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Les Relations des Jésuites contiennent 6 tomes et défont le mythe du bon Sauvage de Jean-Jacques Rousseau, et aussi des légendes indiennes pour réclamer des territoires, ainsi que la fameuse «spiritualité amérindienne».

samedi, novembre 18, 2006

COMMENT DÉFAIRE LES SOPHISMES HOMOSEXUELS

Il n'y a aucune honte à croire un mensonge jusqu’à ce que l’on apprenne la vérité.
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Le succès des prétendus droits des homosexuels est un triomphe étonnant de la tricherie sur la simple logique. Quand cette question est abordée, des personnes habituellement intelligentes succombent devant des arguments qui ne résistent pas à un examen minutieux. Les sympathisants des homosexuels ne sont pas nécessairement plus crédules que les autres, ils sont simplement amenés par ruse à accepter certaines conclusions sans en avoir préalablement examiné les prémisses sous-jacentes.
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Celui qui définit les termes contrôle le débat, et par extension, l'opinion publique. Sur cette question les termes ont été définis et souvent inventés par des sophistes doués du mouvement homosexuel.
Le sophisme est l'art grec antique de persuasion par le raisonnement subtilement faux. Les arguments sont faux malgré une apparence de vérité. Nous employons le terme ici dans son sens restreint de raisonnement intentionnellement trompeur. Le raisonnement est faux mais d'apparence valide et il est présenté avec l'arrière-pensée de convaincre autrui, bien que l'on se rende compte de la faiblesse de l'argumentation. La clef pour surmonter un sophisme est de simplifier et clarifier ce que les sophistes ont intentionnellement rendu complexe et vague. Ce processus commence en définissant les termes et les concepts étant employés dans les arguments. On découvre rapidement que la plupart des arguments préconisant les droits homosexuels reposent sur des suppositions fausses et cachées et des termes délibérément ambigus. Ce n'est que de la prestidigitation.
Parmi les termes et concepts les plus communs dans le débat des droits homosexuels sont: homosexualité, orientation sexuelle, hétérosexisme, diversité, multiculturalisme, y compris, discrimination, homophobie et tolérance. Ces mots et expressions sont employés par les sophistes homosexuels pour encadrer le débat autour d’une question de droit. C'est un contexte choisi pour favoriser les homosexuels au point qu'ils se donnent le rôle de victimes et à leurs adversaires le rôle d’oppresseurs. Même encore dans ce contexte, les arguments homosexuels sont facilement réfutables.
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Qu’est-ce que l’homosexualité?
Certaines personnes pourraient être tentées de sauter par-dessus cette section parce qu'ils pensent comprendre ce terme. C'est la première erreur faite par chaque victime du sophisme homosexuel. Ne pas clarifier les termes essentiels dès le début permet au sophiste d’établir ses propres suppositions. C’est comme signer un contrat d’achat d’une voiture d'occasion sans clairement identification la voiture.
La définition de l'homosexualité n'est pas arrêtée comme on pourrait penser.
Jusqu'à 1986, l'homosexualité avait été universellement définie comme une attirance sexuelle envers le même sexe. Par extension, un homosexuel était défini comme quiconque s’engage ou désire s'engager dans une telle conduite. Le mouvement homosexuel lui-même avait embrassé cette définition, dans laquelle le terme homosexualité avait une signification seulement par rapport au comportement sexuel de même sexe.
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Après 1986, le mouvement homosexuel a commencé à redéfinir l'homosexualité comme étant une condition normale et immuable équivalente à l'hétérosexualité, un état d'être complètement indépendant de la conduite. Sous la nouvelle définition, les hétérosexuels peuvent choisir d’avoir des relations sexuelles homosexuelles et les homosexuels choisir des relations hétérosexuelles sans altération aucune de leur vraie orientation sexuelle. Voici d’ailleurs la définition qu’en donne l’Office québécois de la langue française, 2003:
«Attirance amoureuse ou sexuelle plus ou moins exclusive d'une personne pour les personnes de son propre sexe, qui peut ou non se traduire par des relations sexuelles.
Note(s) :
Le terme homosexualité peut s'entendre au sens large, pour désigner les relations amoureuses entre personnes de même sexe ou, au sens plus étroit, pour parler des relations sexuelles entre les partenaires.
L'évolution des mentalités quant à ce qui est considéré comme « normal », en matière de sexualité, a eu une influence directe sur la désignation de comportements sexuels qui, traditionnellement, étaient considérés comme s'écartant de cette « normalité ». C'est ainsi que l'homosexualité n'est désormais plus considérée comme une perversion ni comme une déviation sexuelle.
Bien que le terme homophilie soit parfois donné comme synonyme d'homosexualité, ce terme semble plus souvent utilisé pour désigner la situation de personnes qui éprouvent une préférence sexuelle pour des personnes du même sexe sans concrétiser ce désir par des rapports sexuels. Quant au terme inversion sexuelle (ou sa forme raccourcie inversion), qui désignait classiquement un refus catégorique de l'hétérosexualité, il est également attesté par certains auteurs comme synonyme d'homosexualité; l'emploi de ce terme n'est toutefois pas fréquent en ce sens. Enfin, le terme intrasexualité n'est plus guère attesté.»
Pourquoi ce changement de stratégie?
C’est qu’en1986, la Cour suprême des États-Unis, dans la cause Bowers c. Hardwick, a soutenu le droit des États de criminaliser la conduite homosexuelle. Le mouvement homosexuel avait soutenu jusque là que la sodomie homosexuelle devait être vue par la cour comme une question fondamentale de vie privée telles que les relations sexuelles matrimoniales. La cour rejetait cet argument.
Le droit constitutionnel des États de réglementer l’homosexualité est toujours en vigueur aux États-Unis.
Contrecarré dans son but de légitimer la conduite homosexuelle comme un droit fondamental, le mouvement homosexuel s’est tourné vers la seule autre base sur laquelle il pourrait revendiquer la protection constitutionnelle: le statut de minorité comme une «classe présumée.» La Cour suprême reconnaît le statut de minorité seulement pour ces groupes qui
1) ont subi une histoire de discrimination,
2) sont incapables de s'aider et
3) sont définis selon des caractéristiques immuables.
C'est le secret pour comprendre pourquoi le mouvement homosexuel nie maintenant que l'homosexualité soit basée sur le comportement et insiste au lieu de cela pour que l'homosexualité soit innée et immuable. Ce n'est pas scientifique. C'est une stratégie légale et politique.
Le problème c’est qu'ils ne peuvent pas le prouver.
Il n'existe pas vraiment de moyens objectifs de déterminer si une personne est naturellement homosexuelle. On ne peut pas prendre une analyse de sang ou un test d'ADN pour prouver qu’une personne est homosexuelle. Nous dépendons entièrement de la revendication d'une personne que son homosexualité est innée. La seule teinte d'intérêt politique personnel en fait une preuve complètement sujette à caution. Les homosexuels qui se déclarent eux-mêmes comme tels ne peuvent même pas prouver qu'ils croient vraiment que leur homosexualité est innée. Au lieu de cela, ils soutiennent que l'homosexualité doit être innée parce que personne ne voudrait être homosexuel et encourir le stigmate social résultant. Cet argument est invalide, puisque beaucoup de personnes choisissent des styles de vie que d'autres condamnent. De plus, il y a beaucoup d'homosexuels qui admettent librement que leur style de vie est une préférence volontaire.
Sur la question de choix, il doit être dit que toutes les relations sexuelles, sauf évidemment le viol, sont volontaires et ainsi chaque acte sexuel implique un choix conscient. Le penchant d'une personne vers une forme de sexualité ne peut pas, pour de nombreuses raisons, être consciemment choisi, mais la simple existence du désir ne justifie pas l'acte. S’il en était autrement il faudrait valider l'adultère et la pédophilie. La société a le droit d'exiger que les gens suppriment des désirs néfastes, même si c'est difficile pour eux de le faire.
En réalité, le mouvement homosexuel ne veut pas qu’une cause biologique soit trouvée. Si la science devait identifier une cause biologique à l'homosexualité, commencerait alors une course pour trouver le remède. Et beaucoup d’homosexuels, femmes et hommes censément heureux, entreraient secrètement dans cette course.
Puisque le mouvement homosexuel ne peut pas le prouver, l'affirmation que les homosexuels sont nés comme ça, ce n’est rien qu'une hypothèse qui ne justifie aucunement de changer des politiques sociales depuis longtemps éprouvées. Souvenez-vous que la société n’a pas à prouver que l'homosexualité n’est pas innée. Les activistes homosexuels sont ceux qui essayent de changer les choses et le fardeau de la preuve est dans leur camp.
Néanmoins, il y a moult preuves que l'homosexualité n’est pas génétique. Il y a une masse très considérable de témoignages de dizaines de milliers d'hommes et de femmes qui ont une fois vécu comme homosexuels. Ces anciens homosexuels ont renoncé à leur ancien style de vie et beaucoup sont devenus hétérosexuels dans leur identification de soi et de désir, tandis que d'autres sont confortables avec l’homosexualité et tout ce qui en découle. Le défi du mouvement homosexuel, de prouver qu'ils ne sont pas toujours homosexuels, lancé aux anciens homosexuels, est le summum de l'absurdité puisque l'immutabilité homosexuelle n'a jamais été prouvée en premier lieu.
Pourquoi la question d'immutabilité est-elle si importante? Parce que si l'homosexualité n'est pas innée, elle doit être acquise. Et si elle peut être acquise, nous osons ne pas permettre qu’elle soit présentée comme légitime à nos enfants. Dans le doute, abstiens-toi! Il faut s’abstenir et protéger nos enfants. Nous devons tout faire pour empêcher que les enfants perçoivent l'homosexualité comme inoffensive et normale, quand en fait ce n'est évidemment pas inoffensif, ni normal. Notons au passage que la normalité fonctionne selon la nature ou la conception. La normalité n'est pas basée sur l'opinion populaire.
En résumé, la vraie définition de l'homosexualité est une tendance ou conduite sexuelle de même sexe. Un homosexuel est une personne qui éprouve une attirance sexuelle pour les individus de son propre sexe. Cette définition est et logique et intuitivement irréfutable.
Pour le bien de nos enfants et la santé de notre société, nous ne devons pas accepter la redéfinition de ces termes. Nous devons forcer les avocats de l'argument du «né comme ça» d'admettre qu'ils ne peuvent pas le prouver et que puisqu'ils ne peuvent pas le prouver, ils doivent admettre la possibilité que l'homosexualité puisse être acquise. Nous ne devons jamais permettre à une discussion de continuer plus avant si l'immutabilité de l'homosexualité est assumée comme une prémisse. Nous devons défier la prémisse et forcer les concessions logiques, sans admettre un changement de sujet.
L’orientation sexuelle
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L'orientation sexuelle est un terme fortement ambigu chargé de fausses suppositions cachées.
Une orientation décrit la perspective d'un sujet vers un objet. Une orientation sexuelle décrit donc une personne (le sujet) par l'objet vers lequel elle est sexuellement attirée: un homosexuel est quelqu'un orienté vers quelqu'un du même sexe, un bisexuel vers tous les deux sexes, un pédophile vers les enfants, un sadomasochiste vers donner ou recevoir de la douleur, etc.
Par définition, il y a un nombre illimité d'orientations sexuelles potentielles . Le mouvement homosexuel, cependant, reconnaît arbitrairement seulement quatre orientations: hétérosexuelle, homosexuelle, bisexuelle et transgenre (c'est-à-dire travestis et transsexuels). Pourquoi? Parce que reconnaître d'autres orientations, la pédophilie par exemple, attirerait l'attention sur l'importance de distinguer entre l'orientation et la conduite, quand le but principal de la théorie de l'orientation sexuelle est de légitimer et protéger la conduite homosexuelle en obscurcissant cette distinction.
On plus voit clairement cela dans les politiques antidiscrimination qui incluent l'orientation sexuelle. Le Gouvernement et les stratèges politiques incluent l'orientation sexuelle dans la politique d'antidiscrimination pour protéger la liberté de pensée et de parole sur la base de la revendication que l'orientation sexuelle n'est rien de plus qu’un état d'âme. Les Canadiens chérissent légitimement la Charte des droits et libertés qui permet la liberté de pensée et de parole. Dans la pratique, une telle politique, cependant, doit légitimer et protéger toute conduite sexuelle associée à une orientation. Par exemple, sous une telle politique on s'attend à ce qu'un propriétaire loue aux homosexuels, même s'ils admettent qu'ils ont l'intention de commettre la sodomie sur la propriété et ce soit son unique raison de leur refuser accès.
Pourquoi cette distinction entre l'orientation et la conduite est-elle si importante? Parce que la conduite sexuelle a des conséquences sérieuses sur la santé publique que la société a, et le droit et l’obligation de réglementer. En contraste, l'orientation sexuelle correctement définie n’a aucun impact sur la santé publique. Même l'orientation d'un pédophile, aussi répugnante puisse-t-elle être, est inoffensive pour le public tant et aussi longtemps qu’il ne passe pas aux actes.
Les législateurs pourraient mettre fin à tout cela en ajoutant une phrase aux lois d'antidiscrimination existantes: «Cette politique ne sera pas interprétée pour légitimer ou protéger n'importe quelle action conduite sexuelle méritant d’être réglementée dans l'intérêt public.» Le droit de revendiquer une orientation sexuelle ne doit pas automatiquement accorder une licence pour la conduite sexuelle.
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Un autre but de la théorie de l'orientation sexuelle est de créer un contexte dans lequel l'homosexualité et l'hétérosexualité tiennent un statut égal. La notion d'équivalence entre l'homosexualité et l'hétérosexualité est très importante pour les arguments «homosexuels». D'une part elle neutralise la santé et les arguments de sécurité contre la légitimation de l'homosexualité.
Par exemple, c'est un fait incontesté que la conduite homosexuelle répand des maladie. Quand nous leur rappelons cela, les sympathisants «homosexuels» disent: «Les hétérosexuels font les mêmes choses.» Ce n'est pas une défense logique de l'homosexualité en soi, puisque deux maux ne font pas un bien. Cependant, c'est un argument pour traiter l'homosexualité d’égal à égal avec l'hétérosexualité si les deux étaient vraiment équivalentes. Mais elles ne le sont pas.
À la différence de l'homosexualité, l'hétérosexualité est immuable. De définir l'hétérosexualité comme simplement une conduite sexuelle entre des personnes de genres compatibles est de supprimer une vérité fondamentale de ce que signifie être humain. Toutes les personnes, à l'exception des hermaphrodites (les personnes avec des difformités génitales) sont nées avec un système reproducteur qui est hétérosexuel par la nature. Nous sommes ou bien mâle ou bien femme. Nous avons des sentiments sexuels seulement à cause des processus chimiques et autres qui sont enracinés dans notre conception procréatrice hétérosexuelle. Ainsi, une orientation sexuelle masculine envers une femme (ou vice et versa) est évidemment normale et naturelle en soi. Par contre, l'orientation de mâle à mâle ou de femme à femme est évidemment en soi incorrecte et artificielle. Pour que l'homosexualité soit équivalente de l'hétérosexualité, elle devrait être enraciné dans sa propre physiologie homosexuelle.
En réalité, l'homosexualité n'est rien de plus qu’une conduite «homosexuelle» parmi des gens qui sont naturellement et fixement hétérosexuels. L'homosexualité est ainsi biologiquement (et à de divers degrés moraux) équivalente de la pédophilie, du sadomasochisme, de la bestialité et de beaucoup d'autres formes de comportement déviant, ou le comportement qui dévie de la fonction normale basée sur la reproduction de l'être humain.
Une deuxième raison de soutenir la prémisse d'équivalence est qu'elle permet aux activistes «homosexuels» d'exploiter les doctrines de droits civils qui autrement ne s'appliqueraient pas . La discrimination, dans le contexte de droits civils, veut dire traiter des groupes égaux de façon inégale. Si les homosexuels et les hétérosexuels sont assumés être égaux, donc il est injuste de nier aux homosexuels tous les bénéfices dont jouissent les hétérosexuels. Les sophistes «homosexuels» ont inventé le terme «hétérosexisme» pour décrire le favoritisme envers les hétérosexuels. Pour saisir les implications de l'hétérosexisme, pensez-y simplement comme «du racisme» envers les homosexuels.
Une politique d'antidiscrimination basée sur l'orientation sexuelle est toujours le première pas vers la prise de contrôle homosexuelle d'une organisation parce qu'elle enferme les suppositions pro gaies. Dès l'adoption de cette politique, l'organisation doit accepter comme un fait que l'homosexualité est immuable, équivalente de l'hétérosexualité et qu’elle mérite des protections spéciales sans respect aux considérations de la santé publique. Critiquer ces positions, ou même ne pas les affirmer, peut être considéré comme une violations de la politique. Où une telle politique est mise en application, l'adoption du reste de but politique homosexuel est pratiquement inévitable. Les conclusions sont assurées par les prémisses.
Le processus de prise de contrôle varie légèrement selon le type d'organisation, mais est prévisible et facilement reconnu.
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La prise de contrôle d'administrations locales commence dans les médias locaux (où il n'y a jamais manque d’activistes politiques «homosexuels» ) avec une campagne pour dénoncer la discrimination contre les minorités légitimes. Un cri est alors lancé pour former une commission de relations Humaines pour étudier le problème et développer des solutions qui viennent de la base. La commission est alors formée avec une autorité quasi-gouvernementale. La politique d'antidiscrimination vient ensuite, souvent sans mention d'orientation sexuelle. C'est d'habitude ajoutée par amendement plus tard.

L'opposition est d'habitude minimale parce que personne ne veut être perçu comme étant en faveur de la discrimination. Ce n'est pas une crainte sans fondement. Les activistes «homosexuels» et dans les médias et dans le gouvernement accueillent toute opposition avec les accusations largement rendues publiques de racisme et de bigoterie.
Invariablement, un devoir de la commission est de cueillir, analyser et rapporter la statistique à propos de la discrimination dans la communauté. (C'est probablement d’où vient le concept de la stratégie du «crime de haine»).
L'utilisation d'un plan de rapport assure deux résultats favorables pour les homosexuels. D'abord, ils gagnent une mesure de légitimité simplement en s’inscrivant ensemble avec de vraies minorités de droits civils (sans devoir justifier leur inclusion parmi ceux dont le statut est basé sur des critères moralement neutres comme la couleur de peau et l'appartenance ethnique). Deuxièmement, la nature même du processus de rapport garantit pratiquement une augmentation d'incidents discriminatoires d'une période d’un rapport à l’autre alors que les gens prennent graduellement conscience du système. Cette apparition d'un problème en croissance soutient leurs demandes de concessions complémentaires à leur ordre du jour.

La prise de contrôle d'une société commence par le placement d'un activiste homosexuel dans un poste où il peut embaucher du personnel (d'habitude un homosexuel non déclaré) . D'autres «homosexuels» non révélés sont alors embauchés pour remplir des positions stratégiques dans la société. Quand la capacité de contrôler le processus est assurée, certains des activistes déclarent leur homosexualité et forment une association d’employés «homosexuels et lesbiennes». Ce groupe présente alors un amendement à la politique d'antidiscrimination de la société pour y inclure «l'orientation sexuelle».
Les organisations démocratiquement dirigées (incluant les partis politiques, les syndicats et les Églises) sont visées basées sur leur vulnérabilité à la prise de contrôle par un bloc unifié de membres votants. L'infiltration massive par des activistes précède les élections, après quoi la politique organisationnelle (et l'arrêté municipal) peut être contrôlée par les nouveaux leaders activistes, qui peuvent ou pas révéler qu'ils sont «homosexuels». Les dénominations chrétiennes prétendues dans l’ace de pensée dominant ont été en particulier visées, non seulement parce que beaucoup de congrégations perdaient rapidement leurs ouailles, (c'est-à-dire, moins de nouveaux membres sont nécessaires pour gagner une majorité de votes), mais parce que ces dénominations ont des tenues de propriété énormes et les fonds de dotation qui peuvent être employés pour les projets des activistes.
Chaque prise de contrôle est suivie par la consolidation de pouvoir homosexuelle dans l'organisation, commençant avec quelque forme de formation de sensibilité. La formation de sensibilité emploie la tactique éprouvée de contrainte psychologique (c'est-à-dire de lavage de cerveau) pour endoctriner les membres de l'organisation dans la pensée pro-homosexuelle. Par la nature même de la tactique manipulatrice employée, peu osent ouvertement différer. Ceux qui sont dûment repérés par le groupe témoin et s'ils sont considérés une menace réelle, sont marginalisés et être forcés à partir. La formation de sensibilité est d'habitude obligatoire pour tous les membres de l'organisation.
Une fois que le groupe témoin a consolidé son pouvoir, l'organisation est pillée de ses ressources disponibles. Ceux-ci incluent les ressources tangibles comme l'argent et la propriété, mais aussi intangibles comme la publicité et les contrats de distributeur et même l’actif incorporel de la communauté. Les dons de charité, aussi, sont exploité, alors que les dons et subventions sont détournés loin des bénéficiaires précédemment favorisés comme des Scouts vers les organisations contrôlées par les homosexuels. Tandis que quelques ressources profitent au groupe témoin interne (bénéfices marginaux des employés), la plupart sont concentrées stratégiquement à l'extérieur de l'organisation pour soutenir plus avant but politique homosexuel dans la communauté.
Tous les processus décrits ci-dessus sont rendus possible simplement par l'acceptation de l'orientation sexuelle comme une théorie de sexualité humaine.
En résumé, l’orientation sexuelle est un terme qui est employé par les activistes homosexuels pour tromper les responsables et le public de la nature de l'homosexualité. Elle encadre le débat de l'homosexualité d'une telle façon que la personne moyenne est prise au piège dans l'acceptation de présuppositions "homosexuelles sans défi. C'est même vrai pour ces gens qui continuent à s'opposer aux buts politiques des homosexuels. Une fois que les présuppositions ont été acceptées, particulièrement quand ils deviennent "la loi" dans la politique antidiscrimination, résister au but politique homosexuel devient beaucoup plus difficile.
La seule stratégie efficace est de rejeter et réfuter les fausses suppositions de l'orientation sexuelle et de ré-encadrer le débat sur une base véridique. L'orientation sexuelle doit être exposée pour ce qu'elle est: une théorie absurde de sexualité inventée par les stratèges politiques homosexuels pour servir leurs propres intérêts égoïstes à la charge du bien-être de la société dans son ensemble.
La diversité
La diversité est un mot de code pour la doctrine politique du multiculturalisme. Dans son sens propre, cela signifie seulement: « caractère de ce qui est divers. » Mais tel qu’employé par le mouvement homosexuel, la diversité est une déclaration morale de la direction que la société doit prendre: un pluralisme social harmonieux dans lequel chaque culture est honorée pour sa contribution au tout. Ainsi, cette sensation de bien-être émotif est harnachée pour obscurcir un raisonnement profondément faux.
Le multiculturalisme, signifiant l'égalité de cultures dans une société pluraliste, est un concept valable si la culture est définie selon des critères moralement neutres. La société doit poursuivre l'égalité civique basée sur des choses comme la race, l'héritage ethnique et la religion. Mais les pratiques culturelles ne sont pas moralement neutres. Peu d'entre nous reconnaîtraient que les cultures du nazisme allemand, du communisme soviétique et du régime des Talibans de l'Afghanistan sont l'égale de la culture démocratique occidentale. La « culture » de l'homosexualité - une manière de vivre enracinée dans la pratique de la sodomie - n'est pas égale aux cultures héritées basées sur la famille des Noirs, des Asiatique, des Amérindiens, de Inuits, ou des Arabes.
L'inclusion même de critères comportementaux dans la définition de culture infirme la prémisse d'égalité dans le multiculturalisme.
Cela présente le mot compagnon à la diversité: l’inclusion. Les églises et autres établissements qui sont tombés victimes du sophisme « homosexuel » se félicitent ouvertement d’être inclusifs. C'est la même erreur sous une forme différente. Dans les deux cas il y a un manque à définir la norme d'acceptation par laquelle les gens sont accueillis dans le cercle d'inclusion. Sans norme, il ne peut y avoir aucune objectivité dans le processus et les décisions représentent simplement la volonté arbitraire de la personne ou des personnes responsables.
En résumé, la doctrine du multiculturalisme promeut l'égalité de toutes les cultures diverses dans notre société sous le mot de passe la "diversité". La validité de la doctrine dépend de la limitation de la définition de culture aux critères moralement neutres. L'inclusion de comportement sexuel moralement significatif dans la définition enlève toute validité au multiculturalisme en accordant la légitimité aux pratiques immorales. Essayer d’arranger le problème par l'exclusion de quelques cultures à cause de leurs pratiques (par exemple le cannibalisme ou l'esclavage) contredit la prémisse d'égalité de cultures. Ne pas articuler une norme par laquelle déterminer quel les cultures doivent être incluses aggrave le problème en investissant l'autorité arbitraire de quiconque tient le pouvoir.
La réponse efficace à un champion de la "diversité" est de se concentrer sur la définition du multiculturalisme et d’exiger de savoir la norme de l'inclusion.
La discrimination
La « discrimination » est un mot dont la redéfinition politique origine de la campagne pour les droits civils américains. Dans son utilisation normale, la discrimination est synonyme de perspicacité, mais tel qu’employé dans un contexte de droits civils, ce mot signifie un parti pris irrationnel contre une personne. « Irrationnel » est le qualificatif caché dans le terme qui distingue la perspicacité appropriée du préjugé. Dans une société éclairée il ne peut y avoir aucune base raisonnable pour la discrimination sur des critères comme la race, la couleur de peau ou l'appartenance ethnique. Cependant, comme avec le multiculturalisme, l'introduction de critères moralement significatifs change l'analyse de la discrimination. La discrimination contre une conduite nuisible est entièrement raisonnable et dans de nombreux cas nécessaires.
La discrimination est maintenant synonyme de préjugé racial dans l'esprit du public. Le mouvement "homosexuel" a exploité cette association pour légitimer ses propres revendications en s'ajoutant à la liste des minorités dans les lois d'antidiscrimination.
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En bref, la discrimination a été utile pour les activistes homosexuels parce que le public est profondément conditionné à associer ce terme seulement avec le préjugé, particulièrement le préjugé racial. La solution est d'ajouter le préfixe "raisonnable" ou "irrationnel" à la discrimination chaque fois que quelqu’un utilise le terme. Au minimum cette tactique fait que l'auditeur considère la signification du préfixe. Elle prépare la scène en vue d’une discussion de la norme pour déterminer ce qu’est la discrimination raisonnable en regard de la discrimination irrationnelle.

L’homophobie
Ce terme est probablement l'invention la plus atroce des sophistes homosexuels. D’une certaine façon, il ne devrait pas même être considéré comme un sophisme, puisqu'il manque la moindre pointe de subtilité. Par contraste avec l'esprit de la plupart des autres exemples inscrits ici, l'illogisme de l'homophobie est d’une impertinence flagrante.
À l'origine, le terme «homophobie» était un terme du jargon psychiatrique inventé pour décrire la crainte des inclinations homosexuelles d'une personne en elle-même. Les activistes homosexuels se sont simplement emparés du terme et l'ont redéfini comme la « haine ou la crainte des homosexuels ».
En tant qu’arme rhétorique, le terme « homophobie » est inégal. Il sert d'abord à cataloguer quiconque s'oppose à la légitimation de l'homosexualité comme un « fanatique rempli de haine ». L'inclusion universelle de tous les adversaires comme homophobes n'est bien sûr pas soulignée. Les activistes homosexuels associent publiquement cette étiquette à « violent batteur d’homosexuels » et à « fanatique haïssable ». Quand ils emploient le terme, ils veulent que les gens pensent aux tueurs de Matthew Shepard, mais dans la pratique conventionnelle, ils incluent tout homme, femme et enfant qui croit que l'homosexualité est incorrecte ou mauvaise. La façon d'exposer ce fait est d'exiger les avocats de la position homosexuels qu’ils exposent la différence entre l’homophobie et l'opposition non-homophe à l'homosexualité. Ils révéleront qu'ils n'acceptent aucune opposition à leur but politique comme légitime.
Deuxièmement, le terme définit l'opposition à l'homosexualité comme une maladie mentale. Les activistes homosexuels prennent un plaisir spécial à cela, puisqu’il n’y a pas tellement longtemps, l'homosexualité était inscrite comme un trouble psychique dans le Manuel Diagnostique et Statistique de Psychiatrie (enlevée par la manoeuvre politique des activistes homosexuels dans un vote des membres de l'Association américaine Psychiatrique en 1973).
Troisièmement, le terme sert comme l'équivalent sémantique de « raciste », aidant le mouvement homosexuel à endoctriner encore plus le public dans la notion que l'opposition à l'homosexualité est équivalente de porter préjudice aux minorités raciales.
Collectivement, ces aspects de l'homophobie servent à intimider les adversaires pour les faire taire. Quand toute opposition à l'homosexualité provoque une accusation que l'on est l’équivalent d’un fanatique atteint d’une maladie mentale et d'un raciste, peu de personnes oseront ouvertement s'y opposer. Ceux qui ont tendance à être sur la défensive, offrant le déni qu'ils ne sont pas haineux, valident implicitement la haine comme la règle générale.
L'utilisation du terme est de la discrimination religieuse en soi, parce qu'il dénigre implicitement et déclare illégitime les enseignements religieux de plusieurs des grandes religions du monde. L'adoption du terme par le gouvernement constitue de prime abord une violation de la clause qui interdit l'endossement ou l'inhibition d’une religion, la neutralité religieuse.
En résumé, «homophobie» est un mot de non-sens inventé par les sophistes homosexuels comme arme rhétorique contre ses adversaires. Il rassemble tous les adversaires comme des batteurs d’homosexuels et des malades mentaux et déclare avec cela que les principales doctrines religieuses sont nuisibles et illégitimes. La solution est de rejeter le terme homophobie lui-même comme nuisible et illégitime. Son illégitimité peut être exposée en faisant des avocats homosexuels définir le terme et la distinction entre homophobie et opposition non-homophoe à l'homosexualité.
La tolérance
Tolérer veut dire laisser se produire ou subsister une chose qu’on aurait le droit ou la possibilité d’empêcher; supporter avec patience ce qu’on trouve désagréable, injuste. La tolérance est donc une vertu essentielle dans une société diversifiée. Dans le lexique homosexuel, cependant, la tolérance signifie l'acceptation inconditionnelle de l'homosexualité. Quiconque désapprouve la conduite homosexuelle est étiqueté d’intolérant, même ceux qui traitent les homosexuels avec courtoisie et respect.
L'abus de langage est dangereux. L'usage impropre politiquement correct du terme « tolérance » est un bon exemple. Pour chaque personne qui cède au politiquement correct pour éviter d’être considéré intolérante, il y a en une autre dont la forte désapprobation de l'homosexualité fait en sorte qu’elle est prête à être considérée intolérante. Cette dernière peut même commencer à voir l'intolérance comme une vertu, puisqu'il apparaît nécessaire d'être intolérant pour arrêter la légitimation de la perversion sexuelle. Cela favorise un climat dans lequel l'intolérance contre les minorités légitimes peut être plus facilement justifiée. Comme "les homosexuels" l’ont prouvé, beaucoup de personnes ne peuvent pas discerner clairement et comprendre pourquoi l'intolérance de la race et l'intolérance de la perversion sont différentes. Cette confusion sert les racistes aussi facilement qu'elle sert les homosexuels.
Pour réaffirmer la vraie signification de la tolérance face au sophisme homosexuel, faites valoir que la tolérance est relative. Certaines choses méritent une tolérance absolue et d’autres méritent une tolérance zéro, mais la plupart tombe quelque part au milieu. Par exemple, notre société doit avoir une haute tolérance à la liberté de parole (c'est-à-dire le droit de dire "je suis homosexuel") mais la tolérance zéro au comportement nuisible (c'est-à-dire la sodomie). La tolérance qu'une chose mérite est proportionnelle au degré d'avantage ou de mal qu'elle produira.
Conclusion
Au coeur du sophisme homosexuel est la redéfinition de l'homosexualité comme "un état d'être" et pas un type de comportement sexuel. Cela permet au mouvement homosexuel de définir les homosexuels comme une minorité des droits civils, comparable aux Noirs et autres groupes dont le statut de minorité est basé sur des caractéristiques vraiment immuables. Tour à tour, cela permet au mouvement homosexuel d'hériter et d’exploiter de tous les bénéfices légaux, politiques et sociaux de la campagne pour les droits civils à ses propres fins.
La théorie de l'orientation sexuelle est un véhicule pour "vendre" l'idée d'homosexualité comme normale et immuable. Il crée un contexte dans lequel la sexualité peut être séparée de la physiologie. En séparant conception de la fonction du corps humain, les stratèges homosexuels peuvent ainsi éviter les vérités autrement évidentes en soi de l'homosexualité.
Tous les termes examinés dans cet article, appliqués aux homosexuels, dépendent pour leur validité de la théorie de l'orientation sexuelle, qui dépend à son tour de la redéfinition de l'homosexualité.
À la fin, cette bataille est gagnée en affirmant l'évidence. La vérité de l'homosexualité est évidente en soi. On n'apprend pas les vérités évidentes en soi, elles sont révélés. Vous n’avez pas besoin d’enseigner de nouveaux faits et chiffres ou ld’élever le niveau intellectuel des gens pour leur aider a défaire les mythes homosexuels. Au contraire, il faut simplement clarifier la désinformation qui obscurcit la réalité simple des choses.
En effet, si vous vous trouvez dépendant d'études et de la statistique pour persuader quelqu'un du faux de l'homosexualité et qu'elle ne doit pas être légitiméd dans la société, vous avez déjà perdu le débat. Considérez ceci: une personne qui ne nie la vérité après lui avoir présenté la vérité évidente se révélée être une dépravée intellectuelle pour qui les faits sont en fin de compte sans signification. Encore si vous, en reculant à la preuve secondaire, accordez que la vérité évidente soit insuffisante pour prouver votre cause, vous invitez volontairement un contexte de débat qui favorise ceux qui désirent tromper et mentir pour gagner.
Défaire les arguments homosexuels, donc, dépend de dire la vérité toute nue sur l'homosexualité dès le début. Si vous ne réussissez pas à défier les présuppositions de la position homosexuelle, vous serez pour toujours désavantagés dans le débat vous opposant à but politique homosexuel. Tenez ferme sur la vérité que l'homosexualité soit une condition objectivement désordonnée qui mérite la désapprobation sociale parce qu'elle répand la maladie et le dysfonctionnement. Vous serez agressivement attaqués pour cette position, parce que vos adversaires savent que c'est la seule position d’où vous pouvez avec succès défaire tous leurs arguments. La pression sera moins forte si vous recherchez des points de compromis, mais vous payerez de votre autorité morale et persuasive dans le processus.
Si vous refusez de tenir ferme sur vos présuppositions pro-familles, les idées données ici fournies vous seront inutiles. Mais si vous le faites, elles vous serviront d’armes puissantes contre tous les sophismes homosexuels et votre position courageuse pour la vérité aura fait valoir votre bon droit.
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Dix règles pour débattre les arguments homosexuels (comme appliquées dans une conversation hypothétique).
PREMIÈREMENT
Ne laissez jamais incontesté tout argument dans lequel la théorie de l'orientation sexuelle, l'immutabilité homosexuelle ou l'équivalence de 'hétérosexualité et l'homosexualité est assumée, ce qui arrive dans tous les débats sur cette question.
L’avocat homosexuel : « Ne voyez-vous pas que nier aux homosexuels le droit de se marier est de la discrimination. Pourquoi ne doivent-ils pas avoir les mêmes droits de base que les hétérosexuels? »
Vous: « Je suis un peu confondu par votre argument. Dites-vous que vous pensez que l'homosexualité soit l'équivalent de l'hétérosexualité? »
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DEUXIÈMEMENT
Faites toujours défini les termes critiques par les avocats de la position homosexuelle.
L’avocat homosexuel : « Bien sûr qu’ils sont équivalentes. Une personne n'est pas mieux qu'une autre juste à cause de ce qui elle aime. »
Vous: « Je ne comprends toujours pas. Comment définissez-vous l'homosexualité et l'hétérosexualité ? C'est plus que de l'amour n'est-ce pas? »
TROISIÈMEMENT
Gardez le cap. Les sophistes changeront toujours le sujet pour éviter de devoir admettre une erreur. L’astuce est de rester concentré jusqu’à ce que le terme en question soit défini. Ne vous laissez pas piéger en changeant de sujet.
Promettez d'adresser de nouveaux sujets après que l'on ait répondu à votre principale question. Aussi, faites attention à la tactique du catch à quatre dans laquelle un tiers interrompra votre discussion pour aider votre adversaire à changer le sujet. Demandez à tout intrus de répondre à la question.
L’avocat homosexuel : « l’homosexualité est juste votre orientation sexuelle. C'est la façon que vous êtes nés. Certaines personnes sont hétérosexuelles. Certaines sont homosexuelles. Vous ne pensez pas que les homosexuels doivent subir la discrimination juste parce qu'ils ont une orientation différente, n'est-ce pas? »
Vous: « Je voudrais répondre à la question après avoir parler de ce qu’est l'orientation sexuelle, mais je ne saisi toujours pas ce que vous entendez par « homosexualité ». Comment savez-vous que c'est juste la manière que quelqu'un est né?
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QUATRIÈME MENT
Ne permettez pas à votre adversaire de placer le fardeau de la preuve sur vous pour réfuter une de ses suppositions. Le fardeau de la preuve est sur lui.
L’avocat homosexuel. « Tout le monde le sait. Il y a des tas d'études. En plus, qui voudrait être homosexuel quand il y a tant de haine et d’homophobie contre eux?
Vous: « Des tas de gens font des choix que d'autres gens détestent. Cela ne prouve rien. Et toutes les études que j'ai vues ont été peu concluantes. Pouvez-vous me citer une étude qui prouve absolument que les homosexuels sont nés cette voie? »
CINQUIÈMEMENT
Gardez toujours la discussion sur la conduite sexuelle.
L’avocat homosexuel : « Elles sont là. Mais les homosexuels n’ont pas à se prouver pour mériter les droits fondamentaux. Vous n’avez pas à prouver votre hétérosexualité pour obtenir vos droits n’est-ce pas? »
Vous: « maintenant nous sommes revenus au point de départ sur cette question à savoir si l'homosexualité est équivalente de l'hétérosexualité. Vous n'avez pas toujours défini ce qu’est l'homosexualité ou ce qu’est l'hétérosexualité. N’est-ce pas une question de comportement? »
SIXIÈMEMENT
Gardez la discussion sur ce qui peut être objectivement observé et mesuré et loin du subjectif. Ne vous laissez pas entraîner dans des discussions abstraites.
L’avocat homosexuel: « Non, ce n’est pas à propos du comportement, c’est à propos de l'orientation. Je l'ai déjà dit. Vous pouvez être homosexuel et célibataire. Être homosexuel c’est quand vous tombez en amour avec une personne du même sexe que vous. Être hétérosexuel c’est quand vous tombez amoureux de quelqu'un du sexe opposé. Voilà. »
Vous: « Alors où le sexe entre-t-il en ligne? Si l'orientation n'a pas aucun rapport avec le comportement sexuel, qu’est-ce qui arrête les pédophiles de revendiquer l'égalité avec les homosexuels et les hétérosexuels? S'ils ne deviennent jamais physiques, qu'importe s'ils tombent amoureux d’un enfant? »
SEPTIÈMEMENT
Employez des déclarations affirmatives pour garder l'initiative dans la discussion.
L’avocat homosexuel: « Ouais, mais la pédophilie est illégale. »
Vous: «Vrai. Le comportement est illégal, mais pas les pensées et sentiments. C'est pourquoi il importe d'être très clair sur la définition de l'homosexualité et de l'hétérosexualité avant que nous ne nous décidions s'ils sont égales. Si nous parlons seulement des pensées et des sentiments, donc peut-être qu’elles sont égales, mais le sont donc alors toutes les orientations autres dont vous pouvez penser. Si nous les comparons par les types de comportement qu’elles impliquent, c’est une autre histoire. Le comportement de la pédophile est illégal parce qu'il nuit aux enfants. Le comportement homosexuel est toujours illégal dans beaucoup d'états parce qu'il répand la maladie et le dysfonctionnement. »
HUITIÈMEMENT
Obligez l'adversaire à faire face aux défauts dans sa logique.
L’avocat homosexuel: « Bien dez hétérosexuels s'engagent dans les mêmes comportements risqués que les homosexuels. »
Vous: « donc reconnaîtriez-vous que la désapprobation de toute conduite sexuelle nuisible est raisonnable? »
NEUVIÈMEMENT
Suivez le défaut de sa conclusion illogique.
L’avocat homosexuel: « Non, je ne pense pas que ce soit l’affaire de quiconque ce qui se passe entre deux personnes dans la vie privée de leur propre chambre à coucher. »
Vous: « Permettez-moi de récapituler ce que vous dites. Les homosexuels et le hétérosexuels sont seulement différents quant au choix de leur partenaire, l’un est homosexuel, l'autre de sexe opposé, mais qu'ils sont égaux en cela que tous les deux s'engagent dans les mêmes types de conduite sexuelle. Vous croyez aussi que la société n'a aucun droit de régler la conduite sexuelle même si elle menace la santé publique, mais vous feriez une exception pour les pédophiles. Est-ce correct? »
DIXIÈMEMENT
Mesurez votre succès par le degré auquel vous avez éclairé la vérité pour ceux qui écoutent votre discussion, pas par l'empressement de votre adversaire à changer son opinion.
L’avocat homosexuel : « Je ne vais pas vous laisser me prendre au piège dans un piège homophobe. Votre problème consiste en ce que vous êtes un fanatique. »
Vous: « Votre problème consiste en ce que vous ne comprenez pas que l'homosexualité soit très différente de l'hétérosexualité. L'hétérosexualité décrit la façon que tous les êtres conçus pour fonctionner comme partenaires compatibles de sexe opposé. L'homosexualité pourrait être équivalente seulement s'lle était enracinée dans une conception comparable physiologique. Au lieu de cela, même en engageant dans des actes homosexuels, une personne reste intrinsèquement et immuablement hétérosexuelle par sa nature. L'orientation sexuelle est juste un modèle théorique qui vous laisse feindre que la sexualité soit un état d’esprit subjectif et pas une réalité physique objective. C'est pourquoi le mariage est fermé aux homosexuels. C'est un établissement conçu pour protéger et renforcer la famille naturelle, qui est enracinée dans la conception procréatrice hétérosexuelle que nous partageons tous.
ANALYSE
La conversation hypothétique précédente est en réalité un composé de beaucoup de discussions réelles entre l'auteur et les divers avocats de la position homosexuelle. Il peint exactement et honnêtement les commentaires typiques et les attitudes de défenseurs homosexuels. Ce qui peut être glané de cet échange est que l'on ne peut jamais vraiment venir à une compréhension commune avec un sophiste homosexuel, puisqu’il se soucie seulement de gagner et non pas de la vérité. Encore il y a beaucoup de personnes qui simplement répète comme un perroquet la rhétorique homosexuelle et qui sont vraiment les victimes de sophismes, pas des sophistes eux-mêmes. Ces gens peuvent être persuadés.
La seule raison de discourir avec un véritable sophiste est d’aiguiser vos habiletés de débat. D'habitude, cependant, vous aurez un auditoire. Dans ce cas, prenez l'occasion d'instruire votre auditoire et ne soyez pas découragés que votre adversaire refuse d'entendre raison.
Quand tout est dit et fait, la seule solution réelle aux problèmes créés par le sophisme homosexuel est de rétablir une norme véridique dans chaque institution où les sophistes ont maintenant de l'emprise. Cela signifie que nous qui avons appris comment défaire le sophisme homosexuel devons activement rivaliser pour l'influence dans ces établissements et persuader les autres qui partagent notre amour pour la vérité de faire le même.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

En bref: faites semblant de communiquer, mais n'ecoutez rien et entetez vous dans votre idee .

Anonyme a dit...

Et des que quelqu'un vous contredit, traitez le d'activiste gai. Anyway il vous traitera de catho extreme droite conservatrice et ce sera la guerre .
Ce qui prouve que c'est pas la bonne voie.
Appelez le mon petit chou d'amour a la place , et ecoutez le.C'est tellement plus sympa.

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