pour justifier le remplacement d'Israël par une Palestine arabe multiculturelle et démocratique. Il a polarisé le conflit anti­israélien et la glorification du terrorisme international en « juste cause palestinienne ».


Arafat a déclaré : « Nous étions sous l'impérialisme romain. Nous avons envoyé un pécheur palestinien, appelé St Pierre, à Rome » Et il termine par : « Jésus était le premier fedayin (3) palestinien qui a porté son épée le long de la route où, au­jourd'hui, les Palestiniens portent leur croix. »
Ainsi, les religions chrétiennes et juives sont dépossédées de leurs fondations historiques.
MANIPULATION ET CULPABILISATION DE L'OCCIDENT
La dénonciation de la résistance aux premières invasions arabes, des croisades, de l'impérialisme, de la colonisation, de la création d'Israël, ont tenté d'impliquer que l'Europe avait une dette morale vis_à_vis des Palestiniens et du monde musulman. Pourtant, en insistant ainsi sur la culpabilisation de l'Occident, on minimise les causes de ces guerres: destructions d'églises en Terre Sainte, les déportations, conversions forcées, jihads et génocides, tels qu'en Arménie.
La propagande a utilisé la culpabilité européenne, amalgamant juifs persécutés et arabes palestiniens, Israéliens et nazis. Les lobbies euro_arabes ont exploité la Shoah pour châtier l'opinion publique occidentale, réticente à l'immigration de musulmans originaires d'États qui, eux_mêmes, tolèrent à peine leurs dhimmis.

DU TIERS_MONDISME A L'ISLAMISATION ET A L'ANTISEMITISME
Des observateurs ont noté que le processus d'islamisation du tiers_monde dépendait d'alliances entre gauchistes et mouvements révolutionnaires islamistes. L'idée de base était d'utiliser les fondamentalistes pour mobiliser les masses au nom d'une guerre sainte contre le colonisateur, détournant les frustrations sur le modèle anti­occidental: nationalisme, sécularisme, égalité des sexes et des religions, symbolisent les tactiques diaboliques de la conspiration occidentale pour détruire l'islam. En Occident, ce mouvement a développé l'antisionisme comme autoprotection pour dériver l'agression vers un parti tiers, politique traditionnelle des communautés arabo_chrétiennes orientales, transposée au niveau des États européens.
L'Europe s'est ouverte à l'immigration musulmane pour fusionner les deux rivages de la Méditerranée : le mélange des populations, la destruction des chauvinismes nationalistes et l'abolition des frontières créent l'émergence d'un bloc hostile à Israël qui contrebalancerait l'influence des États_Unis. Mais la rencontre entre chrétiens et musulmans exige une certaine conversion à l'islam («attitude de dialogue») et a pour corollaire que les chrétiens se sont rendus dépendants de l'ordre islamique.
La vocation chrétienne des Églises orientales au service de l'islam a donné au clergé arabo_chrétien la mission apostolique de répandre la propagande islamique par les canaux religieux occidentaux; d'encourager et de donner un support pratique et moral au terrorisme anti_israélien (en utilisant le thème du désespoir palestinien); de diaboliser Israël; de dissimuler l'islamisation et la purification religieuse des sociétés arabes avec toutes ses restrictions discriminatoires vis_a_vis des chrétiens.
Elles ont fait de l'élimination de l'État juif une priorité plus importante que la défense des droits de leurs propres communautés. Les travaux missionnaires tiers_mondistes, basés sur le rejet du judéo_christianisme, identifié avec l'exploitation capitaliste, ont développé, par le biais du clergé, le mouvement d'islamisation en Europe.

Les ruines d'églises, comme de synagogues, éparpillées en Afrique du Nord, au Proche_Orient, en Arménie, en Mésopotamie, révèlent l'étendue des persécutions religieuses là où, un jour, vivaient des populations dhimmis. Avant la conquête arabe, ces régions étaient majoritairement chrétiennes...
LA DHIMMITUDE EN EUROPE
L'abstentionnisme de l'Europe et des Églises dans la condamnation des violations des droits de l'homme des pays musulmans, le silence au sujet de l'esclavage et des génocides commis au sud du Soudan, la ré_islamisation des Balkans, l'attitude laxiste envers les millions de musulmans d'Europe, la politique anti_israélienne, sont des symptômes de soumission de l'Occident à la shari'a (4) qui ont décalé les lignes de front des conflits en Europe même. La guerre de l'OTAN contre les Serbes (en compensation de la Guerre du Golfe) a répété tactiques euro_palestiniennes : contrôle des médias, démonisation des Serbes, banalisation de la Shoah en pillant les histoires juive et serbe... Ces stéréotypes appliqués aux Serbes manquent de toute rationalité et pourraient s'appliquer à n'importe quel autre groupe.
Cette politique de l'Europe a été planifiée, exécutée et proclamée par ses propres responsables politiques, démocratiquement élus ainsi que par ses guides spirituels. L'histoire jugera de leur silence en ce qui concerne la destruction de la chrétienté orientale par la Syrie et les Palestiniens, de leur responsabilité pour la diffusion de la dhimmitude en Europe, de leur obéissance passive aux pressions politiques et de leur désir obsessif de voir la disparition d'Israël... L'actuelle situation chaotique et dangereuse est le résultat de l'incroyable irresponsabilité des dirigeants européens, ces trente dernières années.
M.S.

(1) Jihad_ Guerre sainte ; sacralisation des razzias de Bédouins, transformées en politique légale et théologique.
(2) Dhimma _ Système rançon_protection qui garantissait la vie et la sécurité en échange d'une totale soumission.
(3) Oumma _ Communauté arabe.
(4) Fedayin _ littéralement, combattant contre les chrétiens pour le triomphe de l'islam.
(5) Shari'a _ Législation islamique sacrée, basée sur le Coran.
L'idéologie du jihad est fréquemment dissimulée dans la phraséologie de type tiers_mondiste. Le jihad fait, de tout terrain conquis, une possession islamique jusqu'au jour de la résurrection. Cela inclut : l'Espagne, le Portugal, la Sicile, la Grèce, les Balkans, l'Arménie, l'Inde... Selon la conception islamiste, le refus du nationalisme n'est pas limité à l'État d'Israël: il est enraciné dans la conception de l'humanité qui devrait obligatoirement être assujettie à la shari'a (4). Le nationalisme n'a aucune légitimité: l'illégitimité d'Israël est incorporée dans celle de l'Occident.
L'Oumma a été élue par Allah entre les nations et a le devoir de prendre possession de son héritage, le monde entier, pour que la parole d'Allah règne universellement: le jihad consiste à rendre aux musulmans ce que les infidèles contrôlent illégalement, selon la loi divine.
Toutes les régions conquises l'ont été par jihads qui ont provoqué réfugiés, esclavage et massacres sur trois continents. Après les conquêtes, les peuples dhimmis sont restés des majorités ethniques: les définir en tant que minorités falsifie la nature de leur identité historique.

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