Traduction
Tim Bloedow
11 février 2008
Un des plus grands nigauds jamais vus au Canada - très dangereux, quoique que de très petite taille - a décidé d’enchérir la semaine dernière dans sa campagne pour interdire toute critique scientifique du royaume environnemental. Il veut maintenant jeter ses adversaires en prison. Ouais, c’est comment se comporte ce bonze intellectuel! C’est prétentieux. Malheureusement, cet expert a tellement perdu les pédales cette fois que je ne suis plus le seul à le qualifier de fasciste. Bien sûr, la personne en question est le grand prêtre de l’intolérance du fondamentalisme écologique: David Suzuki.
M. Suzuki est si inattaquable qu’il veut faire maintenant emprisonner ses adversaires. Hitler et Staline auraient adoré l’avoir au temps d’amadouer la gueusaille. Ah oui, Staline n'a pas dû amadouer la plèbe, il a juste tués les misonéistes. La législature devrait interdire spécifiquement à M. Suzuki de posséder toute arme, incluant les pétales de pâquerette et l'écorce d'arbre - sans insinuation.
Malheureusement, M. Suzuki n'est pas le seul jean-jean admirateur de la Terre avec des pulsions totalitaires. L'auteur environnementaliste David Shearman a écrit en janvier un article préconisant l'autoritarisme sur la liberté individuelle et louangé la Chine pour agir de même. Il a loué la Chine pour l’interdiction de sacs en plastique, et a ensuite dit:
Mais ce qui est importe dans la décision, c’est que la Chine peut le faire par décret et fermer les usines. Ils n’ont pas à s’inquiéter de la perte de dons politiques ou des chômeurs temporaires...
L'expert en bioéthique Wesley Smith a fait des remarques notamment sur cet article: «Maintenant, un auteur environnementaliste du nom de David Shearman a écrit un article hystérique pressant que nous rejetions la démocratie et adoptions l'autoritarisme du monde de mettre à exécution (sic) le consensus scientifique sur le réchauffement mondial et d'autres cas prétendus d'urgence du monde. Et il présente la Chine tyrannique (des avortements obligatoires, des infanticides, des meurtres de prisonniers pour leurs organes, la répression des dissentiments, la Place Tiananmen, etc. à nous en donner la nausée) comme l'exemple à suivre parce qu'elle a interdit les sacs en plastique! J'ai averti que certains parmi nous adorent à l'autel du scientisme et qui veulent instituer une scientocracie où les scientifiques feront main basse sur nos vies en condamnant nos opinions... J'ai averti à plusieurs reprises que nous souffrons de l'expertite, mon terme pour la tendance de remettre les décisions politiques les plus importantes à des experts.
De retour à Son Éminence grise du Canada...
Qu'a exactement dit Suzuki? Selon un article du National Post, vers la fin de son discours, le docteur Suzuki a dit:
«Nous ne pouvons plus tolérer ce qui se passe à Ottawa et Edmonton.»,
et ensuite encourager les participants à tenir les politiciens à une plus grande norme verte:
a dit le docteur Suzuki, un ancien membre de la Canadian Civil Liberties Association.«Je vous exhorte à faire beaucoup d'efforts afin de trouver un moyen légal dejeter en prison nos chefs prétendusoarce ce qu’ils font est est un acte criminel.»,
«C'est un crime intergénérationnel face à toute la connaissance et la science pour plus de 20 ans.»
Ainsi où a-t-il dit cela? Dans la boutique arrière d’un club anonyme noir de fumé du monde criminel? C’est proche. En réalité, il parlait devant à la McGill Business Conference on Sustainability. C'est une collection de luminaires célestes, s’il en fut jamais. Comment le sais-je? Bien, parce qu'ils ont applaudi quand le Grand Prêtre du culte Vert a suggéré la prison pour ses adversaires. C'est la sorte d'intelligence supérieure que nous formons dans les écoles publiques ces jours-ci. Le Canada doit faire l'objet d'envie d'autres grandes nations du monde ces présentement: des places comme Cuba, la Corée du Nord et le Zimbabwe!
Heureusement, des gens se prononcent déjà pour condamner les visions bizarres de David Suzuki. Un député conservateur de l'Ontario - entre autres - l'a traité de fasciste. Ce serait Randy Hillier, le vigoureux avocat des droits de la propriété privé qui est devenu infâme comme fondateur et le chef de la Lanark Landowners’ Association des propriétaires terriens. Où pouvons-nous trouver plus de politiciens comme lui?
Et l'hôte provocateur de la parlote hertzienne de la Saskatchewan, John Gormley, a aussi écrit une chronique envoyant au diable M. Suzuki, soulignant entre autre que si un autre au Canada préconisait d’emprisonner les gens pour le crime de
«discordance avec eux, ils seraient correctement appelés des fanatiques, des fascistes ou ignorés en tant que drôles d’individus.»
Un porte-parole du chef du Culte Vert prétend maintenant que Suzuki plaisantait seulement. Ben voyons! Arrêtez de rire. J’ai presque fini...
Je viens d'achever d'écrire un livre qui frappe au coeur du fondamentalisme religieux et de l'extrémisme anti-scientifique des gens comme David Suzuki. Mon nouveau livre aborde l’environnementalisme d'une perspective théologique, faisant le point que l'approche exclusivement religieuse de David Suzuki à la question à cette heure justifie une réponse chrétienne responsable et complète. Nous espérons que ce livre sera disponible vers la fin de mars. Il ajoutera à la nouvelle preuve à un point central dans mon premier livre, l'État contre l'Église: que la liberté civile sociale, la liberté personnelle et la liberté économique sont toutes enracinées dans une vue du monde judéo-chrétien; et que toute autre vue du monde est une menace totalitaire à cette vision de liberté.
Tim Bloedow est l'auteur de State vs. Church: What Christians Can Do to Save Canada from Liberal Tyranny. Il a travaillé comme chercheur, auteur de discours et coordonnateur de médias pour deux membres du parlement. Tim a aussi travaillé comme un auteur indépendant et chercheur et membre d'un groupe de pression pour la Campaign Life Coalition. Tim, marié avec deux enfants, a aussi l'offre de candidature comme candidat du Parti Héritage Chrétien du Canada.