«Mis simplement, nous voulons BilI McCormack. Bien sûr qu’il doit rester le chef de la police métropolitaine, s'il le veut.
Il a été un bon chef. Il doit rester pendant encore pendant quatre années jusqu'à sa retraite normale à soixante-cinq ans. Au moins il doit rester pendant deux ans avant que l'incertitude politique en Ontario et au Conseil de Toronto ne
s'arrangent.
Coupons dans le gras. Il est clair que Susan Eng, qui était le choix personnel du Premier ministre Bob Rae comme président du conseil de services de police, essaye de circonvenir le choix du chef suivant comme un de ses derniers actes entant que président.»
Dans la même publication, la chose suivante a été exposée: «Mercredi [le 13 octobre] est le jour J pour le chef Bill McCormack. Dans une entrevue franche hier, le flic supérieur expérimenté de Toronto a dit que c'est le jour qu'il annoncera ses intentions de prendre sa retraite.» Toronto Sun (le 7 octobre 1994) écrit:
«Des policiers peu marquants ont joint la campagne pressant le chef Bill McCormack de rester comme le flic supérieur de Toronto.
Une pétition demandant à McCormack de rester comme le chef de la Police du Toronto métropolitain pour au moins un an, ou jusqu'à ce que la stabilité politique soit revenue a été postée dans toutes les stations de la division hier.
Les officiers de service ontactés par le Sun hier dans la nuit ont dit que la réponse du personnel et en uniforme et en civil dans le département de 7 900 membres à 100 % derrière le chef.»
Mais les sources ont aussi dit que l'on était entré en contact avec le personnel de diverses stations hier et pour les informer que le président des services de police Susan Eng est outragée par la pétition des flics qui font campagne et qu’elle veut qu’elle cesse.
Le membre du conseil, Gardner, a dit qu'il ne serait pas étonné si Eng s’agitait sur les actions des simples soldats et gradés. «Cela va contre sa stratégie d’avoir la date de retraite officielle du chef dans la main ce mois-ci», a dit Gardner.
Plaque 69 : Rae et Dudley Laws, membre fondateur du Comité d'action de la défense des Noirs. Dans la même publication du Toronto Sun (8 octobre l994), Jeff Harder écrit: «Le Comité d'action de la défense des Noirs qui détestent les flics est financé par le gouvernement provincial».
Plus tard (Toronto Star, le 8 novembre 1994), le Ministère de la Justice de l'Ontario a nié que cela «crée un système séparé légal pour les Noirs, mais a confirmé qu'il considère détourner les Noirs accusés de de délits loin des cours». Le Star annonce que Michel Leshner, un avocat de la couronne opposé à une déviation pour les Noirs, a dit que la nouvelle proposition diffère de ce qui existe déjà . «Actuellement, vous regardez la nature de l'infraction, pas la couleur de la peau de quelqu'un», a dit Leshner. La race deviendrait une considération principale sous le changement proposé, «Et c'est dingue», a-t-il ajouré. La «race» Bob le sait-il? (Jeux de mot en anglais: «race» peut signifier une course (électorale) ou bien la race.)
En termes de stratégie que Rae poursuit, on se rappelle «Heartbreak House» de Shaw: «Vous ne pouvez les corriger tant que vous ne pouvez pas les tuer. À présent ils ont le pouvoir de vous tuer. Il y a des millions de Noirs disponibles à former pour les lâcher sur nous. Ils vont le faire. Ils le font déjà. Ils l'emploient. Nous gaspillons le meilleur de notre énergie chaque jour pour les pacifier. Savoir que ces gens-là doivent rendre toutes nos aspirations stériles nous empêche d’avoir des aspirations.»
Aucun commentaire:
Publier un commentaire